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Divorcé, Puis Rencontrer Mon Admirateur Secret

Divorcé, Puis Rencontrer Mon Admirateur Secret

L' accord que Marc avait signé avec Chloé, son amour de jeunesse, était une torture pour Adèle. Si Marc la délaissait neuf fois, elle devrait lui céder sa place. La neuvième fois est arrivée sous une pluie battante, alors qu' elle souffrait horriblement et qu' il l' a abandonnée sur l' autoroute pour rejoindre Chloé. Le cœur brisé, elle a marché des heures, trempée, humiliée, pour trouver Chloé triomphante dans leur appartement, se moquant d' elle. Elle a compris que Marc ne l' avait jamais aimée, qu' elle n' était qu' un pis-aller, et que leur mariage avait été une machination orchestrée par sa prétendue amie. Accablée mais sereine, elle a signé les papiers du divorce, que Marc, aveuglé par Chloé, a signé sans même les lire. Les jours suivants, Marc a tenté de la racheter par des cadeaux impersonnels, ignorant son absence. Elle a découvert ses porte-bonheurs remplacés par des babioles de Chloé dans sa propre voiture, un mensonge de plus dans une litanie de trahisons. Lors d' une réunion d' anciens élèves, Chloé a révélé que son mariage n' était qu' un « arrangement de convenance », la qualifiant de « distraction » pour Marc, son « amour éternel ». Adèle s' est sentie piégée, un simple rôle dans une pièce écrite par Chloé. Puis le piège s' est refermé : pour la sauver des flammes d' un accident, Marc s' est jeté sur Chloé, la serrant dans ses bras, la laissant gisant dans son propre sang. L' indifférence de Marc à son chevet à l' hôpital, son empressement à rejoindre Chloé, et les photos qu' elle lui envoyait, étaient des poignards à répétition. Le jour de sa sortie, elle a clairement dit au médecin : « Ce n' est plus mon mari. Nous avons divorcé. » Marc est sorti avec des fleurs, l' air perdu, ne comprenant pas sa nouvelle froideur. Elle a vidé l' appartement de ses affaires, jetant rageusement tout ce qui lui rappelait cette union toxique. Son téléphone a sonné : Marc, accidenté, mais il s' agissait d' une course absurde contre l' ex de Chloé. Marc a délibérément percuté la voiture de son rival, pour prouver son « amour » à Chloé. De loin, elle a regardé cette farce grotesque, son dégoût grandissant pour ces deux pantins pathétiques. Marc est rentré d' un « voyage d' affaires » forcé par Chloé. Ce soir-là, enfin, Marc a ouvert la boîte cadeau qu' Adèle lui avait laissée, et a trouvé les papiers du divorce. Le visage vide, il a compris que c' était fini. Alors que Marc et Chloé juraient leur amour éternel, Paul Lambert, l' homme qui l' aimait secrètement, a surgi dans sa vie. Il l' a secourue des manipulations de Chloé, l' a soutenue face aux accusations, et a protégé son honneur. Marc, ruiné par sa chute, a supplié Adèle de revenir, mais elle l' a repoussé avec dégoût, « Tu es un homme pourri. » Libérée, Adèle a choisi Paul, son refuge, et son amour, prouvant que le destin réserve parfois des secondes chances. Un nouveau chapitre s' ouvrait, loin du passé toxique.
La Seconde Chance d'Alex

La Seconde Chance d'Alex

Je me souviens de ma demande en mariage… une table réservée dans notre restaurant préféré à Paris, une sphère de chocolat blanc que j' avais nommée « Chloé, mon amour », symbolisant dix ans d' un amour que je croyais éternel. Mais son regard, soudain distant, fixé sur son téléphone, a brisé l' illusion. « C' est juste que… on a fait ça tellement de fois, non ? » m' a-t-elle lancé, un soupir d' impatience masquée. À genoux, la bague à la main, mes mots se sont figés dans ma gorge quand son téléphone a retenti, brisant le silence. « Oui, avec lui… Bientôt fini. Attends-moi, Louis. » Louis. Ce nom a résonné comme un couperet alors qu' elle me regardait avec agacement. « Tu peux te relever, Alex ? C' est embarrassant. » Humilié, l' esprit embrumé par l' incompréhension, j' ai entendu ses mots cruels : j' étais « dépassé », « ennuyeux », un « vieux croûton ». Le coup de grâce ? Ses rires moqueurs et ses paroles, captées malgré moi devant un club privé, me disant que je ne pourrais jamais créer sans elle et que je reviendrais en rampant. Chaque rire transperçait mon âme, transformant mon amour en miettes. Pourtant, cette douleur insoutenable a été le catalyseur. Il fut temps de dire « c' est fini », de partir sans un regard en arrière, et de jeter les bases d' une nouvelle vie. Une vie où, peut-être, le destin m' offrirait une seconde chance. [N.D.L.R. : La longueur de la consigne demande un paragraphe plus long pour « Histoire de retour à la vie / Rematch », mais le contenu du livre ne permet pas de créer un paragraphe supplémentaire. Le contenu du livre lui-même ne contient pas suffisamment d\'informations pour créer le scénario de remise en jeu et le contenu doit être très strict dans le cadre temporel de l' annonce.]
L'Éveil d'une Force

L'Éveil d'une Force

Le jour de mon mariage, j'attendais Adrien, l'homme que j'aimais secrètement depuis toujours. Mais il est entré, son indifférence glaciale ne cachant pas son mépris, pour disparaître dans la salle de bain, me laissant seule dans notre suite nuptiale vide. Plus tard dans la nuit, je l'ai entendu chuchoter des mots tendres à quelqu'un d'autre : "Chloé, mon amour... ce mariage n'est qu'une formalité. Une fois que j\'aurai le contrôle total de l\'entreprise de sa famille, je la jetterai dehors." Mon cœur s'est brisé, mais la douleur a été vite submergée par une colère brûlante et la nausée. J\'étais un pion dans son jeu, un moyen pour lui de s\'emparer de mon héritage. Le lendemain, j'ai mis un accord de divorce devant lui, mais il s\'est moqué : "Tu ne m' as même pas attendu toute ces années que pour ça ?" Il a signé, convaincu que ce n'était qu'un caprice. Il a ri quand il m\'a vue arriver à son bureau, où sa secrétaire, Chloé, était assise sur ses genoux. "Elle est folle de moi. C\'est juste une crise. Dans deux jours, elle reviendra en pleurant." J\'ai compris que tout l\'amour et les sacrifices que j\'avais pour lui n\'étaient que trahison et mépris. Et puis, j\'ai appris que j\'étais enceinte. Mon grand-père avait une clause dans son testament : l\'héritier qui donnerait naissance au premier arrière-petit-enfant obtiendrait 20% supplémentaires des actions de l\'entreprise familiale. À la réception de la famille Dubois, Adrien m'a confrontée, exigeant que je serve de mère porteuse à l\'enfant de sa maîtresse. J\'ai hurlé mon dégoût alors que Chloé me balançait devant tous, me faisant dévaler les escaliers. Adrien n\'a même pas hésité, choisissant de la protéger elle. La douleur physique était intense, mais la trahison était pire. À cet instant, il n\'y avait plus d\'amour en moi, seulement une haine glaciale et une détermination inébranlable. J\'ai appelé mon avocat : "Je veux que vous déposiez la demande de divorce dès demain matin, et la moitié de tout. Nous allons nous battre."
De l'Humiliation à l'Indifférence : Le Chemin de l'Héritière

De l'Humiliation à l'Indifférence : Le Chemin de l'Héritière

Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là, au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
Cinq Millions pour ma Douleur

Cinq Millions pour ma Douleur

Ma mère, le visage dur, a jeté un chèque de cinq millions d'euros sur la table basse en marbre. « Mademoiselle Figueroa, prenez cet argent et quittez Paris. Disparaissez de la vie de mon fils. » Mon cœur a tremblé. Cinq millions, une somme que je n'aurais jamais pu imaginer. Mais cet argent n'était pas un don, c'était le prix de ma douleur, une compensation pour avoir sauvé la vie de Roderick, l'homme que j'avais aimé comme Alex, l'homme qui m'avait promis l'éternité sous le ciel de Provence. Pourtant, il m'avait abandonnée, installée dans une chambre de bonne, me forçant à regarder Éléonore, sa nouvelle fiancée, recevoir toutes les caresses et les cadeaux qui auraient dû être les miens. Quand nous sommes tombées dans la Seine, c'est Éléonore qu'il a sauvée, me laissant me noyer. La pire humiliation est venue quand Éléonore a prétendu avoir été empoisonnée, et Roderick, sans la moindre hésitation, m'a forcée à donner mon sang pour la sauver. Mon sang, dans les veines de la femme qui m'avait tout pris. Il a même osé me demander de créer les parfums de leur mariage, foulant mon cœur et mon talent dans la boue. Comment avait-il pu oublier cet « Alex » sans mémoire que j'avais soigné, aimé, et qui m'avait juré fidélité pour toujours ? Était-ce la réalité d'un prince aveuglé par le pouvoir, ou le souvenir d'un rêve trop beau ? Ce soir-là, la mère de Roderick m'a fouettée, "pour m'apprendre ma place". Chaque coup était une blessure, mais chaque coup m'a rendue plus forte. J'ai serré le chèque, ma décision prise : demain, le jour de son mariage, je serai libre.
Épouser le meilleur ami de mon demi-frère

Épouser le meilleur ami de mon demi-frère

Trois ans. Trois longues années que les Dubois, mes parents adoptifs, m' avaient exilée à Rome pour étouffer mon amour inacceptable pour Étienne, mon frère adoptif. Aujourd' hui, je suis de retour à Paris, une invitation de mariage en main. Pas la sienne, mais la mienne. Avec Pierre, son meilleur ami. Dès que j' ai franchi la porte de son atelier, le cauchemar a recommencé. Devant mes yeux, il a déchiré mon bonheur en mille morceaux. Pire encore, Chloé, sa nouvelle petite amie, n' a eu de cesse de me réduire à néant : accusations, humiliations, attaques sournoises, toujours sous le regard indifférent d' Étienne. Chaque fois que j' ai été blessée, il a choisi de croire ses mensonges, me traitant de manipulatrice, d' hystérique. Son abandon était une trahison quotidienne. Et puis, il y a eu cette nuit. Cette nuit où, après un énième piège tendu par Chloé, il m' a enfermée, me forçant à écouter… l' ampleur de mon propre anéantissement. Comment a-t-il pu me faire ça ? Comment mon amour pour lui a-t-il pu se transformer en une telle torture ? La douleur de son rejet était insupportable. Mais dans le silence, la main tendue par Pierre a été ma bouée de sauvetage. Ce n' était plus un choix. C' était une nécessité. Il était temps de dire adieu au passé, de me libérer de cette emprise toxique. J' épouserai Pierre. Et cette fois, personne ne m' en empêchera.
Sept Ans, Mille Larmes

Sept Ans, Mille Larmes

Sept ans de mariage, sept ans d'enfer. Mon mariage avec Marc Moreau était une mascarade. Pendant sept longues années, j'étais la femme bafouée, la risée de notre cercle social, celle qui s'accrochait à son mari infidèle. Mais je portais un secret, une lueur d'espoir : j'étais enceinte de neuf mois. Ce jour-là, en allant chercher des affaires pour le bébé, ma vie a basculé. Une voiture de sport rouge a surgi, me percutant de plein fouet. La douleur a explosé. Ma première pensée fut pour mon ventre. Puis, une vision d' horreur : Léa Martin, la maîtresse de Marc, sortait de la voiture, le visage livide mais arrogant. Marc. Il est sorti du siège passager, a balayé du regard mon corps ensanglanté sur le sol. Son visage n' exprimait que du mépris. « Camille, arrête ta comédie. » Sa voix était glaciale. « Ce n'est juste qu'une petite égratignure, tu n'as pas besoin de faire semblant d'être mourante. » Je sentais le sang couler entre mes jambes, une chaleur terrifiante qui emportait la vie de mon enfant. « Marc… l'hôpital… sauve le bébé… » Mon murmure brisé mourut sur mes lèvres. Il a ricané. « Tu crois vraiment que je vais tomber dans ton panneau ? » « Tu veux juste attirer mon attention. Pathétique. » Il s'est tourné vers Léa, son ton s'adoucissant. « Chérie, tu as eu peur ? Ne t'inquiète pas, je suis là. » Ils sont partis, me laissant baigner dans mon sang, seule sur le bitume froid. Le monde est devenu noir. À mon réveil, la réalité glaçante m' a frappée : mon bébé était mort. Et ma grand-mère, mon refuge, l' unique personne qui m' ait aimée sans condition, avait succombé à une crise cardiaque en apprenant la nouvelle. En un seul jour, j'avais tout perdu. Les larmes ne venaient même plus. Seul un silence assourdissant résonnait dans ma tête. Alors qu'il me suppliait de rester pour "stabiliser" son petit-fils, ma voix rauque a percé le silence. « Grand-père, laissez-moi partir. Je veux divorcer. » La vérité, dans toute sa brutalité, allait enfin éclater au grand jour. J'étais vide, mais pour la première fois depuis sept ans, je me sentais libre.
L'Héritière Trahie: Mon Âme Reborn

L'Héritière Trahie: Mon Âme Reborn

Le froid mortel m' a terrassée. À dix-huit ans, j' ai été jetée comme un déchet dans la campagne française. Les voix de mes ravisseurs résonnaient. « Elle est morte ? » « On dirait bien. La patronne a dit que les amandes feraient l' affaire. » La patronne. Céline. Ma belle-mère. Celle qui m' avait souri avec une douceur maternelle pendant des années. Leur rire gras fut le dernier son entendu. Mourir ainsi, trahie, c' était donc ça, ma fin. Mais le destin en a décidé autrement. Une lumière aveuglante, une chaleur familière. Puis le visage de mon père, le Baron Dubois. Il était jeune. Et à ses pieds, Céline, tremblante, pitoyable. J' avais cinq ans. J' étais celle qui, dans ma vie antérieure, l' avait suppliée d' épouser cette femme. Celle qui allait me tuer. Elle m' avait manipulée, une enfant, pour s' emparer de la fortune de mon père. Maintenant, la haine pure et glaciale d' une adulte emplissait mon petit corps d' enfant. « Papa... » ma voix était fluette, enfantine. « Élise, mon trésor. Tu es réveillée. » Je regardais mon père d' un regard rempli d' une innocence feinte. « J\'ai peur, papa. » Mon père regardait Céline avec un mépris glacial. « Vous entendez ? Vous avez fait peur à ma fille. » Son avenir, son titre, sa vie même, ne tiendraient qu' à la satisfaction de cette enfant que j' étais redevenue. Cette fois, elle n' aura pas l' occasion de me manipuler. Non, cette fois, les choses seraient différentes. Je serai son pire cauchemar.
Au Revoir, Sophie.

Au Revoir, Sophie.

Mon bureau n'était plus mon bureau. C' est la première chose que j' ai vue ce matin-là, mon espace de travail, jadis ordonné, transformé en un repaire de désordre et de photos obscènes. Pire encore, Marc Lemaire, l'homme qui me rongeait la vie, était assis à ma place, les pieds sur mon bureau, mes dossiers précieux en otage. Il a ri de ma stupéfaction, tandis que ma fiancée, Sophie, m'assignait un coin sombre près des toilettes. Humiliation après humiliation, j'ai vu mon travail saboté, ma signature effacée, et les preuves de mon labeur effrontément accaparées par Marc, sous l'œil bienveillant de Sophie. Ils m'ont vidé de mon appartement, m'ont jeté mes affaires comme celles d'un moins que rien, et surtout, ils ont jeté l' ours en peluche que je lui avais offert, le symbole de notre amour, comme un vulgaire déchet. Comment l'homme qui t' a tout donné, qui t'a sauvée d'une mort certaine, peut-il devenir, à tes yeux, un tel monstre ? Comment peux-tu, Sophie, me traiter comme un chien, moi, l'homme qui a bâti cette entreprise de ses propres mains, alors que ton "amour de jeunesse" Marc y sème le chaos ? Le silence dans l'open-space après que Sophie m' a giflé en pleine figure, devant tous mes collègues, était assourdissant. « Tu es viré, Clément ! » a-t-elle hurlé. Mais ils ne savaient pas que je détenais le piège parfait. Elle pensait jouer une partie de dames, mais j'avais déjà disposé toutes les pièces de mon échiquier. Et son roi, ou plutôt sa reine, était sur le point de tomber.
Élise, L'Implacable

Élise, L'Implacable

Élise Dubois et Léo Martin formaient un couple en apparence idyllique, leur appartement parisien le reflet de cinq années de mariage, un mélange harmonieux du minimalisme d'Élise et du chaos créatif de Léo. Pourtant, l'ombre d'une obsession maternelle et le poids de l'infertilité d'Élise pesaient lourdement sur leur union. Un soir, la découverte inattendue d'un ticket de caisse de pharmacie, mentionnant du lait en poudre et des biberons, brisa cette apparente sérénité. Léo, son mari, qui devait être à son atelier à Montmartre, fut surpris en conversation intime avec une femme inconnue dans la rue, suscitant aussitôt un doute angoissant. Ce malaise se mua en effroi lorsqu'un vibrant appel nocturne de « Chloé » révéla l'existence d'un « il » fiévreux, poussant Léo à quitter précipitamment le foyer. Le choc fut brutal : le certificat de naissance du petit Léo Martin Junior, fruit de son mari et de Chloé Leclerc, une galeriste connue, apparut sur l'ordinateur. La femme qu'elle avait vue, les achats dissimulés, l'escapade nocturne – tout prit un sens monstrueux. Mais le véritable coup de poing vint du souvenir des mots de sa belle-mère : "Un homme doit faire ce qu'il a à faire pour assurer sa descendance." Une trahison froide et calculée, alors qu'Élise luttait contre la douleur de ses fausses couches. Le lendemain, les crampes et la nausée se manifestèrent. Alors que Léo se préparait à l'emmener aux urgences, son téléphone sonna. C' était Chloé, et au grand jour, elle affirma : "Léo est sous la douche…" La nausée d' Élise n'avait rien d'un miracle. À l'hôpital, elle fut témoin de l'impensable : Léo berçant un bébé avec amour et embrassant Chloé. L'image de ce bonheur volé scella le destin d'Élise. Elle regarda ce tableau idyllique, et une rage implacable dévora la douleur, forgeant une vengeance silencieuse. Son mariage, sa vie : tout n' était qu' un mensonge. Le début d'un combat, ou plutôt d\'une exécution.
Cinq Yeux, Un Piège Conjugal

Cinq Yeux, Un Piège Conjugal

Je cherchais la boîte à bijoux de ma mère dans le débarras quand mon coude a heurté une étagère. Un petit objet noir est tombé avec un bruit mat. C'était une caméra minuscule. Mon sang s'est glacé. Puis, j'en ai trouvé une autre dans le détecteur de fumée, une troisième dans un faux livre, une quatrième sous une armoire de cuisine, et la cinquième… dans notre salle de bain, juste en face de la douche. Cinq yeux. Cinq caméras me regardant vivre, respirer, dormir. Je me suis assise sur le lit, les genoux tremblants. Marc. Ça ne pouvait être que Marc. Mon mari. La porte d'entrée s'est ouverte, sa voix enjouée résonnant dans le couloir : « Sophie, entre donc, ne reste pas sur le paillasson. » Sophie. Son assistante. J'ai caché les caméras sous l'oreiller, feignant de dormir. Mon corps était raide de tension. « Elle dort encore ? » a demandé Sophie d'une voix basse et moqueuse. « Oui, la pauvre. Depuis son accident, elle est toujours fatiguée. Son corps ne s'en est jamais vraiment remis. » Mon accident. La chute stupide il y a deux ans qui m'a fait perdre mon odorat, mon don de parfumeuse. Ma carrière s'était arrêtée net ce jour-là. J'ai entendu le bruit d'un baiser, long et humide. J'ai serré les poings sous la couverture. « Tu es sûr qu'elle ne nous entend pas ? » a chuchoté Sophie. « Même si elle nous entendait, elle ne pourrait rien faire. Elle dépend entièrement de moi maintenant. Elle est comme une jolie poupée cassée, » a répondu Marc, sa voix empreinte d'un mépris à peine voilé. Un silence. Puis la voix triomphante de Sophie : « Marc, je dois te dire quelque chose. » « Quoi donc ? » « Je suis enceinte. » Le monde s'est arrêté de tourner. Chaque son, chaque souffle a disparu. Seuls ces mots, suspendus dans l'air de ma propre chambre. J'ai entendu le rire bas et satisfait de Marc : « C'est merveilleux, ma chérie. Absolument merveilleux. » « Et Camille ? » « Camille ne saura rien. Nous trouverons un moyen. Cet enfant sera mon héritier. Il aura tout. Tu auras tout. Je m'en occupe. » J'ai fermé les yeux. Pas de larmes. Juste une froideur terrible. Une certitude glaciale. L'amour n'était plus qu'une ruine. La passion, une cendre froide. Trahison. Manipulation. Surveillance. Allongée dans ce lit, cette maison devenue ma prison, j'ai pris ma décision. Je ne pleurerais pas. Je ne crierais pas. J'allais partir. Je reconstruirais ma vie, loin de ce mensonge. Et avant de partir, je m'assurerais qu'il paierait pour chaque seconde de cette mascarade. Mon cerveau, autrefois embrumé par la tristesse, s'est éclairci. J'ai ouvert discrètement mon téléphone, activé le mode de navigation privée. J'ai cherché des offres d'emploi pour des parfumeurs. À l'étranger. Le plus loin possible. Le premier pas était fait.
L'Amour Brisé de l'Oncle

L'Amour Brisé de l'Oncle

Amélie, une enfant brisée par le chagrin, fut recueillie par Monsieur Dubois, un ami de son père, qui fit d'elle sa princesse, la couvrant de luxe et d'attentions. Elle grandit dans cette cage dorée, bercée par l'illusion d'un bonheur retrouvé. Pourtant, le soir de ses dix-huit ans, un geste innocent – le simple fait de s'emparer d'un chapelet maternel – fit basculer son univers. Monsieur Dubois, le visage déformé par la fureur, la traita de "dégoutante", l'accusant d'un "désir incestueux". Du jour au lendemain, son monde s'écroula. Son rêve d'intégrer la Sorbonne fut réduit en miettes, sa lettre d'admission déchirée sous ses yeux. Elle fut bannie, envoyée de force dans une abbaye reculée, un lieu d'horreur où elle fut soumise à des tortures physiques et psychologiques inimaginables pendant trois longues années. Pourquoi une telle cruauté ? Pourquoi tant de haine pour un amour filial qu'il avait lui-même cultivé ? La petite fille adorée était devenue une anomalie, une chose "dégoûtante" à ses yeux. Lorsque Monsieur Dubois revint la chercher, il n'était pas seul, accompagné de Claire, sa nouvelle fiancée, dont le sourire dissimulait une âme machiavélique. Amélie se retrouva piégée, ignorée par celui qu'elle considérait comme son oncle, et victime des machinations de Claire. Mais Amélie, bien que brisée, avait un plan : fuir. Elle économisa et acheta un billet simple pour le Canada. Son départ était imminent, une nouvelle vie l'attendait, loin de cet enfer.
Le Miroir du Temps : Notre Seconde Chance

Le Miroir du Temps : Notre Seconde Chance

Le jour de mes funérailles, le prêtre n'a prononcé que la moitié des prières. Dans notre somptueux hôtel particulier parisien, mon mari, Kyle Larson, passait chaque soirée avec sa maîtresse, Élise, me laissant seule face à ma maladie incurable. Mon cœur, déjà brisé, s'est contracté quand son regard glacial m'a ordonné de ne plus approcher celle qu'il qualifiait de « fragile ». Il a balayé du revers de la main ma toux insistante et les taches de sang que je crachais, m'accusant de simuler pour attirer son attention. Humiliée et mourante, j'ai tout sacrifié pour ma famille : mon statut, mon nom, ma dignité, me réduisant à la servante d'Élise, dans l'espoir de fléchir Kyle. Mon père est mort d'un chagrin causé par la cruauté de Kyle, et ma sœur, enceinte, a succombé à une fausse couche sur le bord de la route, sous le regard indifférent de cet homme qui nous a dépassées en voiture. À ma mort, je me suis demandé : comment pouvais-je être la seule à me souvenir de l'horreur de cette vie ? Pourquoi étais-je la seule prisonnière de ces souvenirs ? Puis, une violente quinte de toux m'a secouée, et je me suis réveillée. La date sur le journal était familière. Le jour de mon mariage. J'avais une seconde chance de changer mon destin, mais l'homme à mes côtés portait le même visage et la même âme torturée que celui qui m'avait détruite.
Un Mariage de Façade, un Amour Interdit

Un Mariage de Façade, un Amour Interdit

Le mariage de Jeanne Dubois avec Antoine Lefevre, le maréchal le plus prometteur du royaume, était l'envie de tous, une union de pouvoir et de grâce. Elle l'aimait d'un amour patient, espérant que sa froideur s'estomperait avec le temps, n' imaginant pas le secret qu' il cachait. Un jour de pluie, inquiète, elle le suivit au temple abandonné et les mots qu' elle entendit derrière l'autel brisèrent son monde : « Elle est ta femme ! Elle porte ton nom ! Et moi, que suis-je ? Je suis ta sœur aux yeux du monde, mais dans l\'ombre, je suis ton amante. » C' était Sophie, sa sœur adoptive, mais bien plus que cela. De retour au manoir, trempée et le cœur en miettes, Antoine, sans un mot sur son état, l'accusa froidement : « Sophie est malade à cause de toi. Sais-tu ce que tu as fait ? » La menace était claire : « Si un seul mot de ce que tu as entendu sort de cette maison… non seulement ta vie sera un enfer, mais celle de ta famille aussi. » Comment avait-elle pu être si aveugle ? Deux ans de dévotion, de patience, et d'efforts réduits à néant. Elle n'était qu'un paravent, un bouclier pour leur amour interdit. Le simple objet de sa douleur était une cithare, cadeau de sa mère, détruit par Sophie, et qu'Antoine méprisait devant elle. Elle décida de ne plus se taire. Au banquet d'anniversaire où il l'avait ignorée, la laissant se noyer, elle allait demander l'annulation de leur mariage, certaine qu'il ne pourrait refuser. C' était la fin d' un cauchemar et le début de sa libération.
Noces Funèbres, Vengeance Sublime

Noces Funèbres, Vengeance Sublime

Le téléphone a sonné à trois heures du matin, me tirant brutalement d'un sommeil léger. « Madame Margot ? » Une voix d'homme, grave, à l'autre bout du fil. « Votre fiancé, Monsieur Antoine Dubois, est décédé. » Le choc aurait dû me foudroyer, me jeter dans des flots de larmes et de désespoir. Mais il n'a rien eu de tout ça. Dans ma tête, ce n'était pas le chagrin qui résonnait, mais un déclic sec et précis, comme la fermeture d'un piège. Le soulagement, pur et subversif, a inondé chaque fibre de mon être. Pendant des années, j'avais porté le masque de la fiancée dévouée, planifiant sans relâche la destruction de l'homme qui avait fauché la vie de ma mère et que son père avait impunément protégé. La vengeance était mon oxygène, mon unique raison d'être. « Une tempête. Il a tenté de secourir une femme. Ils se sont noyés tous les deux. » La voix de l'officier continuait, mais mes pensées s'envolaient. Camille. Sa maîtresse. Évidemment. Il avait le chic pour s'entourer de catastrophes. Je suis restée assise dans le noir, le téléphone encore à la main, le silence rompu seulement par le cliquetis de mes projets s'ajustant. Mon plan était simple, implacable, et Antoine venait de m'en offrir le raccourci le plus spectaculaire. Au lieu des sanglots attendus, j'ai rempli une flûte du champagne le plus cher d'Antoine. Le bouchon a sauté avec un bruit joyeux. Fini. Enfin. Mais au crématorium, alors que je jubile en vendant les biens de mon défunt fiancé aux enchères, une figure improbable surgit. Une femme. Avec un enfant. Et elle se présente comme Camille, la maîtresse, présumée morte. Et ce n'est pas tout. Elle prétend que l'enfant est le fils d'Antoine. Son héritier. Un coup de théâtre qui pourrait tout anéantir. Comment cette femme, annoncée noyée, peut-elle être vivante ? Et d'où sort cet enfant ? Surtout quand je sais qu'Antoine était stérile. Je dois découvrir la vérité, et vite. Cette mascarade ne gâchera pas ma vengeance. La partie ne fait que commencer.
Deux Âmes, Une Seconde Chance

Deux Âmes, Une Seconde Chance

Le poison coulait dans mes veines, transformant ma joie en glaçon ; c'était le jour de mon mariage. Ma cousine Chloé, radieuse dans ma robe de mariée, planait au-dessus de moi, son sourire empreint d'une cruauté indicible. « Amélie, ma chère cousine, ne t'inquiète pas. Je prendrai bien soin de Louis pour toi. » J'ai été jetée dans une remise sombre, réveil brutal, le mariage était déjà consommé. En haillons, courue à la réception, mon père m'a regardée avec un dégoût glacial. « Qui est cette folle ? Gardes, mettez-la dehors ! » Il m'a traitée d'"imposteur". Les invités ricanaient, Chloé pleurait dans les bras de Louis, jouant la victime effrayée. Personne ne m'a crue. Cette nuit-là, cherchant à fuir, deux hommes m'ont attrapée, la lame froide d'un couteau a été la dernière chose que j'ai sentie. Puis, une lumière aveuglante. J'ai ouvert les yeux, le cœur tambourinant, dans ma chambre d'enfant. Le calendrier affichait la veille de mon mariage. Je suis revenue. Une seconde chance m'était offerte. Un éclat de rire joyeux est monté du salon. Chloé. Elle était là, devant le miroir, vêtue de ma robe de mariée, les perles scintillantes que ma mère avait conçues pour moi. « Oh, Mademoiselle Chloé, vous êtes absolument ravissante ! Bien plus que Mademoiselle Amélie ! » glapit Marie. La même scène, la même naïveté passée. Cette fois, la rage froide brûlait en moi. « Enlève cette robe, Chloé. » Mon père, face rouge, est apparu, prenant son parti, me traitant d'hystérique. Il m'a regardée avec mépris, sa préférence flagrante pour Chloé brisant le peu de cœur qui me restait. J'ai compris. Dans cette vie, j'étais une imposture pour lui. Les servantes, insolentes, refusaient mes ordres, m'humiliant sous le regard complice de mon père. La mémoire de ma mère, dénigrée par lui, a ravivé ma rage. Ils m'ont abandonnée, seule, au milieu du salon, pensant m'avoir brisée. Ils venaient de créer un monstre. Une idée, folle mais brillante, a germé. Je les détruirais de l'intérieur, avec les mots de ma mère. Dans son bureau, j'ai trouvé son carnet secret. Des idées révolutionnaires sur l'égalité, la liberté. « Le mariage n'est pas la propriété d'un homme sur une femme, mais un partenariat entre deux égaux. » Ces mots deviendraient leur perte. J'ai copié des centaines de pamphlets "séditieux", les distribuant aux copistes. « Votre travail est de copier et de diffuser. Pas de poser des questions. » Mon plan était en marche. L'explosion était imminente.