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Les leçons de la vie

Chapitre 8 Chapitre 8

Nombre de mots : 2981    |    Mis à jour : 05/03/2022

s et sa chute de reins qui sont justes superbes ; je remarque rapidement qu’elle a de longs cheveux puisqu’elle les a laissés libres ; ses fesses légèrement plantureuses sont mises en valeur par la be

e coupant): ne t’inquiète pas, je ne dirai rien ; après tout, c’est Madame la maîtresse de maison ; elle peut faire comme elle l’entend. Sans attendre mon mot de remerciement, mon patron se dirige vers la chambre, y reste un moment puis m’annonce qu’il est reparti. Pourvu qu’il respecte sa promesse et qu’il ne dise rien à sa femme ! J’ai vraiment besoin de gagner ce salaire pendant encore une année pour atteindre mes objectifs. VANESSA Je rentre le soir complètement épuisée ; je dîne, prend mon bain et directement, je me mets au lit. Charly vient m’y rejoindre quelques minutes plus tard. Charly : comment s’est passée ta journée ? Moi : épuisante ; trop de clients aujourd’hui ; Charly : t’occuper de tes clients ne t’est pas difficile mais de ton mari, oui ; Moi : tu ne peux pas dire cela ; chaque jour, je fais tout pour améliorer ton quotidien ; par exemple, aujourd’hui, n’es–tu pas parti au boulot avec ton déjeuner ? Tu ne m’as même pas félicité pour cet effort ; Charly : quel effort ? Il me semble que tu ronflais encore dans le lit quand je me suis réveillé ! C’est la bonne qui a cuisiné que je sache ; Moi : mais, c’est moi qui lui aie donné l’ordre de le faire ! Charly : vraiment ? Je t’en remercie alors ; je me demande qui t’a donné ce si bon conseil ! Moi : personne ; j’ai eu l’idée par moi-même ; c’est cela ! Charly : tant mieux, ça m’a fait plaisir ; au fait, j’espère que désormais tu nettoies notre chambre toi-même ; Moi : oui ; puisque tu ne veux pas que la domestique le fasse ; Charly : es-tu sûre de ce que tu me dis ? Moi : depuis quand doutes-tu de ce que je te dis ? Charly : c’est étrange mais je ne te crois pas ; Moi : c’est simple ; tu n’as qu’à l’appeler et lui demander. Charly : je n’en ai pas besoin ; ce qui est certain, la vérité, c’est comme le ventre d’une femme enceinte ; elle finit par se montrer ; Moi : je n’aime pas ces insinuations, Charly ; je viens de te dire que tu peux poser la question à la domestique ; Charly : écoute Vani, l’amour même très fort peut mourir à cause d’une connerie ; et tu commences à trop en faire ; tu es avertie ; Moi : que veux-tu dire ? Charly : la récréation que tu introduis dans notre couple doit prendre fin ; Moi (énervée) : récréation ! Quelle récréation ? Tu n’es pas clair ; dis-moi exactement ce que j’ai encore fait de mal ! Charly : je tombe de sommeil ; et demain, ma journée sera chargée ; je n’ai pas le temps de discuter ; bonne nuit. Je me demande pourquoi Charly dit qu’il ne me croit pas ; de quelle récréation parle t-il ? Aurait-il encore surpris Claire en train de nettoyer ? Si tel est le cas, je suis cuite. Il faut que j’en ai le cœur net. Lorsque je constate que Charly s’est endormi, je me lève du lit pour me diriger vers la chambre de Claire. J’ouvre la porte sans frapper car je suis chez moi. Je la surprends nue ; mon Dieu ! Elle a une taille de guêpe ! Vraiment, elle est bien dessinée par le Créateur ! Il me semble qu’elle venait de sortir de la salle de bain. Moi (ton sévère) : pourquoi ne peux-tu pas t’habiller dans la salle de bain avant d’en sortir ? Claire : mais madame, la douche est dans la chambre ; je ne pensais pas mal faire ! Moi : tout comme je viens d’ouvrir, Monsieur également pourrait le faire ! Décidément, tu ne connais pas les bonnes manières, toi ! Elle garde le silence ; je la toise avant de poursuivre : Moi : dis-moi, Monsieur t’a-t-il demandé si tu ranges toujours notre chambre ? Claire : non ; il ne m’a posé aucune question ; Moi : bien ; n’oublie pas qu’il ne doit rien savoir ; enfin, si tu veux toujours rester ici ; et puis, quand tu es nue, ferme la porte ! Pfff ! Lorsque je rejoins mon lit, j’avais toujours l’image nue de Claire dans ma tête. Habillée, j’avais déjà remarqué sa belle silhouette ; mais nue, elle ferait même fondre le Président de la République ; je ressens un brin de jalousie ; pourquoi Dieu ne m’a pas donné une aussi belle forme et va la donner à une domestique de rien du tout ? Heureusement que je lui ai confisqué tous ces habits provoquants ! CLAIRE Après le départ de ma patronne de ma chambre, je pousse un petit juron ; Madame trouve que je ne connais pas les bonnes manières ; lorsqu’elle entre dans ma chambre sans prendre la peine de frapper, est-ce des bonnes manières ? Vraiment, on aura tout vu ! Mais pourquoi vient-elle me demander si le patron m’a interrogé ? J’ai répondu par la négative parce que je sais que si Monsieur Charly lui avait avoué qu’il m’a surpris, ce n’est pas une simple question que cette méchante dame va me poser. Mais il a dû faire des allusions. Le lendemain matin, je me lève encore tôt pour apprêter le déjeuner que le couple doit emporter. Je dépose le sac contenant la glacière dans la voiture de Monsieur Charly. Moi : tout est mis dans la voiture ; passez une bonne journée Monsieur ; Charly : qu’as-tu cuisiné aujourd’hui ? Moi : du couscous au gras accompagné de la viande de mouton ; Charly : merci Claire pour tes efforts ; Moi : c’est avec plaisir M

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