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La Chute de la Maîtresse Célèbre

La Chute de la Maîtresse Célèbre

J'ai renoncé à mon héritage de vingt milliards d'euros et coupé les ponts avec ma famille. Tout ça pour l'homme que j'aimais depuis cinq ans, Adrien. Mais au moment où j'allais lui annoncer que j'étais enceinte de notre enfant, il a lâché une bombe. Il voulait que je porte le chapeau pour son amie d'enfance, Éléonore. Elle avait commis un délit de fuite et sa carrière ne pouvait pas supporter un tel scandale. Quand j'ai refusé et que je lui ai parlé de notre bébé, son visage est devenu glacial. Il m'a ordonné d'avorter sur-le-champ. « C'est Éléonore que j'aime », a-t-il dit. « Apprendre que tu es enceinte de mon enfant la détruirait. » Il a demandé à son assistant de prendre le rendez-vous et m'a envoyée seule à la clinique. Là-bas, l'infirmière m'a expliqué que l'intervention comportait un risque élevé de stérilité permanente. Il le savait. Et il m'a quand même envoyée. J'ai quitté cette clinique, en choisissant de garder mon enfant. À cet instant précis, une alerte info a illuminé mon téléphone. C'était un article élogieux annonçant qu'Adrien et Éléonore attendaient leur premier enfant, avec une photo de sa main posée de manière protectrice sur le ventre de la jeune femme. Mon monde s'est effondré. Essuyant une larme, j'ai retrouvé le numéro que je n'avais pas composé depuis cinq ans. « Papa », ai-je murmuré, la voix brisée. « Je suis prête à rentrer à la maison. »
Le Prix de l'Amour Non Réciproque

Le Prix de l'Amour Non Réciproque

Dix-huit jours après avoir renoncé à Brendan Maynard, Jade Rousseau a coupé ses cheveux qui lui tombaient jusqu'à la taille. Elle a ensuite appelé son père, lui annonçant sa décision de partir en Californie pour étudier à Berkeley. Son père, stupéfait, l'a interrogée sur ce changement soudain, lui rappelant à quel point elle avait toujours insisté pour rester auprès de Brendan. Jade a esquissé un rire forcé, révélant la vérité déchirante : Brendan allait se marier, et elle, sa demi-sœur, ne pouvait plus s'accrocher à lui. Ce soir-là, elle a tenté d'annoncer à Brendan son admission à l'université, mais sa fiancée, Chloé Dubois, a interrompu leur conversation par un appel enjoué. Les mots tendres que Brendan adressait à Chloé ont été une torture pour Jade. Elle se souvenait du temps où cette tendresse n'appartenait qu'à elle, de la façon dont il la protégeait. Elle se souvenait aussi de lui avoir ouvert son cœur dans un journal intime et une lettre d'amour, pour le voir exploser de rage, déchirer la lettre en hurlant : « Je suis ton frère ! » Il était parti en claquant la porte, la laissant recoller méticuleusement les morceaux déchiquetés. Son amour, cependant, n'était pas mort. Pas même quand il avait ramené Chloé à la maison en lui ordonnant de l'appeler « belle-sœur ». Maintenant, elle avait compris. Elle devait éteindre ce feu elle-même. Elle devait arracher Brendan de son cœur.
Le Lys Noir du Secret

Le Lys Noir du Secret

Le flash de mon téléphone a illuminé "Le Salon Secret", un groupe Telegram grouillant de photos volées de femmes. Mon cœur, déjà lourd de dégoût, a failli s'arrêter lorsqu'une nouvelle image est apparue, accompagnée d'une légende glaçante : "Nouvelle acquisition : la muse d'un artiste, pure et intouchable !" Le masque vénitien ne cachait pas l'évidence : cette broche en forme de lys, offerte à ma femme Juliette pour notre anniversaire de mariage, était épinglée sur sa nuisette de soie noire. Mes doigts tremblants ont zoomé. Ce grain de beauté juste au-dessus de sa lèvre… C'était elle. Juliette. Ma Juliette, la discrète curatrice d'art, était exposée comme un vulgaire objet. Les commentaires obscènes ont commencé à affluer, chaque mot un coup de poing. "Magnifique. Combien pour une nuit ?" Mon monde s'est effondré sous le poids de cette trahison inimaginable. Au même instant, un message d'elle est apparu : "Je vais devoir rester tard à la galerie. Ne m'attends pas. Je t'aime." Ces mots, d'ordinaire si doux, brûlaient désormais. Le doute me rongeait. Pourquoi ? Comment était-ce possible ? Étais-je aveugle ? J'ai engagé un détective. Les photos reçues ont brisé le peu qui restait de mon cœur : Juliette riant avec cet homme, "KFowler", entrant avec lui dans un hôtel de luxe. Puis, le choc ultime : ce même KFowler n'était autre que l'utilisateur qui avait posté les photos de ma femme. Elle n'était pas une victime, mais une complice de sa propre humiliation. La fureur m'a envahi en temps que je lisais un message de "Le Baron", le cerveau du réseau : "La prochaine fois, je veux une expérience plus... complète. Drogue-la. Je veux qu'elle soit totalement soumise." Et la réponse de KFowler : "J'organise un 'vernissage privé' dans un hôtel ce soir." La trahison se transformait en danger mortel. Animé d'une rage impuissante, j'ai couru pour la sauver, mais c'est là que j'ai été assommé par KFowler, le frère de Juliette, pour mieux protéger... leur plan de vengeance !
Chloé, l'Ombre Toxique

Chloé, l'Ombre Toxique

La soirée annuelle de Lambert Construction battait son plein, et je me tenais en retrait, observant mon mari, Jean-Luc, dans son élément, le roi de sa cour. Dans ma poche, le "Bleu de France", un timbre précieux légué par mon grand-père résistant, fragment de notre histoire et symbole de courage, me rassurait. J'étais prête à lui offrir, en secret, mes projets paysagers novateurs, prouvant ma valeur au-delà de mon rôle d'épouse discrète. Soudain, mon cœur se glaça : Jean-Luc s'approcha de Chloé, sa jeune stagiaire aux allures fragiles, et lui offrit une petite boîte. À l'intérieur, je reconnus le "Bleu de France", le même timbre que je lui avais montré, partageant l'histoire sacrée de mon grand-père. Chloé, d'un geste délibéré, planta une épingle au centre, déchirant le papier ancien, puis, feignant la maladresse, renversa du champagne dessus, souillant à jamais mon héritage. Jean-Luc me saisit, me traitant d'hystérique, balayant la valeur sentimentale du timbre, tandis qu'il consolait Chloé, sa voix pleine de tendresse pour cette manipulatrice. Ma douleur était indicible, mais sa sentence résonna : "Ce n'est qu'une vieille babiole sans valeur… une antiquité poussiéreuse d'un vieil homme qui jouait les héros." Les mots m'anéantissaient : il n'avait pas seulement détruit ma fierté, il avait souillé la mémoire de l'homme que je respectais le plus, l'accusant de "jouer les héros". Il partit avec elle, me laissant à genoux, mon héritage en ruine entre les mains, sous les regards curieux des invités. La nuit suivante, il ne rentra pas, et un appel révéla l'horrible vérité : Chloé répondait depuis son téléphone, se moquant du "timbre ridicule." Puis, la demande la plus monstrueuse : Jean-Luc, en toute arrogance, m'ordonna de donner mon sang à Chloé, prétendument malade, afin de lui sauver la vie. Il m'attendait dans le parking, sa rage explosive, ses mains brutales sur mon bras, sa gifle retentissant dans le silence, la dernière illusion de notre mariage brisée. Kidnappée, droguée dans sa Porsche, j'avais manqué ma présentation cruciale pour les "Jardins Suspendus", mon espoir d'indépendance, volé. À mon réveil à l'hôpital, le pansement sur mon bras confirma l'horreur : ils avaient pris mon sang de force. Chloé entra, radieuse, la parure de diamants que Jean-Luc m'avait refusée à son poignet, se pavanant avec une fausse sollicitude. Ma rage froide devint glaciale. Quand Jean-Luc éclata de fureur contre moi, tandis que Chloé simulait une chute pour l'accuser, mon regard tomba sur son téléphone. Il y affichait le collier que j'avais dessiné pour notre anniversaire, maintenant commandé pour Chloé avec leurs initiales entrelacées et des diamants roses. Cette dernière trahison, intime et personnelle, fut le coup de grâce : avant l'évanouissement, une résolution naquit. Il voulait la guerre, et je serai son champ de bataille, transformant mes projets volés en ses armes.
Un Secret Dévastateur: Les Jumeaux Cachés

Un Secret Dévastateur: Les Jumeaux Cachés

Assis à mon bureau ce mardi de novembre parisien, l'inspiration me fuyait, mes doigts immobiles sur le clavier. En cherchant un vieux contrat d'édition, mon regard est tombé sur une pochette en cuir soigneusement dissimulée dans le tiroir d'Isabelle, celui où elle m'avait formellement interdit de fouiller. La curiosité, cette incurable maladie, m'a poussé à l'ouvrir, révélant un acte de société pour "Moreau Design". Mon sourire s'est figé en parcourant la section des actionnaires : Isabelle détenait 40%, mais deux autres noms, Marc et Sophie Moreau, chacun 30%, ont glacé mon sang. Ils étaient ses jumeaux, nés il y a dix ans, le même jour. Dix ans… et il y a onze ans, pour respecter le souhait d'Isabelle de ne pas avoir d'enfants, j'avais subi une vasectomie. Mon cœur battait la chamade : « Qui sont Marc et Sophie Moreau ? » Son sourire s'est éteint. Une fraction de seconde, la panique a traversé ses yeux avant d'être remplacée par une froideur implacable. « Ce sont mes enfants. » Mes enfants. Pas nos enfants. Elle m' avait menti : son diagnostic d' infertilité n' était qu' un leurre. Et le père ? « Laurent Bernard », son ancien mentor. Vingt ans de mariage, de soutien pour sa carrière, tout s'effondrait. « Pourquoi ? Pourquoi m' as-tu fait ça ? » Sa réponse m' anéantit : "Moreau Design avait besoin d'une lignée, Antoine. D'héritiers. Et Laurent... il a toujours rêvé d'avoir des enfants. C'était une façon de consolider notre partenariat professionnel et de lui donner une famille. » Mon monde venait de s'écrouler. Elle parlait de son entreprise et de son amant comme d'un projet de vie dont j'étais totalement exclu. Mes parents et mon cousin, aveuglés par son succès, me conjurèrent d' accepter la situation, de ne pas « gâcher » ma vie luxueuse. Humilié, trahi, je compris. Elle ne me respecta jamais, je n'étais qu'un accessoire pratique, un "poids mort" facilement remplaçable. Ce soir-là, devant son indifférence, je prononçai les mots qui scellèrent notre destin : « Je veux le divorce, Isabelle. » Le son métallique de mon alliance tombant sur la table a résonné, marquant la fin d' une illusion et le début de ma quête pour me retrouver.
Quand l'Amour Devient Résilience

Quand l'Amour Devient Résilience

L' atelier sentait l' odeur âpre du tissu coupé et des parfums onéreux, le quotidien d' Amélie Dubois, l' héritière de la prestigieuse maison de couture Dubois. Ses gestes étaient précis, son regard concentré, mais dans le miroir, la cicatrice sur sa joue gauche ravivait le souvenir d' un accident. Pour Marc, son fiancé, et les quatre « associés » choisis par son père, cette marque était un véritable défaut, effaçant toutes ses qualités. Alors qu' elle s' assurait que tout soit parfait pour le défilé imminent, un projecteur s' est détaché du plafond, un danger imminent droit sur elle. Mais au lieu de la sauver, Marc et les autres l' ont brutalement poussée et se sont rués vers Sophie Martin, sa stagiaire et rivale, qu' ils ont protégée comme la prunelle de leurs yeux. Gisant à terre, blessée et assommée, Amélie a entendu leurs voix cruelles et basses, la traitant de « boulet » et moquant sa « vilaine cicatrice ». Le pire est venu de Marc, murmurant à Sophie qu' elle n' était qu' un obstacle, une faiblesse à exploiter pour prendre le contrôle l' entreprise familiale. Le monde d' Amélie s' est effondré, la trahison était totale, brutale, mais au fond d' elle, une rage froide qu' elle n' avait jamais ressentie commençait à naître. Elle s' est relevée, ignorant la douleur physique, et a décidé de briser les chaînes de cette mascarade. Elle irait à l' encontre des conventions, elle épouserait le mystérieux et redoutable Monsieur Moreau, PDG d' une entreprise de technologie de pointe. Une guerre venait de commencer, et Amélie, la princesse à la cicatrice, avait bien l' intention de la gagner. Ce ne serait pas facile, mais elle était prête à tout pour défendre l' héritage de sa famille.
Mon Épouse, Mon Ennemi Juré

Mon Épouse, Mon Ennemi Juré

Cinq ans. Cinq ans de construction, brique par brique, rêve par rêve, avec Sophie, ma femme et associée. Ce soir, notre cabinet d'architectes fêtait son anniversaire en grande pompe, et mon cœur débordait de fierté pour notre réussite. Pourtant, au lieu de trinquer à mes côtés, Sophie rayonnait au bras d' Antoine Dubois, son «coach de vie», un charlatan que je n' avais jamais supporté. Soudain, la musique s' est tue. Le sourire radieux de Sophie s'est posé sur moi, mais il était glacé, annonciateur d'un abîme. «Ce soir est une soirée spéciale... une soirée de vérité. Je veux vous présenter quelqu' un. Voici Antoine, ma véritable âme sœur.» Mon cœur s' est figé. Âme sœur ? Nous étions mariés ! Les mots crachés par Sophie m' ont assommé : «Épouser Jean-Luc… C' était une erreur de jeunesse. Antoine m'a montré le véritable amour.» L' humiliation s' est propagée comme un incendie dévastateur. Mais le coup de grâce était encore à venir. Quand elle a annoncé, devant tous nos amis et clients : «Antoine et moi attendons un enfant.» Non, pas mon enfant. Le leur. Ce n' était qu' un début. Sophie a déroulé une bannière immense, me demandant ma «bénédiction». La rage a explosé. J' ai jeté notre livret de famille à sa figure, m' écriant : «Voilà tes cinq ans de mensonges !» Elle m' a foudroyé du regard : «Je veux le divorce. Et si tu tentes quoi que ce soit, je ruinerai ta carrière. Cette entreprise, c' est moi qui la contrôle maintenant. Tu n' es plus rien.» Je suis parti, laissant derrière moi l'entreprise de ma vie, ma femme, mon honneur. Dans la nuit glaciale, une vérité terrifiante m' a frappé : ce n'était pas juste une trahison. C' était une conspiration. Ils voulaient m' effacer. Réfugié dans notre appartement – devenu une scène de crime –, Sophie est arrivée, implacable. «Tu n' auras rien. J' ai déjà préparé tous les documents. Tu as été naïf, Jean-Luc.» Les «tisanes bien-être» qu' elle me préparait m' ont soudain paru sinistres. La fatigue, les nausées... Était-ce possible ? Une violente crampe m' a tordu l' estomac. Je l' ai entendue : «Antoine avait dit que ça serait plus discret.» Plus discret ? Ils m' empoisonnaient ! Mon monde s' est effondré. Cet enfant… était-il aussi un moyen de me dépouiller ? Les mots d'Antoine, apparu comme un loup affamé, ont confirmé mes craintes : «Le plus fort gagne toujours. Tu es faible. Signe les papiers du divorce et de la cession de tes parts. Sinon, cette petite maladie que tu as pourrait s' aggraver.» Agonisé, giflé, humilié, je me suis retrouvé au sol de ma propre maison, avec mon téléphone, un seul nom en tête. «Marie. Ma sœur. Mon seul espoir.»
Entre Deux Vies

Entre Deux Vies

Le jour de notre anniversaire de mariage, l'hôtel de luxe baignait dans un parfum de lys, mes fleurs préférées. Mon mari, Marc, m'avait promis une surprise, mais ce soir-là, son sourire habituel me parut étrange. Enceinte de cinq mois, je me tenais en haut des escaliers majestueux quand une force violente me poussa dans le dos. Le monde bascula, mon corps dévala les marches, chaque choc étant une douleur aiguë, avant que tout ne devienne noir. À mon réveil à l'hôpital, Marc était là, le visage empreint d'une sollicitude parfaite. Puis j'entendis des voix lointaines : celle de Marc et d'une femme inconnue, planifiant non seulement la mort de notre bébé, mais aussi ma paralysie permanente. Mon mari, l'homme que j'aimais, avait orchestré ma chute pour son fils illégitime, Léo, et son héritage. La douleur physique n'était rien comparée à cette trahison glaciale. Le médecin confirma la perte du bébé et le diagnostic : tétraplégique. Marc joua la comédie du mari dévasté, mais mes larmes silencieuses étaient de pure haine. Jeanne Dubois, douce et aimante, était morte. Une autre femme était née, une femme qui simulerait sa mort pour échapper à cette prison et préparer sa vengeance. J'entendis Marc au téléphone avec Sarah, son amante et complice, jubilant de ma "paralysie" et de la mort du bébé. Ma haine grandissait, brûlante. Mais ils m'avaient sous-estimée. Nuit après nuit, je m'entraînais, regagnant secrètement le contrôle de mes membres, centimètre par centimètre. Quand Marc me proposa d'adopter pour "remplir le vide", je compris mon opportunité d'infiltrer leur monde. L\'innocence de Léo, le fils de Marc, et le bracelet que j'avais offert à mon mari, désormais à son poignet, furent des piqûres de plus. Sarah, la complice, osa se présenter, triomphante. Je gardai mon masque, attendant le moment parfait pour frapper. Lors de la cérémonie d'intégration de Léo, Sarah me murmura ses horreurs, me rappelant sa victoire. C'en fut trop. Je me levai. La gifle claqua, faisant éclater le silence. Marc me laissa brûler vive pour la consoler, confirmant ma mort à ses yeux. Je m'enfuis, jetai mon téléphone à la falaise de la Veuve, et disparus. Marc crut que j'étais morte, mais un enregistrement dévoila la vérité sur Sarah et ma « paralysie » simulée. Pendant ce temps, en Suisse, j'ai renaissait de mes cendres. L'anesthésie avait détruit mon utérus, ajoutant une dette ineffaçable. Deux ans plus tard, plus forte, plus riche, je revins. Non plus victime, mais prédatrice. J'ai acquis leur entreprise, dévoilé leur hypocrisie, forcé Marc à signer le divorce et la cession de ses biens. Il était anéanti, repentant, mais il était trop tard. Il mourut d'un cancer, me demandant pardon. Libérée de la haine, je marchai vers un avenir sans ombre, un avenir qui m'appartenait enfin.
Le Serment Brisé d'une Âme Perdue

Le Serment Brisé d'une Âme Perdue

La douleur s'était estompée. J'ai ouvert les yeux dans ma chambre familière des Chevaliers de la Lumière. C'était le jour du Festival de la Lumière, le jour de mes 20 ans. Le jour où j'avais découvert la liaison de mon petit frère, Marc, le prodige de notre confrérie, avec Lilas, l'enchanteresse. Dans ma naïveté, je l'avais dénoncé au Maître, croyant le sauver de la corruption. Cette intervention avait poussé Lilas au suicide et transformé Marc en un monstre avide de vengeance. Il avait massacré toute notre famille, la confrérie entière, et m'avait torturée à mort. « Je te hais, Adèle. Tu as tout détruit. » Sa voix résonnait encore. Au lieu du repos éternel, j'étais revenue. Revenue au jour exact où tout avait basculé. Le rire de Marc et la voix mélodieuse de Lilas montaient du jardin secret. Mon cœur s'est glacé. Cette fois, mon sacrifice pour sa "pureté" ne se reproduirait pas. Je n'étais plus la sœur aveuglée par l'admiration. Je n'étais plus la martyre. J'étais une survivante, et j'allais me battre pour moi, pour mon Maître et pour le véritable héritage de notre confrérie. Qu'il se damne pour elle, si tel était son chemin. Moi, j'allais le filmer. C' était la seule idée. Puis, une autre, pragmatique et cruelle peut-être : ses pilules de condensation spirituelle. Celles qui devaient alimenter sa puissance monstrueuse. Cette fois, elles me serviraient. Mon seul objectif : survivre.
Dans l'Ombre du Chef

Dans l'Ombre du Chef

Dans le secret de "L'Étoile Cachée", mon parfum se mêlait à celui du succès de Marc. Cinq ans durant, j'ai été son "palais d'or", l'architecte invisible de son étoile Michelin, sacrifiant ma passion de styliste pour son ascension. Je l'imaginais me demander en mariage, une famille... un petit test de grossesse dans mon sac murmurait déjà nos espoirs. Puis, la porte entrouverte du bureau de Marc a brisé ce rêve en éclats crus et déchirants. J' ai entendu sa voix, mêlée à celle de Monsieur Bernard, son mentor, parler d' un "Rituel de la Saveur Perdue", d' une concoction qui anéantirait mes papilles, me jetant aux ordures comme "un outil à durée de vie limitée". Ce "fortifiant" redoutable, Chloé, sa jeune et jolie sommelière, la "vieille amie", était venue le lui apporter dans ma propre maison, avec un sourire de triomphe malsain. Pire encore, Marc avait froidement menacé ma mère, ma douce mère en Provence, si je refusais cette potion létale. Alors, quand Chloé, avec un sourire sadique, a murmuré que le "purifiant" était là pour éliminer "tout ce qui n'est pas désiré", j' ai compris. Ils ne voulaient pas seulement tuer mon don. Ils voulaient tuer mon bébé. Une douleur inouïe m'a transpercé l'âme, mais au lieu de m'effondrer, une haine glaciale a germé en moi. J'ai bu cette potion amère de leurs mains, car un plan venait de naître de mes cendres. L'heure de la vengeance avait sonné.
Manon: L'Amour et la Vengeance

Manon: L'Amour et la Vengeance

Toute ma vie, j' ai été Manon, la servante, l' ombre, celle qu' on dédaigne et qu' on ignore. Jusqu' à ce jour de Fête de la Musique, où la cupidité de ma famille a brisé le silence de la nuit et mon existence. Pour échapper à mon père, collectionneur avide, ma mère indifférente, mon frère égoïste et ma sœur jalouse, ils m'ont jetée en pâture à un esprit vengeur, dans un château oublié. J' y ai vécu une éternité de solitude glaciale, avant que Clémence, pensant me voler mon trésor, ne me pousse d' une falaise. Mais au lieu de mourir, j' ai rouvert les yeux, de retour exactement au même matin. Comprendre la trahison de ma famille n' a pas été long ; ils m' avaient façonnée pour être le sacrifice parfait. Alors, j' ai regardé ma sœur se proposer, naïvement, pour prendre ma place de « fiancée spectrale ». Le plan était parfait: ils récolteraient ce qu' ils avaient semé, et moi, je serais enfin libre. J' ai quitté ma ville par la fenêtre, le cœur léger, savourant la douce saveur de la vengeance. Pourtant, le Comte Armand m' a retrouvée, hanté par la « pureté » de notre lien. Quand il a mis ma famille à mort pour leur « impure » tromperie, j' ai su que je m' étais damnée. J' ai fait le vœu d' une nouvelle vengeance : cette fois, je le détruirais. Grâce à mes appels à l' Institut, je l' ai finalement traqué et aidé à l' anéantir. Libre, enfin, j' ai regardé le monde s' ouvrir à moi. Mon histoire de sang et de trahison était terminée, et j' étais la seule maîtresse de mon futur.
Quand l'Amour Devient Poison : Le Vin de la Trahison

Quand l'Amour Devient Poison : Le Vin de la Trahison

Un an après mon mariage avec Brandon Larson, ce héros qui m'avait sauvée, la vie semblait parfaite. J'ai découvert que j'étais enceinte, le cœur battant de bonheur. Mais son regard, en voyant le test, s'est transformé en un froid glacial. Ce bonheur s'est brisé lorsque, par hasard, j'ai surpris une conversation entre Brandon et son ami Kyle : ils avaient tout orchestré, mon enlèvement, la torture de ma meilleure amie Darlene, tout cela pour apaiser la jalousie d'une certaine Ann Green. Et mon bébé ? Il était une gêne, une "souillure" à éliminer. Brandon n'a pas nié. Il a admis sa trahison, me forçant à boire un vin empoisonné qui a coûté la vie à mon enfant. Darlene, apprenant que Kyle lui avait volé son "Huile d'Âme" pour Ann, est devenue folle de douleur et a mis le feu à son atelier, se sacrifiant et emportant Kyle et Ann dans les flammes. Comment ceux que nous aimions le plus, ceux que nous pensions être nos sauveurs, pouvaient-ils être des monstres capables d'une telle cruauté pour la satisfaction d'une autre femme ? Pourquoi nos vies n'étaient-elles que des outils dans leur jeu machiavélique ? Désespérée, je suis rentrée dans mon domaine familial en Provence. Là, j'ai conclu un pacte ancestral et terrifiant avec le "Cep Sacré" : mon âme contre un pouvoir inimaginable. Mes yeux sont devenus rouges, et j'ai juré de me venger de ceux qui ont détruit nos vies.