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MIRAH

Les livres d'MIRAH(5)

Un amour inconditionnel

Un amour inconditionnel

Romance
5.0
Je me présente je m'appelle Dustin Wilkinson et je suis âgé de 21ans et j'étudie à l'université de Tucson en Arizona où je prépare mon Master en business d'entreprise. Je suis en couple avec mon amie d'enfance Bella depuis mes 15 ans environ et tout le monde pense qu'on vivra un amour incontrôlable comme mes parents auparavant, mais moi j'en doute car je sent très bien que notre histoire n'as pas autant de potentiel qu'eux. Partir vivre en Arizona a été dur pour mes parents et mes petits frères et sœurs. Mais je ne suis pas parti tout seul car je suis parti avec mes deux meilleurs amis de toujours Jayden et Owen tout comme nos parents qui le sont depuis leur maternelle notre amitié est solide et je sais que je pourrais toujours compter sur eux. Même si pour nos parents la séparation a été rude, nous avons chacun nos buts et nous ferons tout pour y arriver. Depuis quelques temps, je vis quelque chose que je n'avais jamais vécu avant, je suis complètement sous le charme de ma conseillère d'orientation elle est tellement belle et sexy, et en plus je la connais très bien car je l'ai sauvé de la noyade au début de l'été dernier et nous nous sommes vu quelques fois, puis je ne sais pas pourquoi elle a disparue tout d'un coup sans donner de nouvelles. Donc le fait de la revoir ici m'as fait replonger dans nos moment passés ensemble, elle fait tout pour m'éviter pour ne pas que nous ayons le moindre contact , mais moi je ferais tout pour discuter avec elle même braver l'interdit.
De la HAINE à L' AMOUR

De la HAINE à L' AMOUR

Fantaisie
5.0
Une histoire émouvante, basée sur la tristesse. Si vous décidez de la lire, alors lisez la jusqu'à la fin pour découvrir les merveilles qui s'y trouve. Un couple, marié. Un couple pauvre mais qui vivait a la sueur de son front. Un couple de travailleurs, d'infatigables sis a la banlieue dakaroise avec leur petite famille. Un couple de jeunes, amoureux et qui s'entendait à merveille. Effectivement, Khardiata Pouye et Omar Ndir vivait un amour inconditionnel avec "de l'eau fraiche". L'epouse, Khar est issue d'une famille très aisée. Son père, elle l'a perdu tôt, a l'âge de 9 ans. Le frère de lait de son pere a hérité de sa mère apres le veuvage. Ce qu'on appèle le levirat. Khar aussi a hérité d'un nouveau père qui s'occupait bien d'elle et qui, comme ses autres " frères" bénéficiait d'un confort sans conteste. Le seul hic est qu'elle et ses cousines ou soeurs n'ont jamais posé le derrière sur une table d'école. Elles n'ont meme pas cherché à le convaincre. Son nouveau père était très strict là dessus, extrêmement et exagérément. Les garcons avaient ce droit mais les filles n'ont pas droit a l'éducation occidentale. En dépit de leur vie dakaroise. Car lui avait un bon poste au chemin de fer de Thiès, un poste qui payait beaucoup et si ce n'était pas lui qui venait deux Week-end dans le mois, ce sont ses deux femmes qui partaient le voir. La mère de Khar et sa coepouse. Tout le temps, il insistait sur le fait que les filles ne doivent ni aller a l'école ni frequenter celles qui y vont Elles pouvaient jouer, s'amuser entre elles et aider leur mère ou tante dans les corvées ménagères. C'est ainsi que Khar ne connaît pas un mot français. Elle était couvée, nourrie, habillée et blanchie. En plus d'etre belle a souhait, soignée et respectueuse, Khar s'y connaissait en très bonnes cuisines. Elle savait faire de très bons plats et surtout des jus excellents et des " radis", crèmes glacées mises dans des sachets. Elle savait coudre des boutons manquants, repasser du linge bien lavé, récurer des pièces. Bref, elle était jeune, belle et en âge de se marier. Pour pouvoir couvrir ses besoins personnels, ceux qu'elles n'aura pas besoin de demander à son père ou a sa mère, elle a décidé un jour de vendre son jus. Avant midi, les bouteilles qu'elle échangeait pour une piece de 50 francs étaient dans le réfrigérateur. A treize heures, avec sa glacière et en tenue correcte, elle vendait en faisant le tour du garage pour servir les apprentis et les chauffeurs. Elle s'en sortait bien. Et les gens appréciaient énormément cette petite bouteille de pain de singe, bissap, ditakh ou gingembre. Avec un fort caractère plus un sourire simple, elle trouvait son gain dans cette activité.
Au carrefour de nos différences

Au carrefour de nos différences

Romance
5.0
Ce sont les coups de klaxons appuyés des voitures derrière elle qui avaient ramené Elisa à la réalité. Totalement plongée dans ses tristes pensées, elle ne s’était même pas rendu compte que le feu était passé au vert depuis plusieurs secondes. Se ressaisissant, elle démarra prestement suivant le même parcours qu’elle connaissait par cœur pour l’avoir fait chaque jour de semaine en aller-retour depuis trois années maintenant. Même si elle essayait de se concentrer sur sa conduite, elle ne pouvait chasser cette grosse amertume qui envahissait son être et rendait ses yeux larmoyants. Elle avait beau s’être juré de se montrer forte et ne pas céder à la détresse, cela lui était impossible. Tout comme son cœur, son âme aussi se déchirait à l’idée de savoir que ce soir, Ousmane, son Ousmane, se retrouvera dans les bras d’une autre femme sans qu’elle ne puisse rien y faire. La douleur qu’elle ressentait depuis la veille au soir, quand il l’avait prévenu de ce long weekend qu’il allait passer avec l’autre, était tellement vive qu’elle se demandait comment elle faisait pour rester encore un tant soit peu lucide. Si elle avait passé une nuit carrément blanche pour n’avoir pas fermé une seule fois les yeux, ce matin, elle s’était armée de tout son courage pour montrer un visage serein à ses enfants qui ne se doutaient pas encore des changements importants qui allaient survenir dans leur vie de famille. En effet, même si Ousmane l’avait mis au courant de son second mariage dès le lendemain de la célébration de celle-ci, toute à sa peine, elle avait complètement oublié ses enfants et ne leur avait pas encore annoncé la nouvelle. Elle savait qu’Ousmane ne s’attèlerait jamais à cette difficile tâche et que ce sera donc à elle de les aviser. Mais comment leur dire que leur père allait avoir une autre vie avec une autre femme, une autre maison, une autre famille avec des enfants qui ne seront pas d’elle et, surtout, qu’eux si attachés à lui ne le verront plus que tous les deux jours ?