L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Mon nouvel amant est un mystérieux magnat
Le retour de l'héritière adorée
Les regrets de mon ex-mari
Le retour de l'héritière délaissée
Choyée par le chef de la mafia
Ex-mari, je ne t'aime plus
Une danse avec trois princes
Le retour de l'épouse indésirable
Alexandre Delacroix s’étira paresseusement dans son lit king-size avant de se lever pour commencer sa journée. La vue panoramique depuis la fenêtre de son penthouse surplombait la ville, un océan de gratte-ciels s’étendant jusqu’à l’horizon. C’était une matinée comme les autres, pourtant une étrange intuition lui murmurait que quelque chose d’extraordinaire l’attendait.
Après une douche rapide et un petit-déjeuner composé de fruits frais et de café noir, Alexandre enfila son costume sur mesure, ajusta sa cravate et quitta son appartement. Sa voiture, une luxueuse berline allemande, l'attendait au rez-de-chaussée. Il salua brièvement son chauffeur avant de s'installer à l'arrière, son esprit déjà occupé par les dossiers qu'il devait traiter ce jour-là.
Le trafic matinal était dense, mais Alexandre ne s’en souciait guère. Son esprit vagabondait, explorant les différentes possibilités pour étendre encore plus l'empire de Delacroix Industries. Ses pensées furent interrompues par un appel de son assistant, Julien.
— Monsieur Delacroix, rappelez-vous que vous avez une réunion à 9 heures avec les investisseurs de la nouvelle filiale en Asie, rappela Julien.
— Oui, Julien, je m'en souviens. Y a-t-il autre chose à signaler ? répondit Alexandre.
— Non, monsieur, pas pour l'instant.
Alexandre raccrocha et regarda par la fenêtre. La voiture traversait maintenant les rues plus anciennes de la ville, où les bâtiments étaient moins imposants et plus vétustes. C'était un quartier qu'il ne visitait presque jamais, mais aujourd'hui, il avait envie d'un café différent de celui servi dans son bureau.
— Henri, arrêtez-vous au prochain café que vous voyez, ordonna-t-il soudainement à son chauffeur.
— Bien, monsieur.
Quelques minutes plus tard, la voiture s'arrêta devant un petit café charmant, au coin d'une rue. C’était un endroit modeste, avec des tables en bois et des chaises en fer forgé disposées de manière désordonnée sur le trottoir. Une cloche tinta lorsque Alexandre poussa la porte. L'intérieur était cosy, décoré avec des posters vintage et des étagères remplies de livres poussiéreux. L'arôme enivrant du café fraîchement moulu emplissait l'air.
Alexandre s’avança vers le comptoir, ses yeux explorant l'endroit. C’est alors qu’il la vit. Elle était derrière le comptoir, ses cheveux bruns en désordre autour de son visage délicat. Elle portait un tablier simple par-dessus une robe fleurie. Son sourire était éclatant, chaleureux, et contrastait avec la simplicité de ses vêtements. Elle riait avec un client, sa voix douce et mélodieuse atteignant les oreilles d’Alexandre comme une douce mélodie.
Il se dirigea vers elle, ressentant une attraction inexplicable, presque magnétique.
— Bonjour, que puis-je vous servir ? demanda-t-elle en levant les yeux vers lui.
Leurs regards se croisèrent, et ce fut comme si le temps s'était arrêté. Les yeux d’Alexandre, d’un bleu profond, se fixèrent sur ceux de Sofia, bruns et chaleureux, comme deux morceaux d’ambre illuminés par le soleil. Ce moment dura une éternité, ou peut-être seulement une fraction de seconde, mais il était assez puissant pour marquer un tournant dans leur vie.
— Un café noir, s'il vous plaît, répondit-il finalement, sa voix un peu rauque.
— Bien sûr, un café noir. Vous pouvez vous asseoir où vous voulez, je vais vous l'apporter, répondit Sofia en souriant.
Alexandre choisit une table près de la fenêtre, d'où il pouvait observer Sofia sans être trop évident. Il la regarda préparer son café avec des gestes précis et fluides. Chaque mouvement semblait une danse, chaque sourire une invitation silencieuse. Lorsqu'elle lui apporta sa tasse, leurs doigts se frôlèrent brièvement, envoyant une décharge électrique à travers son corps.
— Voici votre café, dit-elle avec un sourire timide.
— Merci, répondit-il, ses yeux rivés aux siens.
Sofia retourna à son poste derrière le comptoir, mais elle ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil furtifs à cet homme charismatique et élégant. Il y avait quelque chose de captivant chez lui, une aura de puissance et de mystère qui la fascinait. Elle se surprit à espérer qu’il reviendrait.
Pendant ce temps, Alexandre savourait son café tout en l'observant discrètement. Il était frappé par sa beauté naturelle et sa simplicité. Contrairement aux femmes sophistiquées et souvent superficielles de son cercle, Sofia semblait authentique, vraie. Il se surprit à imaginer ce que serait sa vie avec une personne comme elle, loin des intrigues et des faux-semblants du monde des affaires.
Après avoir fini son café, Alexandre se leva et s'approcha à nouveau du comptoir.
— C'était excellent, merci. Puis-je connaître votre nom ? demanda-t-il, ses yeux brillants d’intérêt.
— Sofia, répondit-elle, légèrement rougissante. Et vous ?
— Alexandre, Alexandre Delacroix.
Elle écarquilla les yeux légèrement en entendant son nom, réalisant qu'elle avait affaire à l'un des hommes les plus influents de la ville.
— Enchantée, Alexandre, dit-elle doucement.
— Le plaisir est pour moi, Sofia, répondit-il avec un sourire.
Avant de partir, Alexandre lui laissa un généreux pourboire et une carte de visite.
— Si jamais vous avez besoin de quoi que ce soit, n’hésitez pas à me contacter, dit-il.
Sofia prit la carte, un peu surprise, mais hocha la tête.
— Merci, Alexandre.
En sortant du café, Alexandre se tourna une dernière fois pour la regarder. Sofia lui fit un petit signe de la main, et il répondit avec un sourire. En remontant dans sa voiture, il ne pouvait s'empêcher de penser à elle. Quelque chose en elle avait éveillé un désir qu’il ne pouvait ignorer.
— Où allons-nous, monsieur ? demanda Henri.
— Au bureau, répondit Alexandre, mais ses pensées étaient ailleurs.
Pendant le trajet, il continua de réfléchir à cette rencontre. Il savait que Sofia serait dans ses pensées pour le reste de la journée, peut-être même plus longtemps.
Quant à Sofia, elle resta pensive après son départ. Elle se demandait pourquoi un homme comme Alexandre Delacroix s'intéresserait à une fille comme elle. Mais malgré ses doutes, une petite étincelle d’espoir s’alluma dans son cœur. Peut-être que cette rencontre inattendue était le début de quelque chose de beau et d’extraordinaire.
Le jour suivant, Alexandre ne put s'empêcher de retourner au café. Cette fois-ci, il vint plus tôt, espérant passer un peu plus de temps avec Sofia. Lorsqu'il entra, la cloche tinta de nouveau, et Sofia, qui essuyait des tasses derrière le comptoir, leva les yeux et lui sourit.
— Bonjour, Alexandre, dit-elle joyeusement. Un autre café noir ?
— Bonjour, Sofia. Oui, s'il vous plaît, répondit-il avec un sourire.
Il s'installa à la même table que la veille, près de la fenêtre. Il sortit son ordinateur portable et commença à travailler, mais ses yeux dérivaient souvent vers Sofia. Chaque geste, chaque sourire de sa part semblait le captiver davantage.
Après un moment, Sofia apporta son café et s’assit en face de lui pendant une pause.
— Vous venez souvent ici ? demanda-t-elle.
— C'est seulement ma deuxième visite, mais je pense que je vais venir plus souvent, dit-il avec un sourire en coin.
— Eh bien, nous serions ravis de vous avoir comme client régulier, répondit-elle en riant.
Ils parlèrent de tout et de rien, échangeant des histoires de leur vie. Alexandre lui parla de son entreprise et de ses voyages, tandis que Sofia partagea des anecdotes sur sa famille et son travail au café. Plus ils parlaient, plus Alexandre se sentait attiré par elle. Sa sincérité, son rire, sa passion pour les choses simples de la vie étaient rafraîchissants pour lui.
Sofia, de son côté, était de plus en plus charmée par cet homme. Malgré sa richesse et son statut, il semblait humble et véritablement intéressé par elle. Elle se sentait à l'aise avec lui, comme si elle le connaissait depuis toujours.
Leurs conversations se poursuivirent ainsi pendant plusieurs jours. Alexandre trouvait toujours une excuse pour passer par le café, et Sofia attendait avec impatience ses visites. Leur connexion grandissait, et avec elle, un désir irrésistible de se connaître davantage.