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UNE RENCONTRE INATTENDUE

UNE RENCONTRE INATTENDUE

WILL WRITING

5.0
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Chapitres

La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la rĂ©ponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ? L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un dĂ©sĂ©quilibre qui viendra tout Ă©quilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une mĂ©diocritĂ© qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se rĂ©sume Ă  la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă  de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiĂ©ter quand on nous parle d'espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d'ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă  un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cƓur ni foi Ă  la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă  voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă  la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n'est pas son frĂšre mais un ennemi qu'il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă  cause de l'Ă©goĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'Ă©tait. J'avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ  de la cruautĂ© du monde, je m'accrochais Ă  ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă  mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

Chapitre 1 1

La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ?

Et bien la réponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ?

L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre.

Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă  de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiĂ©ter quand on nous parle d'espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d'ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte.

Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă  un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cƓur ni foi Ă  la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă  voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă  la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n'est pas son frĂšre mais un ennemi qu'il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă  cause de l'Ă©goĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'Ă©tait.

J'avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ  de la cruautĂ© du monde, je m'accrochais Ă  ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă  mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante

- Ma'a je suis fatiguée de rester dans ce village.

- Eehhhh mon fils oĂč veux tu aller ? Au village voisin ? Tu es sans ignorer que lĂ -bas n'est pas diffĂ©rent d'ici.

- Non maman je voudrais gagner beaucoup d'argent et je ne penses pas que ça sera possible dans le village voisin pour y aller. Tous les villages des environs sont aussi pauvres que nÎtre ça nous le savons tous.

- Ne parles pas ainsi ! Que les dieux m'en prĂ©serve. Si tu ne veux pas aller dans l'un des villages voisins oĂč compte tu donc aller ?

- Écoutes maman, Ă©coutes trĂšs bien se que je vais te dire car je ne le dirais pas deux fois.

- heuhin je t'Ă©coutes attentivement mon fils. Vas-y tu peux me parler maintenant mes oreilles sont assez tendues pour t'Ă©couter.

- D'accord. Maman ce village tous comme les villages voisins n'offrent rien à la jeunesse depuis la génération de tes grands parents. La prospérité de ce village n'est qu'un mythe aujourd'hui et nous les jeunes voulons davantage faire pour notre communauté mais les moyens sont limitées ou presque absents. Ainsi, aprÚs mainte réflexion, j'ai décidé d'aller me chercher à la ville.

- A la ville hein ! Quelle ville comme ça ?

- Maman si tu n'Ă©tais pas ma mĂšre je croirais que tu es stupide. il y'a combien de ville dans ce pays oĂč gagner de l'argent est trĂšs facile ?

- Euh... d'abord mĂȘme depuis quand gagner de l'argent est facile mon fils ? À moins que tu n'entres dans les histoires de sorcellerie que j'entends souvent lĂ  je ne vois pas comment tu gagnerais de l'argent facilement. OĂč alors tu as pour ambition de devenir bandit professionnel une fois lĂ -bas et tuer les gens pour leurs prendre se qui est Ă  eux ?

- Maman pourquoi tu joues a l'ignorante ? Serais-tu devenue stupide et incapable de réfléchir. Ne vois tu pas la télévision ?

- Je te rappelle que je suis ta mÚre donc tu ne me traites pas de stupide. Et il y'a quoi d'extraordinaire dans la télévision ?

- Regarde lorsqu'il montre la ville à la télé surtout la ville de Douala ! Tu peux voir à travers les grosses voitures, les magnifiques maisons et tout se qui constitue une ville qu'il est facile de faire fortune là-bas et je penses qu'il est temps qu'un membre de notre famille fasse la fierté de ce village.

- Mon fils c'est un trĂšs beau discours que tu viens de faire lĂ  mais tu oublies une chose. Tout se que tu vois Ă  la tĂ©lĂ© comme voitures, maison, argent... Appartiennent dĂ©jĂ  aux gens qui ont bataillĂ© pour l'avoir. Ils ont sur mettre en place un projet et l'ont dĂ©veloppĂ© pour en arriver lĂ  oĂč ils sont aujourd'hui. Je veux bien accepter que tu partes Ă  la ville mĂȘme si pour moi c'est un sacrilĂšge mais j'ai une seule question Ă  te poser

- Je t'Ă©coute maman ! Repodis je impatient d'Ă©couter se qu'elle avait Ă  me dire.

- Quel est ton projet que tu aimerais développer une fois là-bas ?

- Euh !!! Ma'a... C'est que nor... En fait c'est pas encore ça... Je veux dire c'est pas encore prĂȘt mais j'y pense hein crois moi j'y penses vraiment beaucoup depuis un bon moment.

- Oui c'est ça ! Tu as quel ùge déjà mon fils ? S'il te plaßt rappel moi ton ùge.

- j'en ai vingt six mÚre ! pourquoi cette question ? Aurais tu oublié l'ùge de ton propre enfants ?

- Non jamais je ne pourrai oublier ce jour oĂč je t'ai pris dans mes bras pour la premiĂšre. Enfaite ma question c'est pour te faire comprendre que tu te fais de plus en plus vieux et moi encore plus. Donc s'il te plaĂźt songe Ă  me faire des petits enfants au lieux de penser a des sotises. Ou alors veux tu que j'entres sous terre sans voir les enfants de mon seul garçon ? Au lieu de faire comme ton ami qui a Ă©pousĂ© la fille du chef et a donnĂ© des petits enfants Ă  Ses parents. toi tu es ici a penser Ă  la ville. Que les dieux me viennent en aide.

- MÚre tu sais bien que c'est pas la course encore moins un concours donc je préfÚre aller me chercher d'abord et une fois que j'aurai emmagasiné suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de toute la famille, je te donnerai des petits enfants.

- aller à la ville n'est pas aussi la course. J'accepterai de te laisser partir lorsque tu m'auras présenté un projet que tu voudrais aller développer là-bas pour le moment vas prendre la machette et vas me chercher du bois de chauffage que je fasses la cuisine.

- D'accord mĂšre ?

Je m'appelle Abbi Guelewou fils Guelewou jean Pierre descendant d'une lignĂ©e de guerrier royal lui mĂȘme ancien guerrier du village de la forĂȘt avant son dĂ©cĂšs il y'a quelques annĂ©es. J'ai vingt six ans et je fais un mĂštre quatre vingt dix. Physiquement, je suis plutĂŽt baraquĂ© ; le genre de mec avec qui on ne voudrait pas avoir d'ennui. Je suis nĂ© et j'ai passĂ© toutes les annĂ©es de ma vie dans ce village. Je ne connaissais nul part ailleurs Ă  part mon village et les trois villages voisins. Moi rĂȘve est d'aller plus loin que mon village, parcourir de nouvelles horizons et surtout faire fortune Ă  la ville.. À Douala, ma ville de rĂȘve. Je suis persuadĂ© qu'une fois lĂ -bas, il sera facile pour moi de gagner rapidement de l'argent mais le plus difficile Ă©tait de rĂ©ussir Ă  convaincre ma mĂšre de me laisser partir. Elle m'avait demandĂ© de lui proposer un projet Ă  dĂ©velopper mais je ne savais pas se que c'Ă©tait qu'un projet Ă  dĂ©velopper. Je n'ai pas beaucoup frĂ©quentĂ© et si ma mĂ©moire est bonne, j'avais arrĂȘtĂ© les cours au CM 2.

Heureusement pour moi, mon meilleur ami Julio avait Ă©tudiĂ© jusqu'en classe de seconde avant de dĂ©cider de se marier secrĂštement avec la petite fille du chef. Notre village est trĂšs traditionnel et les coutumes sont respectĂ©es Ă  la lettre ainsi, un jeune homme qui se retrouve entrain d'enceinter ou mĂȘme de coucher avec une fille devait obligatoirement Ă©pouser cette derniĂšre. Bien-sĂ»r ça n'avait pas plu au chef de donner sa petite fille en mariage chez un sans nom ( nom dĂ©signĂ© pour qualifier les familles qui ne possĂšde pas suffisamment de terre ) mais il se devait de respecter la coutume aprĂšs que Julio ait enceintĂ© sa petite fille il y'a de cela cinq ans. Aujourd'hui encore ils vivent le parfait amour et on dĂ©jĂ  trois enfants. Pour ma mĂšre il Ă©tait un exemple.

En allant au champs chercher le bois pour la cuisine de maman, j'en profite pour passer chez mon ami.

- Julio ! Julio ! Julio !

- Ayoo qui crie mon nom comme ça dans tout le village ?

- C'est moi Abbi

- Abbi hein ? Tu ne peux pas arriver chez moi avant de m'appeler ?

- Désolé mon frÚre c'est juste que j'ai vraiment besoin de ton aide.

- Je savais que ça ne pouvait ĂȘtre que ça. Tu ne peux pas avoir une bouteille de vin de palme ou une boule de couscous et tu cries mon nom ainsi pour partager avec moi.

- Comment tu peux dire ça mon frĂšre ? On a toujours tout partagĂ© ensemble du moins j'ai toujours tout partagĂ© avec toi. C'est mĂȘme moi qui devrais me plaindre mais je ne le fais pas.

- Tu ne le fais pas parce que toi mĂȘme tu vois ma situation et avec le troisiĂšme enfant que Maria a mit au monde les choses se sont encore compliquĂ©e pour moi. Et comme si ça ne suffisait pas le gibier se fait de plus en rare dans nos forĂȘts. Comment un chasseur de mon espĂšce fera pour mourir sa famille sans gibier ?

- Courage mon frĂšre ! C'est la vie que tu as choisi donc ne te plains pas. Je t'ai connu comme un battant donc tu t'en sortiras.

- Que les dieux t'Ă©coutent mon frĂšre ! Tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu criais mon nom dans tout le village.

- voilĂ  mon frĂšre j'ai besoin de ton aide. Tu sais trĂšs bien que dans ce village aprĂšs les enfants du chef et ses petits enfants c'est toi le plus instruit et normalement tu devrais tout savoir.

- Abbi tu as encore quelle idĂ©e derriĂšre la tĂȘte cette fois ci. Me demande t'il alors qu'on fesait chemin ensemble en direction du champs. J'espĂšre que tu n'as pas aussi enceintĂ© une des enfants du chef comme je l'ai fait hein

- Non c'est pas ça. Je ne veux pas encore avoir des enfants.

- Tu veux quoi alors ?

- J'ai pris la décision d'aller a la ville gagner beaucoup d'argent pour devenir le plus riche de ce village.

- Hummmm ( en se grattant la moustache ) toi alors tu es possédé par quels esprits ? tu ne veux plus détrÎner le chef et prendre sa place maintenant c'est aller a la ville ta priorité ?

- Bien-sĂ»r que je veux toujours dĂ©trĂŽner notre mauvais chef mais d'abord il me faut ĂȘtre plus riche que lui

- Et qu'est ce qui t'empĂȘche d'y aller ?

- Ma mÚre. Ma mÚre dit qu'elle me laissera aller si je lui présente un projet que je veux développer une fois en ville c'est pourquoi j'ai besoin de ton aide. C'est quoi un projet ? Euh tu sais quoi donnes moi juste des exemples de projets.

- Mon frĂšre ne brĂ»les pas les Ă©tapes. Je te dirai tout se que je sais. Pour commencer un projet c'est se que tu aimerais faire une fois lĂ -bas et qui te rapportera des sous. Comme exemple de projet il y'en a tellement dans plusieurs domaines. Mais pour ton niveau je dirai que tu peux aller lĂ -bas dĂ©velopper un commerce ou alors ĂȘtre chauffeur ou ĂȘtre architecte... euh non pas ça tu n'as pas frĂ©quentĂ©. Huuuu voilĂ  aide maçon, apprenti mĂ©canicien, pousseur... bref les trucs de ton niveau tu vois un peu ?

- D'accord ! Merci beaucoup mon frĂšre je savais que je pouvais compter sur toi. J'irai lĂ -bas pour ĂȘtre un trĂšs grand commerçants.

- C'est un bon projet mon frÚre et je suis sur que si tu utilises un peu ton cerveau tu y arriveras. Maintenant je dois te laisser ma Maria m'attend déjà.

- Okay mon frĂšre merci beaucoup.

De retour du champs aprÚs avoir longuement réfléchi sur mon projet et sur comment bien le développer une fois en ville et alors que j'étais impatient de l'annoncer à ma mÚre, je remarque que nous avons de la visite. Une fois a la maison, je me rends compte qu'il s'agit enfait du roi Depoué Premier et de sa garde rapprochée.

Mais que nous voulait bien celui lĂ  ? Il n'avait riens Ă  faire dans notre case.

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Moderne

5.0

Quel est donc cet esprit de tĂ©nĂšbres, homme, serpent ou dragon, qui plane Ă  tous les horizons du passĂ© ? Dans le ciel, il blasphĂšme et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte Ă  sa volontĂ© ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au pĂ©chĂ©, et, dans l’abĂźme, il le punit d’avoir pĂ©chĂ©. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-Ăąge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en dĂ©fie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de tĂ©nĂšbres, c’est le dĂ©mon de la thĂ©ologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-Ăąge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsĂ©dĂ©s, ni possĂ©dĂ©s (et c’est sans doute, hĂ©las ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-ĂȘtre quelque intĂ©rĂȘt Ă  faire apparaĂźtre Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiĂ©tude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte Ă  la source mĂȘme des jours, sombre biographie d’un fantĂŽme qu’il faut reconstituer d’aprĂšs des rĂȘves. Il s’agit d’une biographie, Ă©claircissons d’abord le mystĂšre des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tirĂ© du nĂ©ant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophĂštes, se tait sur son Ăąge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siĂšcles de l’église, le manichĂ©en Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, Ă©lĂšve le diable jusqu’à l’idĂ©e de cause, et il en fait une sorte d’ĂȘtre en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naĂźtre du chaos et des tĂ©nĂšbres ; Tatien, d’un rayon de la matiĂšre et de la mĂ©chancetĂ©. Dans la JudĂ©e, au temps de saint JĂ©rĂŽme, les uns lui donnent pour pĂšre LĂ©viathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le dĂ©luge. Selon saint Augustin, Dieu aurait crĂ©Ă© les bons et les mauvais esprits comme un poĂšte qui, pour relever les beautĂ©s de son Ɠuvre, y sĂšme les antithĂšses ; cependant, si grandes que soient l’autoritĂ© de l’évĂȘque d’Hippone et sa pĂ©nĂ©tration dans ce qui touche les mystĂšres, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhĂ©teur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient Ă  cette classe d’intelligences supĂ©rieures qui Ă©taient comme les prĂ©mices de la crĂ©ation. Ils habitaient les rĂ©gions de la lumiĂšre et de la sĂ©rĂ©nitĂ©, et Dieu les avait initiĂ©s aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardĂšrent point Ă  dĂ©choir de leur rang suprĂȘme en cĂ©dant aux inspirations d’une volontĂ© mauvaise. Ils tombĂšrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant Ă  s’élever d’eux-mĂȘmes, et sans le secours de la grĂące, Ă  l’éternelle bĂ©atitude, en disputant Ă  Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux rĂ©voltĂ©s, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombĂšrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptĂ©s que de purs esprits ne doivent pas connaĂźtre. Dieu, pour les punir, les bannit de sa prĂ©sence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvĂ©e dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une crĂ©ature dĂ©chue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et dĂ©solĂ©e, et dans le sĂ©jour de son Ă©ternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystĂšre, que, malgrĂ© ses frĂ©quentes apparitions et les nombreux tĂ©moignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la dĂ©finition de l’école, un esprit, c’est ce que l’Ɠil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapiditĂ© de la pensĂ©e. C’est un ĂȘtre indĂ©finissable.

Mon voisin

Mon voisin

Histoire

5.0

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vĂ©rifiĂ© : oui, nous avons tendance Ă  juger rapidement les gens d'aprĂšs leur apparence, et Ă  rester durablement influencĂ© par une premiĂšre impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une Ă©tude, d'Ă©valuer la personnalitĂ© du « candidats » juste d'aprĂšs leur photo d'identitĂ©, les « recruteurs » auront tendance Ă  Ă©valuer les porteurs de lunettes comme Ă©tant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence sĂ©duisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugĂ©s d'emblĂ©e comme Ă©tant des personnes vaniteuses ou mĂȘme superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est rĂ©ellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beautĂ© : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance Ă  se chercher une femme trĂšs belle avec un physique qui fait rĂȘver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme Ă  Ă©pouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un ĂȘtre ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avĂ©rer ĂȘtre redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’aprĂšs sa petite taille, mais de le goĂ»ter et pour sentir comme il pique. Cette tendance Ă  juger quelqu'un dans son ensemble d'aprĂšs un dĂ©tail ou simplement une premiĂšre impression fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'aurĂ©ole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. PlacĂ©e au-dessus d'un personnage, elle suffit Ă  rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-Ă -dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprĂȘtez Ă  lire fait justement rĂ©fĂ©rence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avĂ©rer ĂȘtre des monstres !

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

L'AMITIÉ À SES AVANTAGES

Histoire

5.0

Aujourd'hui femme respectĂ©e de tous, mariĂ©e, mĂšre de trois magnifiques garçons, aimĂ©e, dĂ©sirĂ©e, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rĂȘveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vĂ©cu lorsque je n’étais encore qu’une lycĂ©enne... Oui aucune pas mĂȘme moi si on m’avait demandĂ© de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fiĂšre mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expĂ©rience a contribuĂ© Ă  faire de moi la femme forte et dĂ©vouĂ©e que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en Ă©tais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'Ă©tais comme possĂ©dĂ©e par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques annĂ©es plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et Ă  ses cĂŽtĂ©s je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien Ă  voir avec la sexualitĂ© d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme ĂągĂ©e de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mĂšre de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fiertĂ© : Ivan c'est l'aĂźnĂ©. Il est ĂągĂ© de 12 ans ensuite vient Killian ĂągĂ© de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a Ă  peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la dĂ©finition de l'amour mĂȘme. Il est attentionnĂ©, doux, comprĂ©hensif, trĂšs beau, un peu musclĂ© et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mĂštre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. PropriĂ©taire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours Ă©tĂ© le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment rĂ©ussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs Ă©taient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire rĂ©ellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et trĂšs attentionnĂ©. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! CriĂšrent en chƓur mes enfants avec un Ă©norme gĂąteau d'anniversaire posĂ© sur la table et leur papa a cĂŽtĂ© vĂȘtu comme un guignol sĂ»rement pour donner encore plus d'ambiance a l'Ă©vĂ©nement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu dĂ©filer sous mes yeux le film de mon passĂ©, de ma jeunesse. Je ne pu m'empĂȘcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas Ă  rĂ©aliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlĂ© de ma vie actuelle et je suis sĂ»r que ça ne vous intĂ©resse pas du tout. Seul mon passĂ© pervers vous intĂ©resse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque dĂ©tail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'Ă  ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas trĂšs catholique alors toutes Ăąmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer Ă  lire.

Inspirés de vos vus

CƓur de Glace: Fragile EspĂ©rance

CƓur de Glace: Fragile EspĂ©rance

Milliardaire

5.0

Kalinda Mon cƓur est comme du verre cristallin trĂšs fragile. Il se briserait Ă  rien. Non. Je corrige! Il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© brisĂ©. PiĂ©tinĂ© encore et encore par mes parents adoptifs et ma sƓur cadette. AussitĂŽt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sƓur adorĂ©e
 Je n'Ă©tais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intĂ©rĂȘt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptĂ©e, si c'Ă©tait pour m'abandonner, de mĂȘme que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me dĂ©fendre. Je ne dois mĂȘme jamais m'agiter
 plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cƓur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'ĂȘtre si durement traitĂ©e depuis l'enfance
 Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter
 ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermĂ© dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la dĂ©faite contre ma sƓur cadette encore et encore
 Acceptant l'Ă©loignement constant de mes parents, petit Ă  petit... jusqu'Ă  ĂȘtre reniĂ©e et chassĂ©e de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'Ă©taient si proches! Acceptant aussi tous mes rĂȘves brisĂ©s. Mais c'Ă©tait avant qu'il entre dans ma vie
 lui
 cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent Ă  Orlando qu'il a un cƓur de glace! Il est devenu ma rĂ©demption. Mon jardin secret. Ma fragile espĂ©rance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rĂȘve trĂšs vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve Ă  mon chevet Ă  mon rĂ©veil, dans cette chambre d'hĂŽpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissĂ© croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonnĂ© vie. Comment pourrais-je lui tĂ©moigner mon Ă©ternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libĂ©rateur. MĂȘme s'il dĂ©sirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hĂ©siter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruautĂ© que toutes ces femmes dĂ©crivent? Petit Ă  petit j'apprends Ă  dĂ©couvrir que derriĂšre cette façade trĂšs cruelle, se cache en fait un homme trĂšs tendre!

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