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Livres de Histoire pour Femme

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IGONDJO

IGONDJO

Je me présente : Igondjo Quentin Edowiza Maëva. Ouvrez bien vos yeux. Quentin c’est mon nom aussi. Bon, celui de mon ancien père. Je dis ancien parce que je ne sais pas si il est mort ou toujours en vie, mais dans les deux cas, je sais juste que je n’ai plus de père. Pourtant je me rappelle qu’avant je l’avais près de moi, mais ça, c’était avant. Je n’ai pas besoin de vous dire que je suis métisse. Mon père, un expatrié français travaillant pour le compte de Elf, était mal nase (amoureux) de ma mère. Il a commencé à la draguer quand elle avait 16 ans, puis un bon matin, quand elle a eu 20 ans, elle a cédé. Mais on vous parle d’une première fois, et c’était dedans. Je crois qu’il avait fait la cotis des spermatozoïdes. lol Je suis née en 1987, et jusqu’en 1994, on était toujours une petite famille très heureuse. On passait même les vacances en France. Et puis un jour, quand papa m’a dit qu’il partait en voyage là, na neno, vendé n’ ébobo z’ ézango, myéré dengué (jusqu’à maintenant, même l’échantillon de la lettre, je n’ai pas reçu). Quand je demandais à maman, elle me disait juste de laisser. Maintenant, c’est trop tard. Il ne me reste comme souvenirs que mon vieux passeport, des photos et la maison d’Abela qui est à son nom… En 1998, Tonton Henri a fait son entrée dans nos vies. L’année qui a suivi, Rapombia Edowiza christopher Martin, mon petit frère, est né. Mais en 2002, le divorce du mariage qui n’avait même pas commencé entre maman et tonton Henri est officiel, voici comment nous sommes retournés vivre à trois, à Abela. Bon à quatre avec Mamie, vu que mon Grand-père a cassé la pipe dans la même période. Mais bon, Mamie était toujours entre deux pirogues (lol), pour aller faire son manioc au village et revenir le vendre à POG. On vivait bien rien qu’avec le salaire de maman et les recettes de la vente du manioc de Mamie. Elle nous gâtait, elle nous cognait (surtout moi quand j’étais échouée en classe), mais on était à l’aise, c’était notre mère. Je donnerai cher pour qu’elle soit toujours là. Même si c’est pour me raser les cheveux, ou bien me frotter le piment sur tout le corps quand je rentre en retard ou que je découche, je m’en fiche, je veux juste qu’elle soit en vie. En 2007, rien ne nous avait préparé à ce départ si brusque. Même Mamie qui souffre d’hyper-tension tous les jours que Dieu fait, avec en prime les maladies de la vieillesse (lol), elle est toujours là (je n’ai pas dit qu’elle doit mourir). C’est à ce moment qu’on a fait la connaissance de tous ceux qu’on appelait « parents » depuis tout ce temps. Entre les ingrats, les aigris et les m’en-foutistes, on ne savait plus où mettre la tête. Et puis il faut dire que moi avec ma sauvagerie et ma délinquance, les gens ne se bousculaient pas trop pour que j’aille vivre chez eux. Personne ne pouvait prendre aussi mon petit frère parce que j’ai dit il ira où je j'irai, et vice versa. Maman qui supportait nos bêtises n’est plus là, je ne voulais pas que quelqu’un tente de reproduire l’histoire de cendrillon ou de cosette avec moi ou mon petit Bijou, mieux, on reste chez nous. On comptait sur les doigts d’une main, le tonton ou la tantine, qui nous a déposé le petit sac de riz éléphant non parfumé qui coute 1700fcfa là, ou bien le paquet de sucre. Peut-être parce que maman était fille unique, je ne sais pas ... Tonton Henri donne souvent des sous, mais comme il a la bougeotte et beaucoup de copine, il faut compter au moins 3 mois avant que les prochains 70.000fcfa n’arrivent. Les deux amies et collègues de maman de SDV, je n’allais les embêter que si vraiment la situation était désespérée. Dans le petit argent qui est resté après le décès, Mamie a besoin de médicaments, il faut payer « La Fontaine’’ pour Bijou, moi ici je repasse encore le bac et je veux faire les cours de maths. Impossible. Heureusement que Franck était là. Bon c’était un heureux évènement à l’époque, aujourd’hui je crois que j’aurais préféré manger les badâmes tous les jours, que de l’avoir connu. Bref, Quand c’est fini avec Franck, j’ai jugé bon de mettre la maison en location, ça nous faisait un revenu mensuel au moins sûre, et nous sommes venus vivre dans la vieille maison de Papi Dodo (Edowiza), à Omboué central. Avec mon petit diplôme de l’IST, Moov m’a embauché depuis 8 mois maintenant. Petit-à-petit, on vit mieux.
Tradition Africaine

Tradition Africaine

Aïsha - Tradition africaine Prologue _____ Normalement, enfin dans 98% des cas on impose un mariage forcé ou arrangé à une fille.Bah moi c'est pas mon cas , on m'a rien imposé, je l'ai décidé tout simplement. Je me rapelle encore de la tête de ma mère quand je lui ai demandé "Tu peux me trouver un mari ? " .Elle a d'abord crû a une blague mais non, je voulais vraiment qu'elle me trouve un mari. Autrefois elle proposais des maris à mes cousines mais aucunes n'acceptaient. Ce n'est pas mon cas. Pourquoi ai je pris cette décision ? Je tiens tout d'abord à dire que j'ai toujours été une personne différente dans tout et n'importe quoi . Je n'ai jamais été comme les autres . Est ce un atout ou inconvénient ? C'est les deux si on se met sur deux positions . Un atout pour moi mais un inconvénient pour la société . Je ne peux pas vous dire les raisons , c'est beaucoup trop complexe . Ma différence est donc l'une des raisons . La deuxième raison s'approche de la première . J'ai été élevée dans les coutumes africaine contrairement à certaines personnes je m'y soumet et je ne contexte aucun point qu'il soit négatif ou positif. Je suis pas ce genre de personne qui veux bafouer les traditions. Ce n'est pas parce que "Le monde change" comme certains le disent qu'il faut mettre les traditions de côtés ou autre. Je ne suis pas ce genre de personne . Et puis la dernière raison, je ne crois pas à l'amour, non pas du tout. Du moins pour ma part ça vient après le mariage pas avant. Et dans tout les cas les "petits amis" ça ne m'intéresse pas. Moi je veux un mari,c'est tout . J'apprendrai à l'aimer. [...] Maï - Alors c'est vrai ? - Oui , c'est pour bientôt. Maï - Mais tu te rends compte de ce que tu fais ? Aisha tu as 18 à peine tu n'as pas pensé aux études ? J'sais pas moi à 18 ans les filles rêvent d'autre chose qu'un mariage ! - Bah justement , moi je ne suis pas ces filles. Maï - À trop vouloir de te differencier des gens tu va gâcher ta vie. - Il est bien , c'est une homme bien , mieux , beau et mature. Maï - Mature ? Tu parles ouais ! Il a 10 de plus que toi voir plus vue que tu viens d'avoir 18 ans ! - J'aime pas les hommes de mon âge. Maï - Non mais il a plus de 10 ans de plus que toi ouvre les yeux merde ! - Et alors ? Nos parents ils ont 15 voir 20 ans. Maï c'est la cousine mais aussi ma meilleure amie depuis toute petite. Maï - D'accord fait ce que tu veux , mais vient pas de plaindre. Tu es entrain de foutre ta vie en l'air. Dit elle en partant Ces paroles qu'elle ne cessent de répéter depuis quelque temps ne me font aucun effet, je m'en fous. Je veux me marier point personne ne me fera changer d'avis. Puis il n'est pas si mal que ça. Je l'ai déjà vue, nous sommes déjà fiancés même. Il s'appelle Moussa, 30 ans bientôt 31 . C'est en faite le fils au frère de ma mère, ils ne sont pas frère et soeur de sang mais ils se connaissent depuis petit et se considère comme tel. Ma mère a parlé de moi à son frère (on va dire ça comme ça ) lui il a parlé de moi à son fils. Nous nous sommes rencontrés puis par la suite plût l'un et l'autre et voilà.!Moussa ne vit pas en France, il n'a pas de pays fixe à vrai dire. C'est un homme d'affaire il bouge beaucoup tout comme son père mais qui lui s'intéresse plutôt maintenant à la politique de son pays; La Guinée. Il en est le ministre de la justice, Moussa a pris les commandes de l'entreprise de son père maintenant. Je sais donc qu'en l'epousant ma vie prendra une toute autre tournure. Elle sera desormais rythmée par les voyages, la vie de luxe, les galas, dîner enfin tout changera. Je m'y prépare. Ma mère ne m'a pas caché aussi le faites que plusieurs femmes envient Moussa surtout pour son argent et que je devrais donc satisfaire mon mari pour qu'il ne parte pas ailleurs. Notre différence d'âge se justifie donc, je suis très jeune ce qui "réduit les risques". Ça marche très bien d'ailleurs, il n'ira pas de toute façon chercher au dessous de 18 ans. Je suis jeune, belle, intelligente mais surtout rusée . Il n'ira jamais ailleurs avec moi, j'en suis sûre .
Péripéties d'une vie

Péripéties d'une vie

Mman: Tu es prête chérie? --maman tu es lourde j'arrive arrêtes de me mettre la pression comme ca Franchement ma mère exagère sérieux elle me fout le feu aux fesses alors qu'elle sait clairement que ça ne m'intéresse pas tout ça. Je fais les dernières finitions sur mon maquillage et ensuite je m'asperge d'un peu de parfum quand j'entends des pas dans le couloir menant à ma chambre. Maman: Marie-Alice BENTLEY tu as dix secondes pour sortir de cette chambre dix..neuf....huit...sept..Six....cinq...quatre...trois....deux...un.... --c'est bon c'est bon je suis là Dis-je en ouvrant la porte de ma chambre Maman: il était temps mais ça en a valu la peine tu es magnifique mon cœur --je sais maman...humm je ne veux pas y aller maman! Maman: mais tu vas le faire! --Pourquoi? Maman: parce que ta maman d'amour que tu aimes tant de tout ton cœur.... Je roule des yeux en ce moment Maman: te le demande alors tu souris et tu t'en va de peur d'être en retard d'accord? --humm....Je ne comprends même pas pourquoi tu tiens coute que coute à me caser avec des bons partis maman tu es Thalia BENTLEY... Maman: justement ce qui veut dire que mes fréquentations et celles de ma fille par ricochet doivent être de qualité --mais ça ne m'intéresse même pas encore maman! Quand je serai prête je me trouverai un mari toute seule Maman: et ça va t'intéresser quand? --Je ne sais pas trop dans environ.....dix ou quinze ans....Voire vingt Maman: et si en ce moment-là il n'y a plus de bons partis célibataires? --alors ça voudrait dire que je ne suis pas destinée à épouser un bon parti c'est tout et donc je chercherai mon beau clochard et on vivra d'amour et de mammouth sous un pont ou dans une grotte Maman: iuww rien que d'y penser ça me dresse tous les poils je ne laisserai jamais cela arriver tu viens de booster mon envie de te caser merci maintenant vas-y tu seras en retard et fait un effort cette fois ci
L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

Aujourd'hui femme respectée de tous, mariée, mère de trois magnifiques garçons, aimée, désirée, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rêveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vécu lorsque je n’étais encore qu’une lycéenne... Oui aucune pas même moi si on m’avait demandé de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expérience a contribué à faire de moi la femme forte et dévouée que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en étais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'étais comme possédée par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques années plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et à ses côtés je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien à voir avec la sexualité d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme âgée de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mère de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fierté : Ivan c'est l'aîné. Il est âgé de 12 ans ensuite vient Killian âgé de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a à peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la définition de l'amour même. Il est attentionné, doux, compréhensif, très beau, un peu musclé et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mètre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. Propriétaire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours été le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment réussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs étaient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire réellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et très attentionné. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! Crièrent en chœur mes enfants avec un énorme gâteau d'anniversaire posé sur la table et leur papa a côté vêtu comme un guignol sûrement pour donner encore plus d'ambiance a l'événement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu défiler sous mes yeux le film de mon passé, de ma jeunesse. Je ne pu m'empêcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas à réaliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlé de ma vie actuelle et je suis sûr que ça ne vous intéresse pas du tout. Seul mon passé pervers vous intéresse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque détail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'à ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas très catholique alors toutes âmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer à lire.
Nafy - La troisième femme

Nafy - La troisième femme

Nafy - La troisième épouse Chapitre 1 ________________ | Driss Diarra | Je quitte difficilement l'hôpital pour me rendre chez moi...enfin dans mon troisième chez moi. À contre cœur d'ailleurs. Si j'y vais c'est parce que Safiyah a insisté afin que je passe un peu plus de temps avec Nafy. Elle souhaite que je sois plus équitable et elle a raison. Infirmière - Bon week-end monsieur ! Le métier de médecin-chirurgien n'est vraiment pas de tout surtout quand tu es de grand renommé comme moi. J'ai une bonne réputation notamment dans le domaine pédiatrique. Les enfants, c'est ce que j'aime et ce n'est pas ce qui me manque. Safiyah souhaiterais d'ailleurs que j'en ai avec Nafy mais je ne me sens pas encore prêt et elle non plus. Ma fille et mes trois garçons me suffisent. *soupire* - Quelle journée... Je monte dans ma voiture puis prend mon portable en main. *message de Nafy* - D'accord pour ce soir. J'ai prévenu Nafy de ma venue. Celle-ci étant souvent en déplacement tiens à ce que je la tienne au courant quand je passe à la maison car elle n'aime pas les surprises. Pas comme Assa. Je n'aime pas vraiment comparé mes femmes entre elles mais je ne peux pas m'en empêcher. Je ne vis pas pareil dans la maison de chacune ! Safiyah, c'est mon inspiration. Le véritable amour, le premier et le seul du genre que j'ai connu. Je la vois comme une mentor, sans elle je n'en serai pas là. C'est une femme à la fois résignée et courageuse. C'est elle qui m'a poussé à épouser Assa quand mes parents me l'ont présente. Une femme extravertie, impulsive et fougueuse. Elle enflamme mon cœur même si ses caprices me prenne parfois le choux mais je l'aime Assa. Quand je me trouve avec elle, je sais que je ne l'ennuie pas. Elle peut à la fois me rendre fou de colère et d'amour avec son caractère bien trempé. Quant à Nafy...pour l'instant c'est trop tôt pour juger mais auprès d'elle je trouve une certaine grande quiétude. Je rentre chez elle la tête en feu mais en ressort reposé. De toutes mes femmes c'est celle qui est la plus cultivée. Nafy est diplômée d'ingénierie d'architecture mais elle s'intéresse à tout. Nous parlons plus d'actualité, de culture ou d'art que de nous. Nafy est aussi celle qui est là plus active professionnellement. Elle m'a surprise quand celle-ci m'a avoué qu'elle voulait se trouver dans un foyer polygame mais j'ai fini par comprendre. Madame veut avoir du temps pour elle, c'est pour cela que c'est la femme que je vois le moins. *baisant son front* - Alors comment tu vas ? Ce voyage en Turquie ça été ? Nafy - Oui, j'ai réussi à décrocher le contrat et maintenant je dois me mettre au travail ! Elle consacra donc moins de temps pour moi...cela ne va pas plaire à Safiyah. Je rumine intérieurement avant de poser mon manteau et enlever mes chaussures. Je pose mon attache case sur le meuble d'entré avant de rejoindre ma femme au salon.