Alesia avait enfin eu la vie de couple qu'elle voulais mais elle ne s'attendait pas a ce que les démons du passé surgissent de nul part
Chapitre 1 1
1
~~~~Alesia
Il vient de garer sa voiture devant la villa mais ne m'adresse pas la parole , quand il était rentré dans le bureau, directement, il a donner un coup a martin qui est tomber inconscient si je me souviens bien car les choses sont passé tellement vite que je suis toute bleu.
Il m'avait trainé dans la voiture et nous voilà .
- Qu'est ce qui t'arrive au juste ? Pourquoi tu agis de cette façon ? Dis-je en me tournant vers lui.
- Qu'est-ce que tu faisais avec lui les seins en l'air ? Dit-il d'une voix grave.
- Je vĂ©rifiait l'Ătat du bĂ©bĂ© rien de plus.
Il sort de la voiture et claque la porte de telle façon que je sursaute. Mes mains commence a trembler car je ne sais pas ce qui l'énerve a ce point. TrÚs rapidement, je me retrouve hors de la voiture avec un poignet bien saisi par mon mari. Sans perdre de temps, il ouvre la porte d'un coup de pied et me traßne dans le salon telle une sac de patate.
- Lorenzo ? Dit la petite voix de Gabriela derriĂšre nous.
Elle a vraiment grandir car fĂȘter ses 14 ans est son plus grand rĂȘve a prĂ©sent.
Lentement, Lorenzo se tourne vers sa sĆur
- Je passe plus tard dit-il sans attendre la moindre mot de ce que sa sĆur essaye de lui communiquer.
Il monte les escaliers et trĂšs rapidement, il ouvre la porte de notre chambre et me balance sur le lit pas brutalement...mais suffisamment pour me prĂ©venir de mon sort. Le bruit de la serrure de la porte me terrifie au plus haut degrĂ© de mon cĆur.
- Ăcoute Lorenzo, s'il te plaĂźt ouvre la porte je me sens pas bien.
- Ferme la avant que je m'Ă©nerve encore plus que je le suis.
Il s'approche du lit et se courbe pour ĂȘtre a ma hauteur.
- Je suis tranquillement dans mon jet pour L'Australie et tu sais ce que ton garde ma dit ?
J'Ă©tais sur le point de parler mais il m'empĂȘche en posant son doigt sur mes lĂšvres.
- Tu es dans le bureau de ce fils de pute de martin et le pire ma femme est nue devant un autre.
- Non...non tu exagĂšre la je te jure que....
- Shutt ...shutt tu me traite de menteur ?
- Non...mais je te promet que je ne faisais rien de mal j'avais juste mal au ventre
- Et il allait vĂ©rifier l'Ătat de ton Libido.
- Mais qu'est-ce-que tu racontes a la fin. Il allait juste regarder l'Ătat du bĂ©bĂ© et me prescrit quelques mĂ©dicaments pour mon mal.
- Toi tu me trompe ? Tu couche avec qui d'autre ? Dit moi
J'écarquille immédiatement les yeux en étant sur le point de me défendre mais, il pose ses lÚvres sur les miennes et serres mes deux mais dans les siens tellement fort qu'aucun bruit ne puisse sortir de ma bouche.
- Qu'est-ce-que je vais pouvoir te faire dire moi ?? Tu est tellement fragile qu'a la moindre geste tu pourrais tomber dans un coma.
- Pourquoi tu crois que je te trompe ? Jamais je ne ferai une chose pareil tu es le seul homme.
Si moi-mĂȘme je ne cherche pas a ĂȘtre dĂ©capitĂ© avec ma fille dans le ventre, je vais ouvrir mes cuisses a un autre homme que lui ?
- Ah bon ? Et si on vérifiait sa ?dit-il en dirigeant sa main vers mon entre jambe.
Je ne sais pas veux qu'il a derriĂšre la tĂȘte mais, je veux vraiment qu'il continue.
Il ouvre lentement la fermeture de mon pantalon et m'en débarrasse avec ma petite culotte.
- C'est quoi cette culotte ? Elle n'est pas en mon goût change le, je ne veux plus la voir sur toi a l'avenir.
AprĂšs ses mots, il se lĂšve et se dĂ©barrasse de ses vĂȘtements puis reviens se coucher sur moi. Il commence a poser quelques baisĂ© sur mon visage, mon cou et s'arrĂȘte sur mes seins qui sont Ă©norme a cause de la grossesse.
- Ce soutien gorge non plus.
Il le balance sur le sol et prend le tĂ©ton de mon sein gauche dans la bouche puis masse le second. MĂȘme si j'Ă©vite a tout prix de gĂ©mi pour dĂ©ranger Gabriela, il y va tellement fort que toute la piĂšce est remplie de mes cries de plaisir.
Quelques minutes aprÚs, il quitte mes seins et pose son regard sur mon ventre gonflé. J'aurais aimé qu'il communique avec sa fille comme les genres normaux mais la , c'est Lorenzo il ne le fait jamais.
Il pose juste un baisĂ© sur mon ventre, juste sa me faire sourire comme une gosse. Quand je sens sa langue en moi, je reviens a la rĂ©alitĂ© et commence a guider sa tĂȘte pour qu'il aille encore plus profond.
Il arrĂȘte tout au moment ou j'attends le moins et reviens sur mes lĂšvres.
- C'est le moment si tu me ment, je le saurais
Puis il entre en moi difficilement, c'est normal sa fait quand mĂȘme 2 mois si mes souvenirs son en place. Il avait passer un moi en France et 1 mois en Espagne... Je me demande si il a pu vraiment se tenir durant tout ce temps ou au contraire c'est lui qui me... .... Non.. Non je ne veux pas pensĂ© a sa pour le moment.
Il commence a bouger lentement les yeux fermés.
- Oh putain tu es tellement serrĂ© dit-il en doublant d'ardeur. MĂȘme si mon ventre me faire mal, je ne peux pas l'arrĂȘtĂ© en ce moment.
Mais contrairement a moi, la sonnerie de son téléphone nous interrompre.
Il ouvre enfin les yeux et ses iris noir rencontre le mien. Je le trouve tellement beau en ce moment, d'ailleurs il l'ai tout les jours. Il se retire de moi et sort son téléphone de la poche de son pantalon.
- Pronto..... ok fai quello che hai fatto (d'accord fait ce que tu as a faire) dit-il en s'asseyant sur le bord du lit.
Passer des années a coté de lui ne me permet toujours pas de comprendre l'italien ni parler a part Pronto qui est d'accord, je ne comprend rien.
Le voir de dos avec ses nombreux tatouages m'excite tellement que je me relĂšve a mon tour et pose mes doigts dessus puis commence a les caresser doucement. Mes mains quittent trace vers son bas ventre mais il attrape justement ma main avant que je ne le touche.
Il raccroche l'appelle et pose ses lĂšvres sur les miennes une fois... deux fois...et la troisiĂšme fois, il se lĂšve et quitte le lit pour entrer dans la salle de bain.
J'espÚre sincÚrement qu'il ne va pas encore sortir...je l'espÚre. Je reste coucher la totalement fatiguer et quelques minutes suffisent pour qu'il ressort de la salle de bain une serviette autour de son rein et directement il se dirige vers le dressing. Il doit sûrement vouloir changer quelques chose...oui c'est sa sûrement.
Je quitte a mon tour le lit et entre dans le dressing ou je le voir mettre un cargo bleu accompagné d'un t-shirt blanc.
- Tu sors ? Demanda-je curieusement.
- Ăa ne ce voit pas ?
- Tu vas ou ? Je te rappelle que tu viens de rentrer aprĂšs deux mois de voyage.
- Je vais travailler si tu as oublié
- Je croyais que c'Ă©tait ce que tu faisais durant toute ce temps
Il arrĂȘte devant ses montres de lux aligner et tourne le regard vers moi en fronçant les sourcils.
- J'ai l'impression que tu me faire une caprice la.
- Non...deux mois Lorenzo deux mois... je t'en prie juste une seul journée....ta femme te demande juste une seule journée.
Il met des baskets puis sort du dressing sans m'adresser la moindre regard. ComplÚtement troublé par son comportement a mon égard, je le suis dans les escaliers en espérant le faire changer d'avis.
- Je t'en prie Lorenzo
- Tu me casse les couilles toi dit-il en ouvrant la porte principale mais il s'arrĂȘte sur ses pays et tourne le regard vers moi. Tu ne sors plus sans mon autorisation
Et puis il ferme la porte derriĂšre lui. Les larmes coulent au long de mes joues sans que je ne me contrĂŽle. Il Ă©tait pourtant romantique avec moi dĂšs le dĂ©but. Il restait tout le temps a mon cheville mais toute a changĂ© quand il Ă©tait du retour d'Espagne. Il est devenu distant et agressif et moi.... Je me sens impulsif. Je ne sais plus quoi faire. Le plus pire dans tout sa, c'est que je ne regrette pas d'ĂȘtre liĂ© a lui a jamais. Je l'aime de plus en plus chaque jour.
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