Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
LA BEAUTÉ DU MAL

LA BEAUTÉ DU MAL

WILL WRITING

5.0
avis
1.4K
Vues
27
Chapitres

Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte à sa volonté ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au péché, et, dans l’abîme, il le punit d’avoir péché. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en défie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de ténèbres, c’est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-âge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsédés, ni possédés (et c’est sans doute, hélas ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-être quelque intérêt à faire apparaître Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte à la source même des jours, sombre biographie d’un fantôme qu’il faut reconstituer d’après des rêves. Il s’agit d’une biographie, éclaircissons d’abord le mystère des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tiré du néant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophètes, se tait sur son âge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siècles de l’église, le manichéen Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, élève le diable jusqu’à l’idée de cause, et il en fait une sorte d’être en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naître du chaos et des ténèbres ; Tatien, d’un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l’autorité de l’évêque d’Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhéteur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient à cette classe d’intelligences supérieures qui étaient comme les prémices de la création. Ils habitaient les régions de la lumière et de la sérénité, et Dieu les avait initiés aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardèrent point à déchoir de leur rang suprême en cédant aux inspirations d’une volonté mauvaise. Ils tombèrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant à s’élever d’eux-mêmes, et sans le secours de la grâce, à l’éternelle béatitude, en disputant à Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptés que de purs esprits ne doivent pas connaître. Dieu, pour les punir, les bannit de sa présence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une créature déchue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et désolée, et dans le séjour de son éternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystère, que, malgré ses fréquentes apparitions et les nombreux témoignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la définition de l’école, un esprit, c’est ce que l’œil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapidité de la pensée. C’est un être indéfinissable.

Chapitre 1 1

Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte à sa volonté ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au péché, et, dans l’abîme, il le punit d’avoir péché.

Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en défie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de ténèbres, c’est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-âge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement.

Pour nous, qui ne sommes ni obsédés, ni possédés (et c’est sans doute, hélas ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-être quelque intérêt à faire apparaître Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte à la source même des jours, sombre biographie d’un fantôme qu’il faut reconstituer d’après des rêves. Il s’agit d’une biographie, éclaircissons d’abord le mystère des origines.

L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tiré du néant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophètes, se tait sur son âge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siècles de l’église, le manichéen Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, élève le diable jusqu’à l’idée de cause, et il en fait une sorte d’être en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naître du chaos et des ténèbres ; Tatien, d’un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l’autorité de l’évêque d’Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhéteur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient à cette classe d’intelligences supérieures qui étaient comme les prémices de la création. Ils habitaient les régions de la lumière et de la sérénité, et Dieu les avait initiés aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardèrent point à déchoir de leur rang suprême en cédant aux inspirations d’une volonté mauvaise.

Ils tombèrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant à s’élever d’eux-mêmes, et sans le secours de la grâce, à l’éternelle béatitude, en disputant à Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptés que de purs esprits ne doivent pas connaître. Dieu, pour les punir, les bannit de sa présence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel, comme le dit saint Jean.

Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une créature déchue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et désolée, et dans le séjour de son éternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystère, que, malgré ses fréquentes apparitions et les nombreux témoignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la définition de l’école, un esprit, c’est ce que l’œil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapidité de la pensée. C’est un être indéfinissable

Dans les ombrages et les replis de sa nature ténébreuse, Satan n’échappe pas moins à l’analyse que dans ses transformations extérieures. Les jours passent, les années s’accumulent ; tout change ; l’homme même se tourne vers le bien, dans les derniers jours, par impuissance du mal peut-être, mais qu’importe ? Satan seul persiste dans son immuable perversité. Il voudrait se consoler de ses remords par les joies que les méchans cherchent dans le mal, et ces joies perverses ne laissent en lui que l’amertume du passé et l’effroi de l’avenir. Il est envieux, orgueilleux, impur, et sa haine contre l’homme est si profonde, qu’on l’a entendu dire un jour qu’il aimait mieux retourner en enfer avec l’âme d’un damné que de remonter au ciel dans sa félicité première.

En réalité la Bible ne décrit pas avec exactitude l’apparence de Satan ou de certains démons. Mais nous avons quelques indices. Plus que l’apparence réelle du Diable, la Bible nous demande surtout de nous méfier des fausses apparences dont il est à l'origine.

Les princes des ténèbres n’ont pas une, mais plusieurs apparences et sexes généralement appelés Baals et Astartés (ils peuvent prendre une apparence masculine ou féminine), reconnus par les hommes comme divins pourtant ils sont des démons des créatures du mal qui n’ont aucune part avec Dieu).

La seule indication réelle, concernant le physique de Satan post chute, que j’ai trouvé dans la Bible se trouve dans l’Apocalypse où il est désigné comme étant un « dragon » et un « serpent ». Mais que se passera t’il si le diable revêtait une forme humaine, s’installait sur la terre dans une belle petite ville africaine et finissait par tomber amoureux d’une charmante jeune demoiselle au cœur pur qui ne demandait qu’à mener une vie paisible loin des problèmes du monde dans lequel elle était résidente ?

Tout avait commencé un soir de grandes vacances après une journée des plus pluvieuses où l’air était presque glaciale. J’étais tenue au bord de la route recouverte d’un long manteau qui recouvrait entièrement ma robe mi courte mi longue ainsi que mon tee-shirt noir aux effigies de la douane camerounaise dans laquelle j’exerçais depuis déjà plusieurs années ; j’étais là à attendre le taxi qui aura la gentillesse de me déposer chez moi après une journée de travail des plus pénibles. Ça faisait déjà une bonne dizaine de minutes que j’étais là, scotchée au bord de la route quand soudain en une fraction de seconde les nuages passèrent du bleu éclatant qu’ils avaient revêtus depuis quelques minutes déjà à un noir brouillant et effrayant. La nature s’agitait, les papiers volaient dans tous les sens. La pluie annonçait son arrivée à grande pompe.

- Ah non pas encore la pluie ! Murmurais je décidément agacé par cette pluie qui apparemment ne voulait plus finir.

Il avait énormément plu durant cette journée et je me réjouissais déjà qu’elle se soit enfin calmé pour me permettre de regagner mon domicile paisiblement.

Mais hélas ! Comme en colère contre mon juron, il se mit à pleuvoir abondamment ne me laissant pratiquement pas le temps de me trouver un abri sûr.

- Oh non mes affaires vont se mouiller ! Criais je à moi même en regardant autour de moi s’il n’y avait pas un endroit où je pourrai me tenir à l’abri de cette pluie colérique.

Aucune voie d’échappatoire. Il n’y avait aucun abri à proximité et le temps de rejoindre le premier endroit sûr je serai déjà entièrement mouillée et mon sac à main également. J’étais désespérée lorsque je me rendis compte que la pluie ne m’atteignait plus. Au dessus de ma tête j’avais une forme, un parapluie qui me protégeait des gouttes d’eau. Sans voix et heureuse, je m’étais alors retournée pour découvrir le visage de mon bienfaiteur ou de ma bienfaitrice.

- Il est toujours conseillé de marcher avec un parapluie en saison des pluies jolie demoiselle ou madame ?

- Mademoiselle ! Répondis je malgré moi.

Sa voix ! Il avait une voix douce, prenante et attirante, qui procurait une sensation de bien-être, très agréable à entendre ; rassurante je dirais même. Et ce parfum qui entourait sa présence ! Il était tout simplement envoûtant. Lorsque mon regard se posa sur le sien, je fus transportée dans un univers que je n’avais jamais exploré. J’avais perdu l’équilibre mais très vite il s’était empressé de m’attraper par les hanche avant que je ne tombes. Nous avions gardé cette même position à nous regarder dans les yeux avec les couleurs de l’amour, sa main toujours autour de mes hanches tandis que sa deuxième main tenait le parapluie qui nous servait d’abri pendant plusieurs seconde sans rien se dire avant qu’une voiture ne nous inonde d’eau se qui eut pour effet de nous faire rire au lieu de nous mettre en colère.

- On peut aller s’abriter dans ma voiture si tu veux bien ! Me proposa t’il gentiment après m’avoir redressé sur mes deux jambes.

- Désolé cher monsieur je ne peux accepter votre proposition car je ne vous cannait pas.

- Satanas ! Je m’appelle Satanas. Se présenta t’il instantanément.

- Comme Satan ? Lui demandais je presque effrayé.

- Oui comme Satan sauf que c’est Satanas

- Bizarre comme nom quoique ça sort de l’ordinaire. Ajoutais je.

- Les humains ont tous presque les mêmes nom : Jule/Julie André/Andrea Kevin/Kevine alors que je suis sûr d’être le seul à porter ce nom se qui me rend... différent et unique en mon genre.

- Tu semble être heureux de porter ce nom...

- Bien sûr que je suis très heureux d’avoir ce nom unique. Pour rien au monde je ne voudrais le changer. Il me convient et reflète parfaitement ma personnalité. On va dans ma voiture ? J’insiste mademoiselle...

- Maria !

- Pardon ?

- Mon nom. Je m’appelle Maria !

- Comme la mère de ce fils à Dieu ? Demanda t’il d’un ton gêné.

- Oui comme la mère du fils de Dieu. Et pour ton invitation c’est un oui. Je serai ravi que tu me dépose chez moi.

Il me conduisit dans sa voiture et après un bon moment sans rien se dire, il me demanda enfin où il devait me déposer et je lui indiquais mon domicile et il se chargea de m’y conduire dans un silence de cimetières. Une fois devant mon appartement, je lui avais proposé poliment de monter histoire de prendre un café et de se nettoyer avant de retourner chez lui et il accepta volontiers mon invitation.

Alors que nous étions entrain de siroter notre café, il me demanda :

- Dieu ! Tu crois en lui ?

- Bien sûr que je crois en Dieu ! Il est la solution à mes problèmes, mon père mon roi mon protecteur. Sa présence me rassure. Répondis je Tout en souriant sous le regard décontenancé de Satanas.

- Tu parles du lui avec beaucoup d’amour se qui m’amène à me demander si tu l’as déjà rencontré, si vous aviez discuté.

- Non personne n’a jamais rencontré Dieu directement mais auparavant Il parlait aux hommes, à ses prophètes et se sont ses hommes et femmes qui nous ont parlé de lui et qui nous ont permis de connaître un peu plus sur lui au travers de la sainte bible.

- La bible !

- La bible est porteuse de bonne nouvelle et d’espoir pour qui croit au père et au fils...

- Le fils ?

- Jésus Christ ! Il est le chemin et la vie, le rédempteur. Son nom est au dessus de tout autre nom et Dieu l’a établi comme étant la voie qui mène au royaume des cieux.

- Encore des discours dogmatiques ! J’en ai assez entendu sinon tu peux me parler plutôt de toi... je préfère m’intéresser à se qui est sous mes yeux qu’à un être donc l’existence n’est qu’un mythe. Lança t’il très posément.

- Dieu n’est pas un mythe ! Il existe vraiment. La preuve physique de son existence est le saint livre écrit par des hommes qui ont vécu des siècles avant nous. Mais bon je ne vais pas t’obliger à croire en lui.

- C’est rassurant ! Nous pouvons tous être des dieux si nous le voulons il suffit juste de corrompre un très grand nombre de personnes et les pousser à nous adorer et ainsi ils nous élèveront au rang d’un dieu. C’est une question de pragmatisme.

- Tu te rends compte de se que tu dis ?

- Je te dis juste se que tes croyances dogmatiques refusent d’accepter. Je peux être un dieu, je suis dieu !

Il semblait trop sûr de lui en disant tout cela alors pour ne pas plonger dans un débat sans fin j’avais décidé de changer tout simplement de sujet.

- Alors tu me parles de toi ?

- Si tu veux ! Moi c’est Satanas celui qui fut et qui sera aussi longtemps que le monde existera.

- Tu es plutôt du genre mystérieux apparemment. Si tu ne veux rien me dire sur toi sans souci je ne vais pas te brusquer.

- Tu ne me brusque pas. Je t’ai dit la vérité. J’aurai aimé discuter plus longtemps avec toi mais hélas je dois m’en aller. J’ai une affaire des plus importante à régler ce soir. Je passe te chercher demain après le boulot ?

- D’accord merci à demain 17h au même endroit.

Il était parti à la vitesse de l’éclair comme s’il venait tout juste de découvrir l’heure. J’étais restée seule dans mon appartement à repenser à cette soirée bizarre ; je dirais même très bizarre. J’avais hâte de revoir mon bel inconnu. Aussi incroyable que cela puisse paraître, son départ avait créé un très grand vide dans mon cœur. Il me manquait déjà beaucoup.

Continuer

Inspirés de vos vus

Autres livres par WILL WRITING

Voir plus
Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre