Quelque part en Afrique... - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus ! Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n'avait Ă peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça ! - LĂ ! lĂ ! il est entrĂ© par lĂ ! il est passĂ© entre mes jambes chĂ©ri je l'ai vu, c'Ă©tait bel et bien un gros serpent je te jure chĂ©ri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais dĂ©jĂ peur au bĂ©bĂ© ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n'es pas seule ; Diane est lĂ dans la cuisine nooon ? - Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dĂ©pose moi chez Zata TourĂ©, tu passeras me prendre aprĂšs ton travail... - Avec le bĂ©bĂ© ? mais tu t'entends parler ? un bĂ©bĂ© d'un mois ? - Reste Ă la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais trĂšs bien que je ne peux pas rester chĂ©rie, j'ai fait huit mois Ă l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-lĂ , Eric avait dĂ©posĂ© sa femme et son bĂ©bĂ© d'un mois Ă peine chez Zata avant d'aller au travail. Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'Ă©tait dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s'apprĂȘtait Ă exposer ses Ă©pices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine Ă cette heure-lĂ s'Ă©tait exclamĂ©e... - Ekie Francile ! Ă six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donnĂ© ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ ? - Non ; il a travaillĂ© la nuit et il n'est pas encore rentrĂ©; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marchĂ© parce que lĂ tu me fais peur ! - Allons Ă l'intĂ©rieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vĂ©ritĂ©s ! JosĂ©phine les avait entendu et sans rien dire elle avait continuĂ© ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait racontĂ© Ă sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, cĂ d, un serpent qui avait traversĂ© ses jambes... Zata Ă©tonnĂ©e, s'Ă©tait exclamĂ©e ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'Ă©tait ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh - Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour lĂ aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre... - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' Ă©tait retrouvĂ©e nez Ă nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman JosĂ©phine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui tĂ©moigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissĂ© sa part de l'Ă©lectricitĂ© ? parce que c'est pour ça que je suis lĂ - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore criĂ© dans ma maison en lĂąchant le bĂ©bĂ© sur le canapĂ© : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle Ă©tait sortie de la maison...
Quelque part en Afrique...
- Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus !
Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n'avait Ă peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi :
- Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça !
- Là ! là ! il est entré par là ! il est passé entre mes jambes chéri je l'ai vu, c'était bel et bien un gros serpent je te jure chéri ! heeeee haaaa !
- Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais déjà peur au bébé ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ?
- Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non,
- Mais tu n'es pas seule ; Diane est lĂ dans la cuisine nooon ?
- Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dépose moi chez Zata Touré, tu passeras me prendre aprÚs ton travail...
- Avec le bébé ? mais tu t'entends parler ? un bébé d'un mois ?
- Reste Ă la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas !
- Tu sais trÚs bien que je ne peux pas rester chérie, j'ai fait huit mois à l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ;
Ce matin-là , Eric avait déposé sa femme et son bébé d'un mois à peine chez Zata avant d'aller au travail.
Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'Ă©tait dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s'apprĂȘtait Ă exposer ses Ă©pices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine Ă cette heure-lĂ s'Ă©tait exclamĂ©e...
- Ekie Francile ! Ă six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donnĂ© ?
- Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ ?
- Non ; il a travaillé la nuit et il n'est pas encore rentré; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marché parce que là tu me fais peur !
- Allons à l'intérieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi !
- Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vérités !
Joséphine les avait entendu et sans rien dire elle avait continué ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait raconté à sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, cà d, un serpent qui avait traversé ses jambes... Zata étonnée, s'était exclamée ;
- Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh
- Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour là aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre...
- Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ a des oreilles longues comme un esprit
Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' était retrouvée nez à nez avec sa bailleresse et avait tressailli
- He ! maman Joséphine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici !
- Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui tĂ©moigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissĂ© sa part de l'Ă©lectricitĂ© ? parce que c'est pour ça que je suis lĂ
- Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum !
Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore crié dans ma maison en lùchant le bébé sur le canapé :
- Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa !
Elle Ă©tait sortie de la maison...
Francile avait laissé le bébé sur le canapé et était sortie ; Zata et Joséphine la voyant sortir en courant, avaient couru avec elle jusque dans la rue ... Joséphine qui les avait suivi était trÚs essoufflée et disait :
- Heeeeeh ! heeeeeh ! vous les femmes-ci ! jusqu'oĂč ĂȘtes-vous allĂ© ? qu'avez-vous fait ? vous voulez que je meurs ou quoi ! pensez-vous que j'ai encore l'Ăąge pour ces genres d'Ă©motions ? Heeeh mon cĆur ! mon cĆur oooh heeehaaa ! depuiiiiiis je vous regarde ; vous deux-lĂ ! depuis je vous regarde oooh ! serpent dans ma parcelle ? toi Zata j'attends ton mari ! vous allez m'expliquer ! si vous etes dans les affaires de sorcellerie vous irez le faire ailleurs pas ici ! je suis une femme veuve et je n'ai pas d'enfant, cette parcelle c'est tout ce que mon mari m'a laissĂ© han !
- Attendre qui ? mon mari ? il faut essayer ! il faut essayer Joséphine ! c'est ton problÚme ? Ce qui se passe dans ma maison te regarde ? je t'ai toujours dit que je payais ton loyer alors contente-toi de ça !
- Ah bon hein ? ok ! on verra toi et moi dans cette parcelle ! comme c'est toi qui es propriĂ©taire et moi locataire, on verra toi et moi ; je vais vous chasser d'ici vous aller voir ! des femmes compliquĂ©es comme ça ! comment arrivez-vous Ă trouver de bons maris mĂȘme ?
- Maman Joséphine je suis désolée, c'est moi le problÚme, j'avais cru que...
- Hoooo toi madame je ne veux pas t'entendre ; tu fais quoi ici ; tu fais quoi chez ton amie bon matin-là avec un bébé d'un mois ?
Francile ne savait plus quoi dire et regardait son amie dans les yeux ; Joséphine la bailleresse continuait de parler, Francile s'était enfin souvenue de son enfant qu'elle avait laissé sur le canapé et s'était écriée
- Mon bébé ! mon bébé ! j'ai laissé mon bébé dans la maison ! heeeeeh !
- C'était quoi ça toi aussi Francile ! c'était quoi ma copine ! un serpent ? dans ma maison ? depuis quand ! retournons et on va voir ça !
- Retourner oĂč ? je ne peux pas rentrer dans cette maison,
- Donc tu ne vas pas récupérer ton bébé ? ou alors c'était une blague cette histoire de serpent ?
- Zata je te jure que j'ai vu un serpent ! je l'ai vu Zata !
- Hum !
La bailleresse les regardait comme bété devant sa marchandise jusqu'à ce que le mari de Zata était rentré du travail ; celui-ci étonné de voir les deux femmes dans la rue, surtout qu'il savait que Francile venait d'accoucher il leur avait demandé :
- mais que faites-vous arrĂȘtĂ©es comme ça dans la rue ? Francile, tu as laissĂ© le bĂ©bĂ© avec qui ? nous ne sommes pas encore venus te voir et te voilĂ dĂ©jĂ dehors ?
- hihi hihi le bébé est dans ta maison... mon mari vient de me déposer à peine...
- ah d'accord ! il est déjà de retour ? j'espÚre que tout va bien hein !
- oooh oui ! tout va bien, je ne voulais juste pas rester seule Ă la maison voilĂ pourquoi je suis venue rester ma copine...
- Ok... allons à l'intérieur alors...
Ils entraient et Joséphine avait interpelé Paulo Kodjo le mari de Zata...
- monsieur Kodjo, je...
Elle n'avait mĂȘme pas fini sa phrase que Zata lui avait coupĂ© la parole
- quoi ! quoi Josephine ! mon mari vient d'arriver ; il n'est mĂȘme pas entrĂ© dans la maison et dĂ©jĂ tu veux lui dire quoi ! tu dois passer par moi pour toute chose !
- ekieeeee ! hahah hahah je ris fort ; tu as peur ? mais tu as peur de quoi ; moi je veux juste mon argent, vos problĂšmes ne me regardent pas !
- ok, je vais te le donner ton argent ; mais je ne veux pas que tu t'approches de mon mari !
- hum !
ils étaient entrés et le bébé pleurait ; Paulo le mari de Zata était entré en premier mais les deux femmes hésitaient, elles étaient restées devant la porte ; il s'était retourné et leur avait demandé :
- mais qu'est-ce qui se passe ici ? Francile, tu n'entends pas le bébé ? Zata ; il y a quel problÚme ? Francile, tu es sure que tout va bien avec ton mari ?
- ah non non Paulo il n'y a rien ; « vient dans les bras de mamaaaan, ma petite fille cherieee, maman est là aaaa ; putu putu ; choupinette ; maman t'a laissé seule hein ? mon amouuuur, mon bébéééé ; minu minuuuu » »
Francile avait fait quelques blagues Ă sa fille avant de la prendre dans ses bras en regardant partout partout, Zata regardait sa copine sans rien dire.
Les deux femmes devaient parler mais ce n'était plus possible parce que le mari de Zata était déjà là ...
Le soir , Eric était venu chercher sa femme , ils s'étaient embrassés avec son amis Paulo ; et pendant qu'ils papotaient un peu parce que ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu ; Francile et sa copine planifiaient je ne sais quoi ; Zata disait :
- écoute, tu ne dois plus venir ici Francile, ton bébé n'a que un mois , tu as vu la réaction de ma bailleresse nooon ? pardon, il faut rester chez toi
- mais Zata on doit en parler parce que ce n'est pas normal...
- oooooh je viendrai chez toi demain et on en parlera, ici nous ne sommes pas en sécurité...
elles étaient interrompues par Eric qui disait : « « alors les femmes, vous n'avez pas encore fini ? Francile il faut qu'on parte » »
Francile avait pris son bébé et avec son mari ils étaient partis ; mais juste aprÚs leur départ, Paulo Kodjo avait demandé à sa femme :
- mais c'était quoi ; je n'ai pas eu le courage de poser la question à Eric ; mais vous entre vous, avez-vous parlé de quelque chose ?
- ah chéri laisse ! attends un peu je vais bien voir ma maison ...
Zata avait guetté par-ci par-là et avait poursuivit
- hum chéri ! cette femme est venue ici et ... déjà en arrivant elle m'avait dit qu'elle ne voulait pas rester chez elle parce qu'elle avait vu un serpent, donc elle était venu ici parce qu'elle avait peur de rester seule chez elle ; et demande-moi quoi...
- je t'Ă©coute...
- heha ! elle est venue ici à six heures du matin avec son pauvre bébé malgré ce froid ; et quelques minutes aprÚs, pendant que j'étais dehors avec Joséphine, on l'avait encore entendu crier « serpent serpent » »
- quoi ???
- Comme je te dis là mon amour... Il faut chercher à voir clair, son mari là est revenu aprÚs huit mois d'absence et tout ceci arrive hum ! je dis ça et je ne dis plus rien
- Ah toi aussi ! tu veux dire quoi par-lĂ ? tu penses que mon ami Eric...
- Hmmmmm Je ne dis plus rien mon amour ; va prendre ta douche et tu viens manger laisse ces gens avec leurs histoires.
De l'autre cotĂ©, Francile et son mari Ă©taient arrivĂ©s Ă la maison, ils Ă©taient entrĂ©s mais Francile avait peur, elle n'avait pas dit Ă son mari que la mĂȘme chose s'Ă©tait reproduite chez Zata, elle avait dĂ©posĂ© son bĂ©bĂ© dans le berceau et elle Ă©tait allĂ©e voir Diane la femme de mĂ©nage dans la cuisine...
- Diane ...
- Oui madame...vous ĂȘtes lĂ ?
- Oui ... Alors tout va bien ici ?
- Oui madame tout va bien ; je peux déjà dresser la table ?
- Oui oui, mais tout va bien hein ? tu n'as rien vu aprĂšs moi ?
- Hummmmmm non madame, voir comme quoi ; avez-vous perdu quelque chose ?
- Non non ça va...
ils étaient à table et la maman de Francile était entrée toute contente pour sa petite fille, elle vivait à plusieurs kilomÚtre de chez sa fille donc c'était sa premiÚre fois de venir la voir, elle avait ramené beaucoup des choses, elle avait juste salué et s'était jetée sur sa petite fille qui était couchée dans le berceau au salon, et juste en soulevant le bébé, la maman avait poussé un cri
- He ! he ! seigneur ! Francile ! c'est quoi ça ?
- Quoi maman elle a mouillé ?
- He ! he ! c'est quoi que je viens de voir ?
- mais vas-y voir nooon, ta mĂšre cri et toi tu continues de manger ? ( avait dit Eric)
Francile avait quitté la table, elle avait trouvé sa mÚre entrain de scruter l'enfant et l'avait secoué
- Maman ! c'est quoi !
- Ma fille ! c'est quoi ça ! c'est un enfant ça ?
- Maman parle doucement mon mari peut t'entendre ! tu as quel problÚme comme ça avec mon bébé?
- OĂč as-tu trouvĂ© cet esprit ? c'est quoi que tu as introduit dans ta maison ma fille ? HEEEEEEH !
- Maman tu me fais peur lĂ ! mais de quoi tu parles ?
- Ma fille ! je vais bruler les feuilles de mon village dans cette maison pour chasser cet esprit ...
- Heha maman ! quel esprit ?
Eric avait les regardait de loin ...
- Maman ça suffit maintenant, regarde comment Eric nous regarde... il arrive il arrive...
Eric s'était approché, la maman de Francile trÚs troublée avait donné le bébé à sa fille et avait pris place sur le canapé et tremblait de peur
- Chérie tout va bien ? pourquoi ta mÚre est comme ça tout à coup ?
- Ah ! elle est contente pour sa petite fille mon amour ...
- Mais on ne dirait pas ça en la regardant... bon je serai dans la chambre je vais me coucher
AprÚs avoir faire des bisous à son bébé, Eric s'était retourné et avait dit à sa belle-mÚre :
- Bon maman moi je vais me reposer, j'aurai une dure journée demain... on m'a dit que tu es ici pour quelques jours ?
- Oui mon fils...
- Donc demain je vais bien manger, je vais manger authentique ? de la vraie nourriture ?
- Ha oui mon fils ; mais est-ce que vous avez déjà amené l'enfant pour sa bénédiction ?
- Mais belle maman toi aussi tu peux le bénir nooon ? nous au village on a été béni par nos propres parents hein ? on n'avait pas besoin d'une église à l'époque...
- Ăa c'Ă©tait Ă l'Ă©poque oĂč le monde Ă©tait encore bien , les choses ont changĂ© mon fils...
- Bon ça tu vas voir ça avec ma femme maman... moi j'ai trop de choses à faire...
- Ok mon fils...
- A demain alors maman
- Merci mon fils...
Eric était parti dormir, Diane aussi, mais la maman de Francile était restée avec sa fille au salon, elle continuait de regarder l'enfant avec des larmes aux yeux ; Francile aussi inquiÚte avait demandé à sa maman...
- Maman... tu peux me dire ce que tu vois exactement sur mon enfant ?
- Francile ma fille, cet enfant Ă une marque sur son visage, tu ne vois donc rien ? qu'avais-tu fait pendant l'absence de ton mari ? avais-tu consultĂ© les gĂ©nies ? dis-moi tout ma fille avant qu'il ne soit trop tard, ce bĂ©bĂ© vient d'oĂč...
- Maman ; je ne comprends pas...
- Dis-moi la vérité ma fille... Si je calcul bien, lorsque ton mari était parti tu avais perdu ta grossesse, c'était ça nooon ?
- Non non maman, c'Ă©tait juste une fosse alerte
- Hum !!! je suis ta mĂšre ! tu es ma fille ! je te protĂšgerai mieux que quiconque ...
- Maman ! c'est quelle sorcellerie ça ! pourquoi tu fais ça ? tu n'aimes pas mon bonheur ou bien ? ce luxe-ci toi tu n'aimes pas ça ? depuis que tu es venue au monde as-tu dĂ©jĂ vu les blancs en tas comme tu avais vu en Inde ? pour une petite opĂ©ration de tes yeux lĂ , mon mari t'avait envoyĂ© oĂč ?
- Donc Indien aussi c'est blanc ?
- Non maman ; c'est noir ! je vais dormir stiuups...
Francile avait pris son bébé et avait quitté le salon en disant à sa mÚre que sa chambre était celle du fond du couloir...
Le bébé avait sa propre chambre alors Francile l'avait couché avant de rejoindre son mari dans leur chambre juste à coté...
Elle avait éteint toutes les lumiÚres et s'était allongée en regardant les plafonds ; dans cette obscurité, elle avait vu une silhouette lumineuse qui avait la forme d'un gros serpent, traverser les plafonds...
en ce moment-là , elle avait les yeux ouverts, elle voulait crier mais elle s'était retenue à cause de son mari ; elle avait quitté la chambre pour aller voir sa fille ; mais une fois dans la chambre du bébé, le berceau était vide... « « Maman a pris mon enfant ? » » se disait-elle en sortant de la chambre du bébé.
Elle avait cognĂ© la porte de sa mĂšre, celle-ci ne rĂ©pondait pas alors elle avait elle mĂȘme ouvert la porte , sa mĂšre dormait profondĂ©ment ; elle l'avait rĂ©veillĂ© en la secouant, sa mĂšre avait ouvert les yeux et Francile lui disait :
- Maman oĂč est mon enfant ?
- Hein ?
- Mon bĂ©bĂ© maman ! il est oĂč !
- Mais Francile c'est quelle maniÚre de me réveiller là ?
- Je m'en fou maman ! ma fille est oĂč !
- He ! tu vois ta fille ici ?
- Maman elle n'est pas dans sa chambre elle est oĂč alors ?
La maman de Francile avait retiré son drap, était descendu du lit et sortait de la chambre , elle et sa fille avait entendu le bébé pleurer comme si il s'etouffait sous les draps de la pauvres femme
« ingieeeen ingieeeen ingieeeeen »
La mÚre et sa fille s'étaient retournées hébétées et Francile s'était exclamée
- Mamaaaaan !!! mon bébé ? sous tes draps ? Tu voulais étouffer mon enfant ? demain tu rentres au village !
En faisant ces bruits, Eric s'était réveillé et était venu les trouver, l'enfant continuait de pleurer sous les draps de la maman...
Confus et étonné, Eric aussi s'était exclamé :
- Mais Qu'est-ce qui se passe ici Francile ? pourquoi ma fille n'est pas dans sa chambre ?
Francile ne répondait pas elle regardait sa mÚre qui avait la bouche grandement ouverte tellement que c'était plus fort qu'elle.
#A suivre...
⹠Heha ! comment et pourquoi un bébé de un mois s'est retrouvé dans la chambre de la pauvre femme ?
⹠Comment trouvez-vous les réactions de Francile ? cache-t-elle quelque chose ou elle ignore vraiment tout ?
âą Vous Ă la place de la maman qu'allez-vous faire ?
Chapitre 1 1
01/01/2024
Chapitre 2 2
01/01/2024
Chapitre 3 3
01/01/2024
Chapitre 4 4
01/01/2024
Chapitre 5 5
01/01/2024
Chapitre 6 6
01/01/2024
Chapitre 7 7
01/01/2024
Chapitre 8 8
01/01/2024
Chapitre 9 9
01/01/2024
Chapitre 10 10
01/01/2024
Chapitre 11 11
01/01/2024
Chapitre 12 12
01/01/2024
Chapitre 13 13
01/01/2024
Chapitre 14 14
01/01/2024
Chapitre 15 15
01/01/2024
Chapitre 16 16
01/01/2024
Chapitre 17 17
01/01/2024
Chapitre 18 18
01/01/2024
Chapitre 19 19
01/01/2024
Chapitre 20 20
01/01/2024
Chapitre 21 21
01/01/2024
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