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 PACTE Avec SATAN

PACTE Avec SATAN

WILL WRITING

5.0
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Chapitres

L'univers est constituĂ© de telle sorte que chaque Ă©lĂ©ment aussi infirme soit-il soit d'une trĂšs grande importance. C'est pareil pour nous les ĂȘtres humains ; on aura beau te traiter d'inutile ou de sans importance ça n'enlĂšvera rien Ă  ta valeur. Nous sommes tous uniques et spĂ©ciaux chacun a sa maniĂšre sauf que d'autre son dans la lumiĂšre avec tout le mĂ©rite qui pour la plupart n'est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l'Ɠuvre d'autres personnes ignorĂ©es par la sociĂ©tĂ©. Certaines personnes aussi, influencĂ©es ou pas par la sociĂ©tĂ© considĂšre la pauvretĂ© comme une malĂ©diction qu'elles doivent Ă©radiquer mĂȘme si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S'Ă©tait le cas pour moi ; la pauvretĂ© je la considĂ©rais comme une maladie, une peste, une malĂ©diction. J'avais honte de montrer ma maison Ă  mes nouveaux amis, j'Ă©tais dĂ©goĂ»tĂ© de rester dans une maison oĂč il n'y avait mĂȘme pas un petit frigo et oĂč manger Ă©tait un vrai combat quotidien. J'en avais marre d'ĂȘtre pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient Ă  se regarder devant un miroir. N'avaient ils pas honte de leur situation financiĂšre ? N'Ă©taient ils pas dĂ©goĂ»tĂ©s d'offrir Ă  leurs enfants une vie de misĂ©rable ? Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les prĂ©jugĂ©s font notre quotidien, oĂč on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, oĂč la valeur d'une personne se voit uniquement sur son apparence, oĂč on aime uniquement les riches et on mĂ©prise les pauvres, je me considĂ©rais avec les miens comme les derniers des plus misĂ©rables. S'Ă©tait pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix Ă  payer, j'Ă©tais prĂȘte Ă  tout pour laver l'honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur. Je m'appelle Horchelle, vingt ans et Ă©lĂšves en classe de premiĂšre D au moment oĂč mon histoire commence rĂ©ellement. J'Ă©tais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m'imposer ses choix. J'Ă©tais infaillible cĂŽtĂ© sentiment, les gens avaient l'impression que rien ne pouvait m'atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante Ă  cause de ma froideur surtout que je parlais trĂšs peu, j'avais aussi trĂšs peu d'amis et j'Ă©tais toujours recroquevillĂ©e dans mon coin nerveuse Ă  observer se qui passait autour de moi. Je scrutais Ă  la loupe chaque dĂ©tail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m'avait surnommĂ© l'extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j'Ă©tais sans sentiments ! Pourtant s'Ă©tait faux ! Une fois de plus ils m'avaient jugĂ© sur mon apparence car mĂȘme si j'Ă©tais froide comme ils le disaient, n'en demeurait point qu'au fond de moi, j'Ă©tais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drĂŽles mĂȘme si s'Ă©tait intĂ©rieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait trĂšs peu parce qu'elle avait peu Ă  dire et qui Ă©tait toujours dans son coin parce qu'elle avait peur que son plus grand secret soit rĂ©vĂ©lĂ© : ma pauvretĂ©. MĂȘme s'il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n'y arrivais pas. S'Ă©tait insupportable cette situation. J'Ă©tais mĂȘme allĂ©e jusqu'Ă  implorer mon pĂšre de m'inscrire dans un collĂšge trĂšs loin de la maison sous prĂ©texte que s'Ă©tait le meilleur pourtant je vouais ĂȘtre dans une Ă©cole oĂč aucun de mes voisins ne s'y trouvait de peur que mon secret ne soit rĂ©vĂ©lĂ©. Vous vous dosez peut-ĂȘtre que j'Ă©tais folle pourtant se n'Ă©tait pas de la folie mais un Ă©tat d'esprit. Je me sentais pas diffĂ©rente Ă  un adolescent qui pisse encore au lit : s'Ă©tait un handicap qu'il ne voulait pas qu'on sache tout comme ma pauvretĂ© l'Ă©tait aussi et je ne voulais que quelqu'un dĂ©voile mon secret. Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j'Ă©tais propriĂ©taire de moi mĂȘme, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu'on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout Ă  basculĂ© dans ma vie. Un Ă©vĂ©nement qu'on qualifierait de nĂ©gligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S'Ă©tait un mercredi trĂšs pluvieux et nous Ă©tions en classe. Nous avions un cours d'histoire oĂč on parlait de la puissance de l'Afrique d'autre fois. Le professeur avait alors posĂ© une question :

Chapitre 1 1

L'univers est constituĂ© de telle sorte que chaque Ă©lĂ©ment aussi infirme soit-il soit d'une trĂšs grande importance. C'est pareil pour nous les ĂȘtres humains ; on aura beau te traiter d'inutile ou de sans importance ça n'enlĂšvera rien Ă  ta valeur. Nous sommes tous uniques et spĂ©ciaux chacun a sa maniĂšre sauf que d'autre son dans la lumiĂšre avec tout le mĂ©rite qui pour la plupart n'est pas le leur car le plus souvent les personnes qui brillent le plus sont l'Ɠuvre d'autres personnes ignorĂ©es par la sociĂ©tĂ©.

Certaines personnes aussi, influencĂ©es ou pas par la sociĂ©tĂ© considĂšre la pauvretĂ© comme une malĂ©diction qu'elles doivent Ă©radiquer mĂȘme si pour cela elles devaient signer un pacte avec le diable. S'Ă©tait le cas pour moi ; la pauvretĂ© je la considĂ©rais comme une maladie, une peste, une malĂ©diction. J'avais honte de montrer ma maison Ă  mes nouveaux amis, j'Ă©tais dĂ©goĂ»tĂ© de rester dans une maison oĂč il n'y avait mĂȘme pas un petit frigo et oĂč manger Ă©tait un vrai combat quotidien. J'en avais marre d'ĂȘtre pauvre et je me demandais comment mes parents arrivaient Ă  se regarder devant un miroir. N'avaient ils pas honte de leur situation financiĂšre ? N'Ă©taient ils pas dĂ©goĂ»tĂ©s d'offrir Ă  leurs enfants une vie de misĂ©rable ?

Dans une sociĂ©tĂ© oĂč les prĂ©jugĂ©s font notre quotidien, oĂč on te respecte en fonction de la taille de ton porte feuille, oĂč la valeur d'une personne se voit uniquement sur son apparence, oĂč on aime uniquement les riches et on mĂ©prise les pauvres, je me considĂ©rais avec les miens comme les derniers des plus misĂ©rables. S'Ă©tait pour moi une image que je voulais changer de moi et de ma famille peut importe le prix Ă  payer, j'Ă©tais prĂȘte Ă  tout pour laver l'honneur de ma famille et lui donner toute sa grandeur.

Je m'appelle Horchelle, vingt ans et Ă©lĂšves en classe de premiĂšre D au moment oĂč mon histoire commence rĂ©ellement. J'Ă©tais une fille ambitieuse, froide et audacieuse ; je ne reculais devant rien et personne ne pouvait me marcher déçu ou m'imposer ses choix. J'Ă©tais infaillible cĂŽtĂ© sentiment, les gens avaient l'impression que rien ne pouvait m'atteindre. Ils me prenaient pour une morte vivante Ă  cause de ma froideur surtout que je parlais trĂšs peu, j'avais aussi trĂšs peu d'amis et j'Ă©tais toujours recroquevillĂ©e dans mon coin nerveuse Ă  observer se qui passait autour de moi. Je scrutais Ă  la loupe chaque dĂ©tail, chaque parole qui sortait de la bouge de mes camarades. Dans ma classe on m'avait surnommĂ© l'extra terrestre car on jugeait que je ne faisais rien comme le ferait un humain ordinaire. Pour eux j'Ă©tais sans sentiments !

Pourtant s'Ă©tait faux ! Une fois de plus ils m'avaient jugĂ© sur mon apparence car mĂȘme si j'Ă©tais froide comme ils le disaient, n'en demeurait point qu'au fond de moi, j'Ă©tais une jeune fille comme toutes les autres qui avaient des sentiments pour le plus beau de la classe, qui riait des blagues drĂŽles mĂȘme si s'Ă©tait intĂ©rieurement, qui ne repoussait ni ne jugeait personne, qui parlait trĂšs peu parce qu'elle avait peu Ă  dire et qui Ă©tait toujours dans son coin parce qu'elle avait peur que son plus grand secret soit rĂ©vĂ©lĂ© : ma pauvretĂ©. MĂȘme s'il y avait des enfants issus des familles plus pauvres que la mienne qui vivaient normalement, moi je n'y arrivais pas. S'Ă©tait insupportable cette situation.

J'Ă©tais mĂȘme allĂ©e jusqu'Ă  implorer mon pĂšre de m'inscrire dans un collĂšge trĂšs loin de la maison sous prĂ©texte que s'Ă©tait le meilleur pourtant je vouais ĂȘtre dans une Ă©cole oĂč aucun de mes voisins ne s'y trouvait de peur que mon secret ne soit rĂ©vĂ©lĂ©. Vous vous dosez peut-ĂȘtre que j'Ă©tais folle pourtant se n'Ă©tait pas de la folie mais un Ă©tat d'esprit. Je me sentais pas diffĂ©rente Ă  un adolescent qui pisse encore au lit : s'Ă©tait un handicap qu'il ne voulait pas qu'on sache tout comme ma pauvretĂ© l'Ă©tait aussi et je ne voulais que quelqu'un dĂ©voile mon secret.

Tout allait bien dans ma vie ; je veux dire je pouvais dormir tranquillement, j'Ă©tais propriĂ©taire de moi mĂȘme, je ne connaissais pratiquement rien de la vie celle qu'on nous cache et dont seuls les adeptes connaissent le secret puis un jour, tout Ă  basculĂ© dans ma vie. Un Ă©vĂ©nement qu'on qualifierait de nĂ©gligeable devait se produire et changer mon existence a tout jamais : S'Ă©tait un mercredi trĂšs pluvieux et nous Ă©tions en classe. Nous avions un cours d'histoire oĂč on parlait de la puissance de l'Afrique d'autre fois. Le professeur avait alors posĂ© une question :

- Quelqu'un peut-il me dire le nom de l'homme le plus riche de tous les temps ?

Cette question m'avait captivĂ©, je trouvais le cours trĂšs plaisant et surtout j'avais trĂšs envie de connaĂźtre le nom de cet homme que mon pĂšre n'avait pas pu prendre pour exemple. Les rĂ©ponses fusaient de partout allant des plus fort probables comme « Bil GĂątes « ou encore « Jeff Bezos « aux rĂ©ponses les moins Ă©videntes comme « Samuel Eto'o « ou d'autres cĂ©lĂ©britĂ©s africaines. Le question intĂ©ressait tellement toute la classe que malgrĂ© les Ă©checs, d'autres rĂ©ponses toujours fausses pour le prof arrivait. La classe Ă©tait dans un enjaillement indescriptible au point oĂč la morte vivante que j'Ă©tais s'Ă©tait aussi prĂȘtĂ©e au jeu.

Puis le prof nous avait calmé tant bien que mal avant de nous donner le nom de cet homme :

- Je vois que quand on parle d'argent c'est tout le monde qui parle ( en me jetant un regard ) mais dĂ©solĂ© de vous dĂ©cevoir mais personne n'a rĂ©ussi Ă  me donner la bonne rĂ©ponse. L'homme le plus riche de l'histoire de l'humanitĂ© est un africain du nom de Mansa Mousa (aussi appelĂ© Kankou Moussa), dirigeant de l'empire du Mali de 1312 Ă  1332. Sa fortune Ă©tait estimĂ©e et j'insiste sur estimĂ© car s'Ă©tait beaucoup plus selon les historien Ă  400 milliard de dollars. mais les historiens de l'Ă©conomie s'accordent Ă  dire que sa fortune est impossible Ă  chiffrer. Donc mes chers Ă©lĂšves aimeriez vous ĂȘtre Ă  la place de cet homme !?

Toute la classe avait crié en comprenant l'estimation de sa fortune et ça avait commencé à beaucoup murmurer jusqu'à se que de ses multiples voix, une s'était fait entendre plus que les autres :

- Mais monsieur il avait seulement signĂ© un pacte avec le diable ? Parce que c'est pas possible pour une seule personne d'avoir autant d'argent mĂȘme s'il Ă©tait un rois.

- ArrĂȘtes de dire n'importe quoi mon garçon. Il y'a des hommes qui se battent vraiment dans la vie. Avait rĂ©pondu le prof au jeune homme avant d'ordonner Ă  la classe de se taire.

Un pacte avec le diable ? Était ce possible de le faire pour avoir de l'argent ? Pour moi le nom ''diable'' traduisait la mort et le mal. Jamais je ne pouvais m'imaginer qu'on pouvait avoir de l'argent en signant un pacte avec lui. J'avais pensĂ© Ă  cette idĂ©e jusqu'Ă  se que le cours s'achĂšve. AprĂšs le cours, je m'Ă©tais rapprochĂ© de mon camarde celui lĂ  mĂȘme qui avait parlĂ© du pacte car je voulais en savoir plus.

- Salut Samy je peux te parler une minute ?

Il m'avait regardé avec un air interrogateur avant de se reculer pour me laisser la place.

- De quoi veux-tu me parler ? Demanda t'il impatient de mettre fin Ă  la conversation.

- Euh... Pendant le cours tu as parlé d'un truc que je ne connaissais pas auparavant lorsque le prof a donné le nom et la fortune de l'homme le plus riche de tous les temps tu lui as répondu que seul un homme qui avait passé...

Il m'avait interrompu :

- ... Un pacte avec le diable pouvait avoir autant d'argent ?

- Ouias c'est exactement ça ! Confirmais je.

- Mais c'est évident ! Seul le diable pouvait lui donner autant d'argent. La preuve il a tout gaspillé ça. C'est seulement l'argent sale qu'on gaspille n'importe comment sinon l'argent qu'on a souffert pour avoir on réfléchit avant de dépenser. M'expliqua t'il.

- Tu as raison mais se que je ne comprends pas c'est comment le diable qui est censé tout détruire sur son passage peut donner de l'argent à un homme ? C'est incompréhensible ! Lui demandais je sceptique.

Il plissa les sourcils étonné :

- Sérieux tu viens de quelle planÚte toi ? Donc à ton vieil ùge ci tu ne sais pas que les gens font des pactes avec le diable pour avoir de la gloire, du pouvoir, un bon métier, beaucoup d'argent et bien d'autre et en retour ils donnent au diable se qu'il demande ? AprÚs quand on va te traiter d'extra terrestre tu vas croire qu'on t'insulte seulement.

J'étais éblouie par ses révélations. Je m'étais dit intérieurement qu'il fallait à tout prix que je fasses un pacte avec le diable, je voyais en cela la solution à ma malédiction. Mais il fallait que j'en saches plus.

- Rien ne peut avoir de la valeur que le pouvoir et la richesse qu'est ce que le diable peut bien vouloir en retour ?

- Des choses dont tu n'as pas idĂ©e ! Il te prends tout se que tu aimes le plus : tes parents, les membres de ta famille, ou mĂȘme ton Ăąme. Il te rend malheureux et te pousse au regret Ă©ternel. Tu viens prisonniĂšre de ta propre richesse et locataire de ta vie. Je ne te conseille pas de songer Ă  faire une chose pareille car c'est vraiment effroyable et dĂ©goĂ»tant. Vaut mieux rester pauvre et heureux que de signer un pacte avec lui. M'avait t'il rĂ©pondu avec une voix qui faisait peur.

Je m'en foutais. Il n'avait pas réussi à me faire changer d'avis, j'étais déterminée.

- C'est vraiment effrayant tout se que tu dis lĂ . Il faut vraiment ĂȘtre courageux pour l'appeler d'ailleurs mĂȘme ça se passe comment pour le rencontrer ?

- Qui ça ?

- Mais le diable !

Il me regarda dans les yeux inquiet par mes questions. Il suspectait mes intentions mais n'osa pas poser la question qui le brulait les lÚvres. Au contraire, il m'avait donné la réponse que j'attendais :

- Euh.... je sais pas trop. Il y'a plusieurs mĂ©thodes donc je ne sais pas trop surtout que je n'ai jamais expĂ©rimentĂ©. Mais j'avais entendu dire dans mon quartier qu'une femme avait surpris son mari en pleine pratique dans leur chambre Ă  minuit lorsqu'elle s'Ă©tait levĂ©e pour aller uriner. D'aprĂšs ses dits, il avait fait un cercle qu'il avait entourĂ© de six bougie avant de se mettre Ă  l'intĂ©rieur et d'implorer la prĂ©sence de Lucifer. Je ne sais pas trop donc c'est tout se que je peux te dire lĂ -bas. D'ailleurs mĂȘme pourquoi tu me pose toutes ses questions ?

- Non pour rien merci. Lui avais je répondu froidement avant de quitter sa place.

J'avais toutes les rĂ©ponses que je voulais et il me suffisait juste de trouver six bougies et de calculer quand il n'y aura personne Ă  la maison Ă  minuit pour passer Ă  l'action. Je n'avais pas peur car je savait exactement se que je voulais. Et peut importe se qu'il me demandait en retour, j'Ă©tais prĂȘte Ă  le lui donner.

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Bien de choses s’apprennent ailleurs qu’à l’école ou dans les livres. Apprendre Ă  vivre par exemple, l’un des arts les plus difficiles selon les uns, les plus Ă©lĂ©mentaires selon les autres, s’apprend partout. On ne sait plus vivre ! Jeunes et vieux remettent en question notre genre de vie. La chanson, vĂ©hicule privilĂ©giĂ©e de bien des idĂ©es, dĂ©crit la dĂ©cadence de notre civilisation : c’est le cri de la rĂ©volte des uns, le soupir de rĂ©signation des autres. Le hurlement du Rock et la dĂ©rision du Punk, la nostalgie du Folk ou le rythme du Disco souligne la vanitĂ© de nos constructions et l’absurde de bien des ambitions. Alors Pourquoi s’en faire ? Pourquoi rĂ©flĂ©chir ? Pourquoi travailler ? Quand tout est vanitĂ© ! Ne vaudrait il pas mieux de simplement VIVRE ? Notre monde nous apparaĂźt comme une mĂ©canique bien rĂ©glĂ©e, rĂ©gie par un ordinateur insensible. On ne peut rien y changer, ce qui a Ă©tĂ© c’est ce qui sera, les mĂȘmes causes produisent les mĂȘmes effets ! Et l’homme ne semble jamais comprendre. Je voudrai en parler, partager, mais c’est en vain que je regarde autour de moi. Je me retrouve seule. Mais j’ai peur d’ĂȘtre seule ! La vie m’a dĂ©jĂ  donnĂ© beaucoup trop de coups les uns plus cauchemardesques que les autres et que dire de cette foutue maladie qui me ronge tous les jours ! Je me prĂ©nomme Lana, j’ai 25 ans, je suis une femme teint clair et pulpeuse, le genre de femmes que les hommes aiment voir mais beaucoup n’osent aborder. J’ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et charnues. Aujourd’hui je suis sans-emploi pourtant ça n’a pas toujours Ă©tĂ© comme cela. MĂȘme si je n’étais pas Ă©panouis dans mon travail, j’étais performante. Mais bon je ne me plains pas de continuer mes Ă©tudes en ce dĂ©but de troisiĂšme annĂ©e surtout que je suis financiĂšrement stable. Ceci est mon histoire et il est dĂ©conseillĂ© aux mineurs et aux Ăąmes sensibles.

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Avez vous dĂ©jĂ  Ă©tĂ© victime d'injustice ? Bien-sĂ»r que oui, nous avons dĂ©jĂ  tous Ă©tĂ© victime d'injustice au moins une fois au cours de notre existence. Tous les jours quelque part dans le monde une personne se plaint d'avoir Ă©tĂ© accusĂ©e injustement. Le sentiment d'injustice est l'un des plus forts et des plus violents que l'esprit humain peut ressentir. Et parfois certaines personnes payent le lourd fardeau d'un crime commis par quelqu'un d'autre. Dans d'autres circonstances, il est juste question de trouver le coupable parfait comme ce fut le cas pour Maximilien un adolescent ĂągĂ© de seize ans qui a Ă©tĂ© accusĂ© injustement du crime de sa meilleure amie Marie Louise ĂągĂ©e elle aussi de seize ans au moment de son assassinat. Ce soir-lĂ , un homme, le visage masquĂ© par une cagoule, pĂ©nĂštre dans une maison de la ville de Douala. Une arme Ă  feu Ă  la main, il ne demande rien a personne et se met Ă  tirer Ă  trois reprises sur l'adolescente. Dans des circonstances que les mĂ©dias camerounais ne prĂ©cisent pas, le braqueur tire sur la jeune fille. TouchĂ©, celle-ci dĂ©cĂ©dera quelques jours plus tard, Ă  l’hĂŽpital. Le malfaiteur, lui, s’enfuit les mains vides. aucun objet voler d’aprĂšs la famille donc il est clair qu'il s'agissait d'un rĂšglement de compte. Les policiers arrivent sur les lieux du crime aprĂšs avoir Ă©tĂ© prĂ©venu par un jeune homme qui appelait Ă  partir du tĂ©lĂ©phone fixe de la maison dans laquelle le crime s'Ă©tait produit, sans preuve, le jeune homme fut accusĂ© du meurtre de Marie Louise car Ă©tant le seul prĂ©sent sur les lieux et condamnĂ© Ă  la peine de mort quelques semaines seulement aprĂšs le crime. L’affaire fut si politisĂ©e car impliquant des hommes puissants du pays qu’il fut dĂ©fĂ©rĂ© non pas dans une prison pour mineurs mais directement Ă  la prison centrale de Nkodengui a YaoundĂ© oĂč il devait attendre patiemment le jour de son exĂ©cution. Lors de son procĂšs, rien n'a Ă©tĂ© en sa faveur. Orphelin et vivant avec son oncle MathĂ©o, un homme sĂ©vĂšre, violent, alcoolique et parfois mĂȘme sans scrupule pourtant trĂšs riche et influent qui battait le jeune garçon comme il voulait et quand il voulait lui faisant vivre un enfer, Maximilien n'a eu droit a aucun avocat mĂȘme pas a ceux dĂ©signĂ© par l'État pour assurer la dĂ©fense des accusĂ©s qui ne peuvent pas s'en procurer un. Selon le procureur, aucun avocat n’avait acceptĂ© de dĂ©fendre le prĂ©sumĂ© assassin de la fille de Lahoud Bamba un homme d'affaires puissant et rĂ©putĂ© qui venait de se lancer dans la politique avec pour but de devenir Maire de la ville de Douala. AprĂšs deux annĂ©es passĂ©es en prison, un grand sourire sur le visage, les yeux plissĂ©s par l’émotion, il inspire profondĂ©ment l'air pu de la libertĂ© en levant les mains vers le ciel comme s'il remerciait le Saint PĂšre cĂ©leste et tous ces anges pour lui avoir aidĂ© Ă  s'Ă©vader de la prison. La police Ă©tait en alerte, la presse aussi. Quelques minutes seulement aprĂšs son Ă©vasion dans des conditions un peu troubles, Maximilien Ă©tait devenu l'homme le plus recherchĂ© du pays. Toutes les chaĂźnes et radios qui avaient suivies de prĂšs cette affaire depuis le dĂ©but ont changĂ© leurs programmes en cours pour ne parler que de lui. Toutes les forces policiĂšres de la ville capitale ont Ă©tĂ© mobilisĂ© pour attraper celui qu'on qualifiait de << JEUNE LE PLUS DANGEREUX D’AFRIQUE >>. Une mise Ă  prix de deux millions de francs fut placĂ© sur sa tĂȘte. On le voulait vif ou mort. De son cĂŽtĂ©, Maximilien Ă©tait dĂ©terminĂ© Ă  rejoindre la ville de Douala, ville dans laquelle tout a commencĂ© et oĂč selon lui tout devait finir... Nelly est la prĂ©sentatrice d'une Ă©mission appelĂ© paroles aux jeunes dĂ©diĂ© exclusivement a la jeunesse. Elle sera la seule a donner au jeune Maximilien l'opportunitĂ© de donner sa version des faits Ă  travers son Ă©mission. Et pour la premiĂšre fois, le jeune garçon aura l’opportunitĂ© de partager son histoire avec le monde entier faisant de l’émission radio de Nelly l’émission la plus suivie du continent. Serait ce un coup montĂ© ou alors Maximilien qui dit n'avoir pas tuĂ© sa meilleure amie serait en rĂ©alitĂ© l'homme en cagoule.?

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Moderne

5.0

Quel est donc cet esprit de tĂ©nĂšbres, homme, serpent ou dragon, qui plane Ă  tous les horizons du passĂ© ? Dans le ciel, il blasphĂšme et se bat avec les anges ; sur la terre, il se sert de l’homme « comme d’un cheval qu’il pique et monte Ă  sa volontĂ© ; » il l’afflige, le tourmente, l’excite au pĂ©chĂ©, et, dans l’abĂźme, il le punit d’avoir pĂ©chĂ©. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-Ăąge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvens, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s’en dĂ©fie. Le grimoire enseigne comment on l’évoque, le rituel comment on le chasse. L’église le maudit, la sorcellerie l’adore. Cet esprit de tĂ©nĂšbres, c’est le dĂ©mon de la thĂ©ologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire. Le moyen-Ăąge avait trop peur du diable pour en parler raisonnablement. Pour nous, qui ne sommes ni obsĂ©dĂ©s, ni possĂ©dĂ©s (et c’est sans doute, hĂ©las ! le seul avantage que nous ayons sur les moines et sur les saints), nous trouverons peut-ĂȘtre quelque intĂ©rĂȘt Ă  faire apparaĂźtre Satan, non pour lui demander, comme les sorciers, le bonheur, la science, l’amour sans inquiĂ©tude et sans larmes, tout ce que l’homme poursuit sans l’atteindre, mais simplement pour le prier de nous conter son histoire, histoire multiple et difficile, qui remonte Ă  la source mĂȘme des jours, sombre biographie d’un fantĂŽme qu’il faut reconstituer d’aprĂšs des rĂȘves. Il s’agit d’une biographie, Ă©claircissons d’abord le mystĂšre des origines. L’Écriture, qui parle souvent du diable, ne dit pas quand et pourquoi l’auteur des choses l’a tirĂ© du nĂ©ant. Dieu, qui le nomme et le maudit par la voix de ses prophĂštes, se tait sur son Ăąge ; mais, quand Dieu se tait, l’homme veut deviner encore. Aux premiers siĂšcles de l’église, le manichĂ©en Bardesanes, s’inspirant des traditions du dualisme, Ă©lĂšve le diable jusqu’à l’idĂ©e de cause, et il en fait une sorte d’ĂȘtre en soi qu’il oppose au principe du bien. Priscillien le fait naĂźtre du chaos et des tĂ©nĂšbres ; Tatien, d’un rayon de la matiĂšre et de la mĂ©chancetĂ©. Dans la JudĂ©e, au temps de saint JĂ©rĂŽme, les uns lui donnent pour pĂšre LĂ©viathan, le grand dragon de la mer ; les autres le chef des anges qui s’unirent avec les filles des hommes avant le dĂ©luge. Selon saint Augustin, Dieu aurait crĂ©Ă© les bons et les mauvais esprits comme un poĂšte qui, pour relever les beautĂ©s de son Ɠuvre, y sĂšme les antithĂšses ; cependant, si grandes que soient l’autoritĂ© de l’évĂȘque d’Hippone et sa pĂ©nĂ©tration dans ce qui touche les mystĂšres, il est peu probable que l’éternel artiste qui a fait ce monde y ait introduit le mal par une fantaisie de rhĂ©teur. Selon la tradition dogmatique, Satan et ses anges, innocents et purs dans l’origine, appartenaient Ă  cette classe d’intelligences supĂ©rieures qui Ă©taient comme les prĂ©mices de la crĂ©ation. Ils habitaient les rĂ©gions de la lumiĂšre et de la sĂ©rĂ©nitĂ©, et Dieu les avait initiĂ©s aux secrets de sa sagesse, mais ils ne tardĂšrent point Ă  dĂ©choir de leur rang suprĂȘme en cĂ©dant aux inspirations d’une volontĂ© mauvaise. Ils tombĂšrent par l’orgueil et la concupiscence : par l’orgueil, en cherchant Ă  s’élever d’eux-mĂȘmes, et sans le secours de la grĂące, Ă  l’éternelle bĂ©atitude, en disputant Ă  Dieu la souveraine puissance, en lui refusant, comme des vassaux rĂ©voltĂ©s, l’acte de foi et d’hommage. Ils tombĂšrent par la concupiscence en demandant aux filles des hommes des caresses et des voluptĂ©s que de purs esprits ne doivent pas connaĂźtre. Dieu, pour les punir, les bannit de sa prĂ©sence en les maudissant, et leur place ne fut plus trouvĂ©e dans le ciel, comme le dit saint Jean. Le diable, ainsi que l’homme, n’est donc qu’une crĂ©ature dĂ©chue. A dater de sa chute, il commence sur la terre une vie nouvelle et dĂ©solĂ©e, et dans le sĂ©jour de son Ă©ternel exil, il s’enveloppe de tant d’ombre et de mystĂšre, que, malgrĂ© ses frĂ©quentes apparitions et les nombreux tĂ©moignages de ceux qui l’ont vu, il est presque impossible de donner de sa personne un signalement exact. Est-ce une intelligence servie par des organes ? Est-ce un corps ou un esprit ? Ce n’est pas un esprit, car, suivant la dĂ©finition de l’école, un esprit, c’est ce que l’Ɠil ne peut voir, ce que l’oreille ne peut entendre. Or, on voit le diable, on l’entend, il parle. Ce n’est pas un corps, car on ne peut le saisir sous une forme tangible, et il franchit les distances avec la rapiditĂ© de la pensĂ©e. C’est un ĂȘtre indĂ©finissable.

Mon voisin

Mon voisin

Histoire

5.0

Les parents apprennent aux enfants que « l'habit ne fait pas le moine ». Ils veulent ainsi leur faire comprendre que les apparences sont parfois trompeuses. Et la psychologie l'a vĂ©rifiĂ© : oui, nous avons tendance Ă  juger rapidement les gens d'aprĂšs leur apparence, et Ă  rester durablement influencĂ© par une premiĂšre impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Par exemple, quand on demande, dans le cadre d'une Ă©tude, d'Ă©valuer la personnalitĂ© du « candidats » juste d'aprĂšs leur photo d'identitĂ©, les « recruteurs » auront tendance Ă  Ă©valuer les porteurs de lunettes comme Ă©tant plus intelligents, et les hommes et femmes d'apparence sĂ©duisante comme plus dynamiques et dignes de confiance. En revanche, les gens « trop beaux » sont jugĂ©s d'emblĂ©e comme Ă©tant des personnes vaniteuses ou mĂȘme superficielles. Heureusement qu'il existe aussi un CV et un entretien pour montrer qui l'on est rĂ©ellement ! Dans le cadre de l’amour, l’homme ou la femme cherchera son partenaire en fonction de sa beautĂ© : dans le cas de l’homme, il aura toujours tendance Ă  se chercher une femme trĂšs belle avec un physique qui fait rĂȘver car dans sa conscience il se dit que plus la femme est belle, plus elle est une sainte, une femme Ă  Ă©pouser. Il oublie que les apparences sont souvent trompeuses, qu’un ĂȘtre ou un objet d’apparence inoffensive peut s’avĂ©rer ĂȘtre redoutable. C’est pourquoi on recommande le plus souvent de ne pas juger le grain de poivre d’aprĂšs sa petite taille, mais de le goĂ»ter et pour sentir comme il pique. Cette tendance Ă  juger quelqu'un dans son ensemble d'aprĂšs un dĂ©tail ou simplement une premiĂšre impression fait rĂ©fĂ©rence Ă  l'aurĂ©ole que l'on retrouve dans les tableaux d'inspiration religieuse. PlacĂ©e au-dessus d'un personnage, elle suffit Ă  rappeler qu'il s'agit d'un saint, c'est-Ă -dire qu'il est globalement bon et digne d'estime ! L’histoire que vous vous apprĂȘtez Ă  lire fait justement rĂ©fĂ©rence au fait qu’il ne faut jamais juger un individu sur son physique car les plus belle personne d’apparence peuvent s’avĂ©rer ĂȘtre des monstres !

UNE RENCONTRE INATTENDUE

UNE RENCONTRE INATTENDUE

Romance

5.0

La terre, prĂšs de huit milliards de personnes ; impressionnant non ? Mais savez vous se qu’elles ont en commun toutes ces personnes ? Et bien la rĂ©ponse est qu’Aucun d’eux ne sait de quoi l’avenir sera fait. Ils vivent tous dans l’espoir ? L’espoir d’un lendemain meilleur, d’un dĂ©sĂ©quilibre qui viendra tout Ă©quilibrer du jour au lendemain comme par magie ! Mais C’est quoi l’espoir ? Une doctrine ? Une croyance ou tout simplement une destination jamais franchi, une mĂ©diocritĂ© qu’on implante en nous pour nous faire croire que notre existence se rĂ©sume Ă  la hauteur de nos... espoirs ? C’est fou mais on pourrait se poser tellement de question sur ce simple mot qu’il vaudrait juste mieux de vivre. Mais vivre pour qui ou pour quoi ? Sa femme ? Ses enfants ? Sa richesse ? L’amour ? Ses peines ? Sa doctrine ? Encore des questions. Notre existence elle-mĂȘme se rĂ©sume Ă  de la philosophie ; une science inexacte comme les journĂ©es et les nuits qui se suivent mais ne se ressemblent pas. Nous vaguons tous les jours vers l’incertain. Mais pourquoi s’inquiĂ©ter quand on nous parle d’espoir en longueur de journĂ©e dans nos mĂ©dias, nos Ă©coles, nos familles, partout, il suffit juste d’ĂȘtre un tout petit peu dans une situation mĂȘme des moindres pour que ce mot sorte. Comme tout humain je crois ! Je crois en un lendemain meilleur, je crois en une vraie unitĂ© humaine oĂč les guerres et la famine disparaĂźtront pour laisser place Ă  un monde en paix et heureux ; le nouveau paradis. Mais malheureusement tout ceci ne sera qu’un autre “espoir” qui n’arrivera jamais ou peut-ĂȘtre tant que nos sociĂ©tĂ©s seront dirigĂ©es par des hommes sans cƓur ni foi Ă  la recherche du pouvoir et des voies et moyens pour soumettre leur prochain, qui prennent plaisir Ă  voir pĂ©rir la classe ouvriĂšre, qui contribuer Ă  la destruction de notre monde pour leur profil personnel en finançant les guerres tout en faisant croire aux faibles d’esprits qu’un autre humain comme eux parce qu’il est de couleur, de classe sociale, de croyance ou mĂȘme de culture diffĂ©rentes n’est pas son frĂšre mais un ennemi qu’il faut Ă©liminer par tous les moyens. Ainsi va notre monde ; vers sa perte Ă  cause de l’égoĂŻsme des uns et des autres et le pire est que chaque ĂȘtre humain en est conscient mais continue de vivre comme si de rien n’était. J’avais un rĂȘve, Ă©normĂ©ment d’espoirs : celle de marquer mon village et son histoire entiĂšre. Au delĂ  de la cruautĂ© du monde, je m’accrochais Ă  ce rĂȘve dans les profondeurs de mon village, mon village natale oĂč je ne voyais aucun moyen de parvenir Ă  mes objectifs. Je devais partir, voler vers un monde plus...offrante -

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