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LE PACTE
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Quelque part en Afrique... - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de Jésus ! au nom de Jésus ! Francile Samba avait crié le nom de Jésus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bébé qui n'avait à peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprêtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et était sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est où le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça ! - Là ! là ! il est entré par là ! il est passé entre mes jambes chéri je l'ai vu, c'était bel et bien un gros serpent je te jure chéri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais déjà peur au bébé ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n'es pas seule ; Diane est là dans la cuisine nooon ? - Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dépose moi chez Zata Touré, tu passeras me prendre après ton travail... - Avec le bébé ? mais tu t'entends parler ? un bébé d'un mois ? - Reste à la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais très bien que je ne peux pas rester chérie, j'ai fait huit mois à l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-là, Eric avait déposé sa femme et son bébé d'un mois à peine chez Zata avant d'aller au travail. Francile avait cogné au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'était dépêché pour ouvrir ; au même moment, Joséphine Sama la bailleresse de Zata s'apprêtait à exposer ses épices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine à cette heure-là s'était exclamée... - Ekie Francile ! à six heures du matin ? avec un bébé ? il a même combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donné ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est là ? - Non ; il a travaillé la nuit et il n'est pas encore rentré; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marché parce que là tu me fais peur ! - Allons à l'intérieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vérités ! Joséphine les avait entendu et sans rien dire elle avait continué ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait raconté à sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, càd, un serpent qui avait traversé ses jambes... Zata étonnée, s'était exclamée ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh - Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour là aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre... - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut être que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-là a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' était retrouvée nez à nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman Joséphine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui témoigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissé sa part de l'électricité ? parce que c'est pour ça que je suis là - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-même là-bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore crié dans ma maison en lâchant le bébé sur le canapé : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle était sortie de la maison...

Chapitre 1 1

Quelque part en Afrique...

- Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de Jésus ! au nom de Jésus !

Francile Samba avait crié le nom de Jésus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bébé qui n'avait à peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprêtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et était sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi :

- Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est où le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça !

- Là ! là ! il est entré par là ! il est passé entre mes jambes chéri je l'ai vu, c'était bel et bien un gros serpent je te jure chéri ! heeeee haaaa !

- Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais déjà peur au bébé ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ?

- Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non,

- Mais tu n'es pas seule ; Diane est là dans la cuisine nooon ?

- Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dépose moi chez Zata Touré, tu passeras me prendre après ton travail...

- Avec le bébé ? mais tu t'entends parler ? un bébé d'un mois ?

- Reste à la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas !

- Tu sais très bien que je ne peux pas rester chérie, j'ai fait huit mois à l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ;

Ce matin-là, Eric avait déposé sa femme et son bébé d'un mois à peine chez Zata avant d'aller au travail.

Francile avait cogné au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'était dépêché pour ouvrir ; au même moment, Joséphine Sama la bailleresse de Zata s'apprêtait à exposer ses épices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine à cette heure-là s'était exclamée...

- Ekie Francile ! à six heures du matin ? avec un bébé ? il a même combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donné ?

- Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est là ?

- Non ; il a travaillé la nuit et il n'est pas encore rentré; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marché parce que là tu me fais peur !

- Allons à l'intérieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi !

- Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vérités !

Joséphine les avait entendu et sans rien dire elle avait continué ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait raconté à sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, càd, un serpent qui avait traversé ses jambes... Zata étonnée, s'était exclamée ;

- Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh

- Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour là aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre...

- Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut être que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-là a des oreilles longues comme un esprit

Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' était retrouvée nez à nez avec sa bailleresse et avait tressailli

- He ! maman Joséphine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici !

- Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui témoigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissé sa part de l'électricité ? parce que c'est pour ça que je suis là

- Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-même là-bas hum !

Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore crié dans ma maison en lâchant le bébé sur le canapé :

- Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa !

Elle était sortie de la maison...

Francile avait laissé le bébé sur le canapé et était sortie ; Zata et Joséphine la voyant sortir en courant, avaient couru avec elle jusque dans la rue ... Joséphine qui les avait suivi était très essoufflée et disait :

- Heeeeeh ! heeeeeh ! vous les femmes-ci ! jusqu'où êtes-vous allé ? qu'avez-vous fait ? vous voulez que je meurs ou quoi ! pensez-vous que j'ai encore l'âge pour ces genres d'émotions ? Heeeh mon cœur ! mon cœur oooh heeehaaa ! depuiiiiiis je vous regarde ; vous deux-là ! depuis je vous regarde oooh ! serpent dans ma parcelle ? toi Zata j'attends ton mari ! vous allez m'expliquer ! si vous etes dans les affaires de sorcellerie vous irez le faire ailleurs pas ici ! je suis une femme veuve et je n'ai pas d'enfant, cette parcelle c'est tout ce que mon mari m'a laissé han !

- Attendre qui ? mon mari ? il faut essayer ! il faut essayer Joséphine ! c'est ton problème ? Ce qui se passe dans ma maison te regarde ? je t'ai toujours dit que je payais ton loyer alors contente-toi de ça !

- Ah bon hein ? ok ! on verra toi et moi dans cette parcelle ! comme c'est toi qui es propriétaire et moi locataire, on verra toi et moi ; je vais vous chasser d'ici vous aller voir ! des femmes compliquées comme ça ! comment arrivez-vous à trouver de bons maris même ?

- Maman Joséphine je suis désolée, c'est moi le problème, j'avais cru que...

- Hoooo toi madame je ne veux pas t'entendre ; tu fais quoi ici ; tu fais quoi chez ton amie bon matin-là avec un bébé d'un mois ?

Francile ne savait plus quoi dire et regardait son amie dans les yeux ; Joséphine la bailleresse continuait de parler, Francile s'était enfin souvenue de son enfant qu'elle avait laissé sur le canapé et s'était écriée

- Mon bébé ! mon bébé ! j'ai laissé mon bébé dans la maison ! heeeeeh !

- C'était quoi ça toi aussi Francile ! c'était quoi ma copine ! un serpent ? dans ma maison ? depuis quand ! retournons et on va voir ça !

- Retourner où ? je ne peux pas rentrer dans cette maison,

- Donc tu ne vas pas récupérer ton bébé ? ou alors c'était une blague cette histoire de serpent ?

- Zata je te jure que j'ai vu un serpent ! je l'ai vu Zata !

- Hum !

La bailleresse les regardait comme bété devant sa marchandise jusqu'à ce que le mari de Zata était rentré du travail ; celui-ci étonné de voir les deux femmes dans la rue, surtout qu'il savait que Francile venait d'accoucher il leur avait demandé :

- mais que faites-vous arrêtées comme ça dans la rue ? Francile, tu as laissé le bébé avec qui ? nous ne sommes pas encore venus te voir et te voilà déjà dehors ?

- hihi hihi le bébé est dans ta maison... mon mari vient de me déposer à peine...

- ah d'accord ! il est déjà de retour ? j'espère que tout va bien hein !

- oooh oui ! tout va bien, je ne voulais juste pas rester seule à la maison voilà pourquoi je suis venue rester ma copine...

- Ok... allons à l'intérieur alors...

Ils entraient et Joséphine avait interpelé Paulo Kodjo le mari de Zata...

- monsieur Kodjo, je...

Elle n'avait même pas fini sa phrase que Zata lui avait coupé la parole

- quoi ! quoi Josephine ! mon mari vient d'arriver ; il n'est même pas entré dans la maison et déjà tu veux lui dire quoi ! tu dois passer par moi pour toute chose !

- ekieeeee ! hahah hahah je ris fort ; tu as peur ? mais tu as peur de quoi ; moi je veux juste mon argent, vos problèmes ne me regardent pas !

- ok, je vais te le donner ton argent ; mais je ne veux pas que tu t'approches de mon mari !

- hum !

ils étaient entrés et le bébé pleurait ; Paulo le mari de Zata était entré en premier mais les deux femmes hésitaient, elles étaient restées devant la porte ; il s'était retourné et leur avait demandé :

- mais qu'est-ce qui se passe ici ? Francile, tu n'entends pas le bébé ? Zata ; il y a quel problème ? Francile, tu es sure que tout va bien avec ton mari ?

- ah non non Paulo il n'y a rien ; « vient dans les bras de mamaaaan, ma petite fille cherieee, maman est làaaaa ; putu putu ; choupinette ; maman t'a laissé seule hein ? mon amouuuur, mon bébéééé ; minu minuuuu » »

Francile avait fait quelques blagues à sa fille avant de la prendre dans ses bras en regardant partout partout, Zata regardait sa copine sans rien dire.

Les deux femmes devaient parler mais ce n'était plus possible parce que le mari de Zata était déjà là...

Le soir , Eric était venu chercher sa femme , ils s'étaient embrassés avec son amis Paulo ; et pendant qu'ils papotaient un peu parce que ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu ; Francile et sa copine planifiaient je ne sais quoi ; Zata disait :

- écoute, tu ne dois plus venir ici Francile, ton bébé n'a que un mois , tu as vu la réaction de ma bailleresse nooon ? pardon, il faut rester chez toi

- mais Zata on doit en parler parce que ce n'est pas normal...

- oooooh je viendrai chez toi demain et on en parlera, ici nous ne sommes pas en sécurité...

elles étaient interrompues par Eric qui disait : « « alors les femmes, vous n'avez pas encore fini ? Francile il faut qu'on parte » »

Francile avait pris son bébé et avec son mari ils étaient partis ; mais juste après leur départ, Paulo Kodjo avait demandé à sa femme :

- mais c'était quoi ; je n'ai pas eu le courage de poser la question à Eric ; mais vous entre vous, avez-vous parlé de quelque chose ?

- ah chéri laisse ! attends un peu je vais bien voir ma maison ...

Zata avait guetté par-ci par-là et avait poursuivit

- hum chéri ! cette femme est venue ici et ... déjà en arrivant elle m'avait dit qu'elle ne voulait pas rester chez elle parce qu'elle avait vu un serpent, donc elle était venu ici parce qu'elle avait peur de rester seule chez elle ; et demande-moi quoi...

- je t'écoute...

- heha ! elle est venue ici à six heures du matin avec son pauvre bébé malgré ce froid ; et quelques minutes après, pendant que j'étais dehors avec Joséphine, on l'avait encore entendu crier « serpent serpent » »

- quoi ???

- Comme je te dis là mon amour... Il faut chercher à voir clair, son mari là est revenu après huit mois d'absence et tout ceci arrive hum ! je dis ça et je ne dis plus rien

- Ah toi aussi ! tu veux dire quoi par-là ? tu penses que mon ami Eric...

- Hmmmmm Je ne dis plus rien mon amour ; va prendre ta douche et tu viens manger laisse ces gens avec leurs histoires.

De l'autre coté, Francile et son mari étaient arrivés à la maison, ils étaient entrés mais Francile avait peur, elle n'avait pas dit à son mari que la même chose s'était reproduite chez Zata, elle avait déposé son bébé dans le berceau et elle était allée voir Diane la femme de ménage dans la cuisine...

- Diane ...

- Oui madame...vous êtes là ?

- Oui ... Alors tout va bien ici ?

- Oui madame tout va bien ; je peux déjà dresser la table ?

- Oui oui, mais tout va bien hein ? tu n'as rien vu après moi ?

- Hummmmmm non madame, voir comme quoi ; avez-vous perdu quelque chose ?

- Non non ça va...

ils étaient à table et la maman de Francile était entrée toute contente pour sa petite fille, elle vivait à plusieurs kilomètre de chez sa fille donc c'était sa première fois de venir la voir, elle avait ramené beaucoup des choses, elle avait juste salué et s'était jetée sur sa petite fille qui était couchée dans le berceau au salon, et juste en soulevant le bébé, la maman avait poussé un cri

- He ! he ! seigneur ! Francile ! c'est quoi ça ?

- Quoi maman elle a mouillé ?

- He ! he ! c'est quoi que je viens de voir ?

- mais vas-y voir nooon, ta mère cri et toi tu continues de manger ? ( avait dit Eric)

Francile avait quitté la table, elle avait trouvé sa mère entrain de scruter l'enfant et l'avait secoué

- Maman ! c'est quoi !

- Ma fille ! c'est quoi ça ! c'est un enfant ça ?

- Maman parle doucement mon mari peut t'entendre ! tu as quel problème comme ça avec mon bébé?

- Où as-tu trouvé cet esprit ? c'est quoi que tu as introduit dans ta maison ma fille ? HEEEEEEH !

- Maman tu me fais peur là ! mais de quoi tu parles ?

- Ma fille ! je vais bruler les feuilles de mon village dans cette maison pour chasser cet esprit ...

- Heha maman ! quel esprit ?

Eric avait les regardait de loin ...

- Maman ça suffit maintenant, regarde comment Eric nous regarde... il arrive il arrive...

Eric s'était approché, la maman de Francile très troublée avait donné le bébé à sa fille et avait pris place sur le canapé et tremblait de peur

- Chérie tout va bien ? pourquoi ta mère est comme ça tout à coup ?

- Ah ! elle est contente pour sa petite fille mon amour ...

- Mais on ne dirait pas ça en la regardant... bon je serai dans la chambre je vais me coucher

Après avoir faire des bisous à son bébé, Eric s'était retourné et avait dit à sa belle-mère :

- Bon maman moi je vais me reposer, j'aurai une dure journée demain... on m'a dit que tu es ici pour quelques jours ?

- Oui mon fils...

- Donc demain je vais bien manger, je vais manger authentique ? de la vraie nourriture ?

- Ha oui mon fils ; mais est-ce que vous avez déjà amené l'enfant pour sa bénédiction ?

- Mais belle maman toi aussi tu peux le bénir nooon ? nous au village on a été béni par nos propres parents hein ? on n'avait pas besoin d'une église à l'époque...

- Ça c'était à l'époque où le monde était encore bien , les choses ont changé mon fils...

- Bon ça tu vas voir ça avec ma femme maman... moi j'ai trop de choses à faire...

- Ok mon fils...

- A demain alors maman

- Merci mon fils...

Eric était parti dormir, Diane aussi, mais la maman de Francile était restée avec sa fille au salon, elle continuait de regarder l'enfant avec des larmes aux yeux ; Francile aussi inquiète avait demandé à sa maman...

- Maman... tu peux me dire ce que tu vois exactement sur mon enfant ?

- Francile ma fille, cet enfant à une marque sur son visage, tu ne vois donc rien ? qu'avais-tu fait pendant l'absence de ton mari ? avais-tu consulté les génies ? dis-moi tout ma fille avant qu'il ne soit trop tard, ce bébé vient d'où...

- Maman ; je ne comprends pas...

- Dis-moi la vérité ma fille... Si je calcul bien, lorsque ton mari était parti tu avais perdu ta grossesse, c'était ça nooon ?

- Non non maman, c'était juste une fosse alerte

- Hum !!! je suis ta mère ! tu es ma fille ! je te protègerai mieux que quiconque ...

- Maman ! c'est quelle sorcellerie ça ! pourquoi tu fais ça ? tu n'aimes pas mon bonheur ou bien ? ce luxe-ci toi tu n'aimes pas ça ? depuis que tu es venue au monde as-tu déjà vu les blancs en tas comme tu avais vu en Inde ? pour une petite opération de tes yeux là, mon mari t'avait envoyé où ?

- Donc Indien aussi c'est blanc ?

- Non maman ; c'est noir ! je vais dormir stiuups...

Francile avait pris son bébé et avait quitté le salon en disant à sa mère que sa chambre était celle du fond du couloir...

Le bébé avait sa propre chambre alors Francile l'avait couché avant de rejoindre son mari dans leur chambre juste à coté...

Elle avait éteint toutes les lumières et s'était allongée en regardant les plafonds ; dans cette obscurité, elle avait vu une silhouette lumineuse qui avait la forme d'un gros serpent, traverser les plafonds...

en ce moment-là, elle avait les yeux ouverts, elle voulait crier mais elle s'était retenue à cause de son mari ; elle avait quitté la chambre pour aller voir sa fille ; mais une fois dans la chambre du bébé, le berceau était vide... « « Maman a pris mon enfant ? » » se disait-elle en sortant de la chambre du bébé.

Elle avait cogné la porte de sa mère, celle-ci ne répondait pas alors elle avait elle même ouvert la porte , sa mère dormait profondément ; elle l'avait réveillé en la secouant, sa mère avait ouvert les yeux et Francile lui disait :

- Maman où est mon enfant ?

- Hein ?

- Mon bébé maman ! il est où !

- Mais Francile c'est quelle manière de me réveiller là ?

- Je m'en fou maman ! ma fille est où !

- He ! tu vois ta fille ici ?

- Maman elle n'est pas dans sa chambre elle est où alors ?

La maman de Francile avait retiré son drap, était descendu du lit et sortait de la chambre , elle et sa fille avait entendu le bébé pleurer comme si il s'etouffait sous les draps de la pauvres femme

« ingieeeen ingieeeen ingieeeeen »

La mère et sa fille s'étaient retournées hébétées et Francile s'était exclamée

- Mamaaaaan !!! mon bébé ? sous tes draps ? Tu voulais étouffer mon enfant ? demain tu rentres au village !

En faisant ces bruits, Eric s'était réveillé et était venu les trouver, l'enfant continuait de pleurer sous les draps de la maman...

Confus et étonné, Eric aussi s'était exclamé :

- Mais Qu'est-ce qui se passe ici Francile ? pourquoi ma fille n'est pas dans sa chambre ?

Francile ne répondait pas elle regardait sa mère qui avait la bouche grandement ouverte tellement que c'était plus fort qu'elle.

#A suivre...

• Heha ! comment et pourquoi un bébé de un mois s'est retrouvé dans la chambre de la pauvre femme ?

• Comment trouvez-vous les réactions de Francile ? cache-t-elle quelque chose ou elle ignore vraiment tout ?

• Vous à la place de la maman qu'allez-vous faire ?

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Romance

5.0

L’Afrique mon continent… On dit toujours de toi que tu es le berceau de l’humanité, oui… j’aime l’Afrique, mon Afrique… pleine de mystère, de pouvoir , de sagesse et des vertus ; nos forêts ont des oreilles et des yeux, nos rivières ont des oreilles et des yeux, nos fleures ont des oreilles et des yeux, nos vallées ont des oreilles et des yeux, nos montagnes ont des oreilles et des yeux , même nos morts ne meurent pas vraiment mon Afrique qui es-tu ? ------------------------ --------- Un bon matin --------- - Hawa ! c’est quoi cet empressement ma coooo ; tu vas où comme ça? hier j’avais entendu du bruit chez toi c’était quoi ? - Je vais au salon de coiffure ma chérie ; mon père est arrivé hier oooh ; après cinq ans d’absence Huguette tu t’imagines ? on le croyait même déjà mort tellement qu’on n’avait aucune nouvelle de lui ; - Au saloooon ? salon de coiffure ? toi ? depuis quand ? - Depuis que mon père est arrivé oooh : j’ai changé je ne suis plus n’importe qui Huguette - Ewoooee Hawa ! Donc tu n’iras plus faire des tresses derrière la maison ? il était même où ton père. Je suis sure qu’il a fait des enfants là-bas hahaha - On s’en fiche d’où il était ni même ce qu’il a fait là-bas, tout ce que je sais ce qu’il revenu avec l’argent ma coooo ; ce matin il m’a donné une jolie somme pour ma coiffure, je peux même payer pour toi si tu veux - On ne refuse jamais une offre hein; pour une fois je vais me faire tripoter la tête avec du shampoing ; haha allons ; et la fête commence à quelle heure ? - Peu importe l’heure toi et moi , notre fête vient de commencer… - Hawa ce n’est pas ta petite sœur Ornella que je vois là-bas ? elle va où ? - Huguette vient ; laisse cette sœur en crise là-bas ; comme tu la vois là, elle va à l’église pour remercier Dieu pour le retour de papa heha ! ; c’est papa qui revient du voyage mais c’est elle qui va remercier Dieu pour son retour onong - Mais c’est bien nooon ? ta sœur est carrément ton opposée hein ; chez vous là ; elle est la seule à prier toi tu es seulement dans ce que tu sais là - Eeeh Huguette je t’arrete tout de suite ! dans quoi suis- je ? donc quand je prie je dois t’envoyer un texto ? je prie sept fois par jour je te signale ; - Hawa la femme qui est derrière nous là, elle nous suit ou quoi… - Comment ça elle nous suit ? elle est belle hein ? - Tsiuuups je te jure que cette femme est après nous depuis qu’on a quitté chez toi - On saura ça, toi avec tes idées Huguette, haha haha ne gâte pas mon humeur stp, elle est comme une sirène - Puisque tu connais les sirènes toi Hawa ? hahahaha Nos deux amies étaient arrivées au salon et avaient pris place, on avait à peine touché la tête de Hawa que cette jeune femme aussi avait fait son entrée, avait salué tout le monde comme si c’était une habituée et elle avait pris place juste à côté d’elle et les deux étaient face la coiffeuse… - Pourquoi me regardes-tu comme jeune fille ? (lui avait interrogé la jeune femme) - Non rien ; je ne vous regardais pas vraiment ; je regardais plutôt ma copine qui est derrière moi… - Alors c’est pour quelle occasion cette transformation ? - Pardon ? - Cette petite touche c’est pour quelle occasion ? tu as une sortie spéciale ? - Oouiii on célèbre le retour de mon père ! - Il était mort ? - Ekieeee ! que Dieu nous en garde ! il était loin de nous depuis cinq ans et il est revenu donc… - Cool alors… et vous êtes surs qu’il est revenu bien seul ? - Pardon ? - Ouiiii puisque un homme ne peut pas quitter sa famille pour un voyage de cinq ans et revenir seul hein… - Je ne comprends pas… - C’est normal que tu ne comprennes pas jeune fille ; La coiffeuse avait fini avec Hawa ; et lorsque celle-ci quittait sa chaise pour partir elle avait entendu la jeune femme lui dire :

Inspirés de vos vus

Le piège d'Ace

Le piège d'Ace

Eva Zahan.
4.8

Sept ans auparavant, Emerald Hutton avait laissé sa famille et ses amis pour le lycée à New York, berçant son cœur brisé dans ses mains, pour échapper à une seule personne. Le meilleur ami de son frère, qu'elle aimait depuis le jour où il l'avait sauvée des petites brutes quand elle avait sept ans. Brisée par le garçon de son rêve et trahie par ses proches, Emerald avait appris à enterrer les débris de son cœur au plus profond de ses souvenirs. Jusqu'à sept ans plus tard, elle doit revenir dans sa ville natale après avoir terminé ses études universitaires. La ville où réside maintenant un milliardaire au cœur froid, pour qui son cœur mort battait autrefois. Traumatisé par son passé, Achille Valencian était devenu l'homme que tout le monde craignait. La brûlure de sa vie avait rempli son cœur de ténèbres. Et la seule lumière qui l'avait gardé sain d'esprit était une fille aux taches de rousseur et aux yeux turquoise qu'il avait adorée toute sa vie. La petite sœur de son meilleur ami. Après des années de séparation, lorsque le moment est enfin venu de capter sa lumière sur son territoire, Achille Valencian va jouer à son jeu. Un jeu pour réclamer ce qui lui appartient. Emerald sera-t-elle capable de distinguer les flammes de l'amour et du désir, et les charmes de la vague qui l'avait autrefois inondée pour protéger son cœur ? Ou laissera-t-elle le diable l'attirer dans son piège ? Car personne n'a jamais pu échapper à ses jeux. Il obtient ce qu'il veut. Et ce jeu s'appelle... Le piège d'Ace.

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