Dans le pénombre de ce grand pays ce pays qui ma vu grandir mon beau Mexique sur sa tenue de nuit laissant apparaître dans le ciel les pétillantes lumières des étoiles qu'il est beau mon pays je bravais comme toutes les soirs de ma misérable vie le chemin de retour j'étais pas comme tous pressé d'arriver à la maison de rejoindre sa famille personne m'attendait avec un bisous où un câlin sur le pas de la porte j'étais seule au monde malgré que j'ai une famille et de l'argent je sais pas véritablement ce qui veut dire être aimer je faisais de mon mieux, Belle ambitieuse j'étais malgré tout une s
ans amour j'étais belle et bien seule dans ce monde ce qui est encore plus dure c'est d'admettre qu'on ne sert à rien et qu'on ne vaut à rien j'étais convaincu moi même que j'étais une pauvre fille sans aucune grâce bien tôt ma mère me l'avait très bien fait comprendre elle me le faisais répété avant d'aller au lit toutes les soirs de ma vie de merde au file du temps j'ai cessé d'obéir aux règles de la maison aux règles de ma mère et de ma sœur j'étais comme un objet de décoration à ses yeux même les décorations avaient une bien si meilleur place à ses yeux que moi je la détestais je la hais bien plus que j'estime approximativement dépassé l'intervalle requit je lui en voulait de m'avoir jamais donner son amour l'amour que j'ai tant enttendu en vain j'étais en valeur absolue il n'y avait que ma sœur qui comptait à ses yeux malgré celà j'ai jamais pu la détester elle était ma sœur mon sang mon père lui l'homme au regard longtemps ma toujours aimé sans contre partie un amour sincère un amour pure entre un père et une fille mais cet amour fut cours lorsque mon père péri dans un accident de voiture élas son pauvres corps n'a jamais été retrouvé j'ai tellement pleurer que j'eus presque plus de larmes j'étais à la merci de ma mère elles ont fait de moi leurs souffre douleur au fil des années je me suis rebellé contre les actions à mon égard qui étaient humain comment une mère pouvait elle détesté sa fille son sang je lui trouvais des excuses et je me laissais maltraité je m'étais dit qu'elle l'aimerait après s'être calmé mais non elle a continué de me haïr sans vraiment me dire la raison de son ressenti à mon égard
-ma fille tu es une femme forte ne laisse personne même pas ta mère te prouver le contraire tu méritais tellement mieux mon enfant je t'aime et tu peux compter sur ton petit papa ma petite fille au yeux bleus
c'étaient les mots de mon père ils étaient plus réconfortante lorsque je me débarrasse de tout cette amertume que ma mère et ma sœur m'infligeaient chaque jour de ma misérable existance pourquoi mon père ne disait rien pourquoi la laissait t'elle toujours me faire du mal avait -il peur d'elle je n'ai jamais compris je me suis jurer de ne plus jamais me laisser faire par elles
Alors que je rentrais chez moi pour retrouver ma famille de merde je fus surpris par une fourgonnette devant moi ce soir là je revenais de mes cours le chauffeur n'était pas venu comme d'habitude alors je bravais le chemin petit à petit jusqu'à ma demeure.De cette fourgonnette noir s'arrêta prêt de moi j'eus pris peur mais je ne le montrais pas d'aussi deux hommes muni de costume noir en sorte de celle ci ils étaient tellement grand avec des cheveux grisonnant des lèvres émincées avec un visage terrifiant le premier homme avanca en trompe vers moi
homme 1-Alma Alvez veillez nous suivre
Moi-pourquoi devrais-je vous suivre je me rappelle pas que cela faisait partie de mon agenda je ne vous connais même pas en plus c'est une eureur de votre part..
premier homme-ne jouez pas à la maligne
il le savait bien que j'étais cette jeune fille ces genres de personnes ne se trompent jamais sur leurs recherches même si je le savais je décidais de faire l'ignorante et refusais de croire que j'étais fait comme un rat je ne me déstabilise pas pour autant