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Derniers Jours

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WILL WRITING

5.0
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Bien de choses s’apprennent ailleurs qu’à l’école ou dans les livres. Apprendre à vivre par exemple, l’un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s’apprend partout. On ne sait plus vivre ! Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c’est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l’absurde de bien des ambitions. Alors Pourquoi s’en faire ? Pourquoi réfléchir ? Pourquoi travailler ? Quand tout est vanité ! Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ? Notre monde nous apparaît comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible. On ne peut rien y changer, ce qui a été c’est ce qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes effets ! Et l’homme ne semble jamais comprendre. Je voudrai en parler, partager, mais c’est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j’ai peur d’être seule ! La vie m’a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours ! Je me prénomme Lana, j’ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n’osent aborder. J’ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd’hui je suis sans-emploi pourtant ça n’a pas toujours été comme cela. Même si je n’étais pas épanouis dans mon travail, j’étais performante. Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisième année surtout que je suis financièrement stable. Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux âmes sensibles.

Chapitre 1 1

Bien de choses s’apprennent ailleurs qu’à l’école ou dans les livres.

Apprendre à vivre par exemple, l’un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s’apprend partout.

On ne sait plus vivre !

Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c’est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l’absurde de bien des ambitions. Alors

Pourquoi s’en faire ?

Pourquoi réfléchir ?

Pourquoi travailler ?

Quand tout est vanité !

Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ?

Notre monde nous apparaît comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible.

On ne peut rien y changer, ce qui a été c’est ce qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes effets ! Et l’homme ne semble jamais comprendre.

Je voudrai en parler, partager, mais c’est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j’ai peur d’être seule ! La vie m’a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours !

Je me prénomme Lana, j’ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n’osent aborder. J’ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd’hui je suis sans-emploi pourtant ça n’a pas toujours été comme cela. Même si je n’étais pas épanouis dans mon travail, j’étais performante.

Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisième année surtout que je suis financièrement stable.

Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux âmes sensibles.

Mon enfance ! Ces années d’innocence ou rien d’autre à part manger, jouer, dormir et visionner ne comptaient pour moi ; ces années semblaient longues mais c’est seulement à l’âge où la responsabilité commence à peser qu’on se rend finalement compte à quel point le temps passe très vite. J’ai eu une enfance meilleure pourtant je n’ai jamais connu mes parents. Les sœurs disaient m’avoir récupéré dans un hôpital, abandonné par ma mère dont l’identité restait inconnue. Même pas l’ombre d’un père ? Dommage car ils ne savent pas ce qu’ils ratent !

J’avais grandit avec beaucoup d’amour auprès de mes deux mère : sœur Isabelle et sœur Thérèse et de mes « frères et sœurs « de l’orphelinat. Nous n’avions pas beaucoup, pourtant nous étions heureux. L’amour régnait. Tous les soirs excepté les dimanches qui étaient réservés aux cultes dans la grande paroisse, nous allions à La Chapelle où nous offrions des sacrifices, récitions des prières, chantions des cantiques avec à la fois beaucoup de sérieux et une légèreté nous imaginants que par la multitude de nos paroles et de nos sacrifices, nous pourrions nous gagner les faveurs du ciel. Nous nous croyions meilleurs que les autres et pures dans nos âmes. Au moins le ciel nous récompensait bien car nous ne manquions presque de rien car je ne me souviens pas avoir dormi un seul jour le ventre vide. Nous étions bénis en quelque sorte !

Mon enfance passa vite et très vite je devenais une femme. J’avais quinze ans lorsqu’un événement tragique qui bouleversa ma vie se produisit : Anaëlle nous avait quitté à l’âge de quinze ans des suites d’une maladie de naissance alors que les médecins lui prédisaient une vie jusqu’à 26 ans au moins. Les sœurs s’étaient remises à Dieu et ce jour j’ai compris que comme la drogue, ou la musique, ou le travail, la religion est une fuite devant la vie. Dieu est au ciel et moi je suis sur la terre à perdre des gens que j’aimes.

Car Anaëlle et moi étions proches, tellement proches qu’on nous avait surnommé les siamois et sa perte eu un impact considérable sur ma vie. Je voyais désormais la vie autrement et je n’avais plus qu’une envie en tête : Atteindre mes dix huit ans et quitter l’orphelinat afin d’affronter mon destin comme une vaillante guerrière. Je ne pouvais pas rester là à subir ; il m’était primordial de me sortir de l’injustice de la vie. J’étais persuadée que le bonheur se trouvait en dehors de cet orphelinat qui autre fois était une maison pour moi mais ressemblait de plus en plus à une prison avec le temps. Puis le moment vînt ! Après trois année à méditer sur ma vie, J’eus dix-huit ans, j’étais libre de partir, de voler de mes propres ailles dans un monde que je ne connaissais que très peu. Il me fallait un point de chute au plus vite et qui de mieux que : L’ARGENT !

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