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LE PACTE
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Quelque part en Afrique... - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus ! Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n'avait Ă  peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça ! - LĂ  ! lĂ  ! il est entrĂ© par lĂ  ! il est passĂ© entre mes jambes chĂ©ri je l'ai vu, c'Ă©tait bel et bien un gros serpent je te jure chĂ©ri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais dĂ©jĂ  peur au bĂ©bĂ© ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n'es pas seule ; Diane est lĂ  dans la cuisine nooon ? - Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dĂ©pose moi chez Zata TourĂ©, tu passeras me prendre aprĂšs ton travail... - Avec le bĂ©bĂ© ? mais tu t'entends parler ? un bĂ©bĂ© d'un mois ? - Reste Ă  la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais trĂšs bien que je ne peux pas rester chĂ©rie, j'ai fait huit mois Ă  l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-lĂ , Eric avait dĂ©posĂ© sa femme et son bĂ©bĂ© d'un mois Ă  peine chez Zata avant d'aller au travail. Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'Ă©tait dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s'apprĂȘtait Ă  exposer ses Ă©pices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine Ă  cette heure-lĂ  s'Ă©tait exclamĂ©e... - Ekie Francile ! Ă  six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donnĂ© ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ  ? - Non ; il a travaillĂ© la nuit et il n'est pas encore rentrĂ©; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marchĂ© parce que lĂ  tu me fais peur ! - Allons Ă  l'intĂ©rieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vĂ©ritĂ©s ! JosĂ©phine les avait entendu et sans rien dire elle avait continuĂ© ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait racontĂ© Ă  sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, cĂ d, un serpent qui avait traversĂ© ses jambes... Zata Ă©tonnĂ©e, s'Ă©tait exclamĂ©e ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'Ă©tait ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh - Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour lĂ  aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre... - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ  a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' Ă©tait retrouvĂ©e nez Ă  nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman JosĂ©phine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui tĂ©moigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissĂ© sa part de l'Ă©lectricitĂ© ? parce que c'est pour ça que je suis lĂ  - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore criĂ© dans ma maison en lĂąchant le bĂ©bĂ© sur le canapĂ© : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle Ă©tait sortie de la maison...

Chapitre 1 1

Quelque part en Afrique...

- Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus !

Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu'elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n'avait Ă  peine qu'un mois, son mari Eric Gafarou s'apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s'exclamant lui aussi :

- Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n'ai jamais entendu ça !

- Là ! là ! il est entré par là ! il est passé entre mes jambes chéri je l'ai vu, c'était bel et bien un gros serpent je te jure chéri ! heeeee haaaa !

- Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais déjà peur au bébé ; il n'y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner... je dois y aller d'accord ?

- Halluciner tu dis Eric ? j'ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non,

- Mais tu n'es pas seule ; Diane est lĂ  dans la cuisine nooon ?

- Et qu'est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dépose moi chez Zata Touré, tu passeras me prendre aprÚs ton travail...

- Avec le bébé ? mais tu t'entends parler ? un bébé d'un mois ?

- Reste Ă  la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas !

- Tu sais trÚs bien que je ne peux pas rester chérie, j'ai fait huit mois à l'est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ;

Ce matin-là, Eric avait déposé sa femme et son bébé d'un mois à peine chez Zata avant d'aller au travail.

Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s'Ă©tait dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s'apprĂȘtait Ă  exposer ses Ă©pices devant la parcelle... ... Zata en voyant sa copine Ă  cette heure-lĂ  s'Ă©tait exclamĂ©e...

- Ekie Francile ! Ă  six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n'a pas donnĂ© ?

- Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ  ?

- Non ; il a travaillé la nuit et il n'est pas encore rentré; c'est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d'abord si ça n'a pas marché parce que là tu me fais peur !

- Allons à l'intérieur Zata ; ta bailleresse me fait genre... regarde, elle n'a que des yeux sur moi !

- Cette femme oublie qu'ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vérités !

Joséphine les avait entendu et sans rien dire elle avait continué ses taches ... dans la maison de Zata ; Francile avait raconté à sa copine ce qu'elle avait vu chez elle, càd, un serpent qui avait traversé ses jambes... Zata étonnée, s'était exclamée ;

- Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c'était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n'est pas bon signe oooh

- Tu parles d'un serpent comme signe ? tu penses que... mais tu sais que ce jour là aussi j'avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre...

- Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c'est juste un... attends ; j'entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ  a des oreilles longues comme un esprit

Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s' était retrouvée nez à nez avec sa bailleresse et avait tressailli

- He ! maman Joséphine ... c'est quoi ! tu nous espionnes ? tu m'as fait peur ; tu fais quoi ici !

- Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui témoigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n'avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m'a laissé sa part de l'électricité ? parce que c'est pour ça que je suis là

- Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum !

Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore crié dans ma maison en lùchant le bébé sur le canapé :

- Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa !

Elle Ă©tait sortie de la maison...

Francile avait laissé le bébé sur le canapé et était sortie ; Zata et Joséphine la voyant sortir en courant, avaient couru avec elle jusque dans la rue ... Joséphine qui les avait suivi était trÚs essoufflée et disait :

- Heeeeeh ! heeeeeh ! vous les femmes-ci ! jusqu'oĂč ĂȘtes-vous allĂ© ? qu'avez-vous fait ? vous voulez que je meurs ou quoi ! pensez-vous que j'ai encore l'Ăąge pour ces genres d'Ă©motions ? Heeeh mon cƓur ! mon cƓur oooh heeehaaa ! depuiiiiiis je vous regarde ; vous deux-lĂ  ! depuis je vous regarde oooh ! serpent dans ma parcelle ? toi Zata j'attends ton mari ! vous allez m'expliquer ! si vous etes dans les affaires de sorcellerie vous irez le faire ailleurs pas ici ! je suis une femme veuve et je n'ai pas d'enfant, cette parcelle c'est tout ce que mon mari m'a laissĂ© han !

- Attendre qui ? mon mari ? il faut essayer ! il faut essayer Joséphine ! c'est ton problÚme ? Ce qui se passe dans ma maison te regarde ? je t'ai toujours dit que je payais ton loyer alors contente-toi de ça !

- Ah bon hein ? ok ! on verra toi et moi dans cette parcelle ! comme c'est toi qui es propriĂ©taire et moi locataire, on verra toi et moi ; je vais vous chasser d'ici vous aller voir ! des femmes compliquĂ©es comme ça ! comment arrivez-vous Ă  trouver de bons maris mĂȘme ?

- Maman Joséphine je suis désolée, c'est moi le problÚme, j'avais cru que...

- Hoooo toi madame je ne veux pas t'entendre ; tu fais quoi ici ; tu fais quoi chez ton amie bon matin-là avec un bébé d'un mois ?

Francile ne savait plus quoi dire et regardait son amie dans les yeux ; Joséphine la bailleresse continuait de parler, Francile s'était enfin souvenue de son enfant qu'elle avait laissé sur le canapé et s'était écriée

- Mon bébé ! mon bébé ! j'ai laissé mon bébé dans la maison ! heeeeeh !

- C'était quoi ça toi aussi Francile ! c'était quoi ma copine ! un serpent ? dans ma maison ? depuis quand ! retournons et on va voir ça !

- Retourner oĂč ? je ne peux pas rentrer dans cette maison,

- Donc tu ne vas pas récupérer ton bébé ? ou alors c'était une blague cette histoire de serpent ?

- Zata je te jure que j'ai vu un serpent ! je l'ai vu Zata !

- Hum !

La bailleresse les regardait comme bété devant sa marchandise jusqu'à ce que le mari de Zata était rentré du travail ; celui-ci étonné de voir les deux femmes dans la rue, surtout qu'il savait que Francile venait d'accoucher il leur avait demandé :

- mais que faites-vous arrĂȘtĂ©es comme ça dans la rue ? Francile, tu as laissĂ© le bĂ©bĂ© avec qui ? nous ne sommes pas encore venus te voir et te voilĂ  dĂ©jĂ  dehors ?

- hihi hihi le bébé est dans ta maison... mon mari vient de me déposer à peine...

- ah d'accord ! il est déjà de retour ? j'espÚre que tout va bien hein !

- oooh oui ! tout va bien, je ne voulais juste pas rester seule Ă  la maison voilĂ  pourquoi je suis venue rester ma copine...

- Ok... allons à l'intérieur alors...

Ils entraient et Joséphine avait interpelé Paulo Kodjo le mari de Zata...

- monsieur Kodjo, je...

Elle n'avait mĂȘme pas fini sa phrase que Zata lui avait coupĂ© la parole

- quoi ! quoi Josephine ! mon mari vient d'arriver ; il n'est mĂȘme pas entrĂ© dans la maison et dĂ©jĂ  tu veux lui dire quoi ! tu dois passer par moi pour toute chose !

- ekieeeee ! hahah hahah je ris fort ; tu as peur ? mais tu as peur de quoi ; moi je veux juste mon argent, vos problĂšmes ne me regardent pas !

- ok, je vais te le donner ton argent ; mais je ne veux pas que tu t'approches de mon mari !

- hum !

ils étaient entrés et le bébé pleurait ; Paulo le mari de Zata était entré en premier mais les deux femmes hésitaient, elles étaient restées devant la porte ; il s'était retourné et leur avait demandé :

- mais qu'est-ce qui se passe ici ? Francile, tu n'entends pas le bébé ? Zata ; il y a quel problÚme ? Francile, tu es sure que tout va bien avec ton mari ?

- ah non non Paulo il n'y a rien ; « vient dans les bras de mamaaaan, ma petite fille cherieee, maman est làaaaa ; putu putu ; choupinette ; maman t'a laissé seule hein ? mon amouuuur, mon bébéééé ; minu minuuuu » »

Francile avait fait quelques blagues Ă  sa fille avant de la prendre dans ses bras en regardant partout partout, Zata regardait sa copine sans rien dire.

Les deux femmes devaient parler mais ce n'était plus possible parce que le mari de Zata était déjà là...

Le soir , Eric était venu chercher sa femme , ils s'étaient embrassés avec son amis Paulo ; et pendant qu'ils papotaient un peu parce que ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu ; Francile et sa copine planifiaient je ne sais quoi ; Zata disait :

- écoute, tu ne dois plus venir ici Francile, ton bébé n'a que un mois , tu as vu la réaction de ma bailleresse nooon ? pardon, il faut rester chez toi

- mais Zata on doit en parler parce que ce n'est pas normal...

- oooooh je viendrai chez toi demain et on en parlera, ici nous ne sommes pas en sécurité...

elles étaient interrompues par Eric qui disait : « « alors les femmes, vous n'avez pas encore fini ? Francile il faut qu'on parte » »

Francile avait pris son bébé et avec son mari ils étaient partis ; mais juste aprÚs leur départ, Paulo Kodjo avait demandé à sa femme :

- mais c'était quoi ; je n'ai pas eu le courage de poser la question à Eric ; mais vous entre vous, avez-vous parlé de quelque chose ?

- ah chéri laisse ! attends un peu je vais bien voir ma maison ...

Zata avait guetté par-ci par-là et avait poursuivit

- hum chéri ! cette femme est venue ici et ... déjà en arrivant elle m'avait dit qu'elle ne voulait pas rester chez elle parce qu'elle avait vu un serpent, donc elle était venu ici parce qu'elle avait peur de rester seule chez elle ; et demande-moi quoi...

- je t'Ă©coute...

- heha ! elle est venue ici à six heures du matin avec son pauvre bébé malgré ce froid ; et quelques minutes aprÚs, pendant que j'étais dehors avec Joséphine, on l'avait encore entendu crier « serpent serpent » »

- quoi ???

- Comme je te dis là mon amour... Il faut chercher à voir clair, son mari là est revenu aprÚs huit mois d'absence et tout ceci arrive hum ! je dis ça et je ne dis plus rien

- Ah toi aussi ! tu veux dire quoi par-lĂ  ? tu penses que mon ami Eric...

- Hmmmmm Je ne dis plus rien mon amour ; va prendre ta douche et tu viens manger laisse ces gens avec leurs histoires.

De l'autre cotĂ©, Francile et son mari Ă©taient arrivĂ©s Ă  la maison, ils Ă©taient entrĂ©s mais Francile avait peur, elle n'avait pas dit Ă  son mari que la mĂȘme chose s'Ă©tait reproduite chez Zata, elle avait dĂ©posĂ© son bĂ©bĂ© dans le berceau et elle Ă©tait allĂ©e voir Diane la femme de mĂ©nage dans la cuisine...

- Diane ...

- Oui madame...vous ĂȘtes lĂ  ?

- Oui ... Alors tout va bien ici ?

- Oui madame tout va bien ; je peux déjà dresser la table ?

- Oui oui, mais tout va bien hein ? tu n'as rien vu aprĂšs moi ?

- Hummmmmm non madame, voir comme quoi ; avez-vous perdu quelque chose ?

- Non non ça va...

ils étaient à table et la maman de Francile était entrée toute contente pour sa petite fille, elle vivait à plusieurs kilomÚtre de chez sa fille donc c'était sa premiÚre fois de venir la voir, elle avait ramené beaucoup des choses, elle avait juste salué et s'était jetée sur sa petite fille qui était couchée dans le berceau au salon, et juste en soulevant le bébé, la maman avait poussé un cri

- He ! he ! seigneur ! Francile ! c'est quoi ça ?

- Quoi maman elle a mouillé ?

- He ! he ! c'est quoi que je viens de voir ?

- mais vas-y voir nooon, ta mĂšre cri et toi tu continues de manger ? ( avait dit Eric)

Francile avait quitté la table, elle avait trouvé sa mÚre entrain de scruter l'enfant et l'avait secoué

- Maman ! c'est quoi !

- Ma fille ! c'est quoi ça ! c'est un enfant ça ?

- Maman parle doucement mon mari peut t'entendre ! tu as quel problÚme comme ça avec mon bébé?

- OĂč as-tu trouvĂ© cet esprit ? c'est quoi que tu as introduit dans ta maison ma fille ? HEEEEEEH !

- Maman tu me fais peur lĂ  ! mais de quoi tu parles ?

- Ma fille ! je vais bruler les feuilles de mon village dans cette maison pour chasser cet esprit ...

- Heha maman ! quel esprit ?

Eric avait les regardait de loin ...

- Maman ça suffit maintenant, regarde comment Eric nous regarde... il arrive il arrive...

Eric s'était approché, la maman de Francile trÚs troublée avait donné le bébé à sa fille et avait pris place sur le canapé et tremblait de peur

- Chérie tout va bien ? pourquoi ta mÚre est comme ça tout à coup ?

- Ah ! elle est contente pour sa petite fille mon amour ...

- Mais on ne dirait pas ça en la regardant... bon je serai dans la chambre je vais me coucher

AprÚs avoir faire des bisous à son bébé, Eric s'était retourné et avait dit à sa belle-mÚre :

- Bon maman moi je vais me reposer, j'aurai une dure journée demain... on m'a dit que tu es ici pour quelques jours ?

- Oui mon fils...

- Donc demain je vais bien manger, je vais manger authentique ? de la vraie nourriture ?

- Ha oui mon fils ; mais est-ce que vous avez déjà amené l'enfant pour sa bénédiction ?

- Mais belle maman toi aussi tu peux le bénir nooon ? nous au village on a été béni par nos propres parents hein ? on n'avait pas besoin d'une église à l'époque...

- Ça c'Ă©tait Ă  l'Ă©poque oĂč le monde Ă©tait encore bien , les choses ont changĂ© mon fils...

- Bon ça tu vas voir ça avec ma femme maman... moi j'ai trop de choses à faire...

- Ok mon fils...

- A demain alors maman

- Merci mon fils...

Eric était parti dormir, Diane aussi, mais la maman de Francile était restée avec sa fille au salon, elle continuait de regarder l'enfant avec des larmes aux yeux ; Francile aussi inquiÚte avait demandé à sa maman...

- Maman... tu peux me dire ce que tu vois exactement sur mon enfant ?

- Francile ma fille, cet enfant Ă  une marque sur son visage, tu ne vois donc rien ? qu'avais-tu fait pendant l'absence de ton mari ? avais-tu consultĂ© les gĂ©nies ? dis-moi tout ma fille avant qu'il ne soit trop tard, ce bĂ©bĂ© vient d'oĂč...

- Maman ; je ne comprends pas...

- Dis-moi la vérité ma fille... Si je calcul bien, lorsque ton mari était parti tu avais perdu ta grossesse, c'était ça nooon ?

- Non non maman, c'Ă©tait juste une fosse alerte

- Hum !!! je suis ta mĂšre ! tu es ma fille ! je te protĂšgerai mieux que quiconque ...

- Maman ! c'est quelle sorcellerie ça ! pourquoi tu fais ça ? tu n'aimes pas mon bonheur ou bien ? ce luxe-ci toi tu n'aimes pas ça ? depuis que tu es venue au monde as-tu dĂ©jĂ  vu les blancs en tas comme tu avais vu en Inde ? pour une petite opĂ©ration de tes yeux lĂ , mon mari t'avait envoyĂ© oĂč ?

- Donc Indien aussi c'est blanc ?

- Non maman ; c'est noir ! je vais dormir stiuups...

Francile avait pris son bébé et avait quitté le salon en disant à sa mÚre que sa chambre était celle du fond du couloir...

Le bébé avait sa propre chambre alors Francile l'avait couché avant de rejoindre son mari dans leur chambre juste à coté...

Elle avait éteint toutes les lumiÚres et s'était allongée en regardant les plafonds ; dans cette obscurité, elle avait vu une silhouette lumineuse qui avait la forme d'un gros serpent, traverser les plafonds...

en ce moment-là, elle avait les yeux ouverts, elle voulait crier mais elle s'était retenue à cause de son mari ; elle avait quitté la chambre pour aller voir sa fille ; mais une fois dans la chambre du bébé, le berceau était vide... « « Maman a pris mon enfant ? » » se disait-elle en sortant de la chambre du bébé.

Elle avait cognĂ© la porte de sa mĂšre, celle-ci ne rĂ©pondait pas alors elle avait elle mĂȘme ouvert la porte , sa mĂšre dormait profondĂ©ment ; elle l'avait rĂ©veillĂ© en la secouant, sa mĂšre avait ouvert les yeux et Francile lui disait :

- Maman oĂč est mon enfant ?

- Hein ?

- Mon bĂ©bĂ© maman ! il est oĂč !

- Mais Francile c'est quelle maniÚre de me réveiller là ?

- Je m'en fou maman ! ma fille est oĂč !

- He ! tu vois ta fille ici ?

- Maman elle n'est pas dans sa chambre elle est oĂč alors ?

La maman de Francile avait retiré son drap, était descendu du lit et sortait de la chambre , elle et sa fille avait entendu le bébé pleurer comme si il s'etouffait sous les draps de la pauvres femme

« ingieeeen ingieeeen ingieeeeen »

La mÚre et sa fille s'étaient retournées hébétées et Francile s'était exclamée

- Mamaaaaan !!! mon bébé ? sous tes draps ? Tu voulais étouffer mon enfant ? demain tu rentres au village !

En faisant ces bruits, Eric s'était réveillé et était venu les trouver, l'enfant continuait de pleurer sous les draps de la maman...

Confus et étonné, Eric aussi s'était exclamé :

- Mais Qu'est-ce qui se passe ici Francile ? pourquoi ma fille n'est pas dans sa chambre ?

Francile ne répondait pas elle regardait sa mÚre qui avait la bouche grandement ouverte tellement que c'était plus fort qu'elle.

#A suivre...

‱ Heha ! comment et pourquoi un bĂ©bĂ© de un mois s'est retrouvĂ© dans la chambre de la pauvre femme ?

‱ Comment trouvez-vous les rĂ©actions de Francile ? cache-t-elle quelque chose ou elle ignore vraiment tout ?

‱ Vous à la place de la maman qu'allez-vous faire ?

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 Sephora avec son amie Nina Kodja Ă©taient sur le chemin du marchĂ© et les avaient Ă©couté  - Hum Nina, c’est encore quoi le MST ? le Sida ? - Je sais que quoi Sephora, ils disent qu’il y aura un film ce soir, on va y aller mais Rosaire ne te le permettra pas ; ton type lĂ  est trop jaloux - Jaloux de quoi mĂȘme ? suis-je dĂ©jĂ  sa femme ? stiuuups - Dis-moi Sepho, vous l’avez dĂ©jĂ  fait ? - Fait quoi ! - Tsoutsou tsatsa nooon ? - quoi, l’amour tu veux dire? - Parle moins fort Sephora, les gens vont nous entendre - Avec Rosaire ? pas encore ; tu sais que je ne l’aime pas vraiment einh ? c’est juste parce que ma mĂšre me fait pression, moi mon rĂȘve est d’aller Ă  la capitale me trouver un bon mec friquĂ©, qui sent bon, qui a un gros tĂ©lĂ©phone, qui embrasse comme des blancs ;pas un malheureux villageois comme lui avec des gros pantalons. - Hein ? malheureux villageois ? depuis quand Sephora ? - Nina ! je ne veux pas rester dans ce village ! as-tu dĂ©jĂ  vu les filles de la capitale ? avec les hauts talons, des bon tĂ©lĂ©phone ? des mĂšches
 en tout cas, je ne donnerai pas ma nuditĂ© Ă  ce type jamais ! il ne le mĂ©rite pas, je vais le garder pour mon prince Ă  Kinshasa la Capitaaaaale, perdre ma virginitĂ© avec un Villageois , jamais !

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 pourquoi pas la tienne ? -------------------------------------------- Ce jour-lĂ  ; alors que son mari Ă©tait devant la tĂ©lĂ©, Carine s’était isolĂ©e dans la chambre, avec son test de grossesse Ă  la main
 - « « mais qu’est-ce que je vais pouvoir faire ?je l’avais achetĂ© pour un but mais me voilĂ  entrain d’hĂ©siter, pourvu que ça soit positif, je ne veux surtout pas que Martin me chasse de cette maison, je dirai quoi Ă  ma famille qui n’attend que ma chute? » Elle avait placĂ© le test grossesse comme vous le savez et en retirant elle avait criĂ© : - Cheriiiii !! cheriiiiii vient voir ! vient vient ! Celui-lĂ  s’était prĂ©cipitĂ© dans le couloir et avait poussĂ© la porte de la chambre, curieux de savoir ce qui se passait - Quoi ! quoi ! tu veux me tuer ? - Regarde , Martin regarde c’est positif
 - Ah ouiii ? montre-moi
 explique-moi comment ça se fait ? quand c’est comme ça cela veut dire positif ? - Cela veut dire que je suis enceinte mon amour ; enfin ta mĂšre ta mĂšre va me laisser tranquille - On va aller vĂ©rifier ça. Et c’est depuis combien de temps dĂ©jĂ  - Depuis deux semaines Martin - Deux semaines ? et tu attendais quoi pour me le dire ? - Il fallait que j’en sois sure mon cƓur
 Ils se rĂ©jouissaient dans la chambre et AurĂ©lie s’était arrĂȘtĂ©e au fond du couloir avec sa tasse de thĂ© et les Ă©coutait en disant - « « ils ont quoi encore ces deux-lĂ  ? encore une courte joie stiiiuups» » Quelques minutes aprĂšs, notre couple Ă©tait sortis de leur chambre tout Joyeux et partaient
 - Mais maman vous allez oĂč comme ça ? (avait demandĂ© AurĂšlie) - AurĂšlie fait ce que tu as Ă  faire ton pĂšre et moi avons quelque chose Ă  faire - Hum ! Azui Emmanuel Martin ; il Ă©tait hĂ©ritier d’un noble ; donc il Ă©tait riche ; lui et sa femme Carine Kanangila pour qui il avait d’ailleurs dĂ©pensĂ© une fortune pour la dot, n’avaient pas d’enfant, ils Ă©taient dĂ©jĂ  allĂ©s partout consulter des mĂ©decins mais rien
 Carine avait dĂ©jĂ  eu une fille qu’elle avait eu lorsqu’elle frĂ©quentait encore et qui s’appelait « AurĂ©lie » ; une fille que Emmanuel Marti avait d’ailleurs adoptĂ©e et qui vivait avec eux ; Emmanuel aussi avait une fille nommĂ©e « Tiha Wine ». Tiha, vivait avec sa mĂšre en France, mais revenait quand mĂȘme au pays voir son pĂšre quand elle pouvait
 Cet aprĂšs-midi-lĂ , Carine et son mari Ă©taient montĂ©s tout excitĂ©s dans la voiture et Ă©taient partis ; Aurelie les regardait partir et elle Ă©tait allĂ©e voir Cousso AngĂšle la femme de mĂ©nage qui Ă©tait dans cette famille depuis deux ans ; depuis ces deux longues annĂ©es, elle avait vĂ©cu les hauts et les bas de ce couple puisqu’elle vivait dans cette maison et ne rentrait chez elle que le samedi soir.

LIEN

LIEN

Histoire

5.0

<<SINGA, Corde, Ficelle, ou mĂȘme chaĂźne, je ne sais pas comment vous appelez ça chez vous mais dans le contexte de notre histoire SINGA(lingala) veut dire LIEN>> Ce matin-lĂ  Minata Zongo s’était rĂ©veillĂ©e avec des Ă©pines dans la tĂȘte, puisque une heure avant on les entendait se disputer dans la chambre avec son mari ; elle disait - « « Chrismanu pas mes filles tu es prĂ©venu ! » » ; « jamais ! quel pouvoir ! ces enfants tu les as fait seul ? je vais juste te rafraichir la mĂ©moire, ces enfants je les ai portĂ©s neuf mois dans le ventre » » ; « si BĂ©rĂ©nice Ă©tait sortie prĂ©maturĂ©ment c’était Ă  cause de toi ; tu as dĂ©jĂ  oubliĂ© ? » » ; « « jamais ! jamais ! j’étais ignorante pour Eura mais les autres filles tu devras passer par ma tĂȘte ! » » Lyjie sa deuxiĂšme fille Ă©tait dĂ©jĂ  debout et les Ă©coutait ; elle n’entendait que ce que sa mĂšre disait parce que son pĂšre parlait bas : elle avait sursautĂ© lorsque la porte s’était ouverte et que Chrismanu leur papa, Ă©tait sorti en colĂšre en disant ... - On verra bien qui est l’homme et maitre de cette maison ! toi Minata tu veux t’opposer Ă  moi ? on verra bien !! femme inconsciente ! C’est tout ce qu’elle avait entendu de son pĂšre , celui-ci l’avait vu et lui avait dit : - et toi ! tu Ă©coutes Ă  la porte maintenant ? c’est ce que ta mĂšre t’a appris hein ? toi aussi ton tour viendra ! - Non hein papa
 je viens de me rĂ©veiller ; et je voulais
 Minata suivait son mari et avait trouvĂ© sa fille debout juste Ă  cĂŽtĂ© de leur chambre avec le balai Ă  la main ; et ne l’avait pas ratĂ© : - Toi que fais-tu ici ? il est 4 heures du matin et toi tu fais quoi avec ce ballai. - Maman je vous ai entendu avec papa alors je suis sortie ! - Tu nous as entendu ? qu’as-tu entendu ? Et tu es sortie pourquoi faire? - Maman je sais que ce qui arrive Ă  Eura c’est lui
 - Ferme ta bouche ! je te dis de fermer ta bouche toi la fille-ci ! tu es devenue qui ; l’inspectrice ? - Maman je me fais juste du souci pour toi - Lyjie je ne veux pas t’entendre ! - Hum ! Minata avait suivi son mari malheureusement ce dernier avait dĂ©jĂ  pris son vĂ©lo et Ă©tait parti. « « Minata mĂšre de quatre belle filles Eura , Lyjie July, Clara Lara et BĂ©rĂ©nice la plus jeune ; mariĂ©e Ă  papa Chrismanu avec qui d’ailleurs il y avait sĂ©paration de corps depuis bien longtemps ; Lyjie sa deuxiĂšme fille le savait mais les autres non ... Chrismanu le maitre de la maison et fonctionnaire de l’état, Ă©tait aussi l’un des chefs dans club des papas du village ; tous les jours de minuit Ă  4h30 ils se rĂ©unissaient ; sous un grand Baobab au centre de ce petit village » » Ce jour-lĂ , il Ă©tait 4h30 du matin, Minata en colĂšre avait rĂ©veillĂ© ses enfants mais Eura continuait de dormir, alors Minata avait dĂ©versĂ© sa colĂšre sur elle ; elle avait poussĂ© la porte de sa chambre 


Une vie

Une vie

Romance

5.0

L’Afrique mon continent
 On dit toujours de toi que tu es le berceau de l’humanitĂ©, oui
 j’aime l’Afrique, mon Afrique
 pleine de mystĂšre, de pouvoir , de sagesse et des vertus ; nos forĂȘts ont des oreilles et des yeux, nos riviĂšres ont des oreilles et des yeux, nos fleures ont des oreilles et des yeux, nos vallĂ©es ont des oreilles et des yeux, nos montagnes ont des oreilles et des yeux , mĂȘme nos morts ne meurent pas vraiment mon Afrique qui es-tu ? ------------------------ --------- Un bon matin --------- - Hawa ! c’est quoi cet empressement ma coooo ; tu vas oĂč comme ça? hier j’avais entendu du bruit chez toi c’était quoi ? - Je vais au salon de coiffure ma chĂ©rie ; mon pĂšre est arrivĂ© hier oooh ; aprĂšs cinq ans d’absence Huguette tu t’imagines ? on le croyait mĂȘme dĂ©jĂ  mort tellement qu’on n’avait aucune nouvelle de lui ; - Au saloooon ? salon de coiffure ? toi ? depuis quand ? - Depuis que mon pĂšre est arrivĂ© oooh : j’ai changĂ© je ne suis plus n’importe qui Huguette - Ewoooee Hawa ! Donc tu n’iras plus faire des tresses derriĂšre la maison ? il Ă©tait mĂȘme oĂč ton pĂšre. Je suis sure qu’il a fait des enfants lĂ -bas hahaha - On s’en fiche d’oĂč il Ă©tait ni mĂȘme ce qu’il a fait lĂ -bas, tout ce que je sais ce qu’il revenu avec l’argent ma coooo ; ce matin il m’a donnĂ© une jolie somme pour ma coiffure, je peux mĂȘme payer pour toi si tu veux - On ne refuse jamais une offre hein; pour une fois je vais me faire tripoter la tĂȘte avec du shampoing ; haha allons ; et la fĂȘte commence Ă  quelle heure ? - Peu importe l’heure toi et moi , notre fĂȘte vient de commencer
 - Hawa ce n’est pas ta petite sƓur Ornella que je vois lĂ -bas ? elle va oĂč ? - Huguette vient ; laisse cette sƓur en crise lĂ -bas ; comme tu la vois lĂ , elle va Ă  l’église pour remercier Dieu pour le retour de papa heha ! ; c’est papa qui revient du voyage mais c’est elle qui va remercier Dieu pour son retour onong - Mais c’est bien nooon ? ta sƓur est carrĂ©ment ton opposĂ©e hein ; chez vous lĂ  ; elle est la seule Ă  prier toi tu es seulement dans ce que tu sais lĂ  - Eeeh Huguette je t’arrete tout de suite ! dans quoi suis- je ? donc quand je prie je dois t’envoyer un texto ? je prie sept fois par jour je te signale ; - Hawa la femme qui est derriĂšre nous lĂ , elle nous suit ou quoi
 - Comment ça elle nous suit ? elle est belle hein ? - Tsiuuups je te jure que cette femme est aprĂšs nous depuis qu’on a quittĂ© chez toi - On saura ça, toi avec tes idĂ©es Huguette, haha haha ne gĂąte pas mon humeur stp, elle est comme une sirĂšne - Puisque tu connais les sirĂšnes toi Hawa ? hahahaha Nos deux amies Ă©taient arrivĂ©es au salon et avaient pris place, on avait Ă  peine touchĂ© la tĂȘte de Hawa que cette jeune femme aussi avait fait son entrĂ©e, avait saluĂ© tout le monde comme si c’était une habituĂ©e et elle avait pris place juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle et les deux Ă©taient face la coiffeuse
 - Pourquoi me regardes-tu comme jeune fille ? (lui avait interrogĂ© la jeune femme) - Non rien ; je ne vous regardais pas vraiment ; je regardais plutĂŽt ma copine qui est derriĂšre moi
 - Alors c’est pour quelle occasion cette transformation ? - Pardon ? - Cette petite touche c’est pour quelle occasion ? tu as une sortie spĂ©ciale ? - Oouiii on cĂ©lĂšbre le retour de mon pĂšre ! - Il Ă©tait mort ? - Ekieeee ! que Dieu nous en garde ! il Ă©tait loin de nous depuis cinq ans et il est revenu donc
 - Cool alors
 et vous ĂȘtes surs qu’il est revenu bien seul ? - Pardon ? - Ouiiii puisque un homme ne peut pas quitter sa famille pour un voyage de cinq ans et revenir seul hein
 - Je ne comprends pas
 - C’est normal que tu ne comprennes pas jeune fille ; La coiffeuse avait fini avec Hawa ; et lorsque celle-ci quittait sa chaise pour partir elle avait entendu la jeune femme lui dire :

Un jour, Une vie

Un jour, Une vie

Romance

5.0

Un beau jour mais trĂšs ensoleillĂ© ; Mira une jeune fille de 14ans s’était enfermĂ©e dans sa chambre malgrĂ© la chaleur, des larmes aux yeux, murmurait
 - Que vais-je devenir ? comment est-ce que je vais le dire Ă  ma mĂšre ? mon pĂšre va me tuer ! mais comment j’ai pu tomber enceinte ? j’avais juste fait une fois
 ça se fait aussi ? une seule fois et le bĂ©bĂ© entre ?non ce n’est pas possible ! je suis sure que c’est une erreur 
 il n’avait mĂȘme pas bien introduit sa chose alors pourquoi mes rĂšgles ne viennent pas depuis deux mois ? Weeeeeyeee je vais l’appeler ! mon Dieu fait que ça ne soit pas cela, je suis encore une enfant, et je voulais juste gouter 
je te demande pardon oooh Dieu !je ne vais plus recommencer Elle avait composĂ© le numĂ©ro du responsable Boris qu’elle abrĂ©geait ( bobo), qui Ă©tait aussi un jeune garçon de 16 ans ; celui-lĂ  n’avait pas tardĂ© Ă  rĂ©pondre
 - Ouiiii bĂ©bĂ©eeee
 tu m’appelles en pleine journĂ©e comme ça ta mĂšre n’est pas lĂ  ? - BĂ©bĂ© ? qui bĂ©bĂ© ! en tout cas, ce qui est sĂ»r ce que, tu vas devoir attendre un peu pour appeler ce vrai bĂ©bĂ© qui grandi dans mon ventre ! - Quoi ??? de quoi tu parles ? tu veux dire quoi exactement par le vrai bĂ©bĂ© dans ton ventre ? - Ecoute Bobo ; depuis deux mois dĂ©jĂ  je n’ai pas vu mes rĂšgles donc je crois que je suis enceinte
 - Et ça veut dire quoi je ne comprends pas


Inspirés de vos vus

Dévouée à Mon Alpha

Dévouée à Mon Alpha

Fantaisie

5.0

*18+ seulement. Contient des thĂšmes adultes*. Le jour oĂč nous avons eu un nouvel Alpha, ma famille a Ă©tĂ© forcĂ©e de devenir l'OmĂ©ga. Parce que notre nouvel Alpha, Alpha Jaxon, Ă©tait un monstre violent et cruel qui ne faisait confiance Ă  aucun des anciens guerriers de la meute. Je refusais de l'accepter comme mon Alpha, c'est un sale type, et la rumeur disait que la DĂ©esse de la Lune ne lui avait mĂȘme pas donnĂ© une compagne. Mais ironiquement, dĂšs que je l'ai vu, j'ai Ă©tĂ© en chaleur pour lui. Comment cela a-t-il pu se produire ? Et il avait dĂ©jĂ  trouvĂ© une compagne de contrat ! Je faisais de mon mieux pour l'Ă©viter, mais il me remarquait toujours, avec son regard charmant et sexy... Le pire, c'est que pour accomplir la vengeance de ma famille, je devais me rapprocher d'Alpha Jaxon, le sĂ©duire et le faire tomber complĂštement amoureux de moi... **** "Je ne suis pas sĂ»r que ce soit la façon dont on doit accueillir son Alpha", a-t-il dit Ă  quelques centimĂštres de mes lĂšvres. Je me suis arrĂȘtĂ©e une seconde pour essayer de me calmer, l'adrĂ©naline coulait Ă  flot, tandis que mon loup et moi savourions le confort d'ĂȘtre Ă  nouveau si proche de lui. "Hmm, c'est peut-ĂȘtre vrai, sauf que tu n'es pas encore mon Alpha", lui ai-je rĂ©pondu d'un ton sĂ©duisant et naturel. Nos visages Ă©taient si proches que la chaleur de nos respirations s'entrechoquait, j'avais tellement envie qu'il cĂšde et rĂ©duise la distance entre nous. "Tu le sens, n'est-ce pas ? Ton loup hurle Ă  l'intĂ©rieur de toi pour que je te marque... juste... ici...", Jaxon m'a mordillĂ© le cou trĂšs lĂ©gĂšrement. J'avais l'impression que mes jambes allaient se dĂ©rober sous moi Ă  tout moment. Il a dĂ©placĂ© sa main juste sous mon pull, dans mon dos. Il m'a rapprochĂ©e de sa duretĂ© tandis que son autre main glissait sur le cĂŽtĂ© de mon visage et a caressĂ© doucement ma mĂąchoire. Des Ă©tincelles Ă©lectriques ont parcouru mon corps Ă  son contact, " "Chut Adeline, bientĂŽt tu seras complĂštement soumise Ă  moi. Tu supplieras ton Alpha d'Ă©tirer cette chatte serrĂ©e et humide et de la remplir entiĂšrement", a-t-il dit en abaissant sa main et en passant lĂ©gĂšrement entre mes jambes.

La reine libérée

La reine libérée

Romance

5.0

Il suffit d'une seconde pour que le monde d'une personne s'Ă©croule. Ce fut le cas pour Hannah. Pendant quatre ans, elle a donnĂ© tout son amour Ă  son mari, mais un jour, il lui dit froidement : « Divorçons. » Hannah rĂ©alisa que tous ses efforts des annĂ©es passĂ©es Ă©taient inutiles. Son mari ne s'Ă©tait jamais rĂ©ellement souciĂ© d'elle. Alors qu'elle assimilait encore le choc, sa voix indiffĂ©rente continua : « ArrĂȘte de faire semblant d'ĂȘtre surprise. Je n'ai jamais dit que je t'aimais. Mon cƓur a toujours appartenu Ă  Eliana. Je t'ai Ă©pousĂ©e seulement pour calmer mes parents. Tu Ă©tais naĂŻve de croire autrement. » Le cƓur d'Hannah se brisa en mille morceaux tandis qu'elle signait les papiers du divorce, marquant ainsi la fin de son rĂšgne en tant qu'Ă©pouse dĂ©vouĂ©e. La femme forte qui Ă©tait en elle se manifesta alors rapidement. À ce moment-lĂ , elle jura de ne plus jamais dĂ©pendre d'un homme. Son aura Ă©tait extraordinaire lorsqu'elle entreprit un voyage pour se retrouver et maĂźtriser son propre destin. À son retour, elle avait tellement mĂ»ri et Ă©tait complĂštement diffĂ©rente de l'Ă©pouse docile que tout le monde connaissait autrefois. « Que fais-tu ici, Hannah ? Est-ce ta ruse pour attirer mon attention ? », demanda son arrogant ex-mari. Avant mĂȘme qu'elle puisse rĂ©pliquer, un PDG autoritaire apparu de nulle part et la prit dans ses bras. Il lui sourit et dit avec audace : « Juste pour te prĂ©venir, Monsieur. C'est ma femme bien-aimĂ©e. Éloigne-toi d'elle ! »

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