Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon DĂ©connexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Savoir vivre

Savoir vivre

TATTY

5.0
avis
4.3K
Vues
27
Chapitres

(((((Qui reçois tu dans ta maison? Être hospitalier est une bonne chose...une trĂšs tres bonne chose...mais Ă  qui laisses-tu ouverte la porte de ta maison? A qui prĂ©sentes-tu ton mari, ta femme ou tes enfants ? une petite tige d'allumette peut provoquer un terrible incendie . Bonne lecture...))))) #Z_AHINA: TOUT_CE_QUI BRILLE... #PROLOGUE (((((Qui reçois tu dans ta maison? Être hospitalier est une bonne chose...une trĂšs tres bonne chose...mais Ă  qui laisses-tu ouverte la porte de ta maison? A qui prĂ©sentes-tu ton mari, ta femme ou tes enfants ? une petite tige d'allumette peut provoquer un terrible incendie . Bonne lecture...))))) Il Ă©tait presque midi, je m'apprĂȘtais pour aller chercher les enfants Ă  l'Ă©cole lorsque mon mari Ă©tait entrĂ© avec un monsieur que je n'avais j'avais vu. En les voyant, j'avais directement compris que c'Ă©tait lui , son ami dont il me parlait, il devait aller le chercher Ă  l'aĂ©roport et j'Ă©tais obligĂ©e de retarder un peu ma sortie et le monsieur en me voyant... - Mais whaou !! Ta Femme est belle Ă  ce point ? C'est vrai que tu me parles tout le temps d'elle mais je ne pouvais l'imaginer comme telle en tout cas... Franchement tu as eu de la chance mon pote !!! Et whaou encore.... - Yannick ArrĂȘte arrĂȘte !! belle mais pas simple hahahaha, un jour je finirai par fuire ma propre maison avec celle lĂ . - Alors chĂ©ri, je peux dĂ©jĂ  imaginer que c'est Yannick, ton ami dont tu m'as tant parlĂ© einh? ... Bonjour... - Alors comme ça il parle souvent de moi einh? Ahahahahah enfoirĂ© !! Oui madame !! C'est bien moi Yannick ... Le fameux... Et je t'assure que ton fou de mari me parle beaucoup de toi aussi. - Écoutez!! Ne faites pas comme si je ne suis pas lĂ  !!!...ChĂ©rie je te prĂ©sente Yannick mon ami de la Suisse... Yannick, voici Bella ma femme !!! - EnchantĂ© madame... Et laisse moi te dire que tu es trĂšs belle !! - Je suis EnchantĂ©e Yannick... Et bon sĂ©jour... Qu'est ce que je t'offre ? - Tout ce que tu as de fort madame, mais seulement pas de l'eau Hahaha !! J'ai fait un long voyage, alors tu comprends !! - et moi on ne me demande pas mon goĂ»t ? Je vois qu'on ne me calcul pas ici einh? - ChĂ©ri je suis dĂ©solĂ©e mais toi c'est un bon verre d'eau, tu es privĂ© d'alcool pour une bonne pĂ©riode. - Hahahaha alors lĂ  Kevin mon ami...je te plains... - Yannick c'est ça que je vis ici en ce moment !!! Je me suis saoulĂ© il ya deux jours et j'ai fait trop de dĂ©gĂąts et voilĂ  ma punition hahahaha !!! Quelques secondes aprĂšs j'avais servi Ă  boire. Je m'appelle Bella et Kevin c'est mon mari , nous etions mariĂ©s depuis 14ans, nous avions une fille de 12 ans et des jumeaux de 10 ans ( une fille et un garçon); notre couple fonctionnait trĂšs bien... une communication parfaite et intacte, on se comprenait trĂšs bien... , bon je peux vous jurer que mon mari Ă©tait trĂšs attentionnĂ©, toujours prĂ©sent, on dialoguait comme des vrais amis, toujours aux petits soins avec ses enfants; il faisait tout pour me mettre Ă  l'aise et Ă  l'abri. Ça faisait plus de 15ans qu'il Ă©tait sĂ©parĂ© de son meilleur ami Yannick, car, celui-ci Ă©tait parti poursuivre ses Ă©tudes en Europe. Alors il Ă©tait de retour au pays pour quelques mois , il me parlait beaucoup de lui , de leurs folies de jeunesse, et tout. C'Ă©tait pour les deux les retrouvailles du siĂšcle. - Allez les garçons la table est prĂȘte... Je vous laisse manger car je dois vite aller chercher les enfants Ă  l'Ă©cole... ChĂ©ri stp aprĂšs tu pourras dĂ©barrasser...bon appĂ©tit!! - T'inquiĂštes pas chĂ©rie... C'est vrai qu'on a dĂ©jĂ  10min de retard les enfants doivent dĂ©jĂ  s'impatienter en ce moment... Alors Yannick on passe Ă  table? - Madame vous ĂȘtes un ange... J'avais dĂ©jĂ  une faim de loup. Merci beaucoup. ( Disait Yannick en se frottant les mains) - Je t'en prie Yannick... DĂ©solĂ©e ; On aurait pu manger ensemble avec les enfants mais ton ami lĂ  n'aime pas attendre... A mon retour J'espĂšre te trouver einh? Tu dois quand mĂȘme voir tes enfants non? Ils ont beaucoup Ă©tendues parler de leur tonton Yannick. - Ok madame, je ferai un effort, moi aussi j'ai hĂąte de les voir. AprĂšs tout ce sont aussi mes enfants non? J'Ă©tais parti en laissant un bon baiser sur les lĂšvres de mon mari, et un petit ( je t'aime) avant de quitter la maison. --Dans la peau de Kevin--- On mangeait calmement avec mon ami Yannick jusqu'Ă  ce qu'il lançe un appel. - AllĂŽ allĂŽ!! Tu vas bien? DĂ©solĂ© je suis pris en otage par un ami d'enfance. Peux-tu me rejoindre ? On pourra continuer notre soirĂ©e ensemble... Ok prends l'adresse et rejoins moi stp. Yannick avait donnĂ© l'adresse de ma maison Ă  quelqu'un au tĂ©lĂ©phone, et je ne savais mĂȘme pas qui c'Ă©tait. - Gars la nourriture te plaĂźt ?... Dis donc ? apparemment Tu es venu pour un bon projet einh? Tu ne m'as pas encore parlĂ© de tout ça, mais ça me semble vraiment intĂ©ressant. Et qui tu appelles comme ça Ă  peine arrivĂ©!! Ne me dis pas que tu t'es dĂ©jĂ  tapĂ© une go einh? Car je te connais !! - hahahaha Kevin tu connais ton pote !!

Chapitre 1 1

Il Ă©tait presque midi, je m'apprĂȘtais pour aller chercher les enfants Ă  l'Ă©cole lorsque mon mari Ă©tait entrĂ© avec un monsieur que je n'avais j'avais vu. En les voyant, j'avais directement compris que c'Ă©tait lui , son ami dont il me parlait, il devait aller le chercher Ă  l'aĂ©roport et j'Ă©tais obligĂ©e de retarder un peu ma sortie et le monsieur en me voyant...

- Mais whaou !! Ta Femme est belle Ă  ce point ? C'est vrai que tu me parles tout le temps d'elle mais je ne pouvais l'imaginer comme telle en tout cas... Franchement tu as eu de la chance mon pote !!! Et whaou encore....

- Yannick ArrĂȘte arrĂȘte !! belle mais pas simple hahahaha, un jour je finirai par fuire ma propre maison avec celle lĂ .

- Alors chéri, je peux déjà imaginer que c'est Yannick, ton ami dont tu m'as tant parlé einh? ... Bonjour...

- Alors comme ça il parle souvent de moi einh? Ahahahahah enfoiré !! Oui madame !! C'est bien moi Yannick ... Le fameux... Et je t'assure que ton fou de mari me parle beaucoup de toi aussi.

- Écoutez!! Ne faites pas comme si je ne suis pas lĂ  !!!...ChĂ©rie je te prĂ©sente Yannick mon ami de la Suisse... Yannick, voici Bella ma femme !!!

- Enchanté madame... Et laisse moi te dire que tu es trÚs belle !!

- Je suis Enchantée Yannick... Et bon séjour...

Qu'est ce que je t'offre ?

- Tout ce que tu as de fort madame, mais seulement pas de l'eau Hahaha !! J'ai fait un long voyage, alors tu comprends !!

- et moi on ne me demande pas mon goût ? Je vois qu'on ne me calcul pas ici einh?

- Chéri je suis désolée mais toi c'est un bon verre d'eau, tu es privé d'alcool pour une bonne période.

- Hahahaha alors lĂ  Kevin mon ami...je te plains...

- Yannick c'est ça que je vis ici en ce moment !!! Je me suis saoulé il ya deux jours et j'ai fait trop de dégùts et voilà ma punition hahahaha !!!

Quelques secondes aprĂšs j'avais servi Ă  boire.

Je m'appelle Bella et Kevin c'est mon mari , nous etions mariés depuis 14ans, nous avions une fille de 12 ans et des jumeaux de 10 ans ( une fille et un garçon); notre couple fonctionnait trÚs bien... une communication parfaite et intacte, on se comprenait trÚs bien... , bon je peux vous jurer que mon mari était trÚs attentionné, toujours présent, on dialoguait comme des vrais amis, toujours aux petits soins avec ses enfants; il faisait tout pour me mettre à l'aise et à l'abri.

Ça faisait plus de 15ans qu'il Ă©tait sĂ©parĂ© de son meilleur ami Yannick, car, celui-ci Ă©tait parti poursuivre ses Ă©tudes en Europe. Alors il Ă©tait de retour au pays pour quelques mois , il me parlait beaucoup de lui , de leurs folies de jeunesse, et tout. C'Ă©tait pour les deux les retrouvailles du siĂšcle.

- Allez les garçons la table est prĂȘte... Je vous laisse manger car je dois vite aller chercher les enfants Ă  l'Ă©cole... ChĂ©ri stp aprĂšs tu pourras dĂ©barrasser...bon appĂ©tit!!

- T'inquiÚtes pas chérie... C'est vrai qu'on a déjà 10min de retard les enfants doivent déjà s'impatienter en ce moment... Alors Yannick on passe à table?

- Madame vous ĂȘtes un ange... J'avais dĂ©jĂ  une faim de loup. Merci beaucoup. ( Disait Yannick en se frottant les mains)

- Je t'en prie Yannick... DĂ©solĂ©e ; On aurait pu manger ensemble avec les enfants mais ton ami lĂ  n'aime pas attendre... A mon retour J'espĂšre te trouver einh? Tu dois quand mĂȘme voir tes enfants non? Ils ont beaucoup Ă©tendues parler de leur tonton Yannick.

- Ok madame, je ferai un effort, moi aussi j'ai hĂąte de les voir. AprĂšs tout ce sont aussi mes enfants non?

J'Ă©tais parti en laissant un bon baiser sur les lĂšvres de mon mari, et un petit ( je t'aime) avant de quitter la maison.

--Dans la peau de Kevin---

On mangeait calmement avec mon ami Yannick jusqu'à ce qu'il lançe un appel.

- AllÎ allÎ!! Tu vas bien? Désolé je suis pris en otage par un ami d'enfance. Peux-tu me rejoindre ? On pourra continuer notre soirée ensemble... Ok prends l'adresse et rejoins moi stp.

Yannick avait donnĂ© l'adresse de ma maison Ă  quelqu'un au tĂ©lĂ©phone, et je ne savais mĂȘme pas qui c'Ă©tait.

- Gars la nourriture te plaßt ?... Dis donc ? apparemment Tu es venu pour un bon projet einh? Tu ne m'as pas encore parlé de tout ça, mais ça me semble vraiment intéressant. Et qui tu appelles comme ça à peine arrivé!! Ne me dis pas que tu t'es déjà tapé une go einh? Car je te connais !!

- hahahaha Kevin tu connais ton pote !! J'ai fait la connaissance d'une bombe dans l'avion. Cette fille est canon, attends tu vas la voir et je compte mĂȘme dĂ©jĂ  me la faire cette nuit. Elle aussi est ici pour un grand projet. Mais d'abord je dois me trouver un hĂŽtel et bien m'installer. On pourra parler trĂšs calmement.. d'ailleurs Ă  ce propos j'aurai besoin de toi car tu connais bien la ville, je suis parti depuis plusieurs annĂ©es, je n'ai plus de repĂšres.

- Ok sans problĂšme, mais je te propose de rester chez moi si tu veux... Tu es mon ami, et on a deux chambres vides ici... La maison est si grande...tu en penses quoi?

- Kevin ... Et ta femme ?...Penses tu qu'elle pourra accepter?.. non non, je ne veux pas dĂ©ranger. Je prĂ©fĂšre rester Ă  l'hĂŽtel. Tu me connais, j'aime l'ambiance et avec ta femme, je ne pense pas que ce soit possible. En plus je dois passer du bon temps avec ma chĂ©rie pour me rĂ©chauffer les nuits, et donc tu vois que ça ne marchera pas en restant chez toi...Merci quand mĂȘme pour ta proposition.

- Yannick !! Tu dis quoi lĂ  ? Qui est l'homme de la maison ? Bella peut ĂȘtre autoritaire mais elle reste ma femme!! Et c'est moi qui prends des dĂ©cisions dans cette maison pas elle... laisses moi faire... Je ne peux pas te laisser aller dans un hĂŽtel gaspiller ton argent.

On avait fini de manger. Quelques minutes aprÚs l'invitée de mon ami Yannick était déjà là. Son téléphone avait sonné et il avait couru dehors pour la chercher. Et une fois revenus, il me l'avait présenté et on etait trÚs bien installé en attendant le retour de ma femme car Yannick tenait vraiment à voir mes enfants. On bavardait, on riait jusqu'à ce que le portail fut ouvert, ma femme était de retour et comme toujours c'étaient d'abord mes enfants qui se précipitaient...

-Papaaaaa!!! papaaaa!!!... paaaa tu es Ă  la maison Ă  cette heure ? Tu nous as gardĂ© Quoi ? ( ils Ă©taient dĂ©jĂ  dans les bras de leur papa sans mĂȘme faire attention aux gens qui Ă©taient au salon)

- Doucement doucement les enfants ... Dites d'abord bonjour Ă  tonton Yannick et sa femme...

ah!! chérie... Viens m'aider avec ceux-ci stp .... Allez chez votre maman.

---Dans la peau de Bella---

En entrant, j'avais remarqué la présence d'une femme dans mon salon, tout ce que je devais faire c'était normalement la saluer.

- Bonjour madame... Yannick, tout va bien? As tu bien mangé ? ( Je le demandais à Yannick mais en fixant mon mari des yeux avant de m'asseoir )

- Oui oui madame, le plat était délicieux j'ai aimé... Et les enfants sont magnifiques... Des vrais vrais bijoux.

- Merci Yannick...Alors chéri, on ne me présente pas? ( En me retournant vers mon mari).

Mais Yannick prit les devants.

- Désolé madame... je vous présente Z'AHINA ma fiancée... Z'AHINA, voici la merveilleuse femme de Kevin.

Continuer

Autres livres par TATTY

Voir plus
LE PACTE

LE PACTE

Histoire

5.0

Quelque part en Afrique
 - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus ! Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu’elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n’avait Ă  peine qu’un mois, son mari Eric Gafarou s’apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s’exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n’ai jamais entendu ça ! - LĂ  ! lĂ  ! il est entrĂ© par lĂ  ! il est passĂ© entre mes jambes chĂ©ri je l’ai vu, c’était bel et bien un gros serpent je te jure chĂ©ri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais dĂ©jĂ  peur au bĂ©bĂ© ; il n’y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner
 je dois y aller d’accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j’ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n’es pas seule ; Diane est lĂ  dans la cuisine nooon ? - Et qu’est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dĂ©pose moi chez Zata TourĂ©, tu passeras me prendre aprĂšs ton travail
 - Avec le bĂ©bĂ© ? mais tu t’entends parler ? un bĂ©bĂ© d’un mois ? - Reste Ă  la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais trĂšs bien que je ne peux pas rester chĂ©rie, j’ai fait huit mois Ă  l’est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-lĂ , Eric avait dĂ©posĂ© sa femme et son bĂ©bĂ© d’un mois Ă  peine chez Zata avant d’aller au travail. Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s’était dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s’apprĂȘtait Ă  exposer ses Ă©pices devant la parcelle
 
 Zata en voyant sa copine Ă  cette heure-lĂ  s’était exclamĂ©e
 - Ekie Francile ! Ă  six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n’a pas donnĂ© ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ  ? - Non ; il a travaillĂ© la nuit et il n’est pas encore rentrĂ©; c’est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d’abord si ça n’a pas marchĂ© parce que lĂ  tu me fais peur ! - Allons Ă  l’intĂ©rieur Zata ; ta bailleresse me fait genre
 regarde, elle n’a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu’ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vĂ©ritĂ©s ! JosĂ©phine les avait entendu et sans rien dire elle avait continuĂ© ses taches 
 dans la maison de Zata ; Francile avait racontĂ© Ă  sa copine ce qu’elle avait vu chez elle, cĂ d, un serpent qui avait traversĂ© ses jambes
 Zata Ă©tonnĂ©e, s’était exclamĂ©e ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c’était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n’est pas bon signe oooh - Tu parles d’un serpent comme signe ? tu penses que
 mais tu sais que ce jour lĂ  aussi j’avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre
 - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c’est juste un
 attends ; j’entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ  a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s’ Ă©tait retrouvĂ©e nez Ă  nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman JosĂ©phine 
 c’est quoi ! tu nous espionnes ? tu m’as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui tĂ©moigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n’avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m’a laissĂ© sa part de l’électricitĂ© ? parce que c’est pour ça que je suis lĂ  - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore criĂ© dans ma maison en lĂąchant le bĂ©bĂ© sur le canapĂ© : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle Ă©tait sortie de la maison


Trauma -T

Trauma -T

Histoire

5.0

(( l’épaule ne fuit pas le bras parce qu’il est malade, dit-on ; si les Ă©toiles semblent petites, ce n’est pas la faute des Ă©toiles mais plutĂŽt nos yeux qui ne voient que le bout du nez ; la vie est parsemĂ©e de difficultĂ©s nous devons apprendre Ă  surmonter, car si les oreilles cherchent Ă  dĂ©passer la tĂȘte lĂ , c’est un problĂšme , quelqu’un m’a dit un jour que, la bouche d’un vieillard peut sentir mauvais mais ; elle est pleine de sagesse ; on ne choisit pas nos parents ; on ne choisit pas nos enfants c’est Dieu qui nous les donne ; nous devons aimer ceux que Dieu nous a donnĂ© . NB : dans la vie nous avons toujours le choix. Je vous prĂ©sente Sephora Mwaya Wadile, Fille de monsieur Manu Bantsimba et Aicha Katchale dans TRAUMA)) -------- ------- ------ --------- Quelque part en Ă  l’Equateur, une province de la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo ; vivait tranquillement une famille bien que modeste mais heureuse. Monsieur Manu Bantsimba et Aicha Katchale ; avaient deux filles Sephora et Syntiche. Le couple prĂ©parait le mariage de leur fille Sephora ; une semaine avant le mariage coutumier, une Ă©quipe d’une ONG venue de la capitale marchait dans tout le village pour une sensibilisation sur le MST ; d’ailleurs, une projection d’un film Ă©tait prĂ©vue le mĂȘme jour
 Sephora avec son amie Nina Kodja Ă©taient sur le chemin du marchĂ© et les avaient Ă©couté  - Hum Nina, c’est encore quoi le MST ? le Sida ? - Je sais que quoi Sephora, ils disent qu’il y aura un film ce soir, on va y aller mais Rosaire ne te le permettra pas ; ton type lĂ  est trop jaloux - Jaloux de quoi mĂȘme ? suis-je dĂ©jĂ  sa femme ? stiuuups - Dis-moi Sepho, vous l’avez dĂ©jĂ  fait ? - Fait quoi ! - Tsoutsou tsatsa nooon ? - quoi, l’amour tu veux dire? - Parle moins fort Sephora, les gens vont nous entendre - Avec Rosaire ? pas encore ; tu sais que je ne l’aime pas vraiment einh ? c’est juste parce que ma mĂšre me fait pression, moi mon rĂȘve est d’aller Ă  la capitale me trouver un bon mec friquĂ©, qui sent bon, qui a un gros tĂ©lĂ©phone, qui embrasse comme des blancs ;pas un malheureux villageois comme lui avec des gros pantalons. - Hein ? malheureux villageois ? depuis quand Sephora ? - Nina ! je ne veux pas rester dans ce village ! as-tu dĂ©jĂ  vu les filles de la capitale ? avec les hauts talons, des bon tĂ©lĂ©phone ? des mĂšches
 en tout cas, je ne donnerai pas ma nuditĂ© Ă  ce type jamais ! il ne le mĂ©rite pas, je vais le garder pour mon prince Ă  Kinshasa la Capitaaaaale, perdre ma virginitĂ© avec un Villageois , jamais !

À L'EXTRÊME

À L'EXTRÊME

Romance

5.0

Parfois la solution aux problĂšmes qui nous pourrissent la vie est juste Ă  cotĂ©; parfois nous sommes nous-mĂȘme la solution mais, comment le savoir si nous n’avons pas de discernement? Apprenons Ă  simplifier la vie ; arrĂȘtons de mĂ©priser les autres; toujours faire attention Ă  ce qui sort de notre bouche car le mal que nous faisons aujourd’hui peut nous porter prĂ©judice demain. Lisons attentivement cette histoire peut ĂȘtre qu’elle pourra sauver une vie 
 pourquoi pas la tienne ? -------------------------------------------- Ce jour-lĂ  ; alors que son mari Ă©tait devant la tĂ©lĂ©, Carine s’était isolĂ©e dans la chambre, avec son test de grossesse Ă  la main
 - « « mais qu’est-ce que je vais pouvoir faire ?je l’avais achetĂ© pour un but mais me voilĂ  entrain d’hĂ©siter, pourvu que ça soit positif, je ne veux surtout pas que Martin me chasse de cette maison, je dirai quoi Ă  ma famille qui n’attend que ma chute? » Elle avait placĂ© le test grossesse comme vous le savez et en retirant elle avait criĂ© : - Cheriiiii !! cheriiiiii vient voir ! vient vient ! Celui-lĂ  s’était prĂ©cipitĂ© dans le couloir et avait poussĂ© la porte de la chambre, curieux de savoir ce qui se passait - Quoi ! quoi ! tu veux me tuer ? - Regarde , Martin regarde c’est positif
 - Ah ouiii ? montre-moi
 explique-moi comment ça se fait ? quand c’est comme ça cela veut dire positif ? - Cela veut dire que je suis enceinte mon amour ; enfin ta mĂšre ta mĂšre va me laisser tranquille - On va aller vĂ©rifier ça. Et c’est depuis combien de temps dĂ©jĂ  - Depuis deux semaines Martin - Deux semaines ? et tu attendais quoi pour me le dire ? - Il fallait que j’en sois sure mon cƓur
 Ils se rĂ©jouissaient dans la chambre et AurĂ©lie s’était arrĂȘtĂ©e au fond du couloir avec sa tasse de thĂ© et les Ă©coutait en disant - « « ils ont quoi encore ces deux-lĂ  ? encore une courte joie stiiiuups» » Quelques minutes aprĂšs, notre couple Ă©tait sortis de leur chambre tout Joyeux et partaient
 - Mais maman vous allez oĂč comme ça ? (avait demandĂ© AurĂšlie) - AurĂšlie fait ce que tu as Ă  faire ton pĂšre et moi avons quelque chose Ă  faire - Hum ! Azui Emmanuel Martin ; il Ă©tait hĂ©ritier d’un noble ; donc il Ă©tait riche ; lui et sa femme Carine Kanangila pour qui il avait d’ailleurs dĂ©pensĂ© une fortune pour la dot, n’avaient pas d’enfant, ils Ă©taient dĂ©jĂ  allĂ©s partout consulter des mĂ©decins mais rien
 Carine avait dĂ©jĂ  eu une fille qu’elle avait eu lorsqu’elle frĂ©quentait encore et qui s’appelait « AurĂ©lie » ; une fille que Emmanuel Marti avait d’ailleurs adoptĂ©e et qui vivait avec eux ; Emmanuel aussi avait une fille nommĂ©e « Tiha Wine ». Tiha, vivait avec sa mĂšre en France, mais revenait quand mĂȘme au pays voir son pĂšre quand elle pouvait
 Cet aprĂšs-midi-lĂ , Carine et son mari Ă©taient montĂ©s tout excitĂ©s dans la voiture et Ă©taient partis ; Aurelie les regardait partir et elle Ă©tait allĂ©e voir Cousso AngĂšle la femme de mĂ©nage qui Ă©tait dans cette famille depuis deux ans ; depuis ces deux longues annĂ©es, elle avait vĂ©cu les hauts et les bas de ce couple puisqu’elle vivait dans cette maison et ne rentrait chez elle que le samedi soir.

LIEN

LIEN

Histoire

5.0

<<SINGA, Corde, Ficelle, ou mĂȘme chaĂźne, je ne sais pas comment vous appelez ça chez vous mais dans le contexte de notre histoire SINGA(lingala) veut dire LIEN>> Ce matin-lĂ  Minata Zongo s’était rĂ©veillĂ©e avec des Ă©pines dans la tĂȘte, puisque une heure avant on les entendait se disputer dans la chambre avec son mari ; elle disait - « « Chrismanu pas mes filles tu es prĂ©venu ! » » ; « jamais ! quel pouvoir ! ces enfants tu les as fait seul ? je vais juste te rafraichir la mĂ©moire, ces enfants je les ai portĂ©s neuf mois dans le ventre » » ; « si BĂ©rĂ©nice Ă©tait sortie prĂ©maturĂ©ment c’était Ă  cause de toi ; tu as dĂ©jĂ  oubliĂ© ? » » ; « « jamais ! jamais ! j’étais ignorante pour Eura mais les autres filles tu devras passer par ma tĂȘte ! » » Lyjie sa deuxiĂšme fille Ă©tait dĂ©jĂ  debout et les Ă©coutait ; elle n’entendait que ce que sa mĂšre disait parce que son pĂšre parlait bas : elle avait sursautĂ© lorsque la porte s’était ouverte et que Chrismanu leur papa, Ă©tait sorti en colĂšre en disant ... - On verra bien qui est l’homme et maitre de cette maison ! toi Minata tu veux t’opposer Ă  moi ? on verra bien !! femme inconsciente ! C’est tout ce qu’elle avait entendu de son pĂšre , celui-ci l’avait vu et lui avait dit : - et toi ! tu Ă©coutes Ă  la porte maintenant ? c’est ce que ta mĂšre t’a appris hein ? toi aussi ton tour viendra ! - Non hein papa
 je viens de me rĂ©veiller ; et je voulais
 Minata suivait son mari et avait trouvĂ© sa fille debout juste Ă  cĂŽtĂ© de leur chambre avec le balai Ă  la main ; et ne l’avait pas ratĂ© : - Toi que fais-tu ici ? il est 4 heures du matin et toi tu fais quoi avec ce ballai. - Maman je vous ai entendu avec papa alors je suis sortie ! - Tu nous as entendu ? qu’as-tu entendu ? Et tu es sortie pourquoi faire? - Maman je sais que ce qui arrive Ă  Eura c’est lui
 - Ferme ta bouche ! je te dis de fermer ta bouche toi la fille-ci ! tu es devenue qui ; l’inspectrice ? - Maman je me fais juste du souci pour toi - Lyjie je ne veux pas t’entendre ! - Hum ! Minata avait suivi son mari malheureusement ce dernier avait dĂ©jĂ  pris son vĂ©lo et Ă©tait parti. « « Minata mĂšre de quatre belle filles Eura , Lyjie July, Clara Lara et BĂ©rĂ©nice la plus jeune ; mariĂ©e Ă  papa Chrismanu avec qui d’ailleurs il y avait sĂ©paration de corps depuis bien longtemps ; Lyjie sa deuxiĂšme fille le savait mais les autres non ... Chrismanu le maitre de la maison et fonctionnaire de l’état, Ă©tait aussi l’un des chefs dans club des papas du village ; tous les jours de minuit Ă  4h30 ils se rĂ©unissaient ; sous un grand Baobab au centre de ce petit village » » Ce jour-lĂ , il Ă©tait 4h30 du matin, Minata en colĂšre avait rĂ©veillĂ© ses enfants mais Eura continuait de dormir, alors Minata avait dĂ©versĂ© sa colĂšre sur elle ; elle avait poussĂ© la porte de sa chambre 


Une vie

Une vie

Romance

5.0

L’Afrique mon continent
 On dit toujours de toi que tu es le berceau de l’humanitĂ©, oui
 j’aime l’Afrique, mon Afrique
 pleine de mystĂšre, de pouvoir , de sagesse et des vertus ; nos forĂȘts ont des oreilles et des yeux, nos riviĂšres ont des oreilles et des yeux, nos fleures ont des oreilles et des yeux, nos vallĂ©es ont des oreilles et des yeux, nos montagnes ont des oreilles et des yeux , mĂȘme nos morts ne meurent pas vraiment mon Afrique qui es-tu ? ------------------------ --------- Un bon matin --------- - Hawa ! c’est quoi cet empressement ma coooo ; tu vas oĂč comme ça? hier j’avais entendu du bruit chez toi c’était quoi ? - Je vais au salon de coiffure ma chĂ©rie ; mon pĂšre est arrivĂ© hier oooh ; aprĂšs cinq ans d’absence Huguette tu t’imagines ? on le croyait mĂȘme dĂ©jĂ  mort tellement qu’on n’avait aucune nouvelle de lui ; - Au saloooon ? salon de coiffure ? toi ? depuis quand ? - Depuis que mon pĂšre est arrivĂ© oooh : j’ai changĂ© je ne suis plus n’importe qui Huguette - Ewoooee Hawa ! Donc tu n’iras plus faire des tresses derriĂšre la maison ? il Ă©tait mĂȘme oĂč ton pĂšre. Je suis sure qu’il a fait des enfants lĂ -bas hahaha - On s’en fiche d’oĂč il Ă©tait ni mĂȘme ce qu’il a fait lĂ -bas, tout ce que je sais ce qu’il revenu avec l’argent ma coooo ; ce matin il m’a donnĂ© une jolie somme pour ma coiffure, je peux mĂȘme payer pour toi si tu veux - On ne refuse jamais une offre hein; pour une fois je vais me faire tripoter la tĂȘte avec du shampoing ; haha allons ; et la fĂȘte commence Ă  quelle heure ? - Peu importe l’heure toi et moi , notre fĂȘte vient de commencer
 - Hawa ce n’est pas ta petite sƓur Ornella que je vois lĂ -bas ? elle va oĂč ? - Huguette vient ; laisse cette sƓur en crise lĂ -bas ; comme tu la vois lĂ , elle va Ă  l’église pour remercier Dieu pour le retour de papa heha ! ; c’est papa qui revient du voyage mais c’est elle qui va remercier Dieu pour son retour onong - Mais c’est bien nooon ? ta sƓur est carrĂ©ment ton opposĂ©e hein ; chez vous lĂ  ; elle est la seule Ă  prier toi tu es seulement dans ce que tu sais lĂ  - Eeeh Huguette je t’arrete tout de suite ! dans quoi suis- je ? donc quand je prie je dois t’envoyer un texto ? je prie sept fois par jour je te signale ; - Hawa la femme qui est derriĂšre nous lĂ , elle nous suit ou quoi
 - Comment ça elle nous suit ? elle est belle hein ? - Tsiuuups je te jure que cette femme est aprĂšs nous depuis qu’on a quittĂ© chez toi - On saura ça, toi avec tes idĂ©es Huguette, haha haha ne gĂąte pas mon humeur stp, elle est comme une sirĂšne - Puisque tu connais les sirĂšnes toi Hawa ? hahahaha Nos deux amies Ă©taient arrivĂ©es au salon et avaient pris place, on avait Ă  peine touchĂ© la tĂȘte de Hawa que cette jeune femme aussi avait fait son entrĂ©e, avait saluĂ© tout le monde comme si c’était une habituĂ©e et elle avait pris place juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle et les deux Ă©taient face la coiffeuse
 - Pourquoi me regardes-tu comme jeune fille ? (lui avait interrogĂ© la jeune femme) - Non rien ; je ne vous regardais pas vraiment ; je regardais plutĂŽt ma copine qui est derriĂšre moi
 - Alors c’est pour quelle occasion cette transformation ? - Pardon ? - Cette petite touche c’est pour quelle occasion ? tu as une sortie spĂ©ciale ? - Oouiii on cĂ©lĂšbre le retour de mon pĂšre ! - Il Ă©tait mort ? - Ekieeee ! que Dieu nous en garde ! il Ă©tait loin de nous depuis cinq ans et il est revenu donc
 - Cool alors
 et vous ĂȘtes surs qu’il est revenu bien seul ? - Pardon ? - Ouiiii puisque un homme ne peut pas quitter sa famille pour un voyage de cinq ans et revenir seul hein
 - Je ne comprends pas
 - C’est normal que tu ne comprennes pas jeune fille ; La coiffeuse avait fini avec Hawa ; et lorsque celle-ci quittait sa chaise pour partir elle avait entendu la jeune femme lui dire :

Un jour, Une vie

Un jour, Une vie

Romance

5.0

Un beau jour mais trĂšs ensoleillĂ© ; Mira une jeune fille de 14ans s’était enfermĂ©e dans sa chambre malgrĂ© la chaleur, des larmes aux yeux, murmurait
 - Que vais-je devenir ? comment est-ce que je vais le dire Ă  ma mĂšre ? mon pĂšre va me tuer ! mais comment j’ai pu tomber enceinte ? j’avais juste fait une fois
 ça se fait aussi ? une seule fois et le bĂ©bĂ© entre ?non ce n’est pas possible ! je suis sure que c’est une erreur 
 il n’avait mĂȘme pas bien introduit sa chose alors pourquoi mes rĂšgles ne viennent pas depuis deux mois ? Weeeeeyeee je vais l’appeler ! mon Dieu fait que ça ne soit pas cela, je suis encore une enfant, et je voulais juste gouter 
je te demande pardon oooh Dieu !je ne vais plus recommencer Elle avait composĂ© le numĂ©ro du responsable Boris qu’elle abrĂ©geait ( bobo), qui Ă©tait aussi un jeune garçon de 16 ans ; celui-lĂ  n’avait pas tardĂ© Ă  rĂ©pondre
 - Ouiiii bĂ©bĂ©eeee
 tu m’appelles en pleine journĂ©e comme ça ta mĂšre n’est pas lĂ  ? - BĂ©bĂ© ? qui bĂ©bĂ© ! en tout cas, ce qui est sĂ»r ce que, tu vas devoir attendre un peu pour appeler ce vrai bĂ©bĂ© qui grandi dans mon ventre ! - Quoi ??? de quoi tu parles ? tu veux dire quoi exactement par le vrai bĂ©bĂ© dans ton ventre ? - Ecoute Bobo ; depuis deux mois dĂ©jĂ  je n’ai pas vu mes rĂšgles donc je crois que je suis enceinte
 - Et ça veut dire quoi je ne comprends pas


Inspirés de vos vus

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre