LA BEAUTÉ DU MAL
el, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l'homme « comme d'un cheval qu'il pique et
pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s'en défie. Le grimoire enseigne comment on l'évoque, le rituel comment on le chasse. L'église le maudi
n, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l'amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l'homme poursuit sans l'atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, h
d'un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s'unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l'autorité de l'évêque d'Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est
ouveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l'acte de foi et d'hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des volup
ombreux témoignages de ceux qui l'ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n'est pas un esprit, car, suivant la définition de l'école, un esprit, c'e
ours, par impuissance du mal peut-être, mais qu'importe ? Satan seul persiste dans son immuable perversité. Il voudrait se consoler de ses remords par les joies que les méchans cherchent dans le mal, et ces joies perverses ne laissent en lui que l'amertume
ns démons. Mais nous avons quelques indices. Plus que l'apparence réelle du Diable, la B
aals et Astartés (ils peuvent prendre une apparence masculine ou féminine), reconnus par les homm
agon » et un « serpent ». Mais que se passera t'il si le diable revêtait une forme humaine, s'installait sur la terre dans une belle petite ville africaine et finissait p
la douane camerounaise dans laquelle j'exerçais depuis déjà plusieurs années ; j'étais là à attendre le taxi qui aura la gentillesse de me déposer chez moi après une journée de travail des plus pénibles. Ça faisait déjà une bonne dizaine de minutes que j'étais là, scotchée au bord d
is je décidément agacé par cette pluie
je me réjouissais déjà qu'elle se soit enfin calmé po
il se mit à pleuvoir abondamment ne me laissant p
me en regardant autour de moi s'il n'y avait pas un endroit
n sac à main également. J'étais désespérée lorsque je me rendis compte que la pluie ne m'atteignait plus. Au dessus de ma tête j'avais une forme, un paraplu
her avec un parapluie en saison des
e ! Répondis
e fus transportée dans un univers que je n'avais jamais exploré. J'avais perdu l'équilibre mais très vite il s'était empressé de m'attraper par les hanche avant que je ne tombes. Nous avions gardé cette même position à nous regarder dans les yeux avec les couleurs de l'amou
i tu veux bien ! Me proposa t'il gentiment
peux accepter votre propositi
le Satanas. Se présent
Lui demandais je
atan sauf que
uoique ça sort de l'o
/Andrea Kevin/Kevine alors que je suis sûr d'être le seul à por
re heureux de
u monde je ne voudrais le changer. Il me convient et reflète parfaitem
ari
ard
Je m'appe
fils à Dieu ? Demand
t pour ton invitation c'est un oui. Je
iquais mon domicile et il se chargea de m'y conduire dans un silence de cimetières. Une fois devant mon appartement, je lui avais propo
s entrain de siroter not
Tu croi
mes, mon père mon roi mon protecteur. Sa présence me rassure. Rép
se qui m'amène à me demander si tu l'as
hommes, à ses prophètes et se sont ses hommes et femmes qui nous ont parlé de lui et
bib
ne nouvelle et d'espoir pour q
fil
ur. Son nom est au dessus de tout autre nom et Dieu l'a
parler plutôt de toi... je préfère m'intéresser à se qui est sous mes yeux
son existence est le saint livre écrit par des hommes qui ont vécu des
juste de corrompre un très grand nombre de personnes et les pousser à nous adorer
compte de se
es dogmatiques refusent d'accepter.
a alors pour ne pas plonger dans un débat sans fin
u me parl
celui qui fut et qui sera aussi
emment. Si tu ne veux rien me dire sur t
longtemps avec toi mais hélas je dois m'en aller. J'ai une affaire des plu
i à demain 17h
on appartement à repenser à cette soirée bizarre ; je dirais même très bizarre. J'avais hâte de revoir mon bel inconnu. Aus