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Derniers Jours

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WILL WRITING

5.0
avis
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Chapitres

Bien de choses s'apprennent ailleurs qu'à l'école ou dans les livres. Apprendre à vivre par exemple, l'un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s'apprend partout. On ne sait plus vivre ! Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c'est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l'absurde de bien des ambitions. Alors Pourquoi s'en faire ? Pourquoi réfléchir ? Pourquoi travailler ? Quand tout est vanité ! Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ? Notre monde nous apparaît comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible. On ne peut rien y changer, ce qui a été c'est ce qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes effets ! Et l'homme ne semble jamais comprendre. Je voudrai en parler, partager, mais c'est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j'ai peur d'être seule ! La vie m'a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours ! Je me prénomme Lana, j'ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n'osent aborder. J'ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd'hui je suis sans-emploi pourtant ça n'a pas toujours été comme cela. Même si je n'étais pas épanouis dans mon travail, j'étais performante. Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisième année surtout que je suis financièrement stable. Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux âmes sensibles.

Chapitre 1 1

Bien de choses s'apprennent ailleurs qu'à l'école ou dans les livres.

Apprendre à vivre par exemple, l'un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s'apprend partout.

On ne sait plus vivre !

Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c'est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l'absurde de bien des ambitions. Alors

Pourquoi s'en faire ?

Pourquoi réfléchir ?

Pourquoi travailler ?

Quand tout est vanité !

Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ?

Notre monde nous apparaît comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible.

On ne peut rien y changer, ce qui a été c'est ce qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes effets ! Et l'homme ne semble jamais comprendre.

Je voudrai en parler, partager, mais c'est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j'ai peur d'être seule ! La vie m'a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours !

Je me prénomme Lana, j'ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n'osent aborder. J'ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd'hui je suis sans-emploi pourtant ça n'a pas toujours été comme cela. Même si je n'étais pas épanouis dans mon travail, j'étais performante.

Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisième année surtout que je suis financièrement stable.

Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux âmes sensibles.

Mon enfance ! Ces années d'innocence ou rien d'autre à part manger, jouer, dormir et visionner ne comptaient pour moi ; ces années semblaient longues mais c'est seulement à l'âge où la responsabilité commence à peser qu'on se rend finalement compte à quel point le temps passe très vite. J'ai eu une enfance meilleure pourtant je n'ai jamais connu mes parents. Les sœurs disaient m'avoir récupéré dans un hôpital, abandonné par ma mère dont l'identité restait inconnue. Même pas l'ombre d'un père ? Dommage car ils ne savent pas ce qu'ils ratent !

J'avais grandit avec beaucoup d'amour auprès de mes deux mère : sœur Isabelle et sœur Thérèse et de mes « frères et sœurs « de l'orphelinat. Nous n'avions pas beaucoup, pourtant nous étions heureux. L'amour régnait. Tous les soirs excepté les dimanches qui étaient réservés aux cultes dans la grande paroisse, nous allions à La Chapelle où nous offrions des sacrifices, récitions des prières, chantions des cantiques avec à la fois beaucoup de sérieux et une légèreté nous imaginants que par la multitude de nos paroles et de nos sacrifices, nous pourrions nous gagner les faveurs du ciel. Nous nous croyions meilleurs que les autres et pures dans nos âmes. Au moins le ciel nous récompensait bien car nous ne manquions presque de rien car je ne me souviens pas avoir dormi un seul jour le ventre vide. Nous étions bénis en quelque sorte !

Mon enfance passa vite et très vite je devenais une femme. J'avais quinze ans lorsqu'un événement tragique qui bouleversa ma vie se produisit : Anaëlle nous avait quitté à l'âge de quinze ans des suites d'une maladie de naissance alors que les médecins lui prédisaient une vie jusqu'à 26 ans au moins. Les sœurs s'étaient remises à Dieu et ce jour j'ai compris que comme la drogue, ou la musique, ou le travail, la religion est une fuite devant la vie. Dieu est au ciel et moi je suis sur la terre à perdre des gens que j'aimes.

Car Anaëlle et moi étions proches, tellement proches qu'on nous avait surnommé les siamois et sa perte eu un impact considérable sur ma vie. Je voyais désormais la vie autrement et je n'avais plus qu'une envie en tête : Atteindre mes dix huit ans et quitter l'orphelinat afin d'affronter mon destin comme une vaillante guerrière. Je ne pouvais pas rester là à subir ; il m'était primordial de me sortir de l'injustice de la vie. J'étais persuadée que le bonheur se trouvait en dehors de cet orphelinat qui autre fois était une maison pour moi mais ressemblait de plus en plus à une prison avec le temps. Puis le moment vînt ! Après trois année à méditer sur ma vie, J'eus dix-huit ans, j'étais libre de partir, de voler de mes propres ailles dans un monde que je ne connaissais que très peu. Il me fallait un point de chute au plus vite et qui de mieux que : L'ARGENT !

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Histoire

5.0

Ça y est, le 2 septembre, la fin des grandes vacances. Cette année a été particulièrement pluvieuse contrairement aux années antérieures. Je reviens justement de vacances, d’un bel endroit avec de belles personnes : Limbé Semi-beach ça vous parle ? C’était des vacances très agréables où j’ai rencontré des personnes très sympathiques. J’y ai même croisé une fille qui avait une manière particulière de vivre son couple. Malgré tout l’amour qu’elle porte à son copain, ce qu’elle aime le plus dans son couple, c’est d’aller voir ailleurs. Elle m’a dragué dès le premier jour. Apparemment, j’ai de très beaux yeux. J’ai la chance d’avoir des yeux plutôt charmants qui semblent plaire plus que des yeux d’une autre forme. - Tu dois être nouveau ici ? M’a t’elle abordé alors que je me promenais devant mon hôtel. - Oui c’est ma première fois, ai-je répondu sans trop me poser de questions. C’est très beau ici et je peux dire que je ne regrette pas d’être venu. - Oui ! Aussi beau que tes yeux, ajoute t’elle en me regardant avec admiration. J’ai tout de suite sentir monter en moi une assurance sexuelle que je savais provenir d’elle comme si elle m’a contaminé de ses sensations. - Je ne savais pas que j’avais de beaux yeux. C’est la première fois qu’on me fait un tel compliment et je ne sais pas comment te remercier pour ça. Lui ai je confié. - Mon mari n’est pas là. On peut monter dans ma chambre vu que tu occupes la tienne avec tes parents. Un verre ça te dis ? M’a t’elle proposé après m’avoir montré qu’elle savait un peu de moi. - Alors tu en sais des choses sur moi. Je supposes que tu sais aussi que je suis un mineur ? Lui ai-je demandé avec un sourire malicieux qu’elle avait répondu par un autre avant d’ajouter à son tour ; - La virilité et l’inexpérience des mineurs m’excitent plus que tout. Alors on monte prendre ce fameux verre ? M’a t’elle à nouveau proposé en remuant sa poitrine sous mes yeux. Dans mon pantalon s’était le feu d’autant plus que c’est une femme aux formes exceptionnelles qui me proposait une partie de jambe en l’air. J’ai donc accepté son invitation sans hésitation. L’infidélité, c’est quelque chose que je ne pensais pas apprécier du tout. En fait, j’ai beaucoup aimé. Je ne me vois pas être infidèle, mais, les femmes en couple ont finalement plus d’intérêt à mes yeux maintenant. Cela étant, ce n’est pas le meilleur moyen de trouver une relation stable, ce n’est pas ce que je recherche maintenant. Mon expérience avec cette fille m’a littéralement changé ; nous avons passé des moments inoubliables et grâce à elle, j’ai découvert le sexe. Avant notre rencontre j’étais puceau. S’était fou ! Une belle expérience donc je vais vous raconter les détails au fil de l’histoire. Aujourd’hui, c’est la reprise de l’école, mais pour la dernière fois car je suis en terminale. Le lycée, dans un an, c’est fini. À l’exception de quelques redoublants qui complète l’effectif, je retrouve la même classe de l’an dernier. Ça tombe bien, j’aime bien mes anciens camarades. Dans ma classe, il y a ma meilleure amie, Luna, une fille teint clair, un peu plus petite que moi en taille, aux longs cheveux naturels qui lui tombent sur le dos. Elle a un petit visage d’ange avec de jolis yeux presque noir, comme les miens d’ailleurs. C’est une fille à la base timide qui n’expose pas trop ses atouts physiques car ayant un corps parfait. J’ai un groupe d’amis proches, certains datent de l’école primaire, les autres se sont raccrochés au fur et à mesure. Je m’entends globalement bien avec toutes les personnes de ma classe, même cette petite peste de Maëva, le cliché typique de premier de la classe, arrogant, qui lorsqu’elle descendait à la deuxième place, le vivait mal. Mais quand elle laissait les cours de côté, elle était moins tendue, ça pouvait aller. Côté beauté, pour un intellos elle n’était pas mal fournis. Toujours dans ma classe, Il y a aussi un binôme d’inséparables, Horchelle et Nounca. Elles ne traînaient pas trop avec le reste de la classe, elles faisaient leurs soirées avec leurs potes à elle que personne ne connaît ou presque. S’était les plus belles et les plus carré de la classe qui se prenaient pour des princesses. Elles croyaient venir d’une autre planète et refusaient littéralement de se mélanger à nous se qui poussaient les autres à ne pas trop les aimer pourtant au fond s’était des bonnes filles du moins.... je crois !

Un Coupable Idéal

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5.0

Avez vous déjà été victime d'injustice ? Bien-sûr que oui, nous avons déjà tous été victime d'injustice au moins une fois au cours de notre existence. Tous les jours quelque part dans le monde une personne se plaint d'avoir été accusée injustement. Le sentiment d'injustice est l'un des plus forts et des plus violents que l'esprit humain peut ressentir. Et parfois certaines personnes payent le lourd fardeau d'un crime commis par quelqu'un d'autre. Dans d'autres circonstances, il est juste question de trouver le coupable parfait comme ce fut le cas pour Maximilien un adolescent âgé de seize ans qui a été accusé injustement du crime de sa meilleure amie Marie Louise âgée elle aussi de seize ans au moment de son assassinat. Ce soir-là, un homme, le visage masqué par une cagoule, pénètre dans une maison de la ville de Douala. Une arme à feu à la main, il ne demande rien a personne et se met à tirer à trois reprises sur l'adolescente. Dans des circonstances que les médias camerounais ne précisent pas, le braqueur tire sur la jeune fille. Touché, celle-ci décédera quelques jours plus tard, à l’hôpital. Le malfaiteur, lui, s’enfuit les mains vides. aucun objet voler d’après la famille donc il est clair qu'il s'agissait d'un règlement de compte. Les policiers arrivent sur les lieux du crime après avoir été prévenu par un jeune homme qui appelait à partir du téléphone fixe de la maison dans laquelle le crime s'était produit, sans preuve, le jeune homme fut accusé du meurtre de Marie Louise car étant le seul présent sur les lieux et condamné à la peine de mort quelques semaines seulement après le crime. L’affaire fut si politisée car impliquant des hommes puissants du pays qu’il fut déféré non pas dans une prison pour mineurs mais directement à la prison centrale de Nkodengui a Yaoundé où il devait attendre patiemment le jour de son exécution. Lors de son procès, rien n'a été en sa faveur. Orphelin et vivant avec son oncle Mathéo, un homme sévère, violent, alcoolique et parfois même sans scrupule pourtant très riche et influent qui battait le jeune garçon comme il voulait et quand il voulait lui faisant vivre un enfer, Maximilien n'a eu droit a aucun avocat même pas a ceux désigné par l'État pour assurer la défense des accusés qui ne peuvent pas s'en procurer un. Selon le procureur, aucun avocat n’avait accepté de défendre le présumé assassin de la fille de Lahoud Bamba un homme d'affaires puissant et réputé qui venait de se lancer dans la politique avec pour but de devenir Maire de la ville de Douala. Après deux années passées en prison, un grand sourire sur le visage, les yeux plissés par l’émotion, il inspire profondément l'air pu de la liberté en levant les mains vers le ciel comme s'il remerciait le Saint Père céleste et tous ces anges pour lui avoir aidé à s'évader de la prison. La police était en alerte, la presse aussi. Quelques minutes seulement après son évasion dans des conditions un peu troubles, Maximilien était devenu l'homme le plus recherché du pays. Toutes les chaînes et radios qui avaient suivies de près cette affaire depuis le début ont changé leurs programmes en cours pour ne parler que de lui. Toutes les forces policières de la ville capitale ont été mobilisé pour attraper celui qu'on qualifiait de << JEUNE LE PLUS DANGEREUX D’AFRIQUE >>. Une mise à prix de deux millions de francs fut placé sur sa tête. On le voulait vif ou mort. De son côté, Maximilien était déterminé à rejoindre la ville de Douala, ville dans laquelle tout a commencé et où selon lui tout devait finir... Nelly est la présentatrice d'une émission appelé paroles aux jeunes dédié exclusivement a la jeunesse. Elle sera la seule a donner au jeune Maximilien l'opportunité de donner sa version des faits à travers son émission. Et pour la première fois, le jeune garçon aura l’opportunité de partager son histoire avec le monde entier faisant de l’émission radio de Nelly l’émission la plus suivie du continent. Serait ce un coup monté ou alors Maximilien qui dit n'avoir pas tué sa meilleure amie serait en réalité l'homme en cagoule.?

LA BEAUTÉ DU MAL

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Moderne

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Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte à sa volonté ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au péché, et, dans l’abîme, il le punit d’avoir péché. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en défie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de ténèbres, c’est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-âge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsédés, ni possédés (et c’est sans doute, hélas ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-être quelque intérêt à faire apparaître Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte à la source même des jours, sombre biographie d’un fantôme qu’il faut reconstituer d’après des rêves. Il s’agit d’une biographie, éclaircissons d’abord le mystère des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tiré du néant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophètes, se tait sur son âge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siècles de l’église, le manichéen Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, élève le diable jusqu’à l’idée de cause, et il en fait une sorte d’être en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naître du chaos et des ténèbres ; Tatien, d’un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l’autorité de l’évêque d’Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhéteur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient à cette classe d’intelligences supérieures qui étaient comme les prémices de la création. Ils habitaient les régions de la lumière et de la sérénité, et Dieu les avait initiés aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardèrent point à déchoir de leur rang suprême en cédant aux inspirations d’une volonté mauvaise. Ils tombèrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant à s’élever d’eux-mêmes, et sans le secours de la grâce, à l’éternelle béatitude, en disputant à Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptés que de purs esprits ne doivent pas connaître. Dieu, pour les punir, les bannit de sa présence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une créature déchue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et désolée, et dans le séjour de son éternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystère, que, malgré ses fréquentes apparitions et les nombreux témoignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la définition de l’école, un esprit, c’est ce que l’œil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapidité de la pensée. C’est un être indéfinissable.

Mon voisin

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Histoire

5.0

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vérifié : oui, nous avons tendance à juger rapidement les gens d'après leur apparence, et à rester durablement influencé par une première impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une étude, d'évaluer la personnalité du « candidats » juste d'après leur photo d'identité, les « recruteurs » auront tendance à évaluer les porteurs de lunettes comme étant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence séduisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugés d'emblée comme étant des personnes vaniteuses ou même superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est réellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beauté : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance à se chercher une femme très belle avec un physique qui fait rêver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme à épouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un être ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avérer être redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’après sa petite taille, mais de le goûter et pour sentir comme il pique. Cette tendance à juger quelqu'un dans son ensemble d'après un détail ou simplement une première impression fait référence à l'auréole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. Placée au-dessus d'un personnage, elle suffit à rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-à-dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprêtez à lire fait justement référence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avérer être des monstres !

UNE RENCONTRE INATTENDUE

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Romance

5.0

La terre, près de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu’elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la réponse est qu’Aucun d’eux ne sait de quoi l’avenir sera fait. Ils vivent tous dans l’espoir ? L’espoir d’un lendemain meilleur, d’un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C’est quoi l’espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu’on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C’est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu’il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L’amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-même se résume à de la philosophie ; une science inexacte comme les journées et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l’incertain. Mais pourquoi s’inquiéter quand on nous parle d’espoir en longueur de journée dans nos médias, nos écoles, nos familles, partout, il suffit juste d’être un tout petit peu dans une situation même des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unité humaine où les guerres et la famine disparaîtront pour laisser place à un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu’un autre “espoir” qui n’arrivera jamais ou peut-être tant que nos sociétés seront dirigées par des hommes sans cœur ni foi à la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir à voir périr la classe ouvrière, qui contribuer à la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d’esprits qu’un autre humain comme eux parce qu’il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou même de culture différentes n’est pas son frère mais un ennemi qu’il faut éliminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte à cause de l’égoïsme des uns et des autres et le pire est que chaque être humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n’était. J’avais un rêve, énormément d’espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entière. Au delà de la cruauté du monde, je m’accrochais à ce rêve dans les profondeurs de mon village, mon village natale où je ne voyais aucun moyen de parvenir à mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

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Histoire

5.0

Aujourd'hui femme respectée de tous, mariée, mère de trois magnifiques garçons, aimée, désirée, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rêveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vécu lorsque je n’étais encore qu’une lycéenne... Oui aucune pas même moi si on m’avait demandé de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expérience a contribué à faire de moi la femme forte et dévouée que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en étais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'étais comme possédée par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques années plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et à ses côtés je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien à voir avec la sexualité d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme âgée de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mère de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fierté : Ivan c'est l'aîné. Il est âgé de 12 ans ensuite vient Killian âgé de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a à peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la définition de l'amour même. Il est attentionné, doux, compréhensif, très beau, un peu musclé et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mètre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. Propriétaire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours été le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment réussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs étaient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire réellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et très attentionné. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! Crièrent en chœur mes enfants avec un énorme gâteau d'anniversaire posé sur la table et leur papa a côté vêtu comme un guignol sûrement pour donner encore plus d'ambiance a l'événement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu défiler sous mes yeux le film de mon passé, de ma jeunesse. Je ne pu m'empêcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas à réaliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlé de ma vie actuelle et je suis sûr que ça ne vous intéresse pas du tout. Seul mon passé pervers vous intéresse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque détail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'à ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas très catholique alors toutes âmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer à lire.

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