WILL WRITING
Les livres d'WILL WRITING(8)
Derniers Jours
Histoire
Bien de choses s’apprennent ailleurs qu’à l’école ou dans les livres.
Apprendre à vivre par exemple, l’un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus élémentaires selon les autres, s’apprend partout.
On ne sait plus vivre !
Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, véhicule privilégiée de bien des idées, décrit la décadence de notre civilisation : c’est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanité de nos constructions et l’absurde de bien des ambitions. Alors
Pourquoi s’en faire ?
Pourquoi réfléchir ?
Pourquoi travailler ?
Quand tout est vanité !
Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ?
Notre monde nous apparaît comme une mécanique bien réglée, régie par un ordinateur insensible.
On ne peut rien y changer, ce qui a été c’est ce qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes effets ! Et l’homme ne semble jamais comprendre.
Je voudrai en parler, partager, mais c’est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j’ai peur d’être seule ! La vie m’a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours !
Je me prénomme Lana, j’ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n’osent aborder. J’ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd’hui je suis sans-emploi pourtant ça n’a pas toujours été comme cela. Même si je n’étais pas épanouis dans mon travail, j’étais performante.
Mais bon je ne me plains pas de continuer mes études en ce début de troisième année surtout que je suis financièrement stable.
Ceci est mon histoire et il est déconseillé aux mineurs et aux âmes sensibles.
La dernière année de lycée
Histoire
Ça y est, le 2 septembre, la fin des grandes vacances. Cette année a été particulièrement pluvieuse contrairement aux années antérieures. Je reviens justement de vacances, d’un bel endroit avec de belles personnes : Limbé Semi-beach ça vous parle ? C’était des vacances très agréables où j’ai rencontré des personnes très sympathiques. J’y ai même croisé une fille qui avait une manière particulière de vivre son couple. Malgré tout l’amour qu’elle porte à son copain, ce qu’elle aime le plus dans son couple, c’est d’aller voir ailleurs. Elle m’a dragué dès le premier jour. Apparemment, j’ai de très beaux yeux. J’ai la chance d’avoir des yeux plutôt charmants qui semblent plaire plus que des yeux d’une autre forme.
- Tu dois être nouveau ici ? M’a t’elle abordé alors que je me promenais devant mon hôtel.
- Oui c’est ma première fois, ai-je répondu sans trop me poser de questions. C’est très beau ici et je peux dire que je ne regrette pas d’être venu.
- Oui ! Aussi beau que tes yeux, ajoute t’elle en me regardant avec admiration.
J’ai tout de suite sentir monter en moi une assurance sexuelle que je savais provenir d’elle comme si elle m’a contaminé de ses sensations.
- Je ne savais pas que j’avais de beaux yeux. C’est la première fois qu’on me fait un tel compliment et je ne sais pas comment te remercier pour ça. Lui ai je confié.
- Mon mari n’est pas là. On peut monter dans ma chambre vu que tu occupes la tienne avec tes parents. Un verre ça te dis ? M’a t’elle proposé après m’avoir montré qu’elle savait un peu de moi.
- Alors tu en sais des choses sur moi. Je supposes que tu sais aussi que je suis un mineur ? Lui ai-je demandé avec un sourire malicieux qu’elle avait répondu par un autre avant d’ajouter à son tour ;
- La virilité et l’inexpérience des mineurs m’excitent plus que tout. Alors on monte prendre ce fameux verre ? M’a t’elle à nouveau proposé en remuant sa poitrine sous mes yeux.
Dans mon pantalon s’était le feu d’autant plus que c’est une femme aux formes exceptionnelles qui me proposait une partie de jambe en l’air. J’ai donc accepté son invitation sans hésitation.
L’infidélité, c’est quelque chose que je ne pensais pas apprécier du tout. En fait, j’ai beaucoup aimé. Je ne me vois pas être infidèle, mais, les femmes en couple ont finalement plus d’intérêt à mes yeux maintenant. Cela étant, ce n’est pas le meilleur moyen de trouver une relation stable, ce n’est pas ce que je recherche maintenant. Mon expérience avec cette fille m’a littéralement changé ; nous avons passé des moments inoubliables et grâce à elle, j’ai découvert le sexe. Avant notre rencontre j’étais puceau. S’était fou ! Une belle expérience donc je vais vous raconter les détails au fil de l’histoire.
Aujourd’hui, c’est la reprise de l’école, mais pour la dernière fois car je suis en terminale. Le lycée, dans un an, c’est fini. À l’exception de quelques redoublants qui complète l’effectif, je retrouve la même classe de l’an dernier. Ça tombe bien, j’aime bien mes anciens camarades.
Dans ma classe, il y a ma meilleure amie, Luna, une fille teint clair, un peu plus petite que moi en taille, aux longs cheveux naturels qui lui tombent sur le dos. Elle a un petit visage d’ange avec de jolis yeux presque noir, comme les miens d’ailleurs. C’est une fille à la base timide qui n’expose pas trop ses atouts physiques car ayant un corps parfait.
J’ai un groupe d’amis proches, certains datent de l’école primaire, les autres se sont raccrochés au fur et à mesure. Je m’entends globalement bien avec toutes les personnes de ma classe, même cette petite peste de Maëva, le cliché typique de premier de la classe, arrogant, qui lorsqu’elle descendait à la deuxième place, le vivait mal. Mais quand elle laissait les cours de côté, elle était moins tendue, ça pouvait aller. Côté beauté, pour un intellos elle n’était pas mal fournis.
Toujours dans ma classe, Il y a aussi un binôme d’inséparables, Horchelle et Nounca. Elles ne traînaient pas trop avec le reste de la classe, elles faisaient leurs soirées avec leurs potes à elle que personne ne connaît ou presque. S’était les plus belles et les plus carré de la classe qui se prenaient pour des princesses. Elles croyaient venir d’une autre planète et refusaient littéralement de se mélanger à nous se qui poussaient les autres à ne pas trop les aimer pourtant au fond s’était des bonnes filles du moins.... je crois !
Un Coupable Idéal
Histoire
Avez vous déjà été victime d'injustice ? Bien-sûr que oui, nous avons déjà tous été victime d'injustice au moins une fois au cours de notre existence. Tous les jours quelque part dans le monde une personne se plaint d'avoir été accusée injustement. Le sentiment d'injustice est l'un des plus forts et des plus violents que l'esprit humain peut ressentir. Et parfois certaines personnes payent le lourd fardeau d'un crime commis par quelqu'un d'autre. Dans d'autres circonstances, il est juste question de trouver le coupable parfait comme ce fut le cas pour Maximilien un adolescent âgé de seize ans qui a été accusé injustement du crime de sa meilleure amie Marie Louise âgée elle aussi de seize ans au moment de son assassinat.
Ce soir-là, un homme, le visage masqué par une cagoule, pénètre dans une maison de la ville de Douala. Une arme à feu à la main, il ne demande rien a personne et se met à tirer à trois reprises sur l'adolescente. Dans des circonstances que les médias camerounais ne précisent pas, le braqueur tire sur la jeune fille. Touché, celle-ci décédera quelques jours plus tard, à l’hôpital. Le malfaiteur, lui, s’enfuit les mains vides. aucun objet voler d’après la famille donc il est clair qu'il s'agissait d'un règlement de compte.
Les policiers arrivent sur les lieux du crime après avoir été prévenu par un jeune homme qui appelait à partir du téléphone fixe de la maison dans laquelle le crime s'était produit, sans preuve, le jeune homme fut accusé du meurtre de Marie Louise car étant le seul présent sur les lieux et condamné à la peine de mort quelques semaines seulement après le crime. L’affaire fut si politisée car impliquant des hommes puissants du pays qu’il fut déféré non pas dans une prison pour mineurs mais directement à la prison centrale de Nkodengui a Yaoundé où il devait attendre patiemment le jour de son exécution.
Lors de son procès, rien n'a été en sa faveur. Orphelin et vivant avec son oncle Mathéo, un homme sévère, violent, alcoolique et parfois même sans scrupule pourtant très riche et influent qui battait le jeune garçon comme il voulait et quand il voulait lui faisant vivre un enfer, Maximilien n'a eu droit a aucun avocat même pas a ceux désigné par l'État pour assurer la défense des accusés qui ne peuvent pas s'en procurer un. Selon le procureur, aucun avocat n’avait accepté de défendre le présumé assassin de la fille de Lahoud Bamba un homme d'affaires puissant et réputé qui venait de se lancer dans la politique avec pour but de devenir Maire de la ville de Douala.
Après deux années passées en prison, un grand sourire sur le visage, les yeux plissés par l’émotion, il inspire profondément l'air pu de la liberté en levant les mains vers le ciel comme s'il remerciait le Saint Père céleste et tous ces anges pour lui avoir aidé à s'évader de la prison. La police était en alerte, la presse aussi. Quelques minutes seulement après son évasion dans des conditions un peu troubles, Maximilien était devenu l'homme le plus recherché du pays. Toutes les chaînes et radios qui avaient suivies de près cette affaire depuis le début ont changé leurs programmes en cours pour ne parler que de lui. Toutes les forces policières de la ville capitale ont été mobilisé pour attraper celui qu'on qualifiait de << JEUNE LE PLUS DANGEREUX D’AFRIQUE >>. Une mise à prix de deux millions de francs fut placé sur sa tête. On le voulait vif ou mort.
De son côté, Maximilien était déterminé à rejoindre la ville de Douala, ville dans laquelle tout a commencé et où selon lui tout devait finir...
Nelly est la présentatrice d'une émission appelé paroles aux jeunes dédié exclusivement a la jeunesse. Elle sera la seule a donner au jeune Maximilien l'opportunité de donner sa version des faits à travers son émission. Et pour la première fois, le jeune garçon aura l’opportunité de partager son histoire avec le monde entier faisant de l’émission radio de Nelly l’émission la plus suivie du continent.
Serait ce un coup monté ou alors Maximilien qui dit n'avoir pas tué sa meilleure amie serait en réalité l'homme en cagoule.? LA BEAUTÉ DU MAL
Moderne
Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte à sa volonté ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au péché, et, dans l’abîme, il le punit d’avoir péché. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en défie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de ténèbres, c’est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-âge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement.
Pour nous, qui ne sommes ni obsédés, ni possédés (et c’est sans doute, hélas ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-être quelque intérêt à faire apparaître Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte à la source même des jours, sombre biographie d’un fantôme qu’il faut reconstituer d’après des rêves. Il s’agit d’une biographie, éclaircissons d’abord le mystère des origines.
L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tiré du néant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophètes, se tait sur son âge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siècles de l’église, le manichéen Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, élève le diable jusqu’à l’idée de cause, et il en fait une sorte d’être en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naître du chaos et des ténèbres ; Tatien, d’un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l’autorité de l’évêque d’Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhéteur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient à cette classe d’intelligences supérieures qui étaient comme les prémices de la création. Ils habitaient les régions de la lumière et de la sérénité, et Dieu les avait initiés aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardèrent point à déchoir de leur rang suprême en cédant aux inspirations d’une volonté mauvaise.
Ils tombèrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant à s’élever d’eux-mêmes, et sans le secours de la grâce, à l’éternelle béatitude, en disputant à Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptés que de purs esprits ne doivent pas connaître. Dieu, pour les punir, les bannit de sa présence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel, comme le dit saint Jean.
Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une créature déchue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et désolée, et dans le séjour de son éternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystère, que, malgré ses fréquentes apparitions et les nombreux témoignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la définition de l’école, un esprit, c’est ce que l’œil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapidité de la pensée. C’est un être indéfinissable. Mon voisin
Histoire
Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vérifié : oui, nous avons tendance à juger rapidement les gens d'après leur apparence, et à rester durablement influencé par une première impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise.
Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une étude, d'évaluer la personnalité du « candidats » juste d'après leur photo d'identité, les « recruteurs » auront tendance à évaluer les porteurs de lunettes comme étant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence séduisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugés d'emblée comme étant des personnes vaniteuses ou même superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est réellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beauté : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance à se chercher une femme très belle avec un physique qui fait rêver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme à épouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un être ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avérer être redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’après sa petite taille, mais de le goûter et pour sentir comme il pique.
Cette tendance à juger quelqu'un dans son ensemble d'après un détail ou simplement une première impression fait référence à l'auréole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. Placée au-dessus d'un personnage, elle suffit à rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-à-dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprêtez à lire fait justement référence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avérer être des monstres ! UNE RENCONTRE INATTENDUE
Romance
La terre, près de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu’elles ont en commun toutes ces personnes ?
Et bien la réponse est qu’Aucun d’eux ne sait de quoi l’avenir sera fait. Ils vivent tous dans l’espoir ?
L’espoir d’un lendemain meilleur, d’un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C’est quoi l’espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu’on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C’est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu’il vaudrait juste mieux de vivre.
Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L’amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-même se résume à de la philosophie ; une science inexacte comme les journées et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l’incertain. Mais pourquoi s’inquiéter quand on nous parle d’espoir en longueur de journée dans nos médias, nos écoles, nos familles, partout, il suffit juste d’être un tout petit peu dans une situation même des moindres pour que ce mot sorte.
Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unité humaine où les guerres et la famine disparaîtront pour laisser place à un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu’un autre “espoir” qui n’arrivera jamais ou peut-être tant que nos sociétés seront dirigées par des hommes sans cœur ni foi à la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir à voir périr la classe ouvrière, qui contribuer à la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d’esprits qu’un autre humain comme eux parce qu’il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou même de culture différentes n’est pas son frère mais un ennemi qu’il faut éliminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte à cause de l’égoïsme des uns et des autres et le pire est que chaque être humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n’était.
J’avais un rêve, énormément d’espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entière. Au delà de la cruauté du monde, je m’accrochais à ce rêve dans les profondeurs de mon village, mon village natale où je ne voyais aucun moyen de parvenir à mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante
- L'AMITIÉ À SES AVANTAGES
Histoire
Aujourd'hui femme respectée de tous, mariée, mère de trois magnifiques garçons, aimée, désirée, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rêveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vécu lorsque je n’étais encore qu’une lycéenne... Oui aucune pas même moi si on m’avait demandé de choisir revivre cela.
J'ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expérience a contribué à faire de moi la femme forte et dévouée que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en étais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'étais comme possédée par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques années plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et à ses côtés je vies le bonheur absolu.
Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien à voir avec la sexualité d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme âgée de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mère de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fierté : Ivan c'est l'aîné. Il est âgé de 12 ans ensuite vient Killian âgé de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a à peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari.
Jean est la définition de l'amour même. Il est attentionné, doux, compréhensif, très beau, un peu musclé et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mètre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. Propriétaire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours été le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment réussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs étaient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire réellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et très attentionné.
- suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! Crièrent en chœur mes enfants avec un énorme gâteau d'anniversaire posé sur la table et leur papa a côté vêtu comme un guignol sûrement pour donner encore plus d'ambiance a l'événement. Ils sont si mignons.
regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu défiler sous mes yeux le film de mon passé, de ma jeunesse. Je ne pu m'empêcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas à réaliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ?
Je vous ai assez parlé de ma vie actuelle et je suis sûr que ça ne vous intéresse pas du tout. Seul mon passé pervers vous intéresse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque détail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'à ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas très catholique alors toutes âmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer à lire.
PACTE Avec SATAN
Histoire
L’univers est constitué de telle sorte que chaque élément aussi infirme soit-il soit d’une très grande importance. C’est pareil pour nous les êtres humains ; on aura beau te traiter d’inutile ou de sans importance ça n’enlèvera rien à ta valeur. Nous sommes tous uniques et spéciaux chacun a sa manière sauf que d’autre son dans la lumière avec tout le mérite qui pour la plupart n’est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l’œuvre d’autres personnes ignorées par la société.
Certaines personnes aussi, influencées ou pas par la société considère la pauvreté comme une malédiction qu’elles doivent éradiquer même si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S’était le cas pour moi ; la pauvreté je la considérais comme une maladie, une peste, une malédiction. J’avais honte de montrer ma maison à mes nouveaux amis, j’étais dégoûté de rester dans une maison où il n’y avait même pas un petit frigo et où manger était un vrai combat quotidien. J’en avais marre d’être pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient à se regarder devant un miroir. N’avaient ils pas honte de leur situation financière ? N’étaient ils pas dégoûtés d’offrir à leurs enfants une vie de misérable ?
Dans une société où les préjugés font notre quotidien, où on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, où la valeur d’une personne se voit uniquement sur son apparence, où on aime uniquement les riches et on méprise les pauvres, je me considérais avec les miens comme les derniers des plus misérables. S’était pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix à payer, j’étais prête à tout pour laver l’honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur.
Je m’appelle Horchelle, vingt ans et élèves en classe de première D au moment où mon histoire commence réellement. J’étais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m’imposer ses choix. J’étais infaillible côté sentiment, les gens avaient l’impression que rien ne pouvait m’atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante à cause de ma froideur surtout que je parlais très peu, j’avais aussi très peu d’amis et j’étais toujours recroquevillée dans mon coin nerveuse à observer se qui passait autour de moi. Je scrutais à la loupe chaque détail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m’avait surnommé l’extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j’étais sans sentiments !
Pourtant s’était faux ! Une fois de plus ils m’avaient jugé sur mon apparence car même si j’étais froide comme ils le disaient, n’en demeurait point qu’au fond de moi, j’étais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drôles même si s’était intérieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait très peu parce qu’elle avait peu à dire et qui était toujours dans son coin parce qu’elle avait peur que son plus grand secret soit révélé : ma pauvreté. Même s’il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n’y arrivais pas. S’était insupportable cette situation.
J’étais même allée jusqu’à implorer mon père de m’inscrire dans un collège très loin de la maison sous prétexte que s’était le meilleur pourtant je vouais être dans une école où aucun de mes voisins ne s’y trouvait de peur que mon secret ne soit révélé. Vous vous dosez peut-être que j’étais folle pourtant se n’était pas de la folie mais un état d’esprit. Je me sentais pas différente à un adolescent qui pisse encore au lit : s’était un handicap qu’il ne voulait pas qu’on sache tout comme ma pauvreté l’était aussi et je ne voulais que quelqu’un dévoile mon secret.
Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j’étais propriétaire de moi même, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu’on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout à basculé dans ma vie. Un événement qu’on qualifierait de négligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S’était un mercredi très pluvieux et nous étions en classe. Nous avions un cours d’histoire où on parlait de la puissance de l’Afrique d’autre fois. Le professeur avait alors posé une question :
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Dans sa vie précédente, la princesse royale, Yun Shang, a été traumatisée mentalement et physiquement. Elle était une femme trahie par son mari, une mère témoin de la mort tragique de son enfant unique, et une sœur qui avait connu la cruauté de sa sœur aînée royale. Maintenant, retournée à l'âge de huit ans, avec ses souvenirs sur ces personnes, comment va-t-elle se venger ? Découvrez par vous-même ! Phénix réincarné : la quatrième dame sans égale
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Je me présente : Igondjo Quentin Edowiza Maëva. Ouvrez bien vos yeux. Quentin c’est mon nom aussi. Bon, celui de mon ancien père. Je dis ancien parce que je ne sais pas si il est mort ou toujours en vie, mais dans les deux cas, je sais juste que je n’ai plus de père. Pourtant je me rappelle qu’avant je l’avais près de moi, mais ça, c’était avant. Je n’ai pas besoin de vous dire que je suis métisse.
Mon père, un expatrié français travaillant pour le compte de Elf, était mal nase (amoureux) de ma mère. Il a commencé à la draguer quand elle avait 16 ans, puis un bon matin, quand elle a eu 20 ans, elle a cédé. Mais on vous parle d’une première fois, et c’était dedans. Je crois qu’il avait fait la cotis des spermatozoïdes. lol
Je suis née en 1987, et jusqu’en 1994, on était toujours une petite famille très heureuse. On passait même les vacances en France.
Et puis un jour, quand papa m’a dit qu’il partait en voyage là, na neno, vendé n’ ébobo z’ ézango, myéré dengué (jusqu’à maintenant, même l’échantillon de la lettre, je n’ai pas reçu). Quand je demandais à maman, elle me disait juste de laisser. Maintenant, c’est trop tard. Il ne me reste comme souvenirs que mon vieux passeport, des photos et la maison d’Abela qui est à son nom…
En 1998, Tonton Henri a fait son entrée dans nos vies. L’année qui a suivi, Rapombia Edowiza christopher Martin, mon petit frère, est né. Mais en 2002, le divorce du mariage qui n’avait même pas commencé entre maman et tonton Henri est officiel, voici comment nous sommes retournés vivre à trois, à Abela. Bon à quatre avec Mamie, vu que mon Grand-père a cassé la pipe dans la même période. Mais bon, Mamie était toujours entre deux pirogues (lol), pour aller faire son manioc au village et revenir le vendre à POG.
On vivait bien rien qu’avec le salaire de maman et les recettes de la vente du manioc de Mamie. Elle nous gâtait, elle nous cognait (surtout moi quand j’étais échouée en classe), mais on était à l’aise, c’était notre mère.
Je donnerai cher pour qu’elle soit toujours là. Même si c’est pour me raser les cheveux, ou bien me frotter le piment sur tout le corps quand je rentre en retard ou que je découche, je m’en fiche, je veux juste qu’elle soit en vie.
En 2007, rien ne nous avait préparé à ce départ si brusque. Même Mamie qui souffre d’hyper-tension tous les jours que Dieu fait, avec en prime les maladies de la vieillesse (lol), elle est toujours là (je n’ai pas dit qu’elle doit mourir).
C’est à ce moment qu’on a fait la connaissance de tous ceux qu’on appelait « parents » depuis tout ce temps. Entre les ingrats, les aigris et les m’en-foutistes, on ne savait plus où mettre la tête. Et puis il faut dire que moi avec ma sauvagerie et ma délinquance, les gens ne se bousculaient pas trop pour que j’aille vivre chez eux. Personne ne pouvait prendre aussi mon petit frère parce que j’ai dit il ira où je j'irai, et vice versa. Maman qui supportait nos bêtises n’est plus là, je ne voulais pas que quelqu’un tente de reproduire l’histoire de cendrillon ou de cosette avec moi ou mon petit Bijou, mieux, on reste chez nous.
On comptait sur les doigts d’une main, le tonton ou la tantine, qui nous a déposé le petit sac de riz éléphant non parfumé qui coute 1700fcfa là, ou bien le paquet de sucre. Peut-être parce que maman était fille unique, je ne sais pas ...
Tonton Henri donne souvent des sous, mais comme il a la bougeotte et beaucoup de copine, il faut compter au moins 3 mois avant que les prochains 70.000fcfa n’arrivent. Les deux amies et collègues de maman de SDV, je n’allais les embêter que si vraiment la situation était désespérée. Dans le petit argent qui est resté après le décès, Mamie a besoin de médicaments, il faut payer « La Fontaine’’ pour Bijou, moi ici je repasse encore le bac et je veux faire les cours de maths. Impossible. Heureusement que Franck était là.
Bon c’était un heureux évènement à l’époque, aujourd’hui je crois que j’aurais préféré manger les badâmes tous les jours, que de l’avoir connu. Bref,
Quand c’est fini avec Franck, j’ai jugé bon de mettre la maison en location, ça nous faisait un revenu mensuel au moins sûre, et nous sommes venus vivre dans la vieille maison de Papi Dodo (Edowiza), à Omboué central.
Avec mon petit diplôme de l’IST, Moov m’a embauché depuis 8 mois maintenant. Petit-à-petit, on vit mieux.