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Les leçons de la vie

Les leçons de la vie

Jessy Jessy

5.0
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Chapitres

Rentrant chez lui pour faire une surprise à sa femme pour son anniversaire, Chris découvre cette dernière avec son meilleur ami en train de faire l’amour…

Chapitre 1 Chapitre 1

CLEMENCE Chris pleurait abondamment ; depuis qu’il a passé l’âge de cinq ans, je ne l’ai jamais vu en larmes ; djifa blessings; tout en le serrant dans mes bras, je garde silence pour le laisser évacuer sa douleur. Ne dit-on pas souvent que les larmes raniment les forces brisées ? Il y a des moments dans la vie où nos sentiments les plus profonds ne peuvent s’exprimer que par des larmes ; ce n’est pas signe de faiblesse, mais de soulagement ; d’ailleurs, chaque larme qui coule est un poids en moins dans le cœur ; qu’il pleure donc ! Lady Nady.

Après un moment, Chris se dégagea et m’interrogea, son regard plongé dans le mien.

Chris : finalement maman, à qui faut-il faire confiance en ce monde ? Je soupire un moment puis lui réponds qu’il ne fallait faire confiance à personne dans ce monde.

Moi : Personne ; Chris, il ne faut faire confiance à personne ; je te l’ai pourtant maintes fois dit ;

Chris : Mais, maman, comment est-ce possible de ne pouvoir faire confiance à personne ? Toi, tu es ma mère ; ne puis-je donc pas te faire confiance ?

Moi : En principe, oui ; mais, la réalité a montré qu’il ne faut faire confiance à personne ; il arrive que les parents trahissent leurs enfants et vice-versa ; un être, même cher, peut te trahir par chantage, par contrainte, et même parfois volontairement par méchanceté ou par jalousie ; tant qu’il s’agit d’un être humain, tu ne peux jamais répondre de lui ; tu ne peux jamais savoir ce qu’il en sera ! Alors, fais confiance à Dieu fais confiance à ta méfiance ;

Chris : Quel dommage maman !

Moi : Mon fils, ainsi va la vie ; allez mon garçon, sèche tes larmes ; un homme ne pleure pas ; djifa blessings; écoute-moi bien : ne pleure plus jamais pour quelqu’un dans ta vie, parce que ceux pour qui tu pleures, ne méritent pas tes larmes ; et ceux qui les méritent, ne te laisseront jamais pleurer ;

Chris (sanglotant encore) : je sais ; maman ; mais c’est difficile ; il s’agit de deux êtres si chers à mon cœur !

Moi : le temps guérit presque tout ; voici ce que tu vas faire mon chéri ; tu vas très vite laisser de côté ce qui est arrivé et tu vas te reprendre ;

Chris : Maman, j’ai mal ; je ne sais pas si je peux m’empêcher d’y penser ;

Moi : Il le faut pourtant Chris ; tu dois être fort ; une personne forte n’est pas celle qui ne pleure jamais ; mais c’est celle qui fond par moment en larmes pour ensuite vite se reprendre ;

Chris (essuyant ses larmes) : mais maman, ils vont me le payer ;

Moi : ils n’ont rien à payer parce qu’ils ne te doivent rien ; ils doivent à la nature, à Dieu. C’est à lui qu’ils doivent parce qu’ils ont fait ce qu’il a interdit ; ils ont transgressé ses lois ; parce que la nature a ses lois, mon fils ; laisse donc à Dieu le soin de les sanctionner ; mais toi, n’y gaspille pas ton énergie ; tu risques de te faire mal en voulant te venger ; tu sais, quand j’étais plus jeune, j’aurai sûrement pensé comme toi ; mais mon expérience de vie me fait penser autrement ; mon fils, la vengeance conseille mal ; se venger est aussi vain que vouloir remonter le temps ; la vieille philosophie de l’œil pour l’œil n’a jamais fait que des aveugles ; même si tu te vengeais, tu ne te sentirais pas heureux pour autant ! Lady Nady. Chris, tu es un homme ; la meilleure vengeance, c’est de passer à autre chose. Notre précieuse discussion de mère et fils a été interrompue par l’entrée de mon mari Honorat.

Honorat : que se passe t-il encore ?

Moi : c’est Chris ; il est très affecté mais je lui ai déjà parlé ; la vie n’est toujours pas du chocolat à déguster et il faut qu’il le comprenne ;

Honorat : écoute, fiston, Dieu a de drôles de manières de nous passer des messages ; ce qui est arrivé signifie tout simplement que ces deux-là ne méritent pas d’être dans ta vie ; parfois, nous faisons entrer des personnes dans notre vie qui sont comme des virus et désorganisent tout notre système ; ces deux-là sont de cette trempe ; comprends le message et continue ta vie ! Pourquoi pleurnicher comme un enfant ? Il y a des choses plus graves qui se passent ; ce que tu vis, n’est rien du tout ; je n’aime pas ton attitude ; ressaisis-toi ; la vie continue ; deux de perdus, dix de retrouvés ! Chris, tu dois avoir un mental d’acier pour traverser cette vie ;

Moi : ton père a raison ; remercie le ciel de t’avoir montré leurs vrais visages pendant qu’il en était encore temps ; autrement, un jour, ils pourraient t’empoisonner puisque tu seras un obstacle ; allez, va te laver le visage et reviens dîner ; j’ai fait cuisiner ton plat préféré ;

Chris : d’accord maman ; je ne sais pas comment j’aurais pu traverser cela sans toi et papa. Je me sens soutenu. Il est tellement plus facile d’affronter les problèmes quand on a la famille derrière soi. Je lui répondis par un faible sourire ; j’essaie de réconforter mon fils mais la vérité est que j’ai mal pour lui. Chris est mon cadet ; je me présente ; Madame Clémence Mavula ; je suis mère de trois garçons que j’adore : Hospice, Chris et Mario. CHRIS Je m’appelle Chris Lumvuensitako Mavula. Je suis Architecte de profession ; j’ai vingt-huit ans et je dirige depuis quatre ans un cabinet qui m’a été ouvert par mon père après ma formation ; je me suis marié à l’état civil depuis deux années avec Murielle et tout marchait à merveille ; enfin, c’est ce que je pensais, jusqu’au moment où je l’ai surpris en flagrant délit d’adultère avec Marcos.

Ah Marcos ! Je croyais en son amitié ; je pensais qu’il était mon meilleur ami, mon alter égo, mon frère d’une autre mère ; celui des mains de qui je pouvais manger les yeux fermés ! Depuis le collège, nous sommes restés inséparables. Je n’ai pas supporté ; pour la première fois, enfin, selon mes souvenirs, j’ai pleuré ; j’avais mal, très mal. Le comble, c’est que mon petit garçon de neuf mois n’est pas le mien ; il est celui de ma femme et de mon meilleur ami. J’étais censé être en voyage pour trois semaines ; enfin, c’est ce qui était prévu ; mais j’ai écourté mon séjour de trois jours pour faire une surprise à ma femme le jour de son anniversaire ; pour cette raison, je ne lui ai rien dit ; elle ne savait donc pas que je j’allais rentrer. Certes, je les sentais très proches ! Mais quoi de plus normal ? Avant de rentrer, j’ai toutefois prévenu Marcos ; il était même censé venir me chercher à l’aéroport. Sauf que manque de chance pour eux, mon vol n’a plus fait d’escale comme prévu ; je suis donc arrivé trois heures plus tôt. olympe dan.

Une fois à l’aéroport, je ne voulais plus attendre ; j’étais impatient de voir ma femme ; j’ai alors pris un taxi ; je suis arrivé chez moi. Mon gardien m’a prévenu que mon meilleur ami était là ; rien de surprenant ; c’est lui qui veille sur Murielle et sur l’enfant en mon absence. Heureux, je me dirige vers le bâtiment ; le salon était ouvert ; certainement pour que le gardien ne se doute de rien ; je fonce tout droit vers notre chambre conjugale ; elle était ouverte ; le bébé y dormait d’ailleurs ; je me rends à la cuisine ; elle était vide ; mais où est-elle ? Il y a quatre autres chambres à l’étage ; certainement qu’elle est montée avec Marcos pour une raison ou une autre ; jusque-là, ce n’est pas inquiétant ; c’est quand-même Marcos ! Rien à craindre ! Je décide de me rendre à l’étage ; trois chambres étaient ouvertes mais une fermée ; j’entendais des voix ; mais pourquoi tous les deux s’enferment ?

Je colle mon oreille à la porte par curiosité sans vraiment me faire des films ; mais grande a été ma surprise d’entendre des gémissements d’extase. Je me croyais dans un rêve. Alors, j’attends tranquillement devant la porte. Une trentaine de minutes plus tard, les deux scélérats daignent enfin ouvrir et tombent dans mes mains ; ils manquèrent de s’évanouirent. Voilà qui est clair. Marcos baissa la tête et continua son chemin ; ma femme s’est mise à genoux, me suppliant que c’était le diable et patati patata ; pauvre diable ! Il est accusé de tout. Le ciel me tombait sur la tête à cet instant-là. J’ai exigé que ma femme s’en aille le jour-même ; c’était non négociable ; j’ai insisté pour lui prendre mon fils de dix mois mais elle s’y opposa ; je lui ai arraché l’enfant de force ; c’est là qu’elle m’avoua que l’enfant n’était pas le mien et que je ne pouvais le garder. Lorsque je lui ai demandé qui était le père, elle n’a pas voulu me le dire ; avec un couteau à la gorge, j’ai menacé de la tuer et de l’enterrer si elle ne parlait pas ; nous n’étions que deux. Elle finit par lâcher la vérité en m’apprenant que c’est le fils biologique de Marcos. Ça, c’est la totale ! Les deux morveux couchaient ensemble depuis longtemps ; ils ont eu un bébé et me l’ont collé ! Mon cœur a été brisé ce jour-là ; plus jamais, je n’aimerai une femme au point d’en faire mon épouse.

CLAIRE Cette hystérique ! Qu’est-ce qu’elle a, à crier mon nom de la sorte ? Une paresseuse du genre ! Elle n’aime rien faire ! Si ce n’était pas que j’ai besoin d’argent, est-ce que je serai en train de la servir ? Elle n’est même pas belle ! Certaines personnes ont vraiment de la chance dans la vie ! Depuis mon arrivée dans cette maison, je me suis toujours demandée comment elle s’était arrangée pour épouser un homme si beau et si riche ? Quand on l’observe, à part son argent, elle n’a rien de mieux que moi ! Je suis belle mais comme je n’ai pas les moyens de m’entretenir comme il faut, ma beauté est ternie par la souffrance. Parce qu’elle porte de beaux vêtements, de belles chaussures et qu’elle se maquille, elle pense qu’elle est jolie ! Elle, c’est ma patronne ; c’est elle la maîtresse de maison et moi, je suis sa domestique. Vanessa est son prénom. Je continue de la laisser crier mon nom.

Après avoir fait longtemps la sourde oreille, je finis par répondre à son appel ; avais-je d’ailleurs le choix ? Je traîne quand-même les pas puis finit par me présenter devant elle ; comme d’habitude, elle me crie dessus :

Vanessa : Mais Claire, depuis que je t’appelle, c’est maintenant que tu te présentes ?

Claire : Je n’ai pas vite entendu Madame ;

Vanessa : Va donc te curer les oreilles ! Pétasse ! Thrrr ! Elle me toisa un moment avant de continuer :

Vanessa : Bien, je suis en train de sortir ; mais, Monsieur sera là à midi ; tu lui cuisines du riz au gras avec du poulet braisé ; tu lui presses également du jus d’orange ; d’accord ?

Claire : Oui Madame ;

Vanessa : Tu peux y aller. Alors que je sortais de la pièce, ma patronne me rappelle ; je reviens sur mes pas. Elle me scrute en me fusillant du regard puis s’exprime :

- Je ne veux plus te voir porter ce genre de vêtement. Je me regarde puis rétorque :

Moi : Je n’ai pas compris Madame ;

Elle (ton sévère) : Tu n’as pas compris ! Je répète donc : tes mini-jupes et tes camisoles montrant ton ventre me sont insupportables ; certains de tes habits te collent à la peau ; pourquoi tu te déguises ainsi avec tes grosses fesses on dirait des boules de pastèques ? Désormais, mets-toi en pagne. Je renfrogne la mine pour montrer à ma patronne que je n’approuve pas ses injures ni sa façon de me traiter ; je pense qu’elle a compris mon regard puisqu’elle réplique pour me décourager :

- Ecoute demoiselle, si tu me tiens tête, je vais te virer ; tu es prévenue ; maintenant, fous le camp. Lorsque j’arrive dans ma chambre pour me changer, je pousse un long juron ; pourquoi cette méchante femme s’en prend à mes vêtements ? Ah oui, je vois ! Elle craint que son mari ne soit séduit ; cela prouve qu’elle manque d’assurance ; mais elle a la chance que ce soit l’argent ma préoccupation et non son mari ; une fainéante comme-ça ! Au lieu de faire elle-même la cuisine, elle me le confie ; même sa chambre conjugale, elle a la paresse de ranger ! C’est encore moi qui vais venir dresser le drap sur lequel elle et son mari s’envoient en l’air ! Pfff ! Voilà les femmes dont on parle ! Paresseuse jusqu’aux os ! Ma patronne finit de s’apprêter ; djifa blessings; elle est chichement habillée ; c’est d’ailleurs souvent ainsi. Elle tient un magasin de vente de vêtements et autres accessoires pour femmes. Elle y passe toute la journée avant de rentrer le soir. Son mari, mon patron, travaille dans une banque ; il y passe souvent la journée mais parfois, il rentre à midi. Peu de temps après que ma patronne soit partie, je me change pour mettre une culotte et une camisole ; je m’y sens bien pour faire les travaux domestiques ; je faisais la vaisselle, debout, face à l’évier de la cuisine quand je sens une personne me fermer les yeux avec ses mains par derrière ; je souris car j’imagine de qui il s’agit :

Moi (souriante) : Adjokè ! Arrête hein !

Adjokè (riant) : comment as-tu su que c’était moi ?

Moi : toi aussi ! Il n’y a que toi qui vient me voir ici ! Le gardien n’oserait quand-même pas agir ainsi !

Adjokè : votre gardien là-même ! Pfff !

Moi : il y a quoi ?

Adjokè : il me regarde un genre ; il faut lui dire que je suis une boniche de luxe ; je ne suis pas de sa catégorie ;

Moi (riant) : laisse le pauvre gardien tranquille puisqu’il ne t’a rien dit de déplacé ; au fait, où est le bébé ?

Adjokè : Sa mère est en congé ; elle a décidé d’aller passer quelques jours chez ses parents au Nord ; elle est allée avec la petite ;

Moi : du coup, tu es libre pendant la journée puisque les deux autres vont à l’école ;

Adjokè : oui ; rendez-vous le soir pour les laver et leur donner à manger tous les deux ; et puis, c’est tout ; mais dis, c’est toujours moi qui viens ici ; toi, tu ne viens jamais me voir ;

Moi : ma chère, ce n’est pas de ma faute ; en voulant sortir chaque jour, ma patronne me charge tellement que je n’ai pas souvent le temps de bouger ; tiens, par exemple, aujourd’hui où je pensais m’accorder un peu de repos, elle me demande de cuisiner pour son mari car il rentre à midi ;

Adjokè : ta patronne est vraiment chiante ; la mienne cuisine pour son mari elle-même chaque matin et lui met la nourriture dans un bol thermique ; moi, je ne fais qu’apprêter les ingrédients ; le soir, elle fait la cuisine elle-même ; ce n’est qu’en son absence que je fais ces choses !

Moi (envieuse) : hum ! Tu es bien toi ! La mienne ne peut même pas arranger sa chambre ; c’est encore moi qui le fais ; pourtant, elle ne manque jamais de reproches à mon égard ; tout à l’heure, elle s’en est prise à mes vêtements et à mes fesses ;

Adjokè : pourquoi ? Moi (haussant les épaules) : elle me demande de les changer ; que désormais, elle veut me voir en pagne ; je t’assure ma copine, si ce n’est pas que je cherchais de l’argent pour payer mon apprentissage, j’allais déjà partir ! Elle est trop difficile. Même pas trois mois et je suis fatiguée !

Adjokè : elle a peur que tu ne lui prennes son mari ou quoi ? Lady Nady. Mais ma chère, patience ; tout ceci est encore supportable ; tu as un objectif en vue ; tu dois l’atteindre ; maintenant, je comprends pourquoi les domestiques ne durent pas chez elle. Depuis trois ans que je travaille dans le quartier, elle a déjà changé quatre domestiques ! Adjokè est mon amie ; nous avons grandi dans le même village ; cela fait un moment qu’elle exerce le métier de domestique par manque de moyens ; son rêve, c’est d’épargner assez d’argent pour un jour ouvrir un grand magasin ; elle veut être commerçante. Quant à moi, c’est ma deuxième expérience ; au départ, j’avais travaillé avec une dame pendant six mois mais lorsqu’elle voulait voyager, j’ai arrêté ; j’étais retournée au village depuis pratiquement un mois quand Adjoke a débarqué pour me dire qu’elle avait un emploi pour moi ; la voisine de sa patronne avait besoin d’une fille de ménage.

C’est ainsi qu’elle est venue me proposer l’emploi et j’ai accepté. Comme nous travaillons dans des maisons voisines, Adjokè ne manque pas de venir me rendre visite quand mes patrons ne sont pas là. Pendant que nous continuons allègrement nos commentaires sur ma patronne, Adjokè reçoit un coup de fil. Ses échanges sont si coquins que je ne m’empêche pas de l’interroger à la fin de sa discussion.

Moi : apparemment, tu as un homme dans ta vie ;

Adjokè : et pas n’importe lequel !

Moi : sérieux ? Tu n’as même pas pris la peine de me le dire ! Moi, ta copine ! Je suis fâchée !

Adjokè : ne te fâche pas ma chérie ; j’attendais que la relation soit effective ; je ne voulais pas me réjouir trop vite ;

Moi : allez, accouche ;

Adjokè (joyeuse) : j’ai décroché le gros lot ;

Moi : Vraiment ? Adjokè : un homme beau, élégant et aisé !

Moi : Super ! Raconte ! Où l’as-tu rencontré ? Et comment se fait-il qu’il s’intéresse à toi ? Es-tu certaine qu’il ne te bluffe pas ?

Adjokè : ne sois pas pessimiste ; je crois en son amour ;

Moi : ma chère, attention ;

Adjokè : pourquoi penses-tu qu’un homme riche ne peut pas aimer une boniche ? Ne suis-je pas une femme après tout ? La nature m’a seulement apporté ce que je désire ; un point, c’est tout ;

Moi : donne-moi des détails sur lui ; Adjokè : c’est le petit frère du patron !

Moi : quoi ! Adjokè : pourquoi tu t’étonnes ? Moi : tu blagues ; je ne te crois pas ; ce n’est rien d’autre qu’une aventure ; ça ne peut pas être possible ;

Adjokè : en tout cas, moi, je crois en ma bonne étoile.

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