Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon DĂ©connexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Derniers Jours

Derniers Jours

WILL WRITING

5.0
avis
7
Vues
5
Chapitres

Bien de choses s'apprennent ailleurs qu'Ă  l'Ă©cole ou dans les livres. Apprendre Ă  vivre par exemple, l'un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus Ă©lĂ©mentaires selon les autres, s'apprend partout. On ne sait plus vivre ! Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, vĂ©hicule privilĂ©giĂ©e de bien des idĂ©es, dĂ©crit la dĂ©cadence de notre civilisation : c'est le cri de la rĂ©volte des uns, le soupir de rĂ©signation des autres. Le hurlement du Rock et la dĂ©rision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanitĂ© de nos constructions et l'absurde de bien des ambitions. Alors Pourquoi s'en faire ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi travailler ? Quand tout est vanitĂ© ! Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ? Notre monde nous apparaĂźt comme une mĂ©canique bien rĂ©glĂ©e, rĂ©gie par un ordinateur insensible. On ne peut rien y changer, ce qui a Ă©tĂ© c'est ce qui sera, les mĂȘmes causes produisent les mĂȘmes effets ! Et l'homme ne semble jamais comprendre. Je voudrai en parler, partager, mais c'est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j'ai peur d'ĂȘtre seule ! La vie m'a dĂ©jĂ  donnĂ© beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours ! Je me prĂ©nomme Lana, j'ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n'osent aborder. J'ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd'hui je suis sans-emploi pourtant ça n'a pas toujours Ă©tĂ© comme cela. MĂȘme si je n'Ă©tais pas Ă©panouis dans mon travail, j'Ă©tais performante. Mais bon je ne me plains pas de continuer mes Ă©tudes en ce dĂ©but de troisiĂšme annĂ©e surtout que je suis financiĂšrement stable. Ceci est mon histoire et il est dĂ©conseillĂ© aux mineurs et aux Ăąmes sensibles.

Chapitre 1 1

Bien de choses s'apprennent ailleurs qu'Ă  l'Ă©cole ou dans les livres.

Apprendre à vivre par exemple, l'un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s'apprend partout.

On ne sait plus vivre !

Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c'est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l'absurde de bien des ambitions. Alors

Pourquoi s'en faire ?

Pourquoi réfléchir ?

Pourquoi travailler ?

Quand tout est vanité !

Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ?

Notre monde nous apparaßt comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible.

On ne peut rien y changer, ce qui a Ă©tĂ© c'est ce qui sera, les mĂȘmes causes produisent les mĂȘmes effets ! Et l'homme ne semble jamais comprendre.

Je voudrai en parler, partager, mais c'est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j'ai peur d'ĂȘtre seule ! La vie m'a dĂ©jĂ  donnĂ© beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours !

Je me prĂ©nomme Lana, j'ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n'osent aborder. J'ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd'hui je suis sans-emploi pourtant ça n'a pas toujours Ă©tĂ© comme cela. MĂȘme si je n'Ă©tais pas Ă©panouis dans mon travail, j'Ă©tais performante.

Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisiÚme année surtout que je suis financiÚrement stable.

Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux ùmes sensibles.

Mon enfance ! Ces annĂ©es d'innocence ou rien d'autre Ă  part manger, jouer, dormir et visionner ne comptaient pour moi ; ces annĂ©es semblaient longues mais c'est seulement Ă  l'Ăąge oĂč la responsabilitĂ© commence Ă  peser qu'on se rend finalement compte Ă  quel point le temps passe trĂšs vite. J'ai eu une enfance meilleure pourtant je n'ai jamais connu mes parents. Les sƓurs disaient m'avoir rĂ©cupĂ©rĂ© dans un hĂŽpital, abandonnĂ© par ma mĂšre dont l'identitĂ© restait inconnue. MĂȘme pas l'ombre d'un pĂšre ? Dommage car ils ne savent pas ce qu'ils ratent !

J'avais grandit avec beaucoup d'amour auprĂšs de mes deux mĂšre : sƓur Isabelle et sƓur ThĂ©rĂšse et de mes « frĂšres et sƓurs « de l'orphelinat. Nous n'avions pas beaucoup, pourtant nous Ă©tions heureux. L'amour rĂ©gnait. Tous les soirs exceptĂ© les dimanches qui Ă©taient rĂ©servĂ©s aux cultes dans la grande paroisse, nous allions Ă  La Chapelle oĂč nous offrions des sacrifices, rĂ©citions des priĂšres, chantions des cantiques avec Ă  la fois beaucoup de sĂ©rieux et une lĂ©gĂšretĂ© nous imaginants que par la multitude de nos paroles et de nos sacrifices, nous pourrions nous gagner les faveurs du ciel. Nous nous croyions meilleurs que les autres et pures dans nos Ăąmes. Au moins le ciel nous rĂ©compensait bien car nous ne manquions presque de rien car je ne me souviens pas avoir dormi un seul jour le ventre vide. Nous Ă©tions bĂ©nis en quelque sorte !

Mon enfance passa vite et trĂšs vite je devenais une femme. J'avais quinze ans lorsqu'un Ă©vĂ©nement tragique qui bouleversa ma vie se produisit : AnaĂ«lle nous avait quittĂ© Ă  l'Ăąge de quinze ans des suites d'une maladie de naissance alors que les mĂ©decins lui prĂ©disaient une vie jusqu'Ă  26 ans au moins. Les sƓurs s'Ă©taient remises Ă  Dieu et ce jour j'ai compris que comme la drogue, ou la musique, ou le travail, la religion est une fuite devant la vie. Dieu est au ciel et moi je suis sur la terre Ă  perdre des gens que j'aimes.

Car AnaĂ«lle et moi Ă©tions proches, tellement proches qu'on nous avait surnommĂ© les siamois et sa perte eu un impact considĂ©rable sur ma vie. Je voyais dĂ©sormais la vie autrement et je n'avais plus qu'une envie en tĂȘte : Atteindre mes dix huit ans et quitter l'orphelinat afin d'affronter mon destin comme une vaillante guerriĂšre. Je ne pouvais pas rester lĂ  Ă  subir ; il m'Ă©tait primordial de me sortir de l'injustice de la vie. J'Ă©tais persuadĂ©e que le bonheur se trouvait en dehors de cet orphelinat qui autre fois Ă©tait une maison pour moi mais ressemblait de plus en plus Ă  une prison avec le temps. Puis le moment vĂźnt ! AprĂšs trois annĂ©e Ă  mĂ©diter sur ma vie, J'eus dix-huit ans, j'Ă©tais libre de partir, de voler de mes propres ailles dans un monde que je ne connaissais que trĂšs peu. Il me fallait un point de chute au plus vite et qui de mieux que : L'ARGENT !

Continuer

Autres livres par WILL WRITING

Voir plus
La derniÚre année de lycée

La derniÚre année de lycée

Histoire

5.0

Ça y est, le 2 septembre, la fin des grandes vacances. Cette annĂ©e a Ă©tĂ© particuliĂšrement pluvieuse contrairement aux annĂ©es antĂ©rieures. Je reviens justement de vacances, d’un bel endroit avec de belles personnes : LimbĂ© Semi-beach ça vous parle ? C’était des vacances trĂšs agrĂ©ables oĂč j’ai rencontrĂ© des personnes trĂšs sympathiques. J’y ai mĂȘme croisĂ© une fille qui avait une maniĂšre particuliĂšre de vivre son couple. MalgrĂ© tout l’amour qu’elle porte Ă  son copain, ce qu’elle aime le plus dans son couple, c’est d’aller voir ailleurs. Elle m’a draguĂ© dĂšs le premier jour. Apparemment, j’ai de trĂšs beaux yeux. J’ai la chance d’avoir des yeux plutĂŽt charmants qui semblent plaire plus que des yeux d’une autre forme. - Tu dois ĂȘtre nouveau ici ? M’a t’elle abordĂ© alors que je me promenais devant mon hĂŽtel. - Oui c’est ma premiĂšre fois, ai-je rĂ©pondu sans trop me poser de questions. C’est trĂšs beau ici et je peux dire que je ne regrette pas d’ĂȘtre venu. - Oui ! Aussi beau que tes yeux, ajoute t’elle en me regardant avec admiration. J’ai tout de suite sentir monter en moi une assurance sexuelle que je savais provenir d’elle comme si elle m’a contaminĂ© de ses sensations. - Je ne savais pas que j’avais de beaux yeux. C’est la premiĂšre fois qu’on me fait un tel compliment et je ne sais pas comment te remercier pour ça. Lui ai je confiĂ©. - Mon mari n’est pas lĂ . On peut monter dans ma chambre vu que tu occupes la tienne avec tes parents. Un verre ça te dis ? M’a t’elle proposĂ© aprĂšs m’avoir montrĂ© qu’elle savait un peu de moi. - Alors tu en sais des choses sur moi. Je supposes que tu sais aussi que je suis un mineur ? Lui ai-je demandĂ© avec un sourire malicieux qu’elle avait rĂ©pondu par un autre avant d’ajouter Ă  son tour ; - La virilitĂ© et l’inexpĂ©rience des mineurs m’excitent plus que tout. Alors on monte prendre ce fameux verre ? M’a t’elle Ă  nouveau proposĂ© en remuant sa poitrine sous mes yeux. Dans mon pantalon s’était le feu d’autant plus que c’est une femme aux formes exceptionnelles qui me proposait une partie de jambe en l’air. J’ai donc acceptĂ© son invitation sans hĂ©sitation. L’infidĂ©litĂ©, c’est quelque chose que je ne pensais pas apprĂ©cier du tout. En fait, j’ai beaucoup aimĂ©. Je ne me vois pas ĂȘtre infidĂšle, mais, les femmes en couple ont finalement plus d’intĂ©rĂȘt Ă  mes yeux maintenant. Cela Ă©tant, ce n’est pas le meilleur moyen de trouver une relation stable, ce n’est pas ce que je recherche maintenant. Mon expĂ©rience avec cette fille m’a littĂ©ralement changĂ© ; nous avons passĂ© des moments inoubliables et grĂące Ă  elle, j’ai dĂ©couvert le sexe. Avant notre rencontre j’étais puceau. S’était fou ! Une belle expĂ©rience donc je vais vous raconter les dĂ©tails au fil de l’histoire. Aujourd’hui, c’est la reprise de l’école, mais pour la derniĂšre fois car je suis en terminale. Le lycĂ©e, dans un an, c’est fini. À l’exception de quelques redoublants qui complĂšte l’effectif, je retrouve la mĂȘme classe de l’an dernier. Ça tombe bien, j’aime bien mes anciens camarades. Dans ma classe, il y a ma meilleure amie, Luna, une fille teint clair, un peu plus petite que moi en taille, aux longs cheveux naturels qui lui tombent sur le dos. Elle a un petit visage d’ange avec de jolis yeux presque noir, comme les miens d’ailleurs. C’est une fille Ă  la base timide qui n’expose pas trop ses atouts physiques car ayant un corps parfait. J’ai un groupe d’amis proches, certains datent de l’école primaire, les autres se sont raccrochĂ©s au fur et Ă  mesure. Je m’entends globalement bien avec toutes les personnes de ma classe, mĂȘme cette petite peste de MaĂ«va, le clichĂ© typique de premier de la classe, arrogant, qui lorsqu’elle descendait Ă  la deuxiĂšme place, le vivait mal. Mais quand elle laissait les cours de cĂŽtĂ©, elle Ă©tait moins tendue, ça pouvait aller. CĂŽtĂ© beautĂ©, pour un intellos elle n’était pas mal fournis. Toujours dans ma classe, Il y a aussi un binĂŽme d’insĂ©parables, Horchelle et Nounca. Elles ne traĂźnaient pas trop avec le reste de la classe, elles faisaient leurs soirĂ©es avec leurs potes Ă  elle que personne ne connaĂźt ou presque. S’était les plus belles et les plus carrĂ© de la classe qui se prenaient pour des princesses. Elles croyaient venir d’une autre planĂšte et refusaient littĂ©ralement de se mĂ©langer Ă  nous se qui poussaient les autres Ă  ne pas trop les aimer pourtant au fond s’était des bonnes filles du moins.... je crois !

Un Coupable Idéal

Un Coupable Idéal

Histoire

5.0

Avez vous dĂ©jĂ  Ă©tĂ© victime d'injustice ? Bien-sĂ»r que oui, nous avons dĂ©jĂ  tous Ă©tĂ© victime d'injustice au moins une fois au cours de notre existence. Tous les jours quelque part dans le monde une personne se plaint d'avoir Ă©tĂ© accusĂ©e injustement. Le sentiment d'injustice est l'un des plus forts et des plus violents que l'esprit humain peut ressentir. Et parfois certaines personnes payent le lourd fardeau d'un crime commis par quelqu'un d'autre. Dans d'autres circonstances, il est juste question de trouver le coupable parfait comme ce fut le cas pour Maximilien un adolescent ĂągĂ© de seize ans qui a Ă©tĂ© accusĂ© injustement du crime de sa meilleure amie Marie Louise ĂągĂ©e elle aussi de seize ans au moment de son assassinat. Ce soir-lĂ , un homme, le visage masquĂ© par une cagoule, pĂ©nĂštre dans une maison de la ville de Douala. Une arme Ă  feu Ă  la main, il ne demande rien a personne et se met Ă  tirer Ă  trois reprises sur l'adolescente. Dans des circonstances que les mĂ©dias camerounais ne prĂ©cisent pas, le braqueur tire sur la jeune fille. TouchĂ©, celle-ci dĂ©cĂ©dera quelques jours plus tard, Ă  l’hĂŽpital. Le malfaiteur, lui, s’enfuit les mains vides. aucun objet voler d’aprĂšs la famille donc il est clair qu'il s'agissait d'un rĂšglement de compte. Les policiers arrivent sur les lieux du crime aprĂšs avoir Ă©tĂ© prĂ©venu par un jeune homme qui appelait Ă  partir du tĂ©lĂ©phone fixe de la maison dans laquelle le crime s'Ă©tait produit, sans preuve, le jeune homme fut accusĂ© du meurtre de Marie Louise car Ă©tant le seul prĂ©sent sur les lieux et condamnĂ© Ă  la peine de mort quelques semaines seulement aprĂšs le crime. L’affaire fut si politisĂ©e car impliquant des hommes puissants du pays qu’il fut dĂ©fĂ©rĂ© non pas dans une prison pour mineurs mais directement Ă  la prison centrale de Nkodengui a YaoundĂ© oĂč il devait attendre patiemment le jour de son exĂ©cution. Lors de son procĂšs, rien n'a Ă©tĂ© en sa faveur. Orphelin et vivant avec son oncle MathĂ©o, un homme sĂ©vĂšre, violent, alcoolique et parfois mĂȘme sans scrupule pourtant trĂšs riche et influent qui battait le jeune garçon comme il voulait et quand il voulait lui faisant vivre un enfer, Maximilien n'a eu droit a aucun avocat mĂȘme pas a ceux dĂ©signĂ© par l'État pour assurer la dĂ©fense des accusĂ©s qui ne peuvent pas s'en procurer un. Selon le procureur, aucun avocat n’avait acceptĂ© de dĂ©fendre le prĂ©sumĂ© assassin de la fille de Lahoud Bamba un homme d'affaires puissant et rĂ©putĂ© qui venait de se lancer dans la politique avec pour but de devenir Maire de la ville de Douala. AprĂšs deux annĂ©es passĂ©es en prison, un grand sourire sur le visage, les yeux plissĂ©s par l’émotion, il inspire profondĂ©ment l'air pu de la libertĂ© en levant les mains vers le ciel comme s'il remerciait le Saint PĂšre cĂ©leste et tous ces anges pour lui avoir aidĂ© Ă  s'Ă©vader de la prison. La police Ă©tait en alerte, la presse aussi. Quelques minutes seulement aprĂšs son Ă©vasion dans des conditions un peu troubles, Maximilien Ă©tait devenu l'homme le plus recherchĂ© du pays. Toutes les chaĂźnes et radios qui avaient suivies de prĂšs cette affaire depuis le dĂ©but ont changĂ© leurs programmes en cours pour ne parler que de lui. Toutes les forces policiĂšres de la ville capitale ont Ă©tĂ© mobilisĂ© pour attraper celui qu'on qualifiait de << JEUNE LE PLUS DANGEREUX D’AFRIQUE >>. Une mise Ă  prix de deux millions de francs fut placĂ© sur sa tĂȘte. On le voulait vif ou mort. De son cĂŽtĂ©, Maximilien Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă  rejoindre la ville de Douala, ville dans laquelle tout a commencĂ© et oĂč selon lui tout devait finir... Nelly est la prĂ©sentatrice d'une Ă©mission appelĂ© paroles aux jeunes dĂ©diĂ© exclusivement a la jeunesse. Elle sera la seule a donner au jeune Maximilien l'opportunitĂ© de donner sa version des faits Ă  travers son Ă©mission. Et pour la premiĂšre fois, le jeune garçon aura l’opportunitĂ© de partager son histoire avec le monde entier faisant de l’émission radio de Nelly l’émission la plus suivie du continent. Serait ce un coup montĂ© ou alors Maximilien qui dit n'avoir pas tuĂ© sa meilleure amie serait en rĂ©alitĂ© l'homme en cagoule.?

LA BEAUTÉ DU MAL

LA BEAUTÉ DU MAL

Moderne

5.0

Quel est donc cet esprit de tĂ©nĂšbres, homme, serpent ou dragon, qui plane Ă  tous les horizons du passĂ© ? Dans le ciel, il blasphĂšme et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte Ă  sa volontĂ© ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au pĂ©chĂ©, et, dans l’abĂźme, il le punit d’avoir pĂ©chĂ©. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-Ăąge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en dĂ©fie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de tĂ©nĂšbres, c’est le dĂ©mon de la thĂ©ologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-Ăąge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsĂ©dĂ©s, ni possĂ©dĂ©s (et c’est sans doute, hĂ©las ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-ĂȘtre quelque intĂ©rĂȘt Ă  faire apparaĂźtre Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiĂ©tude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte Ă  la source mĂȘme des jours, sombre biographie d’un fantĂŽme qu’il faut reconstituer d’aprĂšs des rĂȘves. Il s’agit d’une biographie, Ă©claircissons d’abord le mystĂšre des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tirĂ© du nĂ©ant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophĂštes, se tait sur son Ăąge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siĂšcles de l’église, le manichĂ©en Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, Ă©lĂšve le diable jusqu’à l’idĂ©e de cause, et il en fait une sorte d’ĂȘtre en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naĂźtre du chaos et des tĂ©nĂšbres ; Tatien, d’un rayon de la matiĂšre et de la mĂ©chancetĂ©. Dans la JudĂ©e, au temps de saint JĂ©rĂŽme, les uns lui donnent pour pĂšre LĂ©viathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le dĂ©luge. Selon saint Augustin, Dieu aurait crĂ©Ă© les bons et les mauvais esprits comme un poĂšte qui, pour relever les beautĂ©s de son Ɠuvre, y sĂšme les antithĂšses ; cependant, si grandes que soient l’autoritĂ© de l’évĂȘque d’Hippone et sa pĂ©nĂ©tration dans ce qui touche les mystĂšres, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhĂ©teur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient Ă  cette classe d’intelligences supĂ©rieures qui Ă©taient comme les prĂ©mices de la crĂ©ation. Ils habitaient les rĂ©gions de la lumiĂšre et de la sĂ©rĂ©nitĂ©, et Dieu les avait initiĂ©s aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardĂšrent point Ă  dĂ©choir de leur rang suprĂȘme en cĂ©dant aux inspirations d’une volontĂ© mauvaise. Ils tombĂšrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant Ă  s’élever d’eux-mĂȘmes, et sans le secours de la grĂące, Ă  l’éternelle bĂ©atitude, en disputant Ă  Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux rĂ©voltĂ©s, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombĂšrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptĂ©s que de purs esprits ne doivent pas connaĂźtre. Dieu, pour les punir, les bannit de sa prĂ©sence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvĂ©e dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une crĂ©ature dĂ©chue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et dĂ©solĂ©e, et dans le sĂ©jour de son Ă©ternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystĂšre, que, malgrĂ© ses frĂ©quentes apparitions et les nombreux tĂ©moignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la dĂ©finition de l’école, un esprit, c’est ce que l’Ɠil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapiditĂ© de la pensĂ©e. C’est un ĂȘtre indĂ©finissable.

Mon voisin

Mon voisin

Histoire

5.0

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vĂ©rifiĂ© : oui, nous avons tendance Ă  juger rapidement les gens d'aprĂšs leur apparence, et Ă  rester durablement influencĂ© par une premiĂšre impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une Ă©tude, d'Ă©valuer la personnalitĂ© du « candidats » juste d'aprĂšs leur photo d'identitĂ©, les « recruteurs » auront tendance Ă  Ă©valuer les porteurs de lunettes comme Ă©tant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence sĂ©duisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugĂ©s d'emblĂ©e comme Ă©tant des personnes vaniteuses ou mĂȘme superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est rĂ©ellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beautĂ© : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance Ă  se chercher une femme trĂšs belle avec un physique qui fait rĂȘver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme Ă  Ă©pouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un ĂȘtre ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avĂ©rer ĂȘtre redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’aprĂšs sa petite taille, mais de le goĂ»ter et pour sentir comme il pique. Cette tendance Ă  juger quelqu'un dans son ensemble d'aprĂšs un dĂ©tail ou simplement une premiĂšre impression fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'aurĂ©ole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. PlacĂ©e au-dessus d'un personnage, elle suffit Ă  rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-Ă -dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprĂȘtez Ă  lire fait justement rĂ©fĂ©rence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avĂ©rer ĂȘtre des monstres !

UNE RENCONTRE INATTENDUE

UNE RENCONTRE INATTENDUE

Romance

5.0

La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu’elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la rĂ©ponse est qu’Aucun d’eux ne sait de quoi l’avenir sera fait. Ils vivent tous dans l’espoir ? L’espoir d’un lendemain meilleur, d’un dĂ©sĂ©quilibre qui viendra tout Ă©quilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C’est quoi l’espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une mĂ©diocritĂ© qu’on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se rĂ©sume Ă  la hauteur de nos... espoirs ? C’est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu’il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L’amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă  de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l’incertain. Mais pourquoi s’inquiĂ©ter quand on nous parle d’espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d’ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă  un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu’un autre “espoir” qui n’arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cƓur ni foi Ă  la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă  voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă  la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d’esprits qu’un autre humain comme eux parce qu’il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n’est pas son frĂšre mais un ennemi qu’il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă  cause de l’égoĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n’était. J’avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d’espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ  de la cruautĂ© du monde, je m’accrochais Ă  ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă  mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

Histoire

5.0

Aujourd'hui femme respectĂ©e de tous, mariĂ©e, mĂšre de trois magnifiques garçons, aimĂ©e, dĂ©sirĂ©e, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rĂȘveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vĂ©cu lorsque je n’étais encore qu’une lycĂ©enne... Oui aucune pas mĂȘme moi si on m’avait demandĂ© de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fiĂšre mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expĂ©rience a contribuĂ© Ă  faire de moi la femme forte et dĂ©vouĂ©e que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en Ă©tais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'Ă©tais comme possĂ©dĂ©e par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques annĂ©es plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et Ă  ses cĂŽtĂ©s je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien Ă  voir avec la sexualitĂ© d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme ĂągĂ©e de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mĂšre de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fiertĂ© : Ivan c'est l'aĂźnĂ©. Il est ĂągĂ© de 12 ans ensuite vient Killian ĂągĂ© de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a Ă  peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la dĂ©finition de l'amour mĂȘme. Il est attentionnĂ©, doux, comprĂ©hensif, trĂšs beau, un peu musclĂ© et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mĂštre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. PropriĂ©taire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours Ă©tĂ© le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment rĂ©ussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs Ă©taient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire rĂ©ellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et trĂšs attentionnĂ©. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! CriĂšrent en chƓur mes enfants avec un Ă©norme gĂąteau d'anniversaire posĂ© sur la table et leur papa a cĂŽtĂ© vĂȘtu comme un guignol sĂ»rement pour donner encore plus d'ambiance a l'Ă©vĂ©nement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu dĂ©filer sous mes yeux le film de mon passĂ©, de ma jeunesse. Je ne pu m'empĂȘcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas Ă  rĂ©aliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlĂ© de ma vie actuelle et je suis sĂ»r que ça ne vous intĂ©resse pas du tout. Seul mon passĂ© pervers vous intĂ©resse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque dĂ©tail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'Ă  ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas trĂšs catholique alors toutes Ăąmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer Ă  lire.

Inspirés de vos vus

Apprivoiser le tyran

Apprivoiser le tyran

Jeunesse

4.8

ATTENTION : Ce livre peut contenir des scĂšnes de juron, d'intimidation et de violence. « Tu fais pitiĂ©... je ferais en sorte que tu apitoies tout le monde Ă  l'universitĂ© de Vieuxbourg, t'en penses quoi ? » « BientĂŽt, tu feras pitiĂ© si bien que chaque personne se sentira dĂ©solĂ©e et dĂ©goĂ»tĂ©e par ta vie misĂ©rable. Je vais te faire regretter de venir dans ce monde mĂȘme. » ...... PDV Jeanne Millet Fille d'une famille ouvriĂšre, elle Ă©tait pauvre et innocente. Elle s'est inscrite dans une des universitĂ©s les plus prestigieux au monde dont elle a toujours rĂȘvĂ© d'y ĂȘtre admise - l'UniversitĂ© d'Arcadie. C'Ă©tait une universitĂ© pour les enfants des diplomates et des riches, qui se retrouvent lĂ -bas pour rĂ©ussir Ă  coup sĂ»r dans la vie. Jeanne Millet pourra-t-elle survivre dans cette universitĂ© prestigieuse ? Vincent Rousset Le fils unique de l'un des plus grands magnats d'affaires du monde. Il Ă©tait comme le feu. Il Ă©tait blessĂ© et dĂ©primĂ©. Il aimait tellement son ex Elaine Lecomte. Son monde s'est effondrĂ© lorsque celle-ci a mis fin Ă  leur relation. Il Ă©tait bien pire que brisĂ© quand il a constatĂ© qu'elle ne l'a jamais regardĂ© aprĂšs la rupture. Puisque Vincent traversait une dĂ©pression, ses amis ont demandĂ© Ă  Jeanne Millet de l'aider, car elle Ă©tait la seule Ă  pouvoir le faire s'en sortir. Saura-t-elle le rĂ©parer ? La laissera-t-il le guĂ©rir ?... ou cela deviendra-t-il PIRE.

Le mariage Contractuel avec une femme espiĂšgle

Le mariage Contractuel avec une femme espiĂšgle

Romance

5.0

***La mauvaise fille est parfois la bonne. Charlotte Samuels pensait qu'elle serait coincĂ©e Ă  servir des tables chez Marlow jusqu'Ă  ce que toutes ses dettes soient payĂ©es - dans environ dix mille ans. Elle ne s'attendait certainement pas Ă  une demande en mariage de la part de l'arrogant Brandon Maxfield, Ă  qui son pĂšre a fait du chantage pour qu'il fasse d'elle sa femme s'il ne voulait pas que son cousin le moins apprĂ©ciĂ© dirige Maxfield Industries. L'instinct de Charlotte lui dicte de dire NON, mais elle se heurte Ă  plusieurs obstacles : 1.) Son pĂšre Martin Maxfield est cher Ă  son cƓur et sa santĂ© s'est rĂ©cemment dĂ©tĂ©riorĂ©e. 2.) Elle reçoit un million de dollars si elle reste mariĂ©e Ă  Brandon pendant un an. 3.) Elle aimerait bien avoir l'occasion de donner Ă  cet homme sĂ©duisant mais terriblement grossier quelques leçons dont il ne pensait pas avoir besoin de la part d'une "adolescente croqueuse d'or", terme qu'il a utilisĂ© pour l'appeler lors de leur premier rendez-vous - ou plutĂŽt, de leur premiĂšre rĂ©union d'affaires. Qu'est-ce qu'une fille peut bien faire, n'est-ce pas ? Bien sĂ»r, elle est jeune et un peu rude sur les bords, mais il y a quelque chose que son futur mari ne sait pas encore Ă  son sujet : elle n'a rien Ă  voir avec ce Ă  quoi il s'attendait. JetĂ©e dans le monde clinquant oĂč une Mme Maxfield standard s'intĂ©grerait parfaitement et rĂ©gnerait avec une grĂące sociale impeccable, Charlotte devra soit se forcer Ă  entrer dans le moule, soit s'en libĂ©rer, risquant le peu qu'il lui reste pour tout ce qu'elle peut gagner DEUXIÈME 02 TOME DE : Le mariage Contractuel avec la femme intelligente

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre