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Sous l'emprise du diable

Sous l'emprise du diable

Le tournant

5.0
avis
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15
Chapitres

Prologue Aujourd'hui, je ne saurai vous dire oĂč je me trouve si vous me demandez oĂč je suis. je ne saurai te rĂ©pondre avec fermetĂ©. Pour dire vrai, Je ne sais mĂȘme plus si je suis toujours en vie oĂč si je suis dĂ©jĂ  mort dans ce monde oĂč je suis sur l'emprise du diable... LĂ -bas (oĂč je me trouve) celui qui domine, ce sont les dĂ©mons. N'essayez pas de comprendre ce que je dis, mais je te demande juste de lire ma triste histoire ! Tu sais ? n'enviez pas quelqu'un sur cette terre, n'enviez pas le travail de autre surtout, n'enviez pas la richesse et les biens des autres. Il y'a des choses sombres dans certaines choses que vous ne pouvez jamais savoir si je ne vous dis pas vous n'allez jamais savoir de quoi je parle. Sous l'emprise du dĂ©mon je n'Ă©tais plus personne car je n'existais plus dans ce monde et j'Ă©tais traitĂ© de la pire des façons par ces dĂ©mons. OuĂŻ tu pouvais me voir bien vĂȘtir mais je souffrais le Marty Ă  intĂ©rieur de moi Ă  cause des vampires, des dĂ©mons et bien d'autres Venez dĂ©couvrir ce que je veux vous faire savoir dans ce livre Ă©crit dans ce monde oĂč j'ai Ă©tĂ© sous l'emprise du Diable

Chapitre 1 Je veux réfléchir

sous l'emprise du diable

Episode_1

La mort ? M'a t-elle dĂ©jĂ  prise ? En vĂ©ritĂ©, je ne saurai dire si je suis mort oĂč pas ! OĂč suis-je ? OĂč je vie ? Dans quoi je me suis mis ? Je ne sais pas ! Mais c'est noir tout est noir ici !

je suis prisonnier quelque par dans un monde imaginaire aux hommes. en vérité, je ne peux pas en sortir, mais , je peux encore vous raconté cette horrible histoire qui à été ma vie.

Le monde est cruelle savez vous ça ?

Ne me juger pas car des choses nous arrive dans la vie sans nous donner le temps de faire un bon choix

''au secours, à l'aide, venez me délivrer, je souffre, ne me brûle pas. Ahhhhhh ''

__ tu crois que nous allons te laisser partir ?

''' je vais parler, je vais parler, tuez moi si vous voulez mais mon corps va parler mĂȘme Ă©tant moi'''

__ depuis qu'il est sortie de ce miroir, on dirait que des gens veulent le tué

__ maman, il est encore dans ce monde continuons Ă  prier et cherchons Ă  arracher son esprit dans ce monde du mal. Il est sous l'emprise du diable et Lui aussi il ne se laisse pas faire, il reviendra prions pour lui

__ Ah ah ah vous croyez vraiment que vous allez le sauver ? Il est Ă  nous, il ne vous appartient plus, il a bu mon sang. sinon, mĂȘme s'il parle, ça ne changera rien il va mourir d'ici quelques jours

Vous vous demandez ce qui se passe n'est ce pas ? Vous pensez sĂ»rement Ă  une grosse sorcellerie, en vĂ©ritĂ© vous avez raison. Comme vous constater, ma famille est chrĂ©tienne et nous croyons en Dieu. Tout le monde cherche Ă  me ramener d'un monde oĂč mon esprit est captive , ouĂŻ je suis sortie de ce monde avec mon corps mais je ne suis pas partir car mon esprit est Ă  eux ! Vous savez ? Si je devais ĂȘtre sauver par les charlatans c'est que je devais ĂȘtre guĂ©rir depuis. Je suis mĂȘme aller jusqu'en inde voir Les meilleurs sorciers qui pouvaient m'aider mais ces sorciers ont Ă©tĂ© tous tuĂ© en voulant m'aider par une crĂ©ature qui Ă  emprise sur moi. Cet crĂ©ature c'est le diable

J'ai dĂ©cidĂ© de raconter tout ça au monde entier car cette vie cache des choses imaginable. Je tien Ă  demander lĂ  oĂč vous ĂȘtes de prier pour moi.

Ma mĂšre, ma soeur et Jeremy mĂȘme pour tout l'or du monde, je ne devais jamais leurs vendre au diable , je ne devais jamais accepter boire leurs sangs. Ceux-lĂ  qui m'ont toujours aimer ! Il n'y'a que leurs priĂšres qui me maintiens en vie en ce moment prĂ©cis

'' prier pour moi je vous en supplie ''

__ toi là, aprÚs tout ce que nous avons fait pour toi ! Aujourd'hui, c'est de cette façon tu nous dis merci ? Sale traßtre ! Tu vas mourir

Tien prend ça.

Il vient de me lancer un trident qui m'a transpercĂ© le cƓur mais chose Ă©trange, j'arrive toujours Ă  vivre.

Celui qui me persécute c'est le diable avec certains démons qui sortent de nul par pour en découdre avec moi

Je profite de cet instant devant ce prĂȘtre que ma mĂšre Ă  fait venir pour vous raconter cette histoire

Maman, ma soeur, mon pĂšre , Écoutez ma vie sombre. Tout d'abord je commence au dĂ©but

__ Maman tu m'as toujours donner ce que tu as pu. Nous étions pauvre, nous n'avons rien et vraiment j'adorais ma grosse chaussure que tu m'avais acheter. Tu m'avais acheter ça avec tout tes économies parce que j'avais eu mon Brevet du premier cycle. Ah ah ah ah maman je t'aime et je voulais réussir pour toi car tu as trop souffert pour nous sur cette terre.

__ Justin, pourquoi tu aime faire comme si tu souffre trop comme ça ? Repasse mĂȘme tes habits avant de porter ? Regarde toi mĂȘme ton pantalon. Justin tu dĂ©range. Tu me fais trop honte je t'assure

__ Ma vie est triste, tu crois que si je repasse mĂȘme ça qui va me regarder ? qui ignore quelque chose sur nous Ici au village ? Qui ne sait pas qu'on souffre ? Nous sommes pauvre il faut accepter. Je suis dĂ©jĂ  habituĂ© Arnold

__ Tu es déjà griller si tu accepte la pauvreté car mon frÚre, j'ai toujours espoir. Faut avoir Espoir !!!! Notre vie changera

__ ta mÚre est pauvre, ton pÚre à fuir et vous à laisser dans une cabane tu es là tu fais le discours ! Tu vas faire comment pour réussir ?

__ Je vais travailler Justin et toi Justin es tu différent de moi ? Votre pÚre n'a pas aussi prit sa route ?

__ ah ah ah

Lol ça c'est mon ami Arnold, il me parlait toujours du genre. Chaque fois qu'on se voyait, je l'ecoutais aussi et on passait le temps Ă  parler et Ă  parler sauf que le temps passait et nous grandissons aussi et les causeries s'en vont. Toi mĂȘme tu sais qu'on n'Ă©coute toujours celui qui nous donne quelque chose mĂȘme si cette chose n'est pas toujours argent ! J'aimais Arnold car Il me donnait son amitiĂ© mais les gens finissent par changĂ© et arrĂȘt de se frĂ©quenter

Moi mĂȘme pour un jeune de mon Ăąge, j'exagĂ©rais. J'Ă©tais toujours sale, avec les vieux pantalon et t-shirt sur moi. Non Arnold avait raison mais je faisais toujours comme si ĂȘtre pauvre Ă©tait notre destin.

Nous à l'oeust du Cameroun plus précisément à baham une ville grande et on résidait à chemise (le nom du quartier )

À par cette grosse chaussure qui Ă©tait ma paire de valise, j'avais encore quoi ? Plus rien du tout.

la vie est cruelle je vous assure

MĂȘme pour aller Ă  Ă©cole j'avais honte des fois car j'avais la mĂȘme tenue depuis deux ans.

Un moment mĂȘme Arnold Ă©tait dĂ©jĂ  avec son petit travail et il a commencĂ© Ă  avoir honte de moi, il faisait dĂ©jĂ  genre il passe et m'ignore. Ça me faisais mal en mĂȘme temps, ça me faisais rire ! Arnold ? Depuis quand ? Je n'y croyais pas ! Lui aussi me laisse seul parce que je n'ai rien !

Vous allez dire genre il est faible mentalement et il est paresseux, ne pense pas ça de moi car je suis travailleur mais j'avais toujours les problĂšmes avec le monde entier comme si tout ceux qui Ă©taient gentils avec moi devenaient mĂ©chant et les mĂ©chants devenaient gentil mais finissaient par ĂȘtre mĂ©chant avec moi. La haine et la mĂ©lancolie avec autrui Ă©tait ma vie. Tu ne peux pas comprendre. mais je t'assure vivre ainsi ? Je t'assure c'est vivre comme un dĂ©mon au yeux des gens. C'Était une malĂ©diction ? C'Ă©tait un gĂ©nie malĂ©fique qui Ă©tait un reflet de ma personne dans les yeux des autres ? Comment savoir ? En plus ça toujours Ă©tĂ© ainsi ! Mais je faisais genre c'est rien ça passera

Mais, je vous le dit ! Depuis le dĂ©but, je n'Ă©tais pas seul. Des fois je ressentais la prĂ©sence de quelqu'un tout prĂȘt de moi qui avait un rĂŽle Ă  jouer dans ma vie. Me dĂ©truire !

__ je ne vois mĂȘme plus ton ami lĂ 

__ qui Arnold ?

__ ouĂŻ

__ laisse seulement ! Voilà le pain rassis que le boutiquier ma donner mettons ça dans eau et mangeons

__ j'ai eu un peu d'argent et j'ai fait le riz sauter (oignon, tomate, huile)

__ Tu as pris argent ou ?

__ genre je ne peux pas avoir 500 franc pour faire le riz ?

__ OK gardons alors le pain ça peu aider avec l'eau sucrée un autre jour

Que Dieu me bĂ©nir je sors ma mĂšre de la souffrance avec ma soeur. C'Ă©tait ça mon rĂȘve, mon espoir de la vie. Cette femme souffre trop. Mon pĂšre ? Si j'ai mĂȘme encore ces souvenirs, c'est lorsque j'avais 5ans. Je me rappelle qu'il nous avait dit qu'il revient en mettant ses valises Ă  la mal arriĂšre de son taxi. jusqu'Ă  nos jours il n'est plus revenir. j'ai une petite soeur qui m'adore.

elle me disait toujours ça va aller Justin soit fort. elle Ă©tait dĂ©jĂ  quand mĂȘme une grande fille, elle a aussi frĂ©quente mais Ă©tait aussi au quartier comme moi se faisant draguer par ci par-lĂ . elle prĂ©fĂ©rait faire son call box et vendait ses caramel et arachides grillĂ©s pour ne pas coucher par ci par lĂ  avec les garçons pour ĂȘtre Ă  abri des misĂšres avec leurs argents. Pour ça, je l'adorais car elle nous aidait Ă  manger tu ris le soir avant de se coucher

En plus que nous sommes dans un pays qui reconnaĂźt juste certains qui son dans le systĂšme. C'est n'est pas facile d'avoir le travail je vous assure

Dans notre famille, tout le monde cherche travaillaient mais c'est bloquĂ©. Vous mĂȘme vous savez qu'on ne peu pas ĂȘtre une grande fille vivant dans la maison familiale sans avoir des enfants. Alors ma soeur a eu un garçon dehors et le gar Ă  fuir

Fréquenter, fréquenter, fréquenter. J'en avais marre

__ toi qui me lis soit fiĂšre de ta misĂšre travail juste pour ne pas mourir de faim et bat toi pour ĂȘtre Ă  abri de certaines choses. Crois moi le travail Ă  la sueur de son front est meilleur. Il y'a des vendeurs de rĂȘve qui vous font croire que sa vie est belle

__ Je crie dans mon sommeil et ils disent que je suis fou. Je ne suis pas fou, je crie parce qu'ils veulent garder mon esprit dans ce monde noir

__ Ils essayent toujours de donner une raison Ă  toutes choses. Ils ont appeler mĂȘme les docteurs de venir m'examiner Ă  tes yeux c'est un docteur mais je sais qu'il ne l'es pas. Car ce docteur ne m'aidera pas, il est complice avec q'eux. Il est lĂ  pour me tuer

On m'appelait le génie à école

Je connaissais tout

C'est la seule raison pour laquelle les gens me parlaient d'ailleurs

Mais quel genre de causerie mĂȘme ? MĂȘme pas deux secondes. Juste pour me demander un truc Puis c'Ă©tait des rires Ă  tord et Ă  travers

J'avais le coeur en pierre genre Pourquoi moi ? Me demande je chaque jour

Ne pleure pas ma vie car je ne veux plus qu'on n'est potier de moi.

Tellement je souffrais que Il y'avait quelque chose qui m'Ă©loignait de Dieu

C'était ça leurs but depuis et alors

Je marchais et je disais Ă  tout le monde

__ il n'existe pas aller vous faire foudre. Ne me parlez plus de lui

La vie est incompréhensible. Pourquoi en donner d'avantage aux autres et faire souffrir certains jusqu'à manger leurs dépasse ? Comment croire en Dieu dans ces conditions ?

Je dechargeais les tomates et oignons ainsi que les pommes de terre au environ de 4heure du matin jusqu'Ă  8hr .j'en profitais pour prendre certains dĂ©chets pour revendre plus tard pour avoir au moins 5000frc le soir, je venais mĂȘme de commencer Ă  travailler ainsi au huitiĂšme un marcher Ă  YaoundĂ©. En soirĂ©e j'ai eu assez de condiments pour revendre mĂȘme Ă  deux mille et rentrer avec 7000mille franc

__ miroir, miroir, vous n'en verrez jamais ce genre nul par ailleurs !

Genre un miroir magique quoi ? J'ai éclaté de rire

Un homme qui vends des miroirs la nuit ? C'est quel genre de sorcier ça ? Moi je ramassais mes condiments et je mettais dans le sac pour proposer aux femmes au quartier deux mille sur tout ça. La femme qui vend les tomates va bondir dessus mais j'ai d'abord enlever ce qui est bon pour donner à ma mÚre. Ma mÚre cette femme seul le destin sait

__ Ce miroir va vous rendre riche, hyper riche ah ah ah regarder ? Il est magique

Quand on souffre trop on devient trÚs attentionner quand ça parle déjà argent

__ Regarde ce miroir. Il a tout pour te rendre heureux pourquoi tu regarde seulement ? Vient le chercher

On dirait que j'Ă©tais le seul Ă  le voir un peu comme reflet qui Ă©tait juste devant moi et qui me parlais et les autres n'Ă©taient pas concerner

Personnes n'avaient les yeux sur lui Ă  par moi. Je me disais qu'ils faisaient semblant de l'ignorer.

CelĂ  devait peut-ĂȘtre ĂȘtre une question que j'allais me poser

__ pourquoi il ne prĂȘt pas attention Ă  lui ?

ce jour je n'ai pas prĂȘter Ă  ça. C'est bien aprĂšs que ma tĂȘte est revenue sur ce dĂ©tail

c'est n'Ă©tait pas un inconnu. c'Ă©tait moi en l'envers

J'Ă©tais totalement concentrer sur lui

Je ne sais mĂȘme plus en quel moment il n'Ă©tait plus lĂ  mais il n'Ă©tait plus lĂ  entrain de parler

__ ahhhhhhhh, Je suis dans un trou noir et je suis en chute libre. C'est ce miroir qui me maltraite qui aurait cru ? Un miroir diabolique contrÎle ma vie depuis. Fait moi ce que tu veux créer des illusions mais mon corps ne sera pas à toi.

" Je Disais Ça dans mon sommeil "

En rentrant alors, je marche et je marche mais qu'est ce que j'observe ? Quelqu'un d'autre comme moi qui vient en l'envers. Je ne sais pas si tu me comprends bien ? Je dis je marche mais je vois mon reflet qui marche aussi dans ma direction opposer avec le mĂȘme sac que j'ai en main pourtant aucun miroir n'est en face de moi mais on dirait que en face de moi il y'a un gigantesque miroir

Je me tourne pour prendre l'autre chemin mais c'est la mĂȘme chose. Il continuait Ă  avancer vers moi. Arriver, le miroir brille et m'aveugle

Sans comprendre, je l'avais déjà dans ma main (le miroir)

Un petit miroir oĂč je pouvais me voir

__ on dirait le miroir qu'on vendait tout Ă  l'heure mais celui ci est petit. Pourquoi j'ai ça dans la main mĂȘme ?

DĂšs que je me regarde dans le miroir. Mon reflet sourit et il me parle

__ Justin, il est temps pour toi

J'ai peur. Je jette le miroir et devant moi, il se brise et curieusement, ma route devient libre et je ne vois plus mon reflet comme tout Ă  l'heure

Je rentre vers 20heure. Ma soeur m'attendais pour femer la porte. DÚs que j'entre, elle part dormir et moi j'entre dans ma chambre avant tout, je dépose d'abord mon sac au salon

Quand j'entre directement la porte de ma chambre se ferme et le miroir apparaĂźt en grande version

__ si tu dĂ©cide que je pars, je m'en vais et je ne reviendrai plus vers toi. Mais si tu dĂ©cide que je reste tu deviendras le plus riche du monde. Tu choisis ĂȘtre toujours pauvre et voir ta mĂšre et ta soeur souffrir dans cette banlieue ? Regarde ta maison ! Il n'y'a pas d'ampoule ! Tu ne me jette plus ?

Et la mon reflet apparaĂźt et me dit

__ donne moi ta main ! C'est ta derniĂšre chance si tu ne dis rien je m'en n'irai pour toujours et tu seras pauvre Ă  vis

Laisse moi réfléchir encore s'il te plaßt

A SUIVRE.

Continuer

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PARTIE 1 â€Ș20 DĂ©cembre 15h45,‬ -Cliente : Dommage y'a pas ma taille. -Moi : Je peux vous la commander, elle sera disponible la semaine prochaine. -C : Mouais. Autant acheter sur internet alors, ça revient au mĂȘme. Je soupire. -C : Bon, commandez alors. Taille 38. -Moi : Ok. Je vais Ă  la caisse pour passer la commande sur mon ordi, et dis au revoir Ă  ma derniĂšre cliente.. -.. : Dua ! -Moi : Efendim Iknur abla* ? (Oui Iknur?) *Abla= signe de politesse qui signifie grande-soeur. Qu'elle soit ta sƓur ou pas, si la personne est plus que toi, on dit « abla » par respect. -I : Je dois rentrer plus tĂŽt que prĂ©vu, j'dois chercher mon fils â€ȘĂ  16h‬ et l'emmener aprĂšs chez son dentiste. Tu peux fermer la boutique stp ? -Moi : Euh.. -I : Je sais c'est la premiĂšre fois que j'te le demande, mais lĂ  j'ai vraiment pas le choix. Babangile ben haber ederim istersen. (Je prĂ©viens tes parents si tu veux.) -Moi : Yok tamam, ben ararim onlari. (Non c'est bon, je peux les appeler.) -I : Tamam ozaman, Allah razi olsun ! (Ok alors, que Dieu te bĂ©nisse!) Je lui souris et elle se prĂ©pare pour sortir. J'arrive jamais refuser quelqu'un, c'est mon plus grand dĂ©faut. Pour info, Iknur abla c'est ma chef, elle est responsable de la boutique. On est obligĂ© de fermer le magasin â€ȘĂ  19h‬, parce que â€Șvers 18h30‬ le livreur ramĂšne nos commandes chaque jour. Je suis un peu nerveuse, d'habitude je termine â€ȘĂ  16h‬ mais lĂ  je dois carrĂ©ment fermer la boutique, soit â€ȘĂ  19h‬. C'est pas que c'est tard, mais en hiver Ă  cette heure-ci il fait nuit et moi je crains toujours la nuit. J'aime pas ĂȘtre dans les rues en fait, j'suis pas bien au fond de moi. Sans attendre, j'prends mon portable pour appeler ma mĂšre. -M : Kizim ? (Ma fille?) -Moi : Anne, n'apiyorsunuz ? (Maman, vous faĂźtes quoi?) -M : Rien, j'pense au menu de ce soir avec ta grand-mĂšre. Et toi, t'es sortie ? -Moi : Non. Maman, Ilknur abla a dĂ» sortir plus tĂŽt et c'est moi qui doit fermer la boutique. Jt'ai appelĂ© pour te prĂ©venir que je vais rentrer un peu tard ce soir. -M : Hmm, neyse tek bir gĂŒn için. Eve gelirken dikkat et tamam mi ? (Hmm, c'est juste pour un jour. Fais attention quand tu rentres, ok?) -Moi : Tamam, merak etme sen. ÖptĂŒm ! (Dac, tkt pas. Bisous!) Je raccroche et range un peu la boutique. Mon pĂšre et mon frĂšre travaillent, sinon ils pouvaient venir m'accompagner vu que je n'aime pas ĂȘtre seule dans les rues le soir, mais c'est pas la peine. C'est pas comme si il va m'arriver quelque chose.. AprĂšs le passage de deux clientes, je remarque que j'ai reçu un message de Kadir, mon fiancĂ©. « Bien ta journĂ©e ? » Je lui rĂ©ponds aussitĂŽt. -Moi : Oui ça va, comme tous les jours hein. Sauf que je vais sortir Ă  19h aujourd'hui. Et toi ? -K : Ça va, c'est pas trop tard. Prends le bus tranquille. Moi ça va, j'viens de rentrer. -Moi : Cool alors. -K : Ouais, bref vas-y j'vais manger et jouer Ă  la play aprĂšs. On se capte plus tard. J'rĂ©ponds pas. Que rĂ©pondre Ă  un mec non attentionnĂ© ? Vous allez dire « comment ça se fait que t'es fiancĂ©e alors ? ». Bah c'est simple, sa mĂšre m'avait vu Ă  un mariage et elle a contactĂ© ma mĂšre. Mes parents ne voulaient pas, mais en voyant le mec j'ai voulu. C'est la XĂšme famille qui demande ma main, mais c’est la premiĂšre fois que j'ai voulu essayer. Du coup on a commencĂ© Ă  se parler, Ă  se connaĂźtre.. et on s'entendait bien. Puis on a dĂ©cidĂ© de se fiancer il y a un mois. Mais depuis quelques temps, j'ai l'impression qu'il se lĂąche un peu. -Moi : Bref, c'est pas le moment de penser Ă  n'importe quoi. Le temps passe et l'heure de la fermeture arrive enfin. Je prends le bus, descends Ă  mon arrĂȘt et commence Ă  marcher. Malheureusement le plus proche arrĂȘt est Ă  20 minutes Ă  pied de chez moi, c'est vraiment pas pratique de marcher dans le froid dans un coin perdu. Oui parce que j'habite un peu loin de la ville de Grenoble. Je marche dans la rue tranquille, jusqu'Ă  que j'aperçois trois hommes assis sur les escaliers. Je baisse direct ma tĂȘte, et accĂ©lĂšre mes pas en lisant Ayet-el KĂŒrsi (sourate Ayat Al Kursi) dans ma tĂȘte. -H1 : Mais qui voilĂ  ? Mdrrr -H2 : Une voilĂ©e mdrrr. Je fais pas attention Ă  ces alcooliques, et continue mon chemin. -H1 : Attends miss, on va pas te manger ! -H2 : Pourquoi tu mens ? Mdrr -H3 : Laissez-la tranquille, c'est pas une meuf pour nous. -H1 : Parce qu'elle a le voile ? Et alors ? Une femme reste une femme. Je commence limite Ă  courir mais ils bloquent mon chemin. -H1 : T'es pressĂ©e ? Ça tombe bien, nous aussi. -H2 : Elle a de beaux yeux en plus. -Moi : Laissez-moi tranquille ! J'voulais m'Ă©loigner d'eux, mais l'homme1 me tient par le bras. -Moi : LĂąche-moi ! -H1 : Allez, on va juste s'amuser un peu. -Moi : Mais allez vous faire f.. Je reçois une gifle, et l'homme2 me tient aussi en fermant ma bouche. J'essaye de me dĂ©battre, de leur donner des coups, mais j'arrive pas. -H3 : Vous ĂȘtes fous ! Ça sera sans moi cette fois-ci

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« DESTIN INOPINÉ » PROLOGUE BONNE LECTURE Le coucher du soleil faisait dĂ©jĂ  son concert , drĂŽle de mot , quelque part dans la ville de Conakry, dans une maison en face de la mer , elle dormait comme un nouveau nĂ©, Hawa ne se souciait plus des entraves de la vie , elle voulait juste profiter de sa jeunesse loin de tout stresse , c'est Ă  dire les problĂšmes familiaux et tout ce qui en suit , plusieurs fois Ă©tĂ© manipulĂ© par l'ĂȘtre humain, elle ne s'attendait qu'au pire venant de ce dernier, plus rien ne choquait cette pauvre fille , malgrĂ© tout , elle agissait avec prudence et mĂ©fiance. Nanta: ouvres les yeux s'il te plaĂźt et aides moi Ă  tenir le bĂ©bĂ© Ouvrant lentement les yeux pleins de fatigues, elle aurait voulu dormir tout au long des heures prochaines mais dure de ne pas vivre dans sa propre maison selon elle , Hawa vivait chez sa grande sƓur depuis que cette derniĂšre s'est mariĂ©e Ă  un homme aisĂ©, ce dernier s'occupait de sa scolaritĂ© jusqu'Ă  obtention du baccalaurĂ©at, il le faisait pour faire plaisir Ă  sa femme car il l'aimait Ă©normĂ©ment .... Nanta: tu as dormi presque toute la journĂ©e, c'est le crĂ©puscule, gardes l'enfant pour que je puisse faire mes priĂšres — Uhum , il fait quelle heure? — 19h madame , en plus ta maman a appelĂ© elle voulait te parler Je me suis levĂ©e pour tenir le bĂ©bĂ© sans prononcer un mot , ma sƓur est maman pour la premiĂšre fois d'un petit garçon de 5 mois , il s'appelle Adel , depuis sa naissance ma sƓur vit dans le bonheur, qu'est-ce que c'est mignon... — je vais l'appeler un peu plus tard — Uhum , n'oublie pas de rĂ©chauffer le dĂźner aussi — d'accord !!! Sortant de la chambre, j'avais mon neveu dans les bras , grĂące Ă  lui je m'y connais en baby-sitting, ma sƓur est trĂšs flemmarde, tout ce qu'elle aime , se faire belle et rester devant la tĂ©lĂ© , j'espĂšre qu'elle se rĂ©veillera trĂšs vite , sachant de quoi je parle exactement..... Ma sƓur est revenue quelques minutes plus tard pour reprendre le petit car je devais aussi exĂ©cuter mes priĂšres et mes tĂąches mĂ©nagĂšres , il n'y a pas de bonne ce sont les vacances je m'occupe presque de tout pour que ma sƓur puisse Ă©conomiser , son mari a insistĂ© qu'il allait payer mais bofff je n'ai pas mon mot Ă  dire ça ne concerne qu'eux , je suis lĂ  juste pour mes Ă©tudes , cela fait maintenant trois ans que je n'ai pas vu mes parents, ils me manquent parfois , sinon le mieux c'est d'atteindre mon objectif..... Lorsque son mari est rentrĂ© du boulot et m'a trouvĂ© dans la cuisine son visage a d'un coup changĂ©, je me demandais bien ce qui n'allait pas , je me disais peut-ĂȘtre qu'il ne souhaitait pas que je fasse la cuisine Ă  la place de sa femme , est-ce pour cette raison ? Aucune idĂ©e sachez seulement qu'il n'y avait pas trop de bavardage entre mon beau-frĂšre et moi comme l'indique la coutume, j'Ă©tais mĂ©fiante car je ne souhaitais pas avoir d'ennuis avec ma sƓur , NantĂšnin est trĂšs jalouse et possessive, elle est capable de s'inventer des histoires qui n'ont mĂȘme pas de sens et je sais ce qu'on m'a dit avant de mettre pieds dans cette maison .... Il m'a regardĂ© un moment puis s'est dĂ©cidĂ© de rĂ©pondre Ă  mes salutations, il n'est pas entrain de flasher sur moi juste pitiĂ© car je passe tout mon temps Ă  bosser alors que sa femme ne souhaite pas engager de bonne , elle ne supporterai pas qu'une mĂ©nagĂšre lui pique son mari , c'est trĂšs absurde , peut-ĂȘtre que je suis encore sans expĂ©rience mais un homme ça ne se traumatise pas de cette façon, ça ne me regarde pas .... Thierno : euh j'espĂšre que tu vas bien aussi ? Et ta sƓur ? — oui AlHamdouillah, elle est dans la chambre de Adel Thierno : tu es sure que tu vas bien ? Tu as une drĂŽle de voix , tu es fatiguĂ©e c'est ça ? — mais non tonton , ne vous inquiĂ©tez pas tout va bien Thierno : Uhum , je t'ai dit de ne pas me vouvoyer , je suis ton beau-frĂšre , appelle-moi simplement par mon prĂ©nom Je trouvais cela trĂšs impolie , je n'ai pas l'habitude d'appeler les gens directement par leur prĂ©nom Ă  part mes proches bien sĂ»r , lĂ  c'Ă©tait vraiment dure pour moi , j'espĂšre que ma sƓur ne le prendra pas mal , c'est vrai qu'on se connaĂźt y'a trois ans mais c'est compliquĂ© .... — euh d'accord j'ai compris Thierno : merci Sur ces mots , il a retournĂ© ses talons pour rejoindre ma sƓur , je ne sais mĂȘme pas pourquoi je suis gĂȘnĂ©e quand il est lĂ , certains diront que c'est le mari de ma grande sƓur et donc je devrais ĂȘtre Ă  l'aise avec lui mais hĂ©las , je sais pourquoi je suis distante et c'est mieux ainsi ... J'ai posĂ© la nourriture sur la table et aller prendre une douche , juste dans le couloir j'entends ceci .... « On est jamais mieux que chez soi . Hawa» À SUIVRE

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Prologue ______=_=_____ Je n'ai jamais aimer les humains, mon pĂšre le diable me faisais toujours comprendre que ce sont des ĂȘtres trĂšs faible et qui se foutent des autres. J'Ă©tais contente de savoir qu'il le sont car j'ai toujours Ă©tĂ© jalouse de ces gens qui vivent dans la lumiĂšre et nous dans l'obscuritĂ©. OuĂŻ nĂŽtre monde est trĂšs sombre et Ă  du feu dans tout le royaume. Le diable Ă  son royaume oĂč j'ai grandis d'ailleurs et je suis sa fille. J'ai dĂ©cidĂ©e de venir moi mĂȘme dans le monde des humains leurs faire vivre l'enfer juste parce que je suis jalouse de vous. Mon pĂšre avait raison les hommes sont trĂšs faibles physiquement. J'ai longtemps adorer tuĂ© les hommes. Je me suis nourrir de leurs sang jusqu'Ă  la derniĂšre goĂ»te. Leurs corps si fragile quand je pĂ©nĂštre mes doigts Ă  intĂ©rieur pour manger tout ce qui s'y trouve Ă  comme un animal fĂ©roce. Ne me demande pas quel est mon problĂšme car je ne saurais te dire. C'est peut Etre parce que vous ĂȘtes Dieu vous aime et nous mĂ©prise. Je l'avoue ça me fais mal au plus profond de mon ĂȘtre. OuĂŻ j'ai mal. Je suis comme ça. Je sais seulement tuĂ© , le diable m'a appris Ă  agir de cette façon qui est de faire le mal au homme comme par exemple me nourrir de la chair depuis toute petite... il m'a toujours fait comprendre que l'amour c'est pour les faibles. Appel moi zena la fille de satan Venez suivre mon histoire #la_fille_du_diable ____^_=___^__=____

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Romance

4.8

Lucian Ă©tait toujours dĂ©goĂ»tĂ© par Giselle. MĂȘme si elle faisait tout pour gagner son amour, il n'a jamais reconnu ses efforts pendant trois ans. Giselle a vĂ©cu l'enfer. Quand elle l'a finalement quittĂ©, elle s'est sentie revivre. Elle a dĂ©cidĂ© de se tenir Ă©loignĂ©e des hommes et de se concentrer sur sa carriĂšre. Lucian pensait qu'elle allait souffrir et revenir en courant vers lui. Mais Ă  sa plus grande surprise, elle est apparue en tant que PDG de l'entreprise qui rivalisait avec la sienne. Qui diable avait-il Ă©pousĂ© ? Lucian Ă©tait bouleversĂ© d'apprendre que Giselle avait plusieurs identitĂ©s secrĂštes. En une seule personne, elle Ă©tait une avocate respectĂ©e, une hackeuse hors pair et une crĂ©atrice renommĂ©e ! Plus que tout, Lucian se sentait trompĂ©. Il l'a confrontĂ©e un jour en criant : « Putain, qui es-tu vraiment, Giselle ? Qu'est-ce que tu me caches de plus ? » « Et toi, qui es-tu pour me poser une telle question ? Je ne te connais pas, rappelle-toi », a rĂ©pliquĂ© Giselle. Giselle pensait qu'il aurait honte aprĂšs sa rĂ©ponse, mais elle ignorait qu'une grande surprise l'attendait. D'une maniĂšre ou d'une autre, Lucian est tombĂ© Ă©perdument amoureux d'elle. Il utilisait de nombreux subterfuges pour la reconquĂ©rir. « Remarions-nous, Giselle. Je t'aime », a-t-il dit avec passion. Les mains sur les hanches, elle a rĂ©pondu : « Oh, chĂ©ri. DĂ©solĂ©e, c'est impossible. » « Mais tu es la seule pour moi. Je ne peux pas vivre sans toi. Je regrette ce que j'ai fait auparavant. » Giselle a Ă©clatĂ© de rire. Serrant les dents, elle a rĂ©pondu : « Il est trop tard maintenant pour s'excuser. » L'amour peut-il ĂȘtre restaurĂ© lĂ  oĂč il n'a jamais existĂ© ?

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