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LA BEAUTÉ DU MAL

LA BEAUTÉ DU MAL

WILL WRITING

5.0
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Chapitres

Quel est donc cet esprit de tĂ©nĂšbres, homme, serpent ou dragon, qui plane Ă  tous les horizons du passĂ© ? Dans le ciel, il blasphĂšme et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l'homme « comme d'un cheval qu'il pique et monte Ă  sa volontĂ© ; » il l'afflige, le tourmente, l'excite au pĂ©chĂ©, et, dans l'abĂźme, il le punit d'avoir pĂ©chĂ©. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-Ăąge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s'en dĂ©fie. Le grimoire enseigne comment on l'Ă©voque, le rituel comment on le chasse. L'Ă©glise le maudit, la sorcellerie l'adore. Cet esprit de tĂ©nĂšbres, c'est le dĂ©mon de la thĂ©ologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-Ăąge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsĂ©dĂ©s, ni possĂ©dĂ©s (et c'est sans doute, hĂ©las ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-ĂȘtre quelque intĂ©rĂȘt Ă  faire apparaĂźtre Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l'amour sans inquiĂ©tude et sans larmes, tout ce que l'homme poursuit sans l'atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte Ă  la source mĂȘme des jours, sombre biographie d'un fantĂŽme qu'il faut reconstituer d'aprĂšs des rĂȘves. Il s'agit d'une biographie, Ă©claircissons d'abord le mystĂšre des origines. L'Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l'auteur des choses l'a tirĂ© du nĂ©ant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophĂštes, se tait sur son Ăąge ; mais, quand Dieu se tait, l'homme veut deviner encore. Aux premiers siĂšcles de l'Ă©glise, le manichĂ©en Bardesanes, s'inspirant des traditions du dualisme, Ă©lĂšve le diable jusqu'Ă  l'idĂ©e de cause, et il en fait une sorte d'ĂȘtre en soi qu'il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naĂźtre du chaos et des tĂ©nĂšbres ; Tatien, d'un rayon de la matiĂšre et de la mĂ©chancetĂ©. Dans la JudĂ©e, au temps de saint JĂ©rĂŽme, les uns lui donnent pour pĂšre LĂ©viathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s'unirent avec les filles des hommes avant le dĂ©luge. Selon saint Augustin, Dieu aurait crĂ©Ă© les bons et les mauvais esprits comme un poĂšte qui, pour relever les beautĂ©s de son Ɠuvre, y sĂšme les antithĂšses ; cependant, si grandes que soient l'autoritĂ© de l'Ă©vĂȘque d'Hippone et sa pĂ©nĂ©tration dans ce qui touche les mystĂšres, il est peu probable que l'Ă©ternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhĂ©teur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l'origine, appartenaient Ă  cette classe d'intelligences supĂ©rieures qui Ă©taient comme les prĂ©mices de la crĂ©ation. Ils habitaient les rĂ©gions de la lumiĂšre et de la sĂ©rĂ©nitĂ©, et Dieu les avait initiĂ©s aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardĂšrent point Ă  dĂ©choir de leur rang suprĂȘme en cĂ©dant aux inspirations d'une volontĂ© mauvaise. Ils tombĂšrent par l'orgueil et la concupiscence : par l'orgueil, en cherchant Ă  s'Ă©lever d'eux-mĂȘmes, et sans le secours de la grĂące, Ă  l'Ă©ternelle bĂ©atitude, en disputant Ă  Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux rĂ©voltĂ©s, l'acte de foi et d'hommage. Ils tombĂšrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptĂ©s que de purs esprits ne doivent pas connaĂźtre. Dieu, pour les punir, les bannit de sa prĂ©sence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvĂ©e dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l'homme, n'est donc qu'une crĂ©ature dĂ©chue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et dĂ©solĂ©e, et dans le sĂ©jour de son Ă©ternel exil, il s'enveloppe de tant d'ombre et de mystĂšre, que, malgrĂ© ses frĂ©quentes apparitions et les nombreux tĂ©moignages de ceux qui l'ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n'est pas un esprit, car, suivant la dĂ©finition de l'Ă©cole, un esprit, c'est ce que l'Ɠil ne peut voir, ce que l'oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l'entend, il parle. Ce n'est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapiditĂ© de la pensĂ©e. C'est un ĂȘtre indĂ©finissable.

Chapitre 1 1

Quel est donc cet esprit de ténÚbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphÚme et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l'homme « comme d'un cheval qu'il pique et monte à sa volonté ; » il l'afflige, le tourmente, l'excite au péché, et, dans l'abßme, il le punit d'avoir péché.

Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-ùge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s'en défie. Le grimoire enseigne comment on l'évoque, le rituel comment on le chasse. L'église le maudit, la sorcellerie l'adore. Cet esprit de ténÚbres, c'est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-ùge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement.

Pour nous, qui ne sommes ni obsĂ©dĂ©s, ni possĂ©dĂ©s (et c'est sans doute, hĂ©las ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-ĂȘtre quelque intĂ©rĂȘt Ă  faire apparaĂźtre Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l'amour sans inquiĂ©tude et sans larmes, tout ce que l'homme poursuit sans l'atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte Ă  la source mĂȘme des jours, sombre biographie d'un fantĂŽme qu'il faut reconstituer d'aprĂšs des rĂȘves. Il s'agit d'une biographie, Ă©claircissons d'abord le mystĂšre des origines.

L'Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l'auteur des choses l'a tirĂ© du nĂ©ant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophĂštes, se tait sur son Ăąge ; mais, quand Dieu se tait, l'homme veut deviner encore. Aux premiers siĂšcles de l'Ă©glise, le manichĂ©en Bardesanes, s'inspirant des traditions du dualisme, Ă©lĂšve le diable jusqu'Ă  l'idĂ©e de cause, et il en fait une sorte d'ĂȘtre en soi qu'il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naĂźtre du chaos et des tĂ©nĂšbres ; Tatien, d'un rayon de la matiĂšre et de la mĂ©chancetĂ©. Dans la JudĂ©e, au temps de saint JĂ©rĂŽme, les uns lui donnent pour pĂšre LĂ©viathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s'unirent avec les filles des hommes avant le dĂ©luge. Selon saint Augustin, Dieu aurait crĂ©Ă© les bons et les mauvais esprits comme un poĂšte qui, pour relever les beautĂ©s de son Ɠuvre, y sĂšme les antithĂšses ; cependant, si grandes que soient l'autoritĂ© de l'Ă©vĂȘque d'Hippone et sa pĂ©nĂ©tration dans ce qui touche les mystĂšres, il est peu probable que l'Ă©ternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhĂ©teur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l'origine, appartenaient Ă  cette classe d'intelligences supĂ©rieures qui Ă©taient comme les prĂ©mices de la crĂ©ation. Ils habitaient les rĂ©gions de la lumiĂšre et de la sĂ©rĂ©nitĂ©, et Dieu les avait initiĂ©s aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardĂšrent point Ă  dĂ©choir de leur rang suprĂȘme en cĂ©dant aux inspirations d'une volontĂ© mauvaise.

Ils tombĂšrent par l'orgueil et la concupiscence : par l'orgueil, en cherchant Ă  s'Ă©lever d'eux-mĂȘmes, et sans le secours de la grĂące, Ă  l'Ă©ternelle bĂ©atitude, en disputant Ă  Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux rĂ©voltĂ©s, l'acte de foi et d'hommage. Ils tombĂšrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptĂ©s que de purs esprits ne doivent pas connaĂźtre. Dieu, pour les punir, les bannit de sa prĂ©sence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvĂ©e dans le ciel, comme le dit saint Jean.

Le diable, ainsi que l'homme, n'est donc qu'une crĂ©ature dĂ©chue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et dĂ©solĂ©e, et dans le sĂ©jour de son Ă©ternel exil, il s'enveloppe de tant d'ombre et de mystĂšre, que, malgrĂ© ses frĂ©quentes apparitions et les nombreux tĂ©moignages de ceux qui l'ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n'est pas un esprit, car, suivant la dĂ©finition de l'Ă©cole, un esprit, c'est ce que l'Ɠil ne peut voir, ce que l'oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l'entend, il parle. Ce n'est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapiditĂ© de la pensĂ©e. C'est un ĂȘtre indĂ©finissable

Dans les ombrages et les replis de sa nature tĂ©nĂ©breuse, Satan n'Ă©chappe pas moins Ă  l'analyse que dans ses transformations extĂ©rieures. Les jours passent, les annĂ©es s'accumulent ; tout change ; l'homme mĂȘme se tourne vers le bien, dans les derniers jours, par impuissance du mal peut-ĂȘtre, mais qu'importe ? Satan seul persiste dans son immuable perversitĂ©. Il voudrait se consoler de ses remords par les joies que les mĂ©chans cherchent dans le mal, et ces joies perverses ne laissent en lui que l'amertume du passĂ© et l'effroi de l'avenir. Il est envieux, orgueilleux, impur, et sa haine contre l'homme est si profonde, qu'on l'a entendu dire un jour qu'il aimait mieux retourner en enfer avec l'Ăąme d'un damnĂ© que de remonter au ciel dans sa fĂ©licitĂ© premiĂšre.

En réalité la Bible ne décrit pas avec exactitude l'apparence de Satan ou de certains démons. Mais nous avons quelques indices. Plus que l'apparence réelle du Diable, la Bible nous demande surtout de nous méfier des fausses apparences dont il est à l'origine.

Les princes des ténÚbres n'ont pas une, mais plusieurs apparences et sexes généralement appelés Baals et Astartés (ils peuvent prendre une apparence masculine ou féminine), reconnus par les hommes comme divins pourtant ils sont des démons des créatures du mal qui n'ont aucune part avec Dieu).

La seule indication rĂ©elle, concernant le physique de Satan post chute, que j'ai trouvĂ© dans la Bible se trouve dans l'Apocalypse oĂč il est dĂ©signĂ© comme Ă©tant un « dragon » et un « serpent ». Mais que se passera t'il si le diable revĂȘtait une forme humaine, s'installait sur la terre dans une belle petite ville africaine et finissait par tomber amoureux d'une charmante jeune demoiselle au cƓur pur qui ne demandait qu'Ă  mener une vie paisible loin des problĂšmes du monde dans lequel elle Ă©tait rĂ©sidente ?

Tout avait commencĂ© un soir de grandes vacances aprĂšs une journĂ©e des plus pluvieuses oĂč l'air Ă©tait presque glaciale. J'Ă©tais tenue au bord de la route recouverte d'un long manteau qui recouvrait entiĂšrement ma robe mi courte mi longue ainsi que mon tee-shirt noir aux effigies de la douane camerounaise dans laquelle j'exerçais depuis dĂ©jĂ  plusieurs annĂ©es ; j'Ă©tais lĂ  Ă  attendre le taxi qui aura la gentillesse de me dĂ©poser chez moi aprĂšs une journĂ©e de travail des plus pĂ©nibles. Ça faisait dĂ©jĂ  une bonne dizaine de minutes que j'Ă©tais lĂ , scotchĂ©e au bord de la route quand soudain en une fraction de seconde les nuages passĂšrent du bleu Ă©clatant qu'ils avaient revĂȘtus depuis quelques minutes dĂ©jĂ  Ă  un noir brouillant et effrayant. La nature s'agitait, les papiers volaient dans tous les sens. La pluie annonçait son arrivĂ©e Ă  grande pompe.

- Ah non pas encore la pluie ! Murmurais je décidément agacé par cette pluie qui apparemment ne voulait plus finir.

Il avait énormément plu durant cette journée et je me réjouissais déjà qu'elle se soit enfin calmé pour me permettre de regagner mon domicile paisiblement.

Mais hélas ! Comme en colÚre contre mon juron, il se mit à pleuvoir abondamment ne me laissant pratiquement pas le temps de me trouver un abri sûr.

- Oh non mes affaires vont se mouiller ! Criais je Ă  moi mĂȘme en regardant autour de moi s'il n'y avait pas un endroit oĂč je pourrai me tenir Ă  l'abri de cette pluie colĂ©rique.

Aucune voie d'Ă©chappatoire. Il n'y avait aucun abri Ă  proximitĂ© et le temps de rejoindre le premier endroit sĂ»r je serai dĂ©jĂ  entiĂšrement mouillĂ©e et mon sac Ă  main Ă©galement. J'Ă©tais dĂ©sespĂ©rĂ©e lorsque je me rendis compte que la pluie ne m'atteignait plus. Au dessus de ma tĂȘte j'avais une forme, un parapluie qui me protĂ©geait des gouttes d'eau. Sans voix et heureuse, je m'Ă©tais alors retournĂ©e pour dĂ©couvrir le visage de mon bienfaiteur ou de ma bienfaitrice.

- Il est toujours conseillé de marcher avec un parapluie en saison des pluies jolie demoiselle ou madame ?

- Mademoiselle ! Répondis je malgré moi.

Sa voix ! Il avait une voix douce, prenante et attirante, qui procurait une sensation de bien-ĂȘtre, trĂšs agrĂ©able Ă  entendre ; rassurante je dirais mĂȘme. Et ce parfum qui entourait sa prĂ©sence ! Il Ă©tait tout simplement envoĂ»tant. Lorsque mon regard se posa sur le sien, je fus transportĂ©e dans un univers que je n'avais jamais explorĂ©. J'avais perdu l'Ă©quilibre mais trĂšs vite il s'Ă©tait empressĂ© de m'attraper par les hanche avant que je ne tombes. Nous avions gardĂ© cette mĂȘme position Ă  nous regarder dans les yeux avec les couleurs de l'amour, sa main toujours autour de mes hanches tandis que sa deuxiĂšme main tenait le parapluie qui nous servait d'abri pendant plusieurs seconde sans rien se dire avant qu'une voiture ne nous inonde d'eau se qui eut pour effet de nous faire rire au lieu de nous mettre en colĂšre.

- On peut aller s'abriter dans ma voiture si tu veux bien ! Me proposa t'il gentiment aprÚs m'avoir redressé sur mes deux jambes.

- Désolé cher monsieur je ne peux accepter votre proposition car je ne vous cannait pas.

- Satanas ! Je m'appelle Satanas. Se présenta t'il instantanément.

- Comme Satan ? Lui demandais je presque effrayé.

- Oui comme Satan sauf que c'est Satanas

- Bizarre comme nom quoique ça sort de l'ordinaire. Ajoutais je.

- Les humains ont tous presque les mĂȘmes nom : Jule/Julie AndrĂ©/Andrea Kevin/Kevine alors que je suis sĂ»r d'ĂȘtre le seul Ă  porter ce nom se qui me rend... diffĂ©rent et unique en mon genre.

- Tu semble ĂȘtre heureux de porter ce nom...

- Bien sûr que je suis trÚs heureux d'avoir ce nom unique. Pour rien au monde je ne voudrais le changer. Il me convient et reflÚte parfaitement ma personnalité. On va dans ma voiture ? J'insiste mademoiselle...

- Maria !

- Pardon ?

- Mon nom. Je m'appelle Maria !

- Comme la mĂšre de ce fils Ă  Dieu ? Demanda t'il d'un ton gĂȘnĂ©.

- Oui comme la mÚre du fils de Dieu. Et pour ton invitation c'est un oui. Je serai ravi que tu me dépose chez moi.

Il me conduisit dans sa voiture et aprĂšs un bon moment sans rien se dire, il me demanda enfin oĂč il devait me dĂ©poser et je lui indiquais mon domicile et il se chargea de m'y conduire dans un silence de cimetiĂšres. Une fois devant mon appartement, je lui avais proposĂ© poliment de monter histoire de prendre un cafĂ© et de se nettoyer avant de retourner chez lui et il accepta volontiers mon invitation.

Alors que nous étions entrain de siroter notre café, il me demanda :

- Dieu ! Tu crois en lui ?

- Bien sûr que je crois en Dieu ! Il est la solution à mes problÚmes, mon pÚre mon roi mon protecteur. Sa présence me rassure. Répondis je Tout en souriant sous le regard décontenancé de Satanas.

- Tu parles du lui avec beaucoup d'amour se qui m'amÚne à me demander si tu l'as déjà rencontré, si vous aviez discuté.

- Non personne n'a jamais rencontré Dieu directement mais auparavant Il parlait aux hommes, à ses prophÚtes et se sont ses hommes et femmes qui nous ont parlé de lui et qui nous ont permis de connaßtre un peu plus sur lui au travers de la sainte bible.

- La bible !

- La bible est porteuse de bonne nouvelle et d'espoir pour qui croit au pĂšre et au fils...

- Le fils ?

- Jésus Christ ! Il est le chemin et la vie, le rédempteur. Son nom est au dessus de tout autre nom et Dieu l'a établi comme étant la voie qui mÚne au royaume des cieux.

- Encore des discours dogmatiques ! J'en ai assez entendu sinon tu peux me parler plutĂŽt de toi... je prĂ©fĂšre m'intĂ©resser Ă  se qui est sous mes yeux qu'Ă  un ĂȘtre donc l'existence n'est qu'un mythe. Lança t'il trĂšs posĂ©ment.

- Dieu n'est pas un mythe ! Il existe vraiment. La preuve physique de son existence est le saint livre écrit par des hommes qui ont vécu des siÚcles avant nous. Mais bon je ne vais pas t'obliger à croire en lui.

- C'est rassurant ! Nous pouvons tous ĂȘtre des dieux si nous le voulons il suffit juste de corrompre un trĂšs grand nombre de personnes et les pousser Ă  nous adorer et ainsi ils nous Ă©lĂšveront au rang d'un dieu. C'est une question de pragmatisme.

- Tu te rends compte de se que tu dis ?

- Je te dis juste se que tes croyances dogmatiques refusent d'accepter. Je peux ĂȘtre un dieu, je suis dieu !

Il semblait trop sûr de lui en disant tout cela alors pour ne pas plonger dans un débat sans fin j'avais décidé de changer tout simplement de sujet.

- Alors tu me parles de toi ?

- Si tu veux ! Moi c'est Satanas celui qui fut et qui sera aussi longtemps que le monde existera.

- Tu es plutÎt du genre mystérieux apparemment. Si tu ne veux rien me dire sur toi sans souci je ne vais pas te brusquer.

- Tu ne me brusque pas. Je t'ai dit la vérité. J'aurai aimé discuter plus longtemps avec toi mais hélas je dois m'en aller. J'ai une affaire des plus importante à régler ce soir. Je passe te chercher demain aprÚs le boulot ?

- D'accord merci Ă  demain 17h au mĂȘme endroit.

Il Ă©tait parti Ă  la vitesse de l'Ă©clair comme s'il venait tout juste de dĂ©couvrir l'heure. J'Ă©tais restĂ©e seule dans mon appartement Ă  repenser Ă  cette soirĂ©e bizarre ; je dirais mĂȘme trĂšs bizarre. J'avais hĂąte de revoir mon bel inconnu. Aussi incroyable que cela puisse paraĂźtre, son dĂ©part avait crĂ©Ă© un trĂšs grand vide dans mon cƓur. Il me manquait dĂ©jĂ  beaucoup.

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Histoire

5.0

Avez vous dĂ©jĂ  Ă©tĂ© victime d'injustice ? Bien-sĂ»r que oui, nous avons dĂ©jĂ  tous Ă©tĂ© victime d'injustice au moins une fois au cours de notre existence. Tous les jours quelque part dans le monde une personne se plaint d'avoir Ă©tĂ© accusĂ©e injustement. Le sentiment d'injustice est l'un des plus forts et des plus violents que l'esprit humain peut ressentir. Et parfois certaines personnes payent le lourd fardeau d'un crime commis par quelqu'un d'autre. Dans d'autres circonstances, il est juste question de trouver le coupable parfait comme ce fut le cas pour Maximilien un adolescent ĂągĂ© de seize ans qui a Ă©tĂ© accusĂ© injustement du crime de sa meilleure amie Marie Louise ĂągĂ©e elle aussi de seize ans au moment de son assassinat. Ce soir-lĂ , un homme, le visage masquĂ© par une cagoule, pĂ©nĂštre dans une maison de la ville de Douala. Une arme Ă  feu Ă  la main, il ne demande rien a personne et se met Ă  tirer Ă  trois reprises sur l'adolescente. Dans des circonstances que les mĂ©dias camerounais ne prĂ©cisent pas, le braqueur tire sur la jeune fille. TouchĂ©, celle-ci dĂ©cĂ©dera quelques jours plus tard, Ă  l’hĂŽpital. Le malfaiteur, lui, s’enfuit les mains vides. aucun objet voler d’aprĂšs la famille donc il est clair qu'il s'agissait d'un rĂšglement de compte. Les policiers arrivent sur les lieux du crime aprĂšs avoir Ă©tĂ© prĂ©venu par un jeune homme qui appelait Ă  partir du tĂ©lĂ©phone fixe de la maison dans laquelle le crime s'Ă©tait produit, sans preuve, le jeune homme fut accusĂ© du meurtre de Marie Louise car Ă©tant le seul prĂ©sent sur les lieux et condamnĂ© Ă  la peine de mort quelques semaines seulement aprĂšs le crime. L’affaire fut si politisĂ©e car impliquant des hommes puissants du pays qu’il fut dĂ©fĂ©rĂ© non pas dans une prison pour mineurs mais directement Ă  la prison centrale de Nkodengui a YaoundĂ© oĂč il devait attendre patiemment le jour de son exĂ©cution. Lors de son procĂšs, rien n'a Ă©tĂ© en sa faveur. Orphelin et vivant avec son oncle MathĂ©o, un homme sĂ©vĂšre, violent, alcoolique et parfois mĂȘme sans scrupule pourtant trĂšs riche et influent qui battait le jeune garçon comme il voulait et quand il voulait lui faisant vivre un enfer, Maximilien n'a eu droit a aucun avocat mĂȘme pas a ceux dĂ©signĂ© par l'État pour assurer la dĂ©fense des accusĂ©s qui ne peuvent pas s'en procurer un. Selon le procureur, aucun avocat n’avait acceptĂ© de dĂ©fendre le prĂ©sumĂ© assassin de la fille de Lahoud Bamba un homme d'affaires puissant et rĂ©putĂ© qui venait de se lancer dans la politique avec pour but de devenir Maire de la ville de Douala. AprĂšs deux annĂ©es passĂ©es en prison, un grand sourire sur le visage, les yeux plissĂ©s par l’émotion, il inspire profondĂ©ment l'air pu de la libertĂ© en levant les mains vers le ciel comme s'il remerciait le Saint PĂšre cĂ©leste et tous ces anges pour lui avoir aidĂ© Ă  s'Ă©vader de la prison. La police Ă©tait en alerte, la presse aussi. Quelques minutes seulement aprĂšs son Ă©vasion dans des conditions un peu troubles, Maximilien Ă©tait devenu l'homme le plus recherchĂ© du pays. Toutes les chaĂźnes et radios qui avaient suivies de prĂšs cette affaire depuis le dĂ©but ont changĂ© leurs programmes en cours pour ne parler que de lui. Toutes les forces policiĂšres de la ville capitale ont Ă©tĂ© mobilisĂ© pour attraper celui qu'on qualifiait de << JEUNE LE PLUS DANGEREUX D’AFRIQUE >>. Une mise Ă  prix de deux millions de francs fut placĂ© sur sa tĂȘte. On le voulait vif ou mort. De son cĂŽtĂ©, Maximilien Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă  rejoindre la ville de Douala, ville dans laquelle tout a commencĂ© et oĂč selon lui tout devait finir... Nelly est la prĂ©sentatrice d'une Ă©mission appelĂ© paroles aux jeunes dĂ©diĂ© exclusivement a la jeunesse. Elle sera la seule a donner au jeune Maximilien l'opportunitĂ© de donner sa version des faits Ă  travers son Ă©mission. Et pour la premiĂšre fois, le jeune garçon aura l’opportunitĂ© de partager son histoire avec le monde entier faisant de l’émission radio de Nelly l’émission la plus suivie du continent. Serait ce un coup montĂ© ou alors Maximilien qui dit n'avoir pas tuĂ© sa meilleure amie serait en rĂ©alitĂ© l'homme en cagoule.?

Mon voisin

Mon voisin

Histoire

5.0

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vĂ©rifiĂ© : oui, nous avons tendance Ă  juger rapidement les gens d'aprĂšs leur apparence, et Ă  rester durablement influencĂ© par une premiĂšre impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une Ă©tude, d'Ă©valuer la personnalitĂ© du « candidats » juste d'aprĂšs leur photo d'identitĂ©, les « recruteurs » auront tendance Ă  Ă©valuer les porteurs de lunettes comme Ă©tant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence sĂ©duisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugĂ©s d'emblĂ©e comme Ă©tant des personnes vaniteuses ou mĂȘme superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est rĂ©ellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beautĂ© : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance Ă  se chercher une femme trĂšs belle avec un physique qui fait rĂȘver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme Ă  Ă©pouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un ĂȘtre ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avĂ©rer ĂȘtre redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’aprĂšs sa petite taille, mais de le goĂ»ter et pour sentir comme il pique. Cette tendance Ă  juger quelqu'un dans son ensemble d'aprĂšs un dĂ©tail ou simplement une premiĂšre impression fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'aurĂ©ole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. PlacĂ©e au-dessus d'un personnage, elle suffit Ă  rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-Ă -dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprĂȘtez Ă  lire fait justement rĂ©fĂ©rence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avĂ©rer ĂȘtre des monstres !

UNE RENCONTRE INATTENDUE

UNE RENCONTRE INATTENDUE

Romance

5.0

La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu’elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la rĂ©ponse est qu’Aucun d’eux ne sait de quoi l’avenir sera fait. Ils vivent tous dans l’espoir ? L’espoir d’un lendemain meilleur, d’un dĂ©sĂ©quilibre qui viendra tout Ă©quilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C’est quoi l’espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une mĂ©diocritĂ© qu’on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se rĂ©sume Ă  la hauteur de nos... espoirs ? C’est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu’il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L’amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă  de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l’incertain. Mais pourquoi s’inquiĂ©ter quand on nous parle d’espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d’ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă  un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu’un autre “espoir” qui n’arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cƓur ni foi Ă  la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă  voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă  la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d’esprits qu’un autre humain comme eux parce qu’il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n’est pas son frĂšre mais un ennemi qu’il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă  cause de l’égoĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n’était. J’avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d’espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ  de la cruautĂ© du monde, je m’accrochais Ă  ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă  mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

Histoire

5.0

Aujourd'hui femme respectĂ©e de tous, mariĂ©e, mĂšre de trois magnifiques garçons, aimĂ©e, dĂ©sirĂ©e, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rĂȘveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vĂ©cu lorsque je n’étais encore qu’une lycĂ©enne... Oui aucune pas mĂȘme moi si on m’avait demandĂ© de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fiĂšre mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expĂ©rience a contribuĂ© Ă  faire de moi la femme forte et dĂ©vouĂ©e que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en Ă©tais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'Ă©tais comme possĂ©dĂ©e par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques annĂ©es plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et Ă  ses cĂŽtĂ©s je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien Ă  voir avec la sexualitĂ© d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme ĂągĂ©e de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mĂšre de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fiertĂ© : Ivan c'est l'aĂźnĂ©. Il est ĂągĂ© de 12 ans ensuite vient Killian ĂągĂ© de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a Ă  peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la dĂ©finition de l'amour mĂȘme. Il est attentionnĂ©, doux, comprĂ©hensif, trĂšs beau, un peu musclĂ© et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mĂštre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. PropriĂ©taire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours Ă©tĂ© le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment rĂ©ussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs Ă©taient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire rĂ©ellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et trĂšs attentionnĂ©. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! CriĂšrent en chƓur mes enfants avec un Ă©norme gĂąteau d'anniversaire posĂ© sur la table et leur papa a cĂŽtĂ© vĂȘtu comme un guignol sĂ»rement pour donner encore plus d'ambiance a l'Ă©vĂ©nement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu dĂ©filer sous mes yeux le film de mon passĂ©, de ma jeunesse. Je ne pu m'empĂȘcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas Ă  rĂ©aliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlĂ© de ma vie actuelle et je suis sĂ»r que ça ne vous intĂ©resse pas du tout. Seul mon passĂ© pervers vous intĂ©resse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque dĂ©tail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'Ă  ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas trĂšs catholique alors toutes Ăąmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer Ă  lire.

Inspirés de vos vus

Condescendant Tome 2 : Pour elle

Condescendant Tome 2 : Pour elle

Romance

5.0

Pour lui, les annĂ©es sont passĂ©es plus que douloureusement, entrant dans la vie plus qu'active de photographe attitrĂ© de Tomboy X, tout en conservant ses habitudes nĂ©fastes qui font de lui un homme dĂ©testĂ© par la gente fĂ©minine qui passe entre ses doigts. Il n'oublie pas sa prĂ©cieuse, celle pour qui il avait tant changĂ© et qui a dĂ©truit son cƓur en quittant Seattle sans crier gare. Bien que le temps soit censĂ© guĂ©rir les blessures, lui, il attend patiemment le jour oĂč il pourra lui faire ressentir la douleur qu'il subit chaque jour. Pour elle, les annĂ©es ont dĂ©filĂ© dans le souvenir de cette nuit affreuse qui l'a fait quitter Seattle et fait souffrir l'amour de sa jeunesse. Elle fait tout pour se reconstruire, entourĂ©e de son pĂšre, de sa sƓur, de Archie et de sa petite Lily-Rose qui est devenu le centre de sa vie. Un heureux Ă©vĂšnement la ramĂšne dans cette ville oĂč elle ne voulait jamais revenir, mais elle ne s'attendait certainement pas Ă  ce qui l'attend Ă  son retour. Entre haine et un amour toujours prĂ©sent entre Hardin et Gaby, la vengeance de Hardin sera sans pitiĂ©. MalgrĂ© tant de non-dits enfin par dĂ©voilĂ©s, un avenir est-il encore possible entre eux ? âš ïžđŸ”ž Dark Romance et scĂšnes explicites Ce livre parle de choses qui peuvent arriver Ă  n'importe qui. Pour moi, c'est un hommage Ă  toutes ses personnes qui se sont relevĂ©es. Mais cela reste une fiction. Je vous rappelle que je ne suis pas une pro de l'orthographe ni de la grammaire et que mon imagination surpasse tout ça si vous prenez le temps de lire. Je suis femme et maman avant tout et je publie au fur et Ă  mesure de mes Ă©crits donc soyez patients avec moi 😅 Je rĂ©ponds Ă  tous les commentaires car j'aime partager avec les fans qui me suivent. En espĂ©rant qu'elle vous plaira autant que moi, j'aurai du plaisir Ă  l'Ă©crire. UsagiChan77💜💜💜💜

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