PACTE Avec SATAN
t, me roulant au sol comme le faisaient toutes personnes éprouvées par la mort d'un être qu'ils aimaient. Là moins je n'étais pas fausse car j'aimais vraiment ma mère mais il le fallait, il fallait
mille savait que seul la richesse pouvait nous d
taient insuffisants alors je ne regrettais en rien mon acte et si s'était à refaire, si le vieux sorcier me donnait une possibilité de refaire machine arrière j'aurais décliné l'offre car je savais exactement se que je voulais ; l'argent, beaucoup d'argent j'étais assoiffée de pouvoir. Je voulais vivre la vie de rêve comme toutes ses stars que je suivais a longue
de la maison alors j'avais alors commencé à sérieusement cogiter sur l'endroit où pouvait se trouver le coq mort et les autres ustensiles que le sorcier m'avait remis quand soudain j'avais entendu mon petit frère avec qui je partag
t d'un gris sale ; il devait faire au moins deux mètres. Il était terrifiant, moche et semblait avoir très faim vu la manière dont il regardait mon petit frère. Je m'étais rapprochée de lui ( le serpent )
i. Il ne te fera aucun mal
ai peur ! M'av
lus jamais t'embêter à condition que tu ne dises cela à personne car si tu oses
hés
oser trahir. Regarde maman, elle est morte parce qu'elle voulait
il répondu avant e se jeter dans mes bras où il avait pleuré. Nos grandes sœurs étaient veni
se cette étape. Maman était le moteur de cette famille, elle avait tout sacrifié pour nous, absolument tout et à mon humble avis, d'où elle s
re car lui la ne pense à rien et avec la mort de maman, c'est sûr qu'il ne va même plus nous calculer du coup on doit se mettre ensembl
yeux dans les yeux pour le dissuader de dire quelque chose qui aurait pu être en rapport avec le serpent qu'il avait
ait la grosse bête ainsi que le coq mort, les vêtements de rechanges et tout se que j'avais emporté de la for
point de m'endormir, un souffle léger s'était fait ressentir sur ma peau, les ampoules avaient commencé à danser puis, toutes les lumières du quartier s'était éteint. J'étais seule dans ma chambre ( mon petit frère avait refusé de dormir avec moi ) alors je m'étais juste allongée et avait mis une petite couverture sur moi. Sans aucune raison j'avais
la nuit. Je n'avais pratiquement pas pu fermer l'œil. Était-ce dû à la peur ? Des peurs que l'Homme connaît depuis des millénaires et avec lesquelles il se bat et se débat, parfois sans relâche. La nuit, lieu
avions pris la route pour aller au vil
age ( Ouest Cameroun ) avec le cercueil attaché au dessus du car avec d'autre bagages, à peine une heure de route après, les cordes qui liait les bagages ont l
ages. L'ambiance était comparable à celle d'un film d'horreur d'autant plus qu'on avait un corps sur le toit de notre car. Les occupants du véhicule ne voyaient pas d'un bon œil le fai
avant qu'une voiture n'arrive et roule sur ça. Je
i je pouvais les entendre. J'avais récupéré la valise que j'étais venue chercher mais lorsque je me suis retournée pour rentrer vers le véhicule, elle était là devant moi. Avec la torche de mon téléphone, je l'avais éclairé ;
rête d'apparaître devant moi
'avait elle demandé alors que je voyais une
st d'être née dans une famille pauvre, d'avoir attendu tant d
e ta part. J'espère que tu ne regretteras jamais ton acte car le diable qui te sourit
ême s'il faille que j'épouse le diable pour l'argent je le fer
ment ! Renvoies là dans le droit chemin. Horchelle je t
tu m'aimes ! Me
M'avait dit une voix sortie de
ère ! Encore lui ! Il commençait
qui je parles. Aide moi plutôt à porte
et j'avais mélangé avec le coq mort qui était déjà en décomposition. Une fois fait, l'énorme serpent qui dormait sous mon lit avec sauté sur le mélange et l'avait avalé d'un coup avant de commencer à se rouler sur lui même, à bouger comme jamais il ne l'avait fait. Je m'étais écartée et à une distance conséquen
ue j'avais d'abord débarrassé de mes vieux vêtements. Je voyais ma pauvreté disparaître d'un coup et s'était avec les étoiles dans les yeux que j'avais rangé l
ma famille. Personne ne savait que j'avais dans ma valise à la place de mes vêtements que j'avais déjà jeté à la poubelle discrètement de l'argent
-tu que je passe une seule journée de plus dans cabane ? Non je ne peux pas si je veux un jour progresser. Ma place n
, un toxicomane. Il s'était fait plus petit et plus misérable qu'il ne l'était déjà et il était hors de question que je vive dans un tel environnement s
e beau ou bizarre des fois voir même pas intéressant mais un seul avait réussi à faire chavirer mon cœur. Il s'appelait Gordon et était originaire de la région du littorale. Grand, beau et posé pour un Sawa, il savait très bien s'exprimer et l'habillement pour lui était comme l'écorce et l'arbre : ils ne faisaient qu'un tellement il savait s'habiller et tous les vêtements semblaient lui alle
mon cœur faisant disparaître en moi l'expression de la jeune fille froide et insensible dont j'étais. Sans réfléchir et sans hésiter un seul instant, j'étais tombée follement amoureuse de lui. Le temps passait, j'étais dans mon rêve oubliant mon pacte ; le pacte que j'avais fait et ses conditions.
outus ! M'étais je
fois depuis mon pacte j'avais réellement peur. Face à la mort, on se sent très vulnérable et fragile s'était mon cas. Il me rest
di, tout était devenu obscur, très obscur a tel point que j'avais de la peine à distinguer les formes. Puis soudain, Alors que
se rebellent. Je savais que tu viendrais encore ici et je ne peux que te souhaiter la bienv
veau voir facilement et distinguer chaque arbre, chaque feuille. Devant moi
.. murmurais'je ava
fille. Tu n'as pas été capable de nourrir
distraire par l'amour. Donnez moi une nouvelle chance et je v
ocents ! L'enfers a besoin de sang, beaucoup de sang pour
qui vous plairas mais épargnez ma vie.
s les deux prochains jours. Malheur à toi si tu échoues. Il sera très en colère et déversera toute la colère des enfers sur toi. Tu as exactement deux jour
était très lourd pour moi. Mon frère ! S'était mon jeune frère qu'il voulait ! Je l'aimais beaucoup pourtant je devais faire se que mon m