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INITIE-MOI... Mes jours contre tes nuits

INITIE-MOI... Mes jours contre tes nuits

Le tournant

5.0
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Chapitres

Ingride supporte vivre chez un homme d'affaire trÚs riche ils sont dans la ville de paris. Malgré toute les maltraitance qu'elle va subir de la par de ce monsieur, elle supportera son travail de boniche chez cet homme à cause qu'elle doit s'occuper de ses enfants. Son mari est décédé et elle joue le rÎle de homme et de la femme. Venez découvrir cet histoire qui est Amour difficile

Chapitre 1 Un patron trĂšs arrogant

initie-moi mon amour

Ă©crit par le messager

Chapitre_1

Ingride : allez les enfants debout il est l'heure pour aller Ă  l'Ă©cole

Ingride, jeune mÚre célibataire de 34 ans vient d'entrer dans la chambre de ses deux enfants pour les réveiller. Mia, sa fille aßnée ùgée de 12 ans se frotte les yeux en boudant. Elle n'est pas du tout contente de la façon dont sa mÚre les réveille.

Judith : maman tu ne peux pas ĂȘtre douce parfois

Ingride : rĂ©veille ton frĂšre vous allez vous laver je me dĂ©pĂȘche de vous faire le petit dĂ©jeuner

Ingride sort de la petite chambre de ses enfants qui comporte un lit Ă  Ă©tage. Mia qui occupe le lit du bas descend du lit et lĂšve la tĂȘte pour rĂ©veiller christophe son petit frĂšre ĂągĂ© de 9 ans. Elle le secoue longuement avant qu'il ouvre les yeux en maugrĂ©ant des paroles que sa sƓur n'Ă©coute pas

Judith : tu dors quoi comme ça lĂšve toi moi je vais me doucher et si tu n'est pas prĂȘte maman va te laisser Ă  la maison seul.

Judith va sous la douche tant dis que son frĂšre peine Ă  se lever.

Nous sommes dans un quartier appelĂ© Mendong dans la ville de paris oĂč ingride occupe un petit studio qu'elle a divisĂ© en deux pour en faire un cĂŽtĂ© la chambre de ses enfants. N'ayant pas assez les moyens pour s'offrir un bel appartement, elle et ses enfants se serrent dans ce mini studio le temps que les choses aillent mieux. Il y a trois ans que la maladie a arrachĂ© brutalement la vie de leur pĂšre Emmanuel avec qui ils vivaient et depuis sa mort Ingride est seule Ă  s'occuper de ses enfants. Elle exerce comme femme de mĂ©nage dans le domicile d'un monsieur trĂšs riche. Ce n'est pas le boulot rĂȘvĂ© pour elle, ce n'est pas non plus la joie de faire le travail de boniche tous les jours pour un homme mĂ©prisant, hautain, irresponsable et nĂ©gligent qui ne pense qu'Ă  s'amuser, mais ça lui permet de nourrir ses enfants et de les envoyer Ă  l'Ă©cole. Ingride a une sƓur aĂźnĂ©e qui vit Ă  l'Ouest du pays avec qui elle partage ses peines et ses joies malgrĂ© la distance qui les sĂ©pare. AprĂšs le dĂ©cĂšs de son compagnon, ingride a dĂ©mĂ©nagĂ© pour un autre quartier Ă  Marseille oĂč elle a trouvĂ© une maison moins coĂ»teuse et Ă  la hauteur de ses moyens, malgrĂ© le fait que sa sƓur lui a plusieurs fois demandĂ© de rentrer Ă  l'Ouest pour mieux vivre. Ingride s'y est toujours opposĂ©e, elle veut rester en ville, travailler dur pour pouvoir offrir Ă  ses enfants un avenir radieux. Pour elle, rentrer Ă  l'Ouest voudra dire qu'elle a Ă©chouĂ©. Ses parents ne sont plus de ce monde du coup rien ne l'encourage Ă  entrer dans sa ville natale.

Ingride apprĂȘte le petit dĂ©jeuner pour ses enfants comme presque tous les matins, du moins lorsqu'il y'en a. Elle dĂ©pose tout sur leur petite table qui occupe son minuscule salon. Judith arrive avec son sac Ă  dos

Judith : bonjour maman

Ingride : Bonjour. Ton frÚre s'est réveillé j'espÚre

Judith : oui il a dĂ©jĂ  fini. Je ne sais mĂȘme pas s'il s'est lavĂ© hein deux minutes il a dĂ©jĂ  fini hummm

Ingride : ça lui ressemble....ehhh christophe fait vite je ne veux pas arriver en retard au travail.

Christophe se dĂ©pĂȘche et sort de la chambre, il traĂźne carrĂ©ment son sac au sol.

Ingride : porte moi le sac lĂ  si tu veux tu dĂ©chire mĂȘme l'annĂ©e prochaine je n'achĂšte le sac Ă  personne, voilĂ .

Christophe boude et va s'asseoir il prend sa tasse.

Christophe : maman n'est ce pas on a fini de composer on va encore Ă  l'Ă©cole faire quoi

Judith : c'est mĂȘme vrai hein nous mĂȘme avions dĂ©jĂ  composĂ© bientĂŽt ce sont les vacances

Ingride : oui mais vous allez faire les corrections. Vous n'irez plus à l'école quand le directeur ou le proviseur vous le dira. S'il ne vous a pas encore envoyé en vacances vous continuez à y aller. Et j'espÚre pour vous que vous avez bien travaillé je n'ai pas l'argent pour payer la pension d'un échoué

Judith : tu es toujours comme ça tu n'as jamais l'argent

Ingride : quand je parle tu fermes ta bouche mal élevée. Faites vite Didon. Judith tu rentres des classes tu chauffes le reste de nourriture je vais rentrer le soir chercher ce qu'on va manger. Tu as compris ?

Judith ne répond pas elle fait mine de n'avoir pas compris

Ingride : fait comme si tu n'as pas compris que je rentre ici et mon fils me dit qu'il n'a pas mangĂ© tu vas me sentir.. buvez moi vite tout le lait dĂ©pĂȘcher vous

Christophe : maman ca chauffe attend nor

Ingride n'a pas trop de temps devant elle, elle fait tout pour ne pas arriver en retard au travail. La derniĂšre fois son patron lui a criĂ© dessus pour juste 2 minutes de retard ce jour-lĂ  elle a cru qu'il allait la virer. Elle a mis la pression Ă  ses enfants, ils ont fini et ils sont partis. C'est toujours un devoir pour elle d'accompagner elle-mĂȘme ses enfants pour l'Ă©cole par prudence mĂȘme s'ils peuvent aller tout seuls. L'Ă©cole n'est pas loin de la maison, ils sont vite arrivĂ©s et ingride a pu trouver son taxi pour le quartier la libertĂ© ou vit son employeur. Elle arrive et sonne. Le gardien lui ouvre. Elle guette au parking ses 3 voitures sont bien garĂ©es ce qui signifie qu'il est lĂ . Ingride travaille chez Monsieur Andrew FOE, jeune hĂ©ritier de 36 ans qui est Ă  la tĂȘte d'une entreprise de transport terrestre et d'un hĂŽtel 4 Ă©toiles et une usine de fabrication d'eau minĂ©rale. Il partage ses fonctions avec son Grand frĂšre qui n'a jamais Ă©tĂ© d'accord que leur pĂšre confie la majoritĂ© de son hĂ©ritage Ă  son petit frĂšre qu'il qualifie d' irresponsable. Andrew est cĂ©libataire sans enfants. Il aime la belle vie ce qui est son point faible, nĂ©anmoins il est trĂšs intelligent et conserve Ă  la perfection les biens de son pĂšre. Ça fait juste un an qu'il a recrutĂ© ingride comme mĂ©nagĂšre, aujourd'hui celle-ci se retrouve en train de tout faire, mĂȘme la cuisine, parce qu'il passe son temps Ă  virer ses employĂ©s pour un oui ou un non...

Ingride entre dans le grand Salon, un dĂ©sordre l'accueille. Des bouteilles et verres partout, les coussins des chaises au sol, certains trainent au balcon, ce n'est pas la premiĂšre fois qu'elle vient trouver la maison dans cet Ă©tat pitoyable, son patron aime faire la fĂȘte et ne se prive pas lorsqu'il a l'occasion. Elle suis les bruits Ă  la cuisine et s'y rend. Une jeune fille s'y trouve, elle a portĂ© un tablier de menage et fait du rangement.

Ingride : bonjour

Elle : bonjour madame

Ingride : tu es qui ?

Elle : je m'appelle violette je suis la nouvelle cuisiniĂšre je suppose que tu es ingride

Ingride : euhh oui.. je ne savais pas qu'il y avait une nouvelle cuisiniÚre tu es arrivée quand.?

Violette : Hier soir tu Ă©tais dĂ©jĂ  partie. C'est monsieur lui mĂȘme qui m'a reçu

Ingride : ok.. bienvenue alors dans ce foutoir

Violette : c'est toujours comme ça avec le désordre ?

Ingride : ah oui. Aujourd'hui c'est moins grave, ils n'ont rien cassé. Tu as vu monsieur ce matin ?

Violette :. Non c'est comme s'il dort encore

Ingride : tant mieux. J'espĂšre qu'il est de bonne humeur aujourd'hui parce que celui lĂ  il me sort souvent par les narines pfff

Andrew : qui te sort par les narines ?

Les deux filles sursautent. Elles n'avaient pas suivi entrer leur patron. Andrew est tenu devant la porte en peignoir, son visage chocolat laisse voir les traces d'eau qui n'ont pas séché, ses cheveux mouillés qui coulent sur son torse. Il dévisage les filles qui sont devenues muettes

Andrew : Mlle ingride vous avez fait connaissance avec violette c'est notre nouvelle cuisiniĂšre

Ingride : oui monsieur nous avons fait connaissance

Andrew :. Bien. Je peux savoir pourquoi mon petit déjeuner n'est pas servi ?

Ingride regarde violette, celle-ci est bloquée elle ne sait quoi dire, connaissant son patron, Passy sait que si elle ne réagit pas ça va barder pour elle. Elle décide donc d'intervenir

Ingride : euhhh monsieur c'est que euuhh violette me demandait de lui monter le nécessaire pour le petit déjeuner et comment vous le prenez c'est ça qui nous a perdu du temps désolée monsieur

Andrew : hummm ok. Je le veux dans 15 minutes avant de sortir

Ingride : d'accord monsieur.

Il s'en va. Violette pousse un ouff de soulagement.

Violette : merci je ne savais pas quoi dire

Ingride : il faut faire trÚs attention à ce que tu peux lui donner comme réponse il est trÚs bizarre. Il suffit qu'il soit de mauvaise humeur pour te chasser pour rien

Violette : ok. Je me dĂ©pĂȘche alors pour le petit dĂ©jeuner. Tu peux m'aider s'il te plaĂźt

Ingride : ok faisons vite j'ai du ménage à faire.

Les deux femmes se sont mises au travail, elles reprendront le bavardage plus tard. Quelques minutes aprĂšs on sonna Ă  la porte, ingride est allĂ©e ouvrir. C'est un monsieur de la cinquantaine bien vĂȘtu et trĂšs propre. Ingride lui sourit et le laisse entrer

Ingride : bienvenue Monsieur FOE

Mr FOE : oĂč est mon neveu ?

Ingride : il est dans sa chambre monsieur. Je vais le prévenir

Mr FOE : non ça va je vais y aller moi mĂȘme.. pourquoi tout ce bassard dans le salon ne me dit pas qu'il a encore fait la fĂȘte

Ingride : euhhh peut-ĂȘtre.

Mr FOE secouĂ© la tĂȘte en signe de dĂ©solation et se dirige dans la chambre de son neveu. Il cogne et entre. Andrew est devant son Ă©norme miroir, il serre bien sa cravate autour de son cou. À travers le miroir, il peut voir son oncle entrer. Ce dernier va s'asseoir sur le fauteuil qui occupe la chambre et croise les pieds

Andrew : bonjour tonton

Mr FOE : bonjour Andrew. Viens t'asseoir il faut qu'on parle

Andrew : qu'est ce qu'il y a encore mon oncle. Quand tu viens chez moi le matin, c'est pour un problĂšme.

Andrew vient s'asseoir et fixe son oncle.

Andrew : je t'Ă©coute tonton

Mr FOE : j'ai encore reçu une plainte de ton frĂšre. Il dit que tu dilapide de l'argent dans le vin et les femmes et ne me dis pas le contraire il suffit de regarder ton salon pour savoir que tu as encore fait la fĂȘte hier.

Andrew : tonton es-tu allĂ© Ă  l'entreprise on t'a dit qu'il ya un soucis dans les comptes ? Es-tu allĂ© Ă  l'hĂŽtel ? À l'usine mĂȘme pour t'enquerir de la situation financiĂšre ? Comment Henry peut dire que je dilapide l'argent..je fais la fĂȘte c'est avec mon argent et non celui des entreprises. Tonton tu sais que je suis irrĂ©prochable dans mon travail je suis un homme qui ne s'amuse pas avec ses finances des sociĂ©tĂ©s de papa je m'en occupe trĂšs bien et aucune n'a coulĂ© au lieu que Henry vienne m'aider dans la gestion de nos entreprises il va s'asseoir chez lui pour mĂ©dire de moi..petit jaloux oui

Mr FOE : ton frĂšre s'inquiĂšte pour toi

Andrew : il ne s'inquiÚte pas pour moi tonton c'est un jaloux il n'a jamais été d'accord avec le fait que papa m'est tout confié. Ce n'est pas de ma faute si papa a cru en moi et non à lui.. je suis un leader et je l'ai longtemps prouvé en travaillant avec mon pÚre pendant que lui se baladait en Europe. Il réclame quel héritage ? Il sait comment tourne un hÎtel ? Une usine de transformation, il sait comment ça fonctionne ?. n'importe quoi qu'il me fiche le camp

Mr FOE : écoute mon fils ton pÚre n'a pas voulu que ses enfants se déchirent à cause de cet héritage, c'est pour vous deux donc n'en fait pas une affaire personnelle

Andrew : je n'ai jamais empĂȘchĂ© Henry de venir m'aider je ne lui ai jamais interdit de donner son avis dans nos affaires mais Ă  chaque fois qu'il ya rĂ©union d'administration je l'appelle il me dit que ça me regarde mais lorsqu'il faut partager les bĂ©nĂ©fices je 'lui envoi sa part, non lĂ  il prend jusqu'Ă  revendiquer une plus grande part parce qu'il est le grand frĂšre. Tonton dit lui que s'il ne veut pas venir travailler avec moi qu'il reste chez lui et attend son argent tous les mois, les plaintes Ă  deux balles lĂ  il sait oĂč les mettre. Moi j'en ai fini.

Mr FOE : d'accord. Maintenant parlons d'autres choses, tu attends quoi pour te responsabiliser ? A ton Ăąge tu passe ton temps Ă  jouer la vie tu changes les femmes comme si c'Ă©tait des chaussettes. Cette maison est grande mais vide, ça te plaĂźt de rester ici seule ? Ne va tu pas te trouver une femme Andrew tu prends de l'Ăąge mon fils penses-y et arrĂȘte moi ce dĂ©sordre la..tu es peut-ĂȘtre bon en affaires mais cĂŽtĂ© femmes c'est la catastrophe. J'ai trĂšs honte quand je viens ici trouver la maison d'un homme qui se dit responsable dans un Ă©tat de cochon. Si tu veux que ton frĂšre te respecte mari toi aussi comme lui fonde une famille tu auras le respect de plus d'un crois moi. Tu m'as compris ?

Andrew : j'ai compris mais tu sais tonton le mariage ne me dit rien je ne vais pas me marier pour les formalitĂ©s il faut que je trouve la bonne personne, que je tombe amoureux et ça m'a l'air ĂȘtre compliquĂ© pour moi qui ne sait pas se contenter d'une seule femme. Je ne te promets rien tonton ça viendra quand j'aurai rencontrĂ© l'Ăąme sƓur comme ça se dit

Mr FOE : c'est toi qui voit je te donnais un conseil..bon je vais aller au travail

Andrew : reste déjeuner avec moi on sort tous les deux

Mr FOE : ah non ça va merci j'ai déjà déjeuné ce matin. à plus mon fils

Andrew ; allons je t'accompagne

Andrew est sorti accompagner son oncle jusqu'à la porte, ensuite il est allé à la cuisine. Debout à la porte, il a les mains dans les poches. Il les regarde et prend un air sérieux que ingride connaßt bien, elle sait déjà qu'il va gueuler mais ne sait pourquoi ?

Andrew : je peux savoir pourquoi mon salon est encore dans cet état ? Alors que tu es entrée depuis le matin

Ingride : je vais mettre de l'ordre monsieur je voulais d'abord aider violette pour le petit déjeuner

Andrew : il faut ĂȘtre deux pour faire le petit dĂ©jeuner d'une personne ? Tu me prends pour ton ami ? Tu trouves ça normal qu'Ă  presque 9h mon salon soit encore si sale. N'importe qui va arriver constater que je me suis amusĂ© hein c'est ce que tu veux ?

Ingride : non monsieur. Je suis désolée je vais de ce pas faire le rangement

Andrew : que ça prenne fin cette attitude de petite villageoise. Ce comportement montre Ă  suffisance que ta propre maison est sale et ça va se plaindre d'ĂȘtre cĂ©libataire pfff du vrai n'importe quoi. Si je reviens trouver ce dĂ©sordre je vous fous Ă  la porte toutes les deux, je ne vous paye pas cher pour que vous venez discuter, es ce que je me fais bien comprendre.

Elles : oui monsieur

Andrew : je n'ai plus faim, vous pouvez me débarrasser la table.

Il sort de la cuisine, va prendre son sac et sort de l'appartement. Violette est encore sur le choc, elle est restée quelques secondes dans les vaps sans bouger.

Ingride : ehh ohh violette tu es perdue ?

Violette : je suis dépassée

Ingride : bienvenue chez Monsieur Andrew FOE l'homme le plus sarcastique et dégueulasse que j'ai rencontré. Le plus moche des patrons que j'ai déjà eu. Si ce n'était pas qu'il paie bien et que j'ai des enfants c'est que je ne serais plus ici

Violette : mince quelle arrogance. VoilĂ  le petit dĂ©jeuner qu'il a rĂ©clamĂ© il n'a mĂȘme pas goĂ»tĂ©

Ingride : c'est comme ça qu'il est. Les enfants riches sont toujours aussi mal élevés. Je comprends pourquoi il est célibataire qu'elle femme va accepter ce comportement de petit bourgois pourri gùté. Moi au moins j'avais un homme dans ma vie avant qu'une saleté de maladie me l'a arraché. Lui il a qui ? il a quoi ? Son propre frÚre le déteste, un feignant. J'ai souvent envie de l'empoisonner

Violette : Hahahahahahahaha

Ingride : ris bien demain tu me diras que tu as la mĂȘme envie il est trĂšs prĂ©tentieux.

Violette : je comprends pourquoi ses employĂ©s ne restent pas longtemps. Toi tu as quand mĂȘme durĂ©

Ingride : je sert le cƓur. J'ai besoin de ce travail

Violette : je vois. Et pour le repas il va manger quoi ?

Ingride : c'est ou tu vas saigner ma belle. Bonne chance je vais faire le ménage il peut revenir

Violette : ehhh Passy aide moi pour le repas je ne sais pas ce qu'il aime et il n'a rien dit. Passy s'il te plaĂźt

Ingride : monsieur Andrew aime quelque chose le matin le soir il l'a déteste donc fait ce que tu veux en priant que ce soit à son goût et ne me demande pas quel est son goût je ne sais pas, il change de goût comme il change de copine.

Violette : hummm j'ai cherché le travail j'ai trouvé. Pfff

A suivre...

Continuer

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PARTIE 1 â€Ș20 DĂ©cembre 15h45,‬ -Cliente : Dommage y'a pas ma taille. -Moi : Je peux vous la commander, elle sera disponible la semaine prochaine. -C : Mouais. Autant acheter sur internet alors, ça revient au mĂȘme. Je soupire. -C : Bon, commandez alors. Taille 38. -Moi : Ok. Je vais Ă  la caisse pour passer la commande sur mon ordi, et dis au revoir Ă  ma derniĂšre cliente.. -.. : Dua ! -Moi : Efendim Iknur abla* ? (Oui Iknur?) *Abla= signe de politesse qui signifie grande-soeur. Qu'elle soit ta sƓur ou pas, si la personne est plus que toi, on dit « abla » par respect. -I : Je dois rentrer plus tĂŽt que prĂ©vu, j'dois chercher mon fils â€ȘĂ  16h‬ et l'emmener aprĂšs chez son dentiste. Tu peux fermer la boutique stp ? -Moi : Euh.. -I : Je sais c'est la premiĂšre fois que j'te le demande, mais lĂ  j'ai vraiment pas le choix. Babangile ben haber ederim istersen. (Je prĂ©viens tes parents si tu veux.) -Moi : Yok tamam, ben ararim onlari. (Non c'est bon, je peux les appeler.) -I : Tamam ozaman, Allah razi olsun ! (Ok alors, que Dieu te bĂ©nisse!) Je lui souris et elle se prĂ©pare pour sortir. J'arrive jamais refuser quelqu'un, c'est mon plus grand dĂ©faut. Pour info, Iknur abla c'est ma chef, elle est responsable de la boutique. On est obligĂ© de fermer le magasin â€ȘĂ  19h‬, parce que â€Șvers 18h30‬ le livreur ramĂšne nos commandes chaque jour. Je suis un peu nerveuse, d'habitude je termine â€ȘĂ  16h‬ mais lĂ  je dois carrĂ©ment fermer la boutique, soit â€ȘĂ  19h‬. C'est pas que c'est tard, mais en hiver Ă  cette heure-ci il fait nuit et moi je crains toujours la nuit. J'aime pas ĂȘtre dans les rues en fait, j'suis pas bien au fond de moi. Sans attendre, j'prends mon portable pour appeler ma mĂšre. -M : Kizim ? (Ma fille?) -Moi : Anne, n'apiyorsunuz ? (Maman, vous faĂźtes quoi?) -M : Rien, j'pense au menu de ce soir avec ta grand-mĂšre. Et toi, t'es sortie ? -Moi : Non. Maman, Ilknur abla a dĂ» sortir plus tĂŽt et c'est moi qui doit fermer la boutique. Jt'ai appelĂ© pour te prĂ©venir que je vais rentrer un peu tard ce soir. -M : Hmm, neyse tek bir gĂŒn için. Eve gelirken dikkat et tamam mi ? (Hmm, c'est juste pour un jour. Fais attention quand tu rentres, ok?) -Moi : Tamam, merak etme sen. ÖptĂŒm ! (Dac, tkt pas. Bisous!) Je raccroche et range un peu la boutique. Mon pĂšre et mon frĂšre travaillent, sinon ils pouvaient venir m'accompagner vu que je n'aime pas ĂȘtre seule dans les rues le soir, mais c'est pas la peine. C'est pas comme si il va m'arriver quelque chose.. AprĂšs le passage de deux clientes, je remarque que j'ai reçu un message de Kadir, mon fiancĂ©. « Bien ta journĂ©e ? » Je lui rĂ©ponds aussitĂŽt. -Moi : Oui ça va, comme tous les jours hein. Sauf que je vais sortir Ă  19h aujourd'hui. Et toi ? -K : Ça va, c'est pas trop tard. Prends le bus tranquille. Moi ça va, j'viens de rentrer. -Moi : Cool alors. -K : Ouais, bref vas-y j'vais manger et jouer Ă  la play aprĂšs. On se capte plus tard. J'rĂ©ponds pas. Que rĂ©pondre Ă  un mec non attentionnĂ© ? Vous allez dire « comment ça se fait que t'es fiancĂ©e alors ? ». Bah c'est simple, sa mĂšre m'avait vu Ă  un mariage et elle a contactĂ© ma mĂšre. Mes parents ne voulaient pas, mais en voyant le mec j'ai voulu. C'est la XĂšme famille qui demande ma main, mais c’est la premiĂšre fois que j'ai voulu essayer. Du coup on a commencĂ© Ă  se parler, Ă  se connaĂźtre.. et on s'entendait bien. Puis on a dĂ©cidĂ© de se fiancer il y a un mois. Mais depuis quelques temps, j'ai l'impression qu'il se lĂąche un peu. -Moi : Bref, c'est pas le moment de penser Ă  n'importe quoi. Le temps passe et l'heure de la fermeture arrive enfin. Je prends le bus, descends Ă  mon arrĂȘt et commence Ă  marcher. Malheureusement le plus proche arrĂȘt est Ă  20 minutes Ă  pied de chez moi, c'est vraiment pas pratique de marcher dans le froid dans un coin perdu. Oui parce que j'habite un peu loin de la ville de Grenoble. Je marche dans la rue tranquille, jusqu'Ă  que j'aperçois trois hommes assis sur les escaliers. Je baisse direct ma tĂȘte, et accĂ©lĂšre mes pas en lisant Ayet-el KĂŒrsi (sourate Ayat Al Kursi) dans ma tĂȘte. -H1 : Mais qui voilĂ  ? Mdrrr -H2 : Une voilĂ©e mdrrr. Je fais pas attention Ă  ces alcooliques, et continue mon chemin. -H1 : Attends miss, on va pas te manger ! -H2 : Pourquoi tu mens ? Mdrr -H3 : Laissez-la tranquille, c'est pas une meuf pour nous. -H1 : Parce qu'elle a le voile ? Et alors ? Une femme reste une femme. Je commence limite Ă  courir mais ils bloquent mon chemin. -H1 : T'es pressĂ©e ? Ça tombe bien, nous aussi. -H2 : Elle a de beaux yeux en plus. -Moi : Laissez-moi tranquille ! J'voulais m'Ă©loigner d'eux, mais l'homme1 me tient par le bras. -Moi : LĂąche-moi ! -H1 : Allez, on va juste s'amuser un peu. -Moi : Mais allez vous faire f.. Je reçois une gifle, et l'homme2 me tient aussi en fermant ma bouche. J'essaye de me dĂ©battre, de leur donner des coups, mais j'arrive pas. -H3 : Vous ĂȘtes fous ! Ça sera sans moi cette fois-ci

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Milliardaire

5.0

Kalinda Mon cƓur est comme du verre cristallin trĂšs fragile. Il se briserait Ă  rien. Non. Je corrige! Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© brisĂ©. PiĂ©tinĂ© encore et encore par mes parents adoptifs et ma sƓur cadette. AussitĂŽt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sƓur adorĂ©e
 Je n'Ă©tais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intĂ©rĂȘt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptĂ©e, si c'Ă©tait pour m'abandonner, de mĂȘme que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me dĂ©fendre. Je ne dois mĂȘme jamais m'agiter
 plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cƓur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'ĂȘtre si durement traitĂ©e depuis l'enfance
 Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter
 ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermĂ© dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la dĂ©faite contre ma sƓur cadette encore et encore
 Acceptant l'Ă©loignement constant de mes parents, petit Ă  petit... jusqu'Ă  ĂȘtre reniĂ©e et chassĂ©e de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'Ă©taient si proches! Acceptant aussi tous mes rĂȘves brisĂ©s. Mais c'Ă©tait avant qu'il entre dans ma vie
 lui
 cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent Ă  Orlando qu'il a un cƓur de glace! Il est devenu ma rĂ©demption. Mon jardin secret. Ma fragile espĂ©rance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rĂȘve trĂšs vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve Ă  mon chevet Ă  mon rĂ©veil, dans cette chambre d'hĂŽpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissĂ© croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonnĂ© vie. Comment pourrais-je lui tĂ©moigner mon Ă©ternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libĂ©rateur. MĂȘme s'il dĂ©sirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hĂ©siter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruautĂ© que toutes ces femmes dĂ©crivent? Petit Ă  petit j'apprends Ă  dĂ©couvrir que derriĂšre cette façade trĂšs cruelle, se cache en fait un homme trĂšs tendre!

CƓur de Bad Boys: Les jumeaux

CƓur de Bad Boys: Les jumeaux

Romance

5.0

Sam et Yan, les jumeaux de Tara et Tyler ont maintenant dix-huit ans. Il est temps de lĂącher du lest et de les laisser vivre comme des jeunes de leur Ăąge loin de Los Angeles, de la Mafia et du gang. Mais est-ce vraiment la solution de les envoyer Ă  Miami, la ville oĂč Tyler a vĂ©cu l'enfer pendant une annĂ©e ? Une rencontre avec un garçon pourrait chambouler Sam qui n'est que le double fĂ©minin de son pĂšre et crĂ©er des tensions entre elle et son frĂšre. Mais ce n'est rien comparĂ© au passĂ© de leur pĂšre qui va chambouler leur vie et crĂ©er un Ă©norme gouffre dans cette famille si unie. Entre amour et haine, la vie de Sam ne sera qu'un perpĂ©tuel recommencement de ce que son pĂšre a vĂ©cu. Mais est-elle vraiment la mĂȘme que son pĂšre et cet mec est-il vraiment ce qu'il dit ĂȘtre ? AprĂšs tout, leur histoire a commencĂ©e par un mensonge, elle ne peut que finir dans le drame. Voici donc enfin la suite de CƓur de Bad Boys tant attendue. Je vous rappelle que je ne suis pas une pro de l'orthographe ni de la grammaire et que mon imagination surpasse tout ça si vous prenez le temps de lire. Je suis femme et maman avant tout et je publie au fur et Ă  mesure de mes Ă©crits donc soyez patients avec moi 😅 Je rĂ©ponds Ă  tous les commentaires car j'aime partager avec les fans qui me suivent. En espĂ©rant qu'elle vous plaira autant que moi, j'aurai du plaisir Ă  l'Ă©crire. UsagiChan77💜💜💜💜

La reine libérée

La reine libérée

Romance

5.0

Il suffit d'une seconde pour que le monde d'une personne s'Ă©croule. Ce fut le cas pour Hannah. Pendant quatre ans, elle a donnĂ© tout son amour Ă  son mari, mais un jour, il lui dit froidement : « Divorçons. » Hannah rĂ©alisa que tous ses efforts des annĂ©es passĂ©es Ă©taient inutiles. Son mari ne s'Ă©tait jamais rĂ©ellement souciĂ© d'elle. Alors qu'elle assimilait encore le choc, sa voix indiffĂ©rente continua : « ArrĂȘte de faire semblant d'ĂȘtre surprise. Je n'ai jamais dit que je t'aimais. Mon cƓur a toujours appartenu Ă  Eliana. Je t'ai Ă©pousĂ©e seulement pour calmer mes parents. Tu Ă©tais naĂŻve de croire autrement. » Le cƓur d'Hannah se brisa en mille morceaux tandis qu'elle signait les papiers du divorce, marquant ainsi la fin de son rĂšgne en tant qu'Ă©pouse dĂ©vouĂ©e. La femme forte qui Ă©tait en elle se manifesta alors rapidement. À ce moment-lĂ , elle jura de ne plus jamais dĂ©pendre d'un homme. Son aura Ă©tait extraordinaire lorsqu'elle entreprit un voyage pour se retrouver et maĂźtriser son propre destin. À son retour, elle avait tellement mĂ»ri et Ă©tait complĂštement diffĂ©rente de l'Ă©pouse docile que tout le monde connaissait autrefois. « Que fais-tu ici, Hannah ? Est-ce ta ruse pour attirer mon attention ? », demanda son arrogant ex-mari. Avant mĂȘme qu'elle puisse rĂ©pliquer, un PDG autoritaire apparu de nulle part et la prit dans ses bras. Il lui sourit et dit avec audace : « Juste pour te prĂ©venir, Monsieur. C'est ma femme bien-aimĂ©e. Éloigne-toi d'elle ! »

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