Les leçons de la vie

ir un magasin ; je fais l’effort de m’y concentrer afin qu’il soit fier de moi mais t

ne t’ai-je pas trouvé

boutique ! La plupart sont des travailleuses du secteur public ou pri

ce n’est pas pour décorer ta boutique ; c’est

ndre pour me voler ! Je ne veux

e je rentre à midi, j’attends que tu sois là ; arran

tu ne veux plus que j’aille à la

x pas que cela se reproduise ; je rentre à midi et ma femme n’est m

; je devrais encore le voir certains midis ! Même si son visage est beau, ce n’est pas une raison ! C’est énervant à la fin ! Comme s’il n’y avait que ça à faire ! Peu de temps après, ma mère fait son appariti

la bienvenu

ille chérie ; tu

; je le suis ; Ma mère prend

qu’y a-

Elle : qu’est-ce qu

ant ; comme si je devrais être à

xpliquais clairemen

dehors pour qu’il ne

coute. Après lui avoir expliqué ce qui se passait, ma

chérie, ton m

es) : quoi ? Tu prends donc le

i aucun intérêt à te mentir ; ton mari a raison ; s’il rentre quelques fois à midi,

domestique e

ns conseils lorsque tu t’apprêtais à te marier ; tu dois toujours les garder à l’esprit ; sacrifier

e qui me procure de l’argent ; et c’est justement dans

ta famille ; tu n’as pas besoin de chercher l’argent outre mesure ; tu sais bien que c

ige pas ; c’est lui

ravail qui te dépasse ici ? Tu n’as même pas un enfant ; vous n’êtes que deux et il

pée ; être tout le temps aux petits soins du mari, faire la cuisine et le ménage soi-mê

amais dit que tu le dois le traiter comme un Dieu ; souviens-toi que Dieu lui-même demande à la femme de se soumettre ; la soumission n’est pas l’esclavage ; ton homme fait son devoir comme il faut ; tu ne mets pas un seul franc dans le fonctionnement de cette maison ; ta voiture a été achetée par lui ; même tes c

voiture et paie mes coiffures ! C’est pour cela que je devrais être à sa solde ?

l n’en avait d’ailleurs pas les moyens ; il y a des femmes qui prient nuit et jour pour être traitée de la sorte ! Si c’est une obligati

sommes trois enfants mais il n’y a que moi qui prenne soin d’elle parce que mes deux petits frères ne peuvent rien ; l’un est diplômé sans emploi, l’autre est étudiant. Comme d’habitude, avant de me coucher, je demande à ce que la domestique me chauffe de l’eau car le chau

fois hors de la salle de bains, j’appelle Claire avec rage. CLAIRE J’entends ma patronne crier mon nom comme d’habitude. Je me présente dans sa chambre et je la vois se grat

s ; dès que j’ai mis l’eau sur mon c

omment ça ? Vanessa : avec quell

ême que d’

promis me venger et je l’ai fait ; en effet, j’ai introduit dans l’eau avant de la chauffer, quelques feuilles d’une plante dont le contact avec la peau provoque de sérieuses démangeaisons. Je sais que ce n’est pas gentil mais

ge ; es-tu sûre que tu ne s

ant de se gratte

à ton mari pour qu’il puisse aller à la pharmacie

place pour que Vanessa et moi nous dormions dos à dos ce soir ; mais apparemment, notre destin n’était pas de rester en guerre froide, du moins, pas ce soir ; en effet, j’avais déjà serré mon côté suite à la dispute avec ma femme ce soir ; je conversais avec ma belle-mère venue nous re

ue les démangeaisons cesseront aprè

ant que sa mère sortait de la chambre ; elle l’ouvre et se l’app

, pourrais-tu m’aider à

appliquais la pommade, des envies pas très catholiques naissent dans ma tête ; aussitôt ma tâche finie, je la prolonge sur les fesses et finalement, mon activité s’apparente beaucoup plus à des care

eulement elle peut être moins paresseuse et plus disponible, j’en serai ravi. ADJOKE Je savoure comme d’habitude mes deux jours de repos avec mon amoureux ; pour le moment, il ne pouvait m’emmener

ce que tu ne vas

: pour

ous voir librement et

t se marier qu’on quitte les parents ; mes frères ont reçu une maison de papa à l’occasion de leu

n officielle afin que je puisse

veux juste préparer mes

je vais résister à toutes formes de mépris si

sais que je

ur être vrai ; comment toi un homme de famille

our pour toi ; je t’aime et puis c’est tout ; quand nos reg

à ton retour, lorsque tu étais ve

t autant d’effets ; et Dieu sait qu

is un don ju

poser avec toi, Adjokè ; je veux changer ta vie, t

is pas ; moi je s

ce que Murielle a fait

femmes ne se re

i avait beaucoup d’affection pour elle ! Même si en

ris ? Il n’est plus jamai

trêve de partage ; viens que je prenne soin de toi. Mario capture mes lèvres et

r par mon frère Hospice et sa femme ; mais avant, il faut que tu partes de là ; je

u es sé

: ou

! Tu es u

stique pour te remplacer afin que ton d

; il y a plein de jeunes filles au vill

-moi ; Moi : ok ; je sais que Mireine sera déç

as à elle de me ch

très belle femme et de la m

yeux, tu es la

m ! Flat

les battements de mon cœur ont commencé à augmenter, j’ai donc su que

ié [1]! C’est trop b

mal. Les paroles prononcées par Mario me donnent un baume au cœur ; je ne sais pas si je fais bien mais je le crois sans émettre aucune réserve. Comme convenu avec Mario, je fais les démarches nécessaires pou