UNE RENCONTRE INATTENDUE

UNE RENCONTRE INATTENDUE

WILL WRITING

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La terre, près de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la réponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ? L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-même se résume à de la philosophie ; une science inexacte comme les journées et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiéter quand on nous parle d'espoir en longueur de journée dans nos médias, nos écoles, nos familles, partout, il suffit juste d'être un tout petit peu dans une situation même des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unité humaine où les guerres et la famine disparaîtront pour laisser place à un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-être tant que nos sociétés seront dirigées par des hommes sans cœur ni foi à la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir à voir périr la classe ouvrière, qui contribuer à la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou même de culture différentes n'est pas son frère mais un ennemi qu'il faut éliminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte à cause de l'égoïsme des uns et des autres et le pire est que chaque être humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'était. J'avais un rêve, énormément d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entière. Au delà de la cruauté du monde, je m'accrochais à ce rêve dans les profondeurs de mon village, mon village natale où je ne voyais aucun moyen de parvenir à mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

Chapitre 1 1

La terre, près de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu'elles ont en commun toutes ces personnes ?

Et bien la réponse est qu'Aucun d'eux ne sait de quoi l'avenir sera fait. Ils vivent tous dans l'espoir ?

L'espoir d'un lendemain meilleur, d'un déséquilibre qui viendra tout équilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C'est quoi l'espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une médiocrité qu'on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se résume à la hauteur de nos... espoirs ? C'est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu'il vaudrait juste mieux de vivre.

Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L'amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-même se résume à de la philosophie ; une science inexacte comme les journées et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l'incertain. Mais pourquoi s'inquiéter quand on nous parle d'espoir en longueur de journée dans nos médias, nos écoles, nos familles, partout, il suffit juste d'être un tout petit peu dans une situation même des moindres pour que ce mot sorte.

Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unité humaine où les guerres et la famine disparaîtront pour laisser place à un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu'un autre "espoir" qui n'arrivera jamais ou peut-être tant que nos sociétés seront dirigées par des hommes sans cœur ni foi à la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir à voir périr la classe ouvrière, qui contribuer à la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d'esprits qu'un autre humain comme eux parce qu'il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou même de culture différentes n'est pas son frère mais un ennemi qu'il faut éliminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte à cause de l'égoïsme des uns et des autres et le pire est que chaque être humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n'était.

J'avais un rêve, énormément d'espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entière. Au delà de la cruauté du monde, je m'accrochais à ce rêve dans les profondeurs de mon village, mon village natale où je ne voyais aucun moyen de parvenir à mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante

- Ma'a je suis fatiguée de rester dans ce village.

- Eehhhh mon fils où veux tu aller ? Au village voisin ? Tu es sans ignorer que là-bas n'est pas différent d'ici.

- Non maman je voudrais gagner beaucoup d'argent et je ne penses pas que ça sera possible dans le village voisin pour y aller. Tous les villages des environs sont aussi pauvres que nôtre ça nous le savons tous.

- Ne parles pas ainsi ! Que les dieux m'en préserve. Si tu ne veux pas aller dans l'un des villages voisins où compte tu donc aller ?

- Écoutes maman, écoutes très bien se que je vais te dire car je ne le dirais pas deux fois.

- heuhin je t'écoutes attentivement mon fils. Vas-y tu peux me parler maintenant mes oreilles sont assez tendues pour t'écouter.

- D'accord. Maman ce village tous comme les villages voisins n'offrent rien à la jeunesse depuis la génération de tes grands parents. La prospérité de ce village n'est qu'un mythe aujourd'hui et nous les jeunes voulons davantage faire pour notre communauté mais les moyens sont limitées ou presque absents. Ainsi, après mainte réflexion, j'ai décidé d'aller me chercher à la ville.

- A la ville hein ! Quelle ville comme ça ?

- Maman si tu n'étais pas ma mère je croirais que tu es stupide. il y'a combien de ville dans ce pays où gagner de l'argent est très facile ?

- Euh... d'abord même depuis quand gagner de l'argent est facile mon fils ? À moins que tu n'entres dans les histoires de sorcellerie que j'entends souvent là je ne vois pas comment tu gagnerais de l'argent facilement. Où alors tu as pour ambition de devenir bandit professionnel une fois là-bas et tuer les gens pour leurs prendre se qui est à eux ?

- Maman pourquoi tu joues a l'ignorante ? Serais-tu devenue stupide et incapable de réfléchir. Ne vois tu pas la télévision ?

- Je te rappelle que je suis ta mère donc tu ne me traites pas de stupide. Et il y'a quoi d'extraordinaire dans la télévision ?

- Regarde lorsqu'il montre la ville à la télé surtout la ville de Douala ! Tu peux voir à travers les grosses voitures, les magnifiques maisons et tout se qui constitue une ville qu'il est facile de faire fortune là-bas et je penses qu'il est temps qu'un membre de notre famille fasse la fierté de ce village.

- Mon fils c'est un très beau discours que tu viens de faire là mais tu oublies une chose. Tout se que tu vois à la télé comme voitures, maison, argent... Appartiennent déjà aux gens qui ont bataillé pour l'avoir. Ils ont sur mettre en place un projet et l'ont développé pour en arriver là où ils sont aujourd'hui. Je veux bien accepter que tu partes à la ville même si pour moi c'est un sacrilège mais j'ai une seule question à te poser

- Je t'écoute maman ! Repodis je impatient d'écouter se qu'elle avait à me dire.

- Quel est ton projet que tu aimerais développer une fois là-bas ?

- Euh !!! Ma'a... C'est que nor... En fait c'est pas encore ça... Je veux dire c'est pas encore prêt mais j'y pense hein crois moi j'y penses vraiment beaucoup depuis un bon moment.

- Oui c'est ça ! Tu as quel âge déjà mon fils ? S'il te plaît rappel moi ton âge.

- j'en ai vingt six mère ! pourquoi cette question ? Aurais tu oublié l'âge de ton propre enfants ?

- Non jamais je ne pourrai oublier ce jour où je t'ai pris dans mes bras pour la première. Enfaite ma question c'est pour te faire comprendre que tu te fais de plus en plus vieux et moi encore plus. Donc s'il te plaît songe à me faire des petits enfants au lieux de penser a des sotises. Ou alors veux tu que j'entres sous terre sans voir les enfants de mon seul garçon ? Au lieu de faire comme ton ami qui a épousé la fille du chef et a donné des petits enfants à Ses parents. toi tu es ici a penser à la ville. Que les dieux me viennent en aide.

- Mère tu sais bien que c'est pas la course encore moins un concours donc je préfère aller me chercher d'abord et une fois que j'aurai emmagasiné suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de toute la famille, je te donnerai des petits enfants.

- aller à la ville n'est pas aussi la course. J'accepterai de te laisser partir lorsque tu m'auras présenté un projet que tu voudrais aller développer là-bas pour le moment vas prendre la machette et vas me chercher du bois de chauffage que je fasses la cuisine.

- D'accord mère ?

Je m'appelle Abbi Guelewou fils Guelewou jean Pierre descendant d'une lignée de guerrier royal lui même ancien guerrier du village de la forêt avant son décès il y'a quelques années. J'ai vingt six ans et je fais un mètre quatre vingt dix. Physiquement, je suis plutôt baraqué ; le genre de mec avec qui on ne voudrait pas avoir d'ennui. Je suis né et j'ai passé toutes les années de ma vie dans ce village. Je ne connaissais nul part ailleurs à part mon village et les trois villages voisins. Moi rêve est d'aller plus loin que mon village, parcourir de nouvelles horizons et surtout faire fortune à la ville.. À Douala, ma ville de rêve. Je suis persuadé qu'une fois là-bas, il sera facile pour moi de gagner rapidement de l'argent mais le plus difficile était de réussir à convaincre ma mère de me laisser partir. Elle m'avait demandé de lui proposer un projet à développer mais je ne savais pas se que c'était qu'un projet à développer. Je n'ai pas beaucoup fréquenté et si ma mémoire est bonne, j'avais arrêté les cours au CM 2.

Heureusement pour moi, mon meilleur ami Julio avait étudié jusqu'en classe de seconde avant de décider de se marier secrètement avec la petite fille du chef. Notre village est très traditionnel et les coutumes sont respectées à la lettre ainsi, un jeune homme qui se retrouve entrain d'enceinter ou même de coucher avec une fille devait obligatoirement épouser cette dernière. Bien-sûr ça n'avait pas plu au chef de donner sa petite fille en mariage chez un sans nom ( nom désigné pour qualifier les familles qui ne possède pas suffisamment de terre ) mais il se devait de respecter la coutume après que Julio ait enceinté sa petite fille il y'a de cela cinq ans. Aujourd'hui encore ils vivent le parfait amour et on déjà trois enfants. Pour ma mère il était un exemple.

En allant au champs chercher le bois pour la cuisine de maman, j'en profite pour passer chez mon ami.

- Julio ! Julio ! Julio !

- Ayoo qui crie mon nom comme ça dans tout le village ?

- C'est moi Abbi

- Abbi hein ? Tu ne peux pas arriver chez moi avant de m'appeler ?

- Désolé mon frère c'est juste que j'ai vraiment besoin de ton aide.

- Je savais que ça ne pouvait être que ça. Tu ne peux pas avoir une bouteille de vin de palme ou une boule de couscous et tu cries mon nom ainsi pour partager avec moi.

- Comment tu peux dire ça mon frère ? On a toujours tout partagé ensemble du moins j'ai toujours tout partagé avec toi. C'est même moi qui devrais me plaindre mais je ne le fais pas.

- Tu ne le fais pas parce que toi même tu vois ma situation et avec le troisième enfant que Maria a mit au monde les choses se sont encore compliquée pour moi. Et comme si ça ne suffisait pas le gibier se fait de plus en rare dans nos forêts. Comment un chasseur de mon espèce fera pour mourir sa famille sans gibier ?

- Courage mon frère ! C'est la vie que tu as choisi donc ne te plains pas. Je t'ai connu comme un battant donc tu t'en sortiras.

- Que les dieux t'écoutent mon frère ! Tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu criais mon nom dans tout le village.

- voilà mon frère j'ai besoin de ton aide. Tu sais très bien que dans ce village après les enfants du chef et ses petits enfants c'est toi le plus instruit et normalement tu devrais tout savoir.

- Abbi tu as encore quelle idée derrière la tête cette fois ci. Me demande t'il alors qu'on fesait chemin ensemble en direction du champs. J'espère que tu n'as pas aussi enceinté une des enfants du chef comme je l'ai fait hein

- Non c'est pas ça. Je ne veux pas encore avoir des enfants.

- Tu veux quoi alors ?

- J'ai pris la décision d'aller a la ville gagner beaucoup d'argent pour devenir le plus riche de ce village.

- Hummmm ( en se grattant la moustache ) toi alors tu es possédé par quels esprits ? tu ne veux plus détrôner le chef et prendre sa place maintenant c'est aller a la ville ta priorité ?

- Bien-sûr que je veux toujours détrôner notre mauvais chef mais d'abord il me faut être plus riche que lui

- Et qu'est ce qui t'empêche d'y aller ?

- Ma mère. Ma mère dit qu'elle me laissera aller si je lui présente un projet que je veux développer une fois en ville c'est pourquoi j'ai besoin de ton aide. C'est quoi un projet ? Euh tu sais quoi donnes moi juste des exemples de projets.

- Mon frère ne brûles pas les étapes. Je te dirai tout se que je sais. Pour commencer un projet c'est se que tu aimerais faire une fois là-bas et qui te rapportera des sous. Comme exemple de projet il y'en a tellement dans plusieurs domaines. Mais pour ton niveau je dirai que tu peux aller là-bas développer un commerce ou alors être chauffeur ou être architecte... euh non pas ça tu n'as pas fréquenté. Huuuu voilà aide maçon, apprenti mécanicien, pousseur... bref les trucs de ton niveau tu vois un peu ?

- D'accord ! Merci beaucoup mon frère je savais que je pouvais compter sur toi. J'irai là-bas pour être un très grand commerçants.

- C'est un bon projet mon frère et je suis sur que si tu utilises un peu ton cerveau tu y arriveras. Maintenant je dois te laisser ma Maria m'attend déjà.

- Okay mon frère merci beaucoup.

De retour du champs après avoir longuement réfléchi sur mon projet et sur comment bien le développer une fois en ville et alors que j'étais impatient de l'annoncer à ma mère, je remarque que nous avons de la visite. Une fois a la maison, je me rends compte qu'il s'agit enfait du roi Depoué Premier et de sa garde rapprochée.

Mais que nous voulait bien celui là ? Il n'avait riens à faire dans notre case.

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Ça y est, le 2 septembre, la fin des grandes vacances. Cette année a été particulièrement pluvieuse contrairement aux années antérieures. Je reviens justement de vacances, d’un bel endroit avec de belles personnes : Limbé Semi-beach ça vous parle ? C’était des vacances très agréables où j’ai rencontré des personnes très sympathiques. J’y ai même croisé une fille qui avait une manière particulière de vivre son couple. Malgré tout l’amour qu’elle porte à son copain, ce qu’elle aime le plus dans son couple, c’est d’aller voir ailleurs. Elle m’a dragué dès le premier jour. Apparemment, j’ai de très beaux yeux. J’ai la chance d’avoir des yeux plutôt charmants qui semblent plaire plus que des yeux d’une autre forme. - Tu dois être nouveau ici ? M’a t’elle abordé alors que je me promenais devant mon hôtel. - Oui c’est ma première fois, ai-je répondu sans trop me poser de questions. C’est très beau ici et je peux dire que je ne regrette pas d’être venu. - Oui ! Aussi beau que tes yeux, ajoute t’elle en me regardant avec admiration. J’ai tout de suite sentir monter en moi une assurance sexuelle que je savais provenir d’elle comme si elle m’a contaminé de ses sensations. - Je ne savais pas que j’avais de beaux yeux. C’est la première fois qu’on me fait un tel compliment et je ne sais pas comment te remercier pour ça. Lui ai je confié. - Mon mari n’est pas là. On peut monter dans ma chambre vu que tu occupes la tienne avec tes parents. Un verre ça te dis ? M’a t’elle proposé après m’avoir montré qu’elle savait un peu de moi. - Alors tu en sais des choses sur moi. Je supposes que tu sais aussi que je suis un mineur ? Lui ai-je demandé avec un sourire malicieux qu’elle avait répondu par un autre avant d’ajouter à son tour ; - La virilité et l’inexpérience des mineurs m’excitent plus que tout. Alors on monte prendre ce fameux verre ? M’a t’elle à nouveau proposé en remuant sa poitrine sous mes yeux. Dans mon pantalon s’était le feu d’autant plus que c’est une femme aux formes exceptionnelles qui me proposait une partie de jambe en l’air. J’ai donc accepté son invitation sans hésitation. L’infidélité, c’est quelque chose que je ne pensais pas apprécier du tout. En fait, j’ai beaucoup aimé. Je ne me vois pas être infidèle, mais, les femmes en couple ont finalement plus d’intérêt à mes yeux maintenant. Cela étant, ce n’est pas le meilleur moyen de trouver une relation stable, ce n’est pas ce que je recherche maintenant. Mon expérience avec cette fille m’a littéralement changé ; nous avons passé des moments inoubliables et grâce à elle, j’ai découvert le sexe. Avant notre rencontre j’étais puceau. S’était fou ! Une belle expérience donc je vais vous raconter les détails au fil de l’histoire. Aujourd’hui, c’est la reprise de l’école, mais pour la dernière fois car je suis en terminale. Le lycée, dans un an, c’est fini. À l’exception de quelques redoublants qui complète l’effectif, je retrouve la même classe de l’an dernier. Ça tombe bien, j’aime bien mes anciens camarades. Dans ma classe, il y a ma meilleure amie, Luna, une fille teint clair, un peu plus petite que moi en taille, aux longs cheveux naturels qui lui tombent sur le dos. Elle a un petit visage d’ange avec de jolis yeux presque noir, comme les miens d’ailleurs. C’est une fille à la base timide qui n’expose pas trop ses atouts physiques car ayant un corps parfait. J’ai un groupe d’amis proches, certains datent de l’école primaire, les autres se sont raccrochés au fur et à mesure. Je m’entends globalement bien avec toutes les personnes de ma classe, même cette petite peste de Maëva, le cliché typique de premier de la classe, arrogant, qui lorsqu’elle descendait à la deuxième place, le vivait mal. Mais quand elle laissait les cours de côté, elle était moins tendue, ça pouvait aller. Côté beauté, pour un intellos elle n’était pas mal fournis. Toujours dans ma classe, Il y a aussi un binôme d’inséparables, Horchelle et Nounca. Elles ne traînaient pas trop avec le reste de la classe, elles faisaient leurs soirées avec leurs potes à elle que personne ne connaît ou presque. S’était les plus belles et les plus carré de la classe qui se prenaient pour des princesses. Elles croyaient venir d’une autre planète et refusaient littéralement de se mélanger à nous se qui poussaient les autres à ne pas trop les aimer pourtant au fond s’était des bonnes filles du moins.... je crois !

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Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte à sa volonté ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au péché, et, dans l’abîme, il le punit d’avoir péché. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en défie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de ténèbres, c’est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-âge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsédés, ni possédés (et c’est sans doute, hélas ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-être quelque intérêt à faire apparaître Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiétude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte à la source même des jours, sombre biographie d’un fantôme qu’il faut reconstituer d’après des rêves. Il s’agit d’une biographie, éclaircissons d’abord le mystère des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tiré du néant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophètes, se tait sur son âge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siècles de l’église, le manichéen Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, élève le diable jusqu’à l’idée de cause, et il en fait une sorte d’être en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naître du chaos et des ténèbres ; Tatien, d’un rayon de la matière et de la méchanceté. Dans la Judée, au temps de saint Jérôme, les uns lui donnent pour père Léviathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le déluge. Selon saint Augustin, Dieu aurait créé les bons et les mauvais esprits comme un poète qui, pour relever les beautés de son œuvre, y sème les antithèses ; cependant, si grandes que soient l’autorité de l’évêque d’Hippone et sa pénétration dans ce qui touche les mystères, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhéteur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient à cette classe d’intelligences supérieures qui étaient comme les prémices de la création. Ils habitaient les régions de la lumière et de la sérénité, et Dieu les avait initiés aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardèrent point à déchoir de leur rang suprême en cédant aux inspirations d’une volonté mauvaise. Ils tombèrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant à s’élever d’eux-mêmes, et sans le secours de la grâce, à l’éternelle béatitude, en disputant à Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux révoltés, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombèrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptés que de purs esprits ne doivent pas connaître. Dieu, pour les punir, les bannit de sa présence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une créature déchue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et désolée, et dans le séjour de son éternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystère, que, malgré ses fréquentes apparitions et les nombreux témoignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la définition de l’école, un esprit, c’est ce que l’œil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapidité de la pensée. C’est un être indéfinissable.

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Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vérifié : oui, nous avons tendance à juger rapidement les gens d'après leur apparence, et à rester durablement influencé par une première impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une étude, d'évaluer la personnalité du « candidats » juste d'après leur photo d'identité, les « recruteurs » auront tendance à évaluer les porteurs de lunettes comme étant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence séduisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugés d'emblée comme étant des personnes vaniteuses ou même superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est réellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beauté : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance à se chercher une femme très belle avec un physique qui fait rêver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme à épouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un être ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avérer être redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’après sa petite taille, mais de le goûter et pour sentir comme il pique. Cette tendance à juger quelqu'un dans son ensemble d'après un détail ou simplement une première impression fait référence à l'auréole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. Placée au-dessus d'un personnage, elle suffit à rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-à-dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprêtez à lire fait justement référence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avérer être des monstres !

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Histoire

5.0

Aujourd'hui femme respectée de tous, mariée, mère de trois magnifiques garçons, aimée, désirée, toujours aussi belle et au sommet de son art, Je ne peux me plaindre de la vie que j'ai aujourd'hui. Beaucoup de femmes rêveraient d'avoir la chance que j'ai mais aucune ne pourrait accepter mener la vie que j'ai vécu lorsque je n’étais encore qu’une lycéenne... Oui aucune pas même moi si on m’avait demandé de choisir revivre cela. J'ai fait des choses dont je ne suis pas fière mais pourtant je ne regrette absolument rien car chaque nouvelle expérience a contribué à faire de moi la femme forte et dévouée que je suis aujourd'hui. Depuis mon premier rapport sexuel, j'en étais devenue accros. Je voulais me faire plaisir tous les jours et peut importe le lieu. Il suffisait que je vois un homme un peu mignon pour que ma libido prenait le déçu sur ma raison. J'étais comme possédée par l'ange de la perversion. Heureusement pour moi quelques années plutard j'ai fait la rencontre de l'homme qui deviendra plutard mon mari et à ses côtés je vies le bonheur absolu. Je m'appelles Ngo Nounca Fara, Nounca pour les intimes. Oui je sais que vous diriez que '' oooh encore une bassa'a '' mais je m'en moque pas mal car pour moi l’appartenance tribale n’a rien à voir avec la sexualité d’une personne. Aujourd'hui j'ai un an de plus. Je suis une femme âgée de 38 ans et comme je vous l'ai dit plus haut, je suis mère de trois mignons garçons qui font aujourd'hui ma fierté : Ivan c'est l'aîné. Il est âgé de 12 ans ensuite vient Killian âgé de 9 ans et le tout dernier c'est Christian. Lui il a à peine six ans. Mes enfants sont le fruits du bonheur que je vis avec mon mari. Jean est la définition de l'amour même. Il est attentionné, doux, compréhensif, très beau, un peu musclé et grand de taille comme on les aime nous les femmes courtes... Oui je mesure 1,63 mètre... parlant de mon mari, je dirais que Jean Bissami est un homme d'affaires accompli. Propriétaire de plusieurs entreprises agroalimentaires et de vastes plantations agricoles. L'argent a toujours été le dernier de nos soucis. Nous vivons le bonheur absolu. Il a su me comprendre et me recadrer et aussi c'est le seul homme qui a vraiment réussi a me satisfaire au lit... bref... Je ne dis pas que mes autres mecs et ou plans culs étaient nuls. Mais Jean, lui, a quelque chose en plus. Je ne peux vous dire réellement de quoi il s'agit mais a chaque fois qu'il me fait l'amour je voyage a travers d'autres Univers. Il est unique, sensationnel et très attentionné. - suuuuurprise !!!! Joyeux anniversaire maman !!! Crièrent en chœur mes enfants avec un énorme gâteau d'anniversaire posé sur la table et leur papa a côté vêtu comme un guignol sûrement pour donner encore plus d'ambiance a l'événement. Ils sont si mignons. regardant mon mari et mes fils heureux de me voir heureuse a travers cet anniversaire surprise, j'ai vu défiler sous mes yeux le film de mon passé, de ma jeunesse. Je ne pu m'empêcher de couler quelques gouttes de larmes. Je n’arrivais toujours pas à réaliser que j’avais vraiment failli rater tout ce bonheur ? Je vous ai assez parlé de ma vie actuelle et je suis sûr que ça ne vous intéresse pas du tout. Seul mon passé pervers vous intéresse. Pas vrai ? Alors je vais vous raconter chaque détail de ma vie a partir de mes Seize ans jusqu'à ma rencontre avec mon mari... Croyez moi c'est pas très catholique alors toutes âmes sensibles et les moins de 18 ans s'abstenir de continuer à lire.

 PACTE Avec SATAN

PACTE Avec SATAN

Histoire

5.0

L’univers est constitué de telle sorte que chaque élément aussi infirme soit-il soit d’une très grande importance. C’est pareil pour nous les êtres humains ; on aura beau te traiter d’inutile ou de sans importance ça n’enlèvera rien à ta valeur. Nous sommes tous uniques et spéciaux chacun a sa manière sauf que d’autre son dans la lumière avec tout le mérite qui pour la plupart n’est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l’œuvre d’autres personnes ignorées par la société. Certaines personnes aussi, influencées ou pas par la société considère la pauvreté comme une malédiction qu’elles doivent éradiquer même si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S’était le cas pour moi ; la pauvreté je la considérais comme une maladie, une peste, une malédiction. J’avais honte de montrer ma maison à mes nouveaux amis, j’étais dégoûté de rester dans une maison où il n’y avait même pas un petit frigo et où manger était un vrai combat quotidien. J’en avais marre d’être pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient à se regarder devant un miroir. N’avaient ils pas honte de leur situation financière ? N’étaient ils pas dégoûtés d’offrir à leurs enfants une vie de misérable ? Dans une société où les préjugés font notre quotidien, où on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, où la valeur d’une personne se voit uniquement sur son apparence, où on aime uniquement les riches et on méprise les pauvres, je me considérais avec les miens comme les derniers des plus misérables. S’était pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix à payer, j’étais prête à tout pour laver l’honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur. Je m’appelle Horchelle, vingt ans et élèves en classe de première D au moment où mon histoire commence réellement. J’étais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m’imposer ses choix. J’étais infaillible côté sentiment, les gens avaient l’impression que rien ne pouvait m’atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante à cause de ma froideur surtout que je parlais très peu, j’avais aussi très peu d’amis et j’étais toujours recroquevillée dans mon coin nerveuse à observer se qui passait autour de moi. Je scrutais à la loupe chaque détail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m’avait surnommé l’extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j’étais sans sentiments ! Pourtant s’était faux ! Une fois de plus ils m’avaient jugé sur mon apparence car même si j’étais froide comme ils le disaient, n’en demeurait point qu’au fond de moi, j’étais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drôles même si s’était intérieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait très peu parce qu’elle avait peu à dire et qui était toujours dans son coin parce qu’elle avait peur que son plus grand secret soit révélé : ma pauvreté. Même s’il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n’y arrivais pas. S’était insupportable cette situation. J’étais même allée jusqu’à implorer mon père de m’inscrire dans un collège très loin de la maison sous prétexte que s’était le meilleur pourtant je vouais être dans une école où aucun de mes voisins ne s’y trouvait de peur que mon secret ne soit révélé. Vous vous dosez peut-être que j’étais folle pourtant se n’était pas de la folie mais un état d’esprit. Je me sentais pas différente à un adolescent qui pisse encore au lit : s’était un handicap qu’il ne voulait pas qu’on sache tout comme ma pauvreté l’était aussi et je ne voulais que quelqu’un dévoile mon secret. Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j’étais propriétaire de moi même, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu’on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout à basculé dans ma vie. Un événement qu’on qualifierait de négligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S’était un mercredi très pluvieux et nous étions en classe. Nous avions un cours d’histoire où on parlait de la puissance de l’Afrique d’autre fois. Le professeur avait alors posé une question :

Inspirés de vos vus

Après sa renaissance, elle devient une véritable milliardaire

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PR
5.0

Kinsley essayait la robe de mariage, quand soudain l'homme a fait irruption dans la cabine d'essayage et a serré son cou fermement. "Salope ! Tu essayes encore de jouer à l'innocente !" Levi a dit en resserrant son étreinte sur son cou et l'étrangler solidement. Ensuite, il a sorti son téléphone de la poche de son costume avec son autre main et a joué la vidéo de deux personnes faisant l'amour devant Kinsley... Cependant, ce qui était encore plus choquant, c'était que la femme de la vidéo était Kinsley Roche, cependant, l'homme dans la vidéo n'était pas Jasper. Kinsley a lutté pour prendre le téléphone des mains de Jasper et a essayé d'expliquer, "Levi, ce n'est pas ce que tu penses. Je. Je peux." Levi a regardé Kinsley avec des yeux pleins de dégoût, en disant," Annulons le mariage. Je ne peux pas épouser une femme comme toi." Après avoir dit cela, Jasper a quitté la boutique. Kinsley a poursuivi Levi... Mais alors elle voit Jasper embrasser passionnément sa sœur Eloise. Et elle entend tout, que son sommeil avec des hommes étranges était tout un plan des vipères des deux derniers jours, et que leur but était de sortir de ce mariage stupide. Même ses parents adoptifs étaient également impliqués dans cette affaire... Ils ont tous fait cela avec elle à cause de l'héritage laissé par son grand-père... Le cœur de Kinsley était rempli de colère et elle voulait révéler leur vrai visage au public... Cependant avant qu'elle puisse faire quoi que ce soit, Eloise l'avait poussée devant la voiture et elle a été tuée... Cependant, quand Kinsley a ouvert ses yeux, elle s'est trouvée assise dans la voiture avec Eloise... Elle a réalisé qu'elle était revenue et a retourné au moment où tout a commencé... Kinsley a regardé les personnes qui l'avaient blessée dans sa vie précédente et ses lèvres se sont relevées en un sourire froid... Elle était de retour... Cependant, cette fois... elle était de retour pour se venger...

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