Les leçons de la vie

AD

j’ai décidé

tonnée) :

; vous comprend

rois ans ; les enfants t’aiment bien et t

une jeune fille bien, travailleuse et respectueuse ; c’est ma cousine ; je vais séjourner avec elle durant un mois pour lui montrer comment bien

ontente mais je comprends aussi que tu as besoin

Mireine : d’accord ; je te comprends ; et puis

il y a aussi un pe

ui surtout ; sois vigilante car les

onseil mais je crois que mon

s hommes de ce genre parce que je suis une boniche ! Comme si ces métiers ne valent pas considération! olympe dan. De toute façon, pour moi, c’est l’amour qui compte ; peu importe que mon homme soit d’une bass

us saurez tout cela lorsqu’

c nous le présenter ? M

de te faire l’honneur de le recevoir ici ; quand es

de décider ; elle

eekend alors ; mais j’espère q

nne, vous me dites

te qu’elle soit comme toi ;

En effet, entre Mario et ma patronne, c’est la lune de miel ; l’entente est parfaite au point où elle fait tout pour pousser Amsa son amie encore célibataire dans les bras de Mario. Mais il n’en veut pas. CLAIRE L’épisode du grattage remo

es changer tous les jours ; j’avoue que Madame Vanessa a bon goût dans le choix de sa literie ; les draps qu’elle achète sont en coton et multicolores ; j’aime bien. djifa blessings. Parfois, en voulant ôter les draps, je remarque de petites tâches blanchâtres et je comprends que ça a chauffé dans la nuit. Aujourd’hui

: Cla

ui Mons

viens p

m’inquiéter ; qu’ai-je encore fait ? Lorsque

chambre est ouverte

le temps de ranger le matin ; j’étais en t

mprends pas ; c’est toi qu

rrassée)

i changes les draps et qui

mblante)

bien ; tu pe

finir de vous changer, je

e ne veux plus te voir

n patron n’apprécie pas que je prenne soin de leur chambre ; j’imagine qu’il en parle

VA

roche le fait que la domestique nettoi

est ici pour travailler ; je ne vois pas en quoi

njugale, notre intimité ; c’est

’elle s’en occupe ; après tout

pelle une chambre conjugale ? C’est là où nous nous retrouvons en toute tranquillité, loin de tout regard ; le lit conjugal est sacré ; mais to

onfles ! J’ai eu une dure journée ;

ux plus voir ça ; et si tu ne m’obéis pas, je te donnerai une leçon que tu n’es pas près d’oublier. Tu exagères à la f

as rangé la chambre le m

us m’avez confiées ; j’ai donc laissé de côté le nettoyage

fais juste après que

: oui M

poser la question ; j’espère que si tu veux

changer nos draps ; si c’était si facile, il n’avait qu’à le faire lui-même au lieu de rouspéter. Pour av

CL

e mon patron a raison ; à mon humble avis, elle ne doit pas me faciliter l’accès à leur chambre ; c’est elle qu

s pour savoir que ma patronne

demande au

c’est pour dire qu’il

lors, quoi

a changé ; Madame conti

être que tu étais sa coépous

ar on dirait que dès qu’elle m

alaire ne rate pas, ign

ieur est rentré ; il l’a mal pris et interdit d

ciel) : merci à Dieu ; ça te

e continuer mais de faire en sorte qu

ncroyable ! Quel

ure, je ferai au plus encore deux mois ici ; co

eux pas quitter ici pour la maiso

quoi parl

cement ; mais j’ai déj

ée) : tu t

dé que je parte ; il va me donner de l’ar

érieux entre

se poser avec moi ; il va m

uelle c

C’est Dieu qui

nous, tu l’aimes ou tu es

mais, le côté argent ne me déplaît pas non plus ; mais si aujourd’hui,

illeur. Pourvu qu’il ne te déçoive pas

; quand je serai mariée, tu seras ma dome

ur qui te prends-tu ? Vilaine. Nous rions toutes les d

pas comment ma patronne va réagir ; surtout qu

a s’y conformer ; tu as vraiment de la chance ; si moi auss

à Dieu de t’envoyer ton âme sœur ; et quand

eureuse ; s’il te plaît, Adjokè, je suis sérieuse quand je te dis de me tro

re ton objectif ; tu sais, tu ne trouveras pas plusieurs personnes qui seront prêtes à te payer

, je continuerai à me venge

: comme

i mis une plante à démangeaison dans son ea

til ! Moi : elle l’a bien cherché ; el

formidable. Vous ne resterez pas ensemble pour toujours ; un jour tout cela va cesser ; mais je t’en prie, ma chérie, évite la sorcell

C

es billets de banque puis je passe à la suivante ; voilà ma vie depuis trois mois. Je n’ai plus jamais revu Murielle et Marcos. Etrangement, Nicette, la fiancée de Marcos continue de me passer des coups de fils, histoire de

e passe au restaurant dîner avec la femme de service ; eh oui ! Je les appelle femmes de service car à chaque samedi, correspond une f

: salut

te) : Nicette ! Que

frère et ma sœur ; ça nous a

n ; la famille,

is ; je pourrais te parler

tte rejoint son frère et sa sœur ; je me demandais de quoi voulait-elle me pa

ement elle ne me salue pas mais elle voulait t

is, de quoi t

ais, pourquoi t’emportes-tu ? N’es

emmes qui se mêlent de ce

: mai

enu très méchant envers les femmes ; je les considère comme des choses sans aucune valeur. Mais malgré mon attitude, elles me suivent parce que j’ai de l’argent à l

ulais me parler

is, qui est celle-là

as Nicette ; dis-moi plutô

longtemps hésité mais finalement, j’ai préféré me rapprocher de toi pour en parler ; je ne veux pas savoir ce qui vous met en froid ; vous êtes les meilleurs amis du m

ux toujours décider toi de mettre de l’eau dans ton vin ; mais moi, je te dis formellement

: mais au fond, de

ien que ta femme ne me supporte pas ; elle me tolère juste parce que je suis avec ton mei

e que j’ai déjà divorcé ; donc, je disais que Murielle et Marc

: Non Chris, ne me dis pa

ait leur bébé à eux deux. Nicette apparemment ne supporta pas mes révélations

dy nady; je crie à l’aide et des gens sortant du restaurant s’approchent de nou