Derniers Jours
nent ailleurs qu'à l'éc
es plus difficiles selon les uns, les plus élé
ait plu
de notre civilisation : c'est le cri de la révolte des uns, le soupir de résignation des autres. Le hurlement du Rock et la dérision
i s'en
oi réf
i trava
out est
pas mieux de si
mme une mécanique bien réglée, ré
qui sera, les mêmes causes produisent les mêmes
seule. Mais j'ai peur d'être seule ! La vie m'a déjà donné beaucoup trop de coups les uns plus c
er. J'ai des jambes longues et velues, un regard captivant et des longs cheveux naturels qui me retombent un peu au dessus des fesses bien arrondies et ch
r mes études en ce début de troisième année
il est déconseillé aux min
ù la responsabilité commence à peser qu'on se rend finalement compte à quel point le temps passe très vite. J'ai eu une enfance meilleure pourtant je n'ai jamais connu mes parents. Le
x cultes dans la grande paroisse, nous allions à La Chapelle où nous offrions des sacrifices, récitions des prières, chantions des cantiques avec à la fois beaucoup de sérieux et une légèreté nous imaginants que par la multitude de nos paroles et de nos sacrifices, nous pourrions
'âge de quinze ans des suites d'une maladie de naissance alors que les médecins lui prédisaient une vie jusqu'à 26 ans au moins. Les sœurs s'étaient remises à Dieu et ce jour j'a
r mon destin comme une vaillante guerrière. Je ne pouvais pas rester là à subir ; il m'était primordial de me sortir de l'injustice de la vie. J'étais persuadée que le bonheur se trouvait en dehors de cet orphelinat qui autre fois était une maison pour moi mais ressemblait de plus en plus à