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Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vérifié : oui, nous avons tendance à juger rapidement les gens d'après leur apparence, et à rester durablement influencé par une première impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une étude, d'évaluer la personnalité du « candidats » juste d'après leur photo d'identité, les « recruteurs » auront tendance à évaluer les porteurs de lunettes comme étant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence séduisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugés d'emblée comme étant des personnes vaniteuses ou même superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est réellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beauté : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance à se chercher une femme très belle avec un physique qui fait rêver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme à épouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un être ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avérer être redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’après sa petite taille, mais de le goûter et pour sentir comme il pique. Cette tendance à juger quelqu'un dans son ensemble d'après un détail ou simplement une première impression fait référence à l'auréole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. Placée au-dessus d'un personnage, elle suffit à rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-à-dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprêtez à lire fait justement référence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avérer être des monstres !

Chapitre 1 1

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vérifié : oui, nous avons tendance à juger rapidement les gens d'après leur apparence, et à rester durablement influencé par une première impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise.

Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une étude, d'évaluer la personnalité du « candidats » juste d'après leur photo d'identité, les « recruteurs » auront tendance à évaluer les porteurs de lunettes comme étant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence séduisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugés d'emblée comme étant des personnes vaniteuses ou même superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est réellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beauté : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance à se chercher une femme très belle avec un physique qui fait rêver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme à épouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un être ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avérer être redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’après sa petite taille, mais de le goûter et pour sentir comme il pique.

Cette tendance à juger quelqu'un dans son ensemble d'après un détail ou simplement une première impression fait référence à l'auréole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. Placée au-dessus d'un personnage, elle suffit à rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-à-dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprêtez à lire fait justement référence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avérer être des monstres !

- chérie lèves toi et apprêtes toi il est déjà 8h du matin et nous devons être là-bas a 18h. Hurla mon époux depuis la salle de bain.

- Hummm ! Orrr chéri je voulais encore dormir un tout petit peu ! J’ai vraiment sommeil ! Répondis je en m’étirant sous mes draps.

- Mais non ! Fais un effort je t’en pries. Un très long voyage nous attends et tu le sais très bien. Rajouta t’il pour me convaincre de me lever.

- Tu as raison mais je n’aime pas lorsque tu pars dans cette petite ville. Enfaite cette ville me rappelle de mauvais souvenir mais bon vu qu’on n’a pas vraiment choix je vais me préparer. Lui répondis je en sortant de mon lit.

C'est ainsi que je me réveillais ce matin avec beaucoup de difficulté. Mon mari et moi devions aller pour un mois dans la région de l'Est du pays pour son boulot et comme d'habitude c’est toujours son travail qui nous poussait à voyager. S’était un homme d’affaires accompli qui prenait très au sérieux son travail. Bref... Je m'appelle Lola Dibongue, j'ai 31 ans et je suis marié avec Paul depuis prêt d'un an seulement pourtant je m'ennuie déjà énormément avec lui malgré la vie aisée qu'il m'offre. J’en voulais plus, les cadeaux qu’il m’offrait presque toutes les semaines ne suffisaient plus a combler mes envies d’évasion ; je voulais une vie plus épanouis comme quand nous étions encore petit copain et petite copine, je trouvais cette période plus... excitante, plus magique car il me faisait rêver et pour lui j’étais prête à tout... même au pire pour que jamais il ne me quitte pour une autre et au fil des combats je m’étais vu commettre des atrocités par amour, j’étais jeune et d’ailleurs même je le suis encore. 31 ans c’est pas la vieillesse au contraire c’est l’âge ou la jeune fille se sent réellement femme.

Parlant de mon physique je dirais que je suis une très belle femme au corps pas très élancé, parfaitement sculpté à en faire craquer tous ceux qui croisaient mon chemin. J’étais quand même une femme Sawa et toute la beauté de ma tribu se reflétait en moi. Je ne manquais pas de dragueurs ; des hommes ultras riches et très influents qui me couraient après depuis mon plus jeune âge mais mon mari je l'aimais énormément malgré tout et c'est la raison pour laquelle je supportais encore rester avec lui. J'ai toujours été fidèle à lui depuis que j'avais accepté ses avances il y'a de cela plus de dix ans et bien encore. Il a toujours été le seul et unique homme de ma vie depuis bien longtemps même quand je n’étais qu’une adolescente, je n’avais que d’yeux pour lui. Je n’avais connu aucun autre homme avant lui, aucun !

Je me souviens encore de cette soirée, notre première rencontre sous un ciel pluvieux alors que j’avais quatorze ans et lui vingt cinq. Vous vous imaginez ? Onze années nous séparait pourtant ça n’avait pas compter pour moi cette nuit là. Il pleuvait si fort ; j’étais toute trempée marchant très vite pour rentrer à la maison avec la peur d’être punis par mes parents pour avoir trop traîner dehors. Il s’était garé devant moi et m’avait alors proposé très gentiment de me déposer à la maison. Son regard était charmant, son sourire délicieux et son visage rassurant. Il m’avait captivé, s’était installé consciemment ou inconsciemment dans mon être et ne l’avait plus jamais quitté. De suite il avait gagné ma confiance ; j’avais alors su que s’était lui... mon homme pour la vie ! Bien évidemment que rien ne s’était jamais passé entre lui et moi jusqu’à se que je deviennes adulte. Durant toutes ses années il jouait le rôle de grand frère dans ma vie et j’étais heureuse car il savait comment prendre soin de moi. Même s’il ne m’aimait pas comme je désirais, j’étais fier de l’avoir dans ma vie.

- Chérie dépêche toi je suis déjà prêt. lança t'il et me réveillant de mes pensées.

- okay mon cœur ❤️ je suis presque prête.

- Comme d'habitude. Murmura t'il. Toujours presque prête mais jamais prête. S'il te plaît fais vite on part. La route va être longue et faut qu'on arrive le plus tôt possible. M'alerta t'il avec un air pas du tout content.

- je viens monsieur Doumbe ne me tape pas me voici on part alors. Weer on part nor 🙄 tu ne veux plus partir ? Commençais je a lui mettre la pression se qui l’irrita encore plus qu’il ne l’était déjà.

J'avais le don de le mettre sur les nerfs et je m'en foutais puisque je savais qu’il n’allait pas rester dans cet état second pour longtemps. S’était l’une de ses qualités : il n’aimait pas rester fâcher pour longtemps.

Doumbe Paul est un homme très nerveux de première vu mais au fond sa douceur et son grand cœur font de lui une personne unique et sentimentale. Grand de taille comme nous les aimons nous les courtes femmes, Paul est un homme incroyablement beau malgré ses 42 ans, il n’avait rien perdu de son charme. Charismatique et toujours bien habillée, il savait prendre soin de son physique tellement ça comptait pour lui. Il me disait toujours que s’était bien pour les affaires. Après tout s’était la mentalité de tous les hommes originaires de la région du Littoral ; ils étaient prêts à tout pour être très bien habillés, élégants et propres même si pour cela ils devaient rester le ventre vide.

C'est la raison pour laquelle j'avais décidé de toujours l'accompagner lors de ses voyages hors de la ville même avant qu’on ne soit ensemble surtout s'il doit faire un mois comme s’était le cas pour ce voyage ci parce que Comme dit un adage chez nous " quand tu néglige quelqu'un d'autre protège". Vous savez de quoi je parle les filles. Il était quand même un très bel homme riche et ce genre d’homme ne courait pas dans les rues donc c’est normal que je protège mes choses surtout après tout se que j’avais fait pour pouvoir l’avoir.

Je me donnais corps et âme pour rendre mon époux heureux afin qu'il ne regarde jamais une autre femme que moi. Et ça marchait bien car il n’avait d’yeux que pour moi. J'étais toujours là pour lui et je me promis de ne jamais me donner a un autre homme. J’avais fait le segment sur ma propre vie. Ça paraît invraisemblable mais j’avais juré que la mort vienne à moi dans le même mois si jamais je couchais avec un autre homme que Paul.

Quelle que soit la forme d'affection qu’un individu éprouve (amour, attachement ou désir), elle le rend meilleur. En effet, l'amour rassure l'individu, le valorise, le rend plus créatif. Ce sentiment permet de développer la tendresse, la générosité, le goût de la découverte et le désir d'apprendre. Même le corps devient fou sous l'effet des hormones sécrétées en masse ! L’amour modifie le comportement, quand il pousse un individu à agir différemment ou à changer ses habitudes, si bien que son entourage ne le reconnaît plus. J’étais amoureuse follement de mon cher époux et j’étais persuadée que jamais je n’allais le tromper et garde à la femme qui essayera de me le voler, j’étais prête à tout pour lui. Même si notre relation était ennuyeuse, je ne voulais jamais le perdre.

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