L'univers est constituĂ© de telle sorte que chaque Ă©lĂ©ment aussi infirme soit-il soit d'une trĂšs grande importance. C'est pareil pour nous les ĂȘtres humains ; on aura beau te traiter d'inutile ou de sans importance ça n'enlĂšvera rien Ă ta valeur. Nous sommes tous uniques et spĂ©ciaux chacun a sa maniĂšre sauf que d'autre son dans la lumiĂšre avec tout le mĂ©rite qui pour la plupart n'est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l'Ćuvre d'autres personnes ignorĂ©es par la sociĂ©tĂ©. Certaines personnes aussi, influencĂ©es ou pas par la sociĂ©tĂ© considĂšre la pauvretĂ© comme une malĂ©diction qu'elles doivent Ă©radiquer mĂȘme si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S'Ă©tait le cas pour moi ; la pauvretĂ© je la considĂ©rais comme une maladie, une peste, une malĂ©diction. J'avais honte de montrer ma maison Ă mes nouveaux amis, j'Ă©tais dĂ©goĂ»tĂ© de rester dans une maison oĂč il n'y avait mĂȘme pas un petit frigo et oĂč manger Ă©tait un vrai combat quotidien. J'en avais marre d'ĂȘtre pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient Ă se regarder devant un miroir. N'avaient ils pas honte de leur situation financiĂšre ? N'Ă©taient ils pas dĂ©goĂ»tĂ©s d'offrir Ă leurs enfants une vie de misĂ©rable ? Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les prĂ©jugĂ©s font notre quotidien, oĂč on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, oĂč la valeur d'une personne se voit uniquement sur son apparence, oĂč on aime uniquement les riches et on mĂ©prise les pauvres, je me considĂ©rais avec les miens comme les derniers des plus misĂ©rables. S'Ă©tait pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix Ă payer, j'Ă©tais prĂȘte Ă tout pour laver l'honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur. Je m'appelle Horchelle, vingt ans et Ă©lĂšves en classe de premiĂšre D au moment oĂč mon histoire commence rĂ©ellement. J'Ă©tais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m'imposer ses choix. J'Ă©tais infaillible cĂŽtĂ© sentiment, les gens avaient l'impression que rien ne pouvait m'atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante Ă cause de ma froideur surtout que je parlais trĂšs peu, j'avais aussi trĂšs peu d'amis et j'Ă©tais toujours recroquevillĂ©e dans mon coin nerveuse Ă observer se qui passait autour de moi. Je scrutais Ă la loupe chaque dĂ©tail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m'avait surnommĂ© l'extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j'Ă©tais sans sentiments ! Pourtant s'Ă©tait faux ! Une fois de plus ils m'avaient jugĂ© sur mon apparence car mĂȘme si j'Ă©tais froide comme ils le disaient, n'en demeurait point qu'au fond de moi, j'Ă©tais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drĂŽles mĂȘme si s'Ă©tait intĂ©rieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait trĂšs peu parce qu'elle avait peu Ă dire et qui Ă©tait toujours dans son coin parce qu'elle avait peur que son plus grand secret soit rĂ©vĂ©lĂ© : ma pauvretĂ©. MĂȘme s'il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n'y arrivais pas. S'Ă©tait insupportable cette situation. J'Ă©tais mĂȘme allĂ©e jusqu'Ă implorer mon pĂšre de m'inscrire dans un collĂšge trĂšs loin de la maison sous prĂ©texte que s'Ă©tait le meilleur pourtant je vouais ĂȘtre dans une Ă©cole oĂč aucun de mes voisins ne s'y trouvait de peur que mon secret ne soit rĂ©vĂ©lĂ©. Vous vous dosez peut-ĂȘtre que j'Ă©tais folle pourtant se n'Ă©tait pas de la folie mais un Ă©tat d'esprit. Je me sentais pas diffĂ©rente Ă un adolescent qui pisse encore au lit : s'Ă©tait un handicap qu'il ne voulait pas qu'on sache tout comme ma pauvretĂ© l'Ă©tait aussi et je ne voulais que quelqu'un dĂ©voile mon secret. Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j'Ă©tais propriĂ©taire de moi mĂȘme, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu'on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout Ă basculĂ© dans ma vie. Un Ă©vĂ©nement qu'on qualifierait de nĂ©gligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S'Ă©tait un mercredi trĂšs pluvieux et nous Ă©tions en classe. Nous avions un cours d'histoire oĂč on parlait de la puissance de l'Afrique d'autre fois. Le professeur avait alors posĂ© une question :
L'univers est constituĂ© de telle sorte que chaque Ă©lĂ©ment aussi infirme soit-il soit d'une trĂšs grande importance. C'est pareil pour nous les ĂȘtres humains ; on aura beau te traiter d'inutile ou de sans importance ça n'enlĂšvera rien Ă ta valeur. Nous sommes tous uniques et spĂ©ciaux chacun a sa maniĂšre sauf que d'autre son dans la lumiĂšre avec tout le mĂ©rite qui pour la plupart n'est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l'Ćuvre d'autres personnes ignorĂ©es par la sociĂ©tĂ©.
Certaines personnes aussi, influencĂ©es ou pas par la sociĂ©tĂ© considĂšre la pauvretĂ© comme une malĂ©diction qu'elles doivent Ă©radiquer mĂȘme si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S'Ă©tait le cas pour moi ; la pauvretĂ© je la considĂ©rais comme une maladie, une peste, une malĂ©diction. J'avais honte de montrer ma maison Ă mes nouveaux amis, j'Ă©tais dĂ©goĂ»tĂ© de rester dans une maison oĂč il n'y avait mĂȘme pas un petit frigo et oĂč manger Ă©tait un vrai combat quotidien. J'en avais marre d'ĂȘtre pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient Ă se regarder devant un miroir. N'avaient ils pas honte de leur situation financiĂšre ? N'Ă©taient ils pas dĂ©goĂ»tĂ©s d'offrir Ă leurs enfants une vie de misĂ©rable ?
Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les prĂ©jugĂ©s font notre quotidien, oĂč on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, oĂč la valeur d'une personne se voit uniquement sur son apparence, oĂč on aime uniquement les riches et on mĂ©prise les pauvres, je me considĂ©rais avec les miens comme les derniers des plus misĂ©rables. S'Ă©tait pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix Ă payer, j'Ă©tais prĂȘte Ă tout pour laver l'honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur.
Je m'appelle Horchelle, vingt ans et Ă©lĂšves en classe de premiĂšre D au moment oĂč mon histoire commence rĂ©ellement. J'Ă©tais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m'imposer ses choix. J'Ă©tais infaillible cĂŽtĂ© sentiment, les gens avaient l'impression que rien ne pouvait m'atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante Ă cause de ma froideur surtout que je parlais trĂšs peu, j'avais aussi trĂšs peu d'amis et j'Ă©tais toujours recroquevillĂ©e dans mon coin nerveuse Ă observer se qui passait autour de moi. Je scrutais Ă la loupe chaque dĂ©tail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m'avait surnommĂ© l'extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j'Ă©tais sans sentiments !
Pourtant s'Ă©tait faux ! Une fois de plus ils m'avaient jugĂ© sur mon apparence car mĂȘme si j'Ă©tais froide comme ils le disaient, n'en demeurait point qu'au fond de moi, j'Ă©tais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drĂŽles mĂȘme si s'Ă©tait intĂ©rieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait trĂšs peu parce qu'elle avait peu Ă dire et qui Ă©tait toujours dans son coin parce qu'elle avait peur que son plus grand secret soit rĂ©vĂ©lĂ© : ma pauvretĂ©. MĂȘme s'il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n'y arrivais pas. S'Ă©tait insupportable cette situation.
J'Ă©tais mĂȘme allĂ©e jusqu'Ă implorer mon pĂšre de m'inscrire dans un collĂšge trĂšs loin de la maison sous prĂ©texte que s'Ă©tait le meilleur pourtant je vouais ĂȘtre dans une Ă©cole oĂč aucun de mes voisins ne s'y trouvait de peur que mon secret ne soit rĂ©vĂ©lĂ©. Vous vous dosez peut-ĂȘtre que j'Ă©tais folle pourtant se n'Ă©tait pas de la folie mais un Ă©tat d'esprit. Je me sentais pas diffĂ©rente Ă un adolescent qui pisse encore au lit : s'Ă©tait un handicap qu'il ne voulait pas qu'on sache tout comme ma pauvretĂ© l'Ă©tait aussi et je ne voulais que quelqu'un dĂ©voile mon secret.
Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j'Ă©tais propriĂ©taire de moi mĂȘme, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu'on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout Ă basculĂ© dans ma vie. Un Ă©vĂ©nement qu'on qualifierait de nĂ©gligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S'Ă©tait un mercredi trĂšs pluvieux et nous Ă©tions en classe. Nous avions un cours d'histoire oĂč on parlait de la puissance de l'Afrique d'autre fois. Le professeur avait alors posĂ© une question :
- Quelqu'un peut-il me dire le nom de l'homme le plus riche de tous les temps ?
Cette question m'avait captivĂ©, je trouvais le cours trĂšs plaisant et surtout j'avais trĂšs envie de connaĂźtre le nom de cet homme que mon pĂšre n'avait pas pu prendre pour exemple. Les rĂ©ponses fusaient de partout allant des plus fort probables comme « Bil GĂątes « ou encore « Jeff Bezos « aux rĂ©ponses les moins Ă©videntes comme « Samuel Eto'o « ou d'autres cĂ©lĂ©britĂ©s africaines. Le question intĂ©ressait tellement toute la classe que malgrĂ© les Ă©checs, d'autres rĂ©ponses toujours fausses pour le prof arrivait. La classe Ă©tait dans un enjaillement indescriptible au point oĂč la morte vivante que j'Ă©tais s'Ă©tait aussi prĂȘtĂ©e au jeu.
Puis le prof nous avait calmé tant bien que mal avant de nous donner le nom de cet homme :
- Je vois que quand on parle d'argent c'est tout le monde qui parle ( en me jetant un regard ) mais dĂ©solĂ© de vous dĂ©cevoir mais personne n'a rĂ©ussi Ă me donner la bonne rĂ©ponse. L'homme le plus riche de l'histoire de l'humanitĂ© est un africain du nom de Mansa Mousa (aussi appelĂ© Kankou Moussa), dirigeant de l'empire du Mali de 1312 Ă 1332. Sa fortune Ă©tait estimĂ©e et j'insiste sur estimĂ© car s'Ă©tait beaucoup plus selon les historien Ă 400 milliard de dollars. mais les historiens de l'Ă©conomie s'accordent Ă dire que sa fortune est impossible Ă chiffrer. Donc mes chers Ă©lĂšves aimeriez vous ĂȘtre Ă la place de cet homme !?
Toute la classe avait crié en comprenant l'estimation de sa fortune et ça avait commencé à beaucoup murmurer jusqu'à se que de ses multiples voix, une s'était fait entendre plus que les autres :
- Mais monsieur il avait seulement signĂ© un pacte avec le diable ? Parce que c'est pas possible pour une seule personne d'avoir autant d'argent mĂȘme s'il Ă©tait un rois.
- ArrĂȘtes de dire n'importe quoi mon garçon. Il y'a des hommes qui se battent vraiment dans la vie. Avait rĂ©pondu le prof au jeune homme avant d'ordonner Ă la classe de se taire.
Un pacte avec le diable ? Ătait ce possible de le faire pour avoir de l'argent ? Pour moi le nom ''diable'' traduisait la mort et le mal. Jamais je ne pouvais m'imaginer qu'on pouvait avoir de l'argent en signant un pacte avec lui. J'avais pensĂ© Ă cette idĂ©e jusqu'Ă se que le cours s'achĂšve. AprĂšs le cours, je m'Ă©tais rapprochĂ© de mon camarde celui lĂ mĂȘme qui avait parlĂ© du pacte car je voulais en savoir plus.
- Salut Samy je peux te parler une minute ?
Il m'avait regardé avec un air interrogateur avant de se reculer pour me laisser la place.
- De quoi veux-tu me parler ? Demanda t'il impatient de mettre fin Ă la conversation.
- Euh... Pendant le cours tu as parlé d'un truc que je ne connaissais pas auparavant lorsque le prof a donné le nom et la fortune de l'homme le plus riche de tous les temps tu lui as répondu que seul un homme qui avait passé...
Il m'avait interrompu :
- ... Un pacte avec le diable pouvait avoir autant d'argent ?
- Ouias c'est exactement ça ! Confirmais je.
- Mais c'est évident ! Seul le diable pouvait lui donner autant d'argent. La preuve il a tout gaspillé ça. C'est seulement l'argent sale qu'on gaspille n'importe comment sinon l'argent qu'on a souffert pour avoir on réfléchit avant de dépenser. M'expliqua t'il.
- Tu as raison mais se que je ne comprends pas c'est comment le diable qui est censé tout détruire sur son passage peut donner de l'argent à un homme ? C'est incompréhensible ! Lui demandais je sceptique.
Il plissa les sourcils étonné :
- Sérieux tu viens de quelle planÚte toi ? Donc à ton vieil ùge ci tu ne sais pas que les gens font des pactes avec le diable pour avoir de la gloire, du pouvoir, un bon métier, beaucoup d'argent et bien d'autre et en retour ils donnent au diable se qu'il demande ? AprÚs quand on va te traiter d'extra terrestre tu vas croire qu'on t'insulte seulement.
J'étais éblouie par ses révélations. Je m'étais dit intérieurement qu'il fallait à tout prix que je fasses un pacte avec le diable, je voyais en cela la solution à ma malédiction. Mais il fallait que j'en saches plus.
- Rien ne peut avoir de la valeur que le pouvoir et la richesse qu'est ce que le diable peut bien vouloir en retour ?
- Des choses dont tu n'as pas idĂ©e ! Il te prends tout se que tu aimes le plus : tes parents, les membres de ta famille, ou mĂȘme ton Ăąme. Il te rend malheureux et te pousse au regret Ă©ternel. Tu viens prisonniĂšre de ta propre richesse et locataire de ta vie. Je ne te conseille pas de songer Ă faire une chose pareille car c'est vraiment effroyable et dĂ©goĂ»tant. Vaut mieux rester pauvre et heureux que de signer un pacte avec lui. M'avait t'il rĂ©pondu avec une voix qui faisait peur.
Je m'en foutais. Il n'avait pas réussi à me faire changer d'avis, j'étais déterminée.
- C'est vraiment effrayant tout se que tu dis lĂ . Il faut vraiment ĂȘtre courageux pour l'appeler d'ailleurs mĂȘme ça se passe comment pour le rencontrer ?
- Qui ça ?
- Mais le diable !
Il me regarda dans les yeux inquiet par mes questions. Il suspectait mes intentions mais n'osa pas poser la question qui le brulait les lÚvres. Au contraire, il m'avait donné la réponse que j'attendais :
- Euh.... je sais pas trop. Il y'a plusieurs mĂ©thodes donc je ne sais pas trop surtout que je n'ai jamais expĂ©rimentĂ©. Mais j'avais entendu dire dans mon quartier qu'une femme avait surpris son mari en pleine pratique dans leur chambre Ă minuit lorsqu'elle s'Ă©tait levĂ©e pour aller uriner. D'aprĂšs ses dits, il avait fait un cercle qu'il avait entourĂ© de six bougie avant de se mettre Ă l'intĂ©rieur et d'implorer la prĂ©sence de Lucifer. Je ne sais pas trop donc c'est tout se que je peux te dire lĂ -bas. D'ailleurs mĂȘme pourquoi tu me pose toutes ses questions ?
- Non pour rien merci. Lui avais je répondu froidement avant de quitter sa place.
J'avais toutes les rĂ©ponses que je voulais et il me suffisait juste de trouver six bougies et de calculer quand il n'y aura personne Ă la maison Ă minuit pour passer Ă l'action. Je n'avais pas peur car je savait exactement se que je voulais. Et peut importe se qu'il me demandait en retour, j'Ă©tais prĂȘte Ă le lui donner.
Chapitre 1 1
02/01/2024
Chapitre 2 2
02/01/2024
Chapitre 3 3
02/01/2024
Chapitre 4 4
02/01/2024
Chapitre 5 5
02/01/2024
Chapitre 6 6
02/01/2024
Chapitre 7 7
02/01/2024
Chapitre 8 8
02/01/2024
Chapitre 9 9
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Chapitre 10 10
02/01/2024
Chapitre 11 11
02/01/2024
Chapitre 12 12
02/01/2024
Chapitre 13 13
02/01/2024
Chapitre 14 14
02/01/2024
Chapitre 15 15
02/01/2024
Chapitre 16 16
02/01/2024
Chapitre 17 17
02/01/2024
Chapitre 18 18
02/01/2024
Chapitre 19 19
02/01/2024
Chapitre 20 20
02/01/2024
Chapitre 21 21
02/01/2024
Chapitre 22 22
02/01/2024
Chapitre 23 23
02/01/2024
Chapitre 24 24
02/01/2024
Chapitre 25 25
02/01/2024
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