PDV LAURIANA
J'ouvre les yeux le corps tremblant allongé sur le dos les yeux en larmes, je les sens couler de mes yeux j'arrive plus à bouger, je sens, c'est doigt sur moi. Et un frisson de dégoût s'émerge de mon corps. « Il faut que je me calme » me dit je à moi-même.
Après une bonne dizaine de minute à rester bloqué dans mon lit, j'arrive enfin à bouger de se lit deux place, je sors mes jambes du lit et les pose au sol, il me faut une douche, j'en ai vraiment besoin, je me dirige vers la salle de bain, je n'avais pas besoin de me déshabiller, j'avais une manie de tout le temps dormir nue. L'eau froide sur mon corps me fessait un bien énormément de bien. Je sortis enfin de cette douche, j'entendis mon téléphone sonner, je me précipitai pour y répondre.
- Allô ?
- mademoiselle Lauriana ? Je suis devant votre immeuble avec le camion, dit-il
- quelle cami-, je me stop quand les souvenirs reviennent
Putain putain mon déménagement
- oh... Euh , dit je en bégayer , j'arrive.
Bordel, de merde, j'avais oublié mon déménagement pas le temps, je laisse tomber ma serviette qui cachait mon corps nu à terre me précipite vers mon armoire, je prends une culotte, j'enfile un short en jean bleu à la même vitesse que ma culotte et j'enfilais un débardeur noir.
- pas le temps pour le soutif toute façon, j'en mets jamais, dit je à voix haute
Je sortis à une vitesse affolante vers l'ascenseur j'appuie sur le bouton Rez de chausser , arriver en bas j'aperçois le camion Blanc tout juste en face de l'immeuble j'aperçois deux homme plus vieux que moi ça doit être un père et sont fils ou simplement des collègues, j'avance vers eux en souriant il me souri en retour et je vois les yeux du plus jeunes des hommes faire des vas et viens entre mes yeux et ma poitrine mais prête pas attention après tout c'est moi qui est décider de pas mettre de soutif... Que voulez-vous que je dise ? C'est de ma faute après tout, c'est toujours de ma faute toujours...
- bonjour, me dit l'homme le plus âgé.