La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la rĂ©ponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ? L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un dĂ©sĂ©quilibre qui viendra tout Ă©quilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une mĂ©diocritĂ© qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se rĂ©sume Ă la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiĂ©ter quand on nous parle d'espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d'ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cĆur ni foi Ă la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n'est pas son frĂšre mais un ennemi qu'il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă cause de l'Ă©goĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'Ă©tait. J'avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ de la cruautĂ© du monde, je m'accrochais Ă ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -
La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ?
Et bien la réponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ?
L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre.
Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiĂ©ter quand on nous parle d'espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d'ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte.
Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cĆur ni foi Ă la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n'est pas son frĂšre mais un ennemi qu'il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă cause de l'Ă©goĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'Ă©tait.
J'avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ de la cruautĂ© du monde, je m'accrochais Ă ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante
- Ma'a je suis fatiguée de rester dans ce village.
- Eehhhh mon fils oĂč veux tu aller ? Au village voisin ? Tu es sans ignorer que lĂ -bas n'est pas diffĂ©rent d'ici.
- Non maman je voudrais gagner beaucoup d'argent et je ne penses pas que ça sera possible dans le village voisin pour y aller. Tous les villages des environs sont aussi pauvres que nÎtre ça nous le savons tous.
- Ne parles pas ainsi ! Que les dieux m'en prĂ©serve. Si tu ne veux pas aller dans l'un des villages voisins oĂč compte tu donc aller ?
- Ăcoutes maman, Ă©coutes trĂšs bien se que je vais te dire car je ne le dirais pas deux fois.
- heuhin je t'Ă©coutes attentivement mon fils. Vas-y tu peux me parler maintenant mes oreilles sont assez tendues pour t'Ă©couter.
- D'accord. Maman ce village tous comme les villages voisins n'offrent rien à la jeunesse depuis la génération de tes grands parents. La prospérité de ce village n'est qu'un mythe aujourd'hui et nous les jeunes voulons davantage faire pour notre communauté mais les moyens sont limitées ou presque absents. Ainsi, aprÚs mainte réflexion, j'ai décidé d'aller me chercher à la ville.
- A la ville hein ! Quelle ville comme ça ?
- Maman si tu n'Ă©tais pas ma mĂšre je croirais que tu es stupide. il y'a combien de ville dans ce pays oĂč gagner de l'argent est trĂšs facile ?
- Euh... d'abord mĂȘme depuis quand gagner de l'argent est facile mon fils ? Ă moins que tu n'entres dans les histoires de sorcellerie que j'entends souvent lĂ je ne vois pas comment tu gagnerais de l'argent facilement. OĂč alors tu as pour ambition de devenir bandit professionnel une fois lĂ -bas et tuer les gens pour leurs prendre se qui est Ă eux ?
- Maman pourquoi tu joues a l'ignorante ? Serais-tu devenue stupide et incapable de réfléchir. Ne vois tu pas la télévision ?
- Je te rappelle que je suis ta mÚre donc tu ne me traites pas de stupide. Et il y'a quoi d'extraordinaire dans la télévision ?
- Regarde lorsqu'il montre la ville à la télé surtout la ville de Douala ! Tu peux voir à travers les grosses voitures, les magnifiques maisons et tout se qui constitue une ville qu'il est facile de faire fortune là -bas et je penses qu'il est temps qu'un membre de notre famille fasse la fierté de ce village.
- Mon fils c'est un trĂšs beau discours que tu viens de faire lĂ mais tu oublies une chose. Tout se que tu vois Ă la tĂ©lĂ© comme voitures, maison, argent... Appartiennent dĂ©jĂ aux gens qui ont bataillĂ© pour l'avoir. Ils ont sur mettre en place un projet et l'ont dĂ©veloppĂ© pour en arriver lĂ oĂč ils sont aujourd'hui. Je veux bien accepter que tu partes Ă la ville mĂȘme si pour moi c'est un sacrilĂšge mais j'ai une seule question Ă te poser
- Je t'Ă©coute maman ! Repodis je impatient d'Ă©couter se qu'elle avait Ă me dire.
- Quel est ton projet que tu aimerais développer une fois là -bas ?
- Euh !!! Ma'a... C'est que nor... En fait c'est pas encore ça... Je veux dire c'est pas encore prĂȘt mais j'y pense hein crois moi j'y penses vraiment beaucoup depuis un bon moment.
- Oui c'est ça ! Tu as quel ùge déjà mon fils ? S'il te plaßt rappel moi ton ùge.
- j'en ai vingt six mÚre ! pourquoi cette question ? Aurais tu oublié l'ùge de ton propre enfants ?
- Non jamais je ne pourrai oublier ce jour oĂč je t'ai pris dans mes bras pour la premiĂšre. Enfaite ma question c'est pour te faire comprendre que tu te fais de plus en plus vieux et moi encore plus. Donc s'il te plaĂźt songe Ă me faire des petits enfants au lieux de penser a des sotises. Ou alors veux tu que j'entres sous terre sans voir les enfants de mon seul garçon ? Au lieu de faire comme ton ami qui a Ă©pousĂ© la fille du chef et a donnĂ© des petits enfants Ă Ses parents. toi tu es ici a penser Ă la ville. Que les dieux me viennent en aide.
- MÚre tu sais bien que c'est pas la course encore moins un concours donc je préfÚre aller me chercher d'abord et une fois que j'aurai emmagasiné suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de toute la famille, je te donnerai des petits enfants.
- aller à la ville n'est pas aussi la course. J'accepterai de te laisser partir lorsque tu m'auras présenté un projet que tu voudrais aller développer là -bas pour le moment vas prendre la machette et vas me chercher du bois de chauffage que je fasses la cuisine.
- D'accord mĂšre ?
Je m'appelle Abbi Guelewou fils Guelewou jean Pierre descendant d'une lignĂ©e de guerrier royal lui mĂȘme ancien guerrier du village de la forĂȘt avant son dĂ©cĂšs il y'a quelques annĂ©es. J'ai vingt six ans et je fais un mĂštre quatre vingt dix. Physiquement, je suis plutĂŽt baraquĂ© ; le genre de mec avec qui on ne voudrait pas avoir d'ennui. Je suis nĂ© et j'ai passĂ© toutes les annĂ©es de ma vie dans ce village. Je ne connaissais nul part ailleurs Ă part mon village et les trois villages voisins. Moi rĂȘve est d'aller plus loin que mon village, parcourir de nouvelles horizons et surtout faire fortune Ă la ville.. Ă Douala, ma ville de rĂȘve. Je suis persuadĂ© qu'une fois lĂ -bas, il sera facile pour moi de gagner rapidement de l'argent mais le plus difficile Ă©tait de rĂ©ussir Ă convaincre ma mĂšre de me laisser partir. Elle m'avait demandĂ© de lui proposer un projet Ă dĂ©velopper mais je ne savais pas se que c'Ă©tait qu'un projet Ă dĂ©velopper. Je n'ai pas beaucoup frĂ©quentĂ© et si ma mĂ©moire est bonne, j'avais arrĂȘtĂ© les cours au CM 2.
Heureusement pour moi, mon meilleur ami Julio avait Ă©tudiĂ© jusqu'en classe de seconde avant de dĂ©cider de se marier secrĂštement avec la petite fille du chef. Notre village est trĂšs traditionnel et les coutumes sont respectĂ©es Ă la lettre ainsi, un jeune homme qui se retrouve entrain d'enceinter ou mĂȘme de coucher avec une fille devait obligatoirement Ă©pouser cette derniĂšre. Bien-sĂ»r ça n'avait pas plu au chef de donner sa petite fille en mariage chez un sans nom ( nom dĂ©signĂ© pour qualifier les familles qui ne possĂšde pas suffisamment de terre ) mais il se devait de respecter la coutume aprĂšs que Julio ait enceintĂ© sa petite fille il y'a de cela cinq ans. Aujourd'hui encore ils vivent le parfait amour et on dĂ©jĂ trois enfants. Pour ma mĂšre il Ă©tait un exemple.
En allant au champs chercher le bois pour la cuisine de maman, j'en profite pour passer chez mon ami.
- Julio ! Julio ! Julio !
- Ayoo qui crie mon nom comme ça dans tout le village ?
- C'est moi Abbi
- Abbi hein ? Tu ne peux pas arriver chez moi avant de m'appeler ?
- Désolé mon frÚre c'est juste que j'ai vraiment besoin de ton aide.
- Je savais que ça ne pouvait ĂȘtre que ça. Tu ne peux pas avoir une bouteille de vin de palme ou une boule de couscous et tu cries mon nom ainsi pour partager avec moi.
- Comment tu peux dire ça mon frĂšre ? On a toujours tout partagĂ© ensemble du moins j'ai toujours tout partagĂ© avec toi. C'est mĂȘme moi qui devrais me plaindre mais je ne le fais pas.
- Tu ne le fais pas parce que toi mĂȘme tu vois ma situation et avec le troisiĂšme enfant que Maria a mit au monde les choses se sont encore compliquĂ©e pour moi. Et comme si ça ne suffisait pas le gibier se fait de plus en rare dans nos forĂȘts. Comment un chasseur de mon espĂšce fera pour mourir sa famille sans gibier ?
- Courage mon frĂšre ! C'est la vie que tu as choisi donc ne te plains pas. Je t'ai connu comme un battant donc tu t'en sortiras.
- Que les dieux t'Ă©coutent mon frĂšre ! Tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu criais mon nom dans tout le village.
- voilĂ mon frĂšre j'ai besoin de ton aide. Tu sais trĂšs bien que dans ce village aprĂšs les enfants du chef et ses petits enfants c'est toi le plus instruit et normalement tu devrais tout savoir.
- Abbi tu as encore quelle idĂ©e derriĂšre la tĂȘte cette fois ci. Me demande t'il alors qu'on fesait chemin ensemble en direction du champs. J'espĂšre que tu n'as pas aussi enceintĂ© une des enfants du chef comme je l'ai fait hein
- Non c'est pas ça. Je ne veux pas encore avoir des enfants.
- Tu veux quoi alors ?
- J'ai pris la décision d'aller a la ville gagner beaucoup d'argent pour devenir le plus riche de ce village.
- Hummmm ( en se grattant la moustache ) toi alors tu es possédé par quels esprits ? tu ne veux plus détrÎner le chef et prendre sa place maintenant c'est aller a la ville ta priorité ?
- Bien-sĂ»r que je veux toujours dĂ©trĂŽner notre mauvais chef mais d'abord il me faut ĂȘtre plus riche que lui
- Et qu'est ce qui t'empĂȘche d'y aller ?
- Ma mÚre. Ma mÚre dit qu'elle me laissera aller si je lui présente un projet que je veux développer une fois en ville c'est pourquoi j'ai besoin de ton aide. C'est quoi un projet ? Euh tu sais quoi donnes moi juste des exemples de projets.
- Mon frĂšre ne brĂ»les pas les Ă©tapes. Je te dirai tout se que je sais. Pour commencer un projet c'est se que tu aimerais faire une fois lĂ -bas et qui te rapportera des sous. Comme exemple de projet il y'en a tellement dans plusieurs domaines. Mais pour ton niveau je dirai que tu peux aller lĂ -bas dĂ©velopper un commerce ou alors ĂȘtre chauffeur ou ĂȘtre architecte... euh non pas ça tu n'as pas frĂ©quentĂ©. Huuuu voilĂ aide maçon, apprenti mĂ©canicien, pousseur... bref les trucs de ton niveau tu vois un peu ?
- D'accord ! Merci beaucoup mon frĂšre je savais que je pouvais compter sur toi. J'irai lĂ -bas pour ĂȘtre un trĂšs grand commerçants.
- C'est un bon projet mon frÚre et je suis sur que si tu utilises un peu ton cerveau tu y arriveras. Maintenant je dois te laisser ma Maria m'attend déjà .
- Okay mon frĂšre merci beaucoup.
De retour du champs aprÚs avoir longuement réfléchi sur mon projet et sur comment bien le développer une fois en ville et alors que j'étais impatient de l'annoncer à ma mÚre, je remarque que nous avons de la visite. Une fois a la maison, je me rends compte qu'il s'agit enfait du roi Depoué Premier et de sa garde rapprochée.
Mais que nous voulait bien celui lĂ ? Il n'avait riens Ă faire dans notre case.
Chapitre 1 1
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Chapitre 2 2
02/01/2024
Chapitre 3 3
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Chapitre 4 4
02/01/2024
Chapitre 5 5
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Chapitre 6 6
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Chapitre 7 7
02/01/2024
Chapitre 8 8
02/01/2024
Chapitre 9 9
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Chapitre 10 10
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Chapitre 11 11
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Chapitre 12 12
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Chapitre 13 13
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Chapitre 14 14
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Chapitre 15 15
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Chapitre 16 16
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Chapitre 17 17
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Chapitre 18 18
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Chapitre 19 19
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Chapitre 20 20
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Chapitre 21 21
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Chapitre 22 22
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Chapitre 23 23
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Chapitre 24 24
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Chapitre 28 28
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Chapitre 30 30
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Chapitre 31 31
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Chapitre 32 32
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Chapitre 33 33
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