Terre 0.1 La Menace Barbare

peux autant vous expliquer notre venue ici que la présence d’une flotte à

No Gata observait la scène, dubitatif. S’ouvrir au reste du monde constituait l’étape primordiale dans les plans du souverain de Nygönta, encore fallait-il ne pas se tromp

s offrir certains de nos savoirs, en échange des vôtres. En tant que Oberztaz, je représente le seigneur Sullhizer et sur sa parole, aucune de nos inttentions sont mauvaises. Cependant, j’ai conscience que l’Empire Avazen e

ors ?! Demanda avec v

dent impliquant un aristaz, qui plus est un aristaz partageant le sang du seigneur Sullhizer. Je vous prie de me croire et de m’écouter. Cette situation nous amuse plus

ranges visites ces dernières nuits – Le duc de Roa se tourna alors vers ses compatriotes –. Je m’excuse de vous prévenir que maintenant, je voulai

agne. Pour la plupart des personnes présentes, la muraille était un édifice aussi lointain qu’intouchable. Leur protection face au rest

tance. Pourquoi n’ai-je pas été mis au courant avant la ten

auraient lieu entre temps. Mais j’ai pu le voir de mes propres yeux et je pe

ommes le dérangement ? Questionn

ne nous dites pas tout. O

son sourire. « Je vous préviens, provoquer l’Empire Avazen n’est pas la meilleure idée », vociférait de son côté l’aristaz ; « Nous ne craignons pas les av

m’en remets aux paroles sages de nos invités les Avazen. Mais en tant que garant de l’ordre et de la sécurité sur Nygönta, je me dois, et tout

nt tournés vers le duc de Roa. Il sentit une forte pres

ygönta, son accent avait quelque chose de… rauque. Il disait maîtriser notre langue grâce à son apprentissage personnel, il mettait un point d’honneur à me faire entendre ça. Bref, sa peau était brunie et ses cheveux, sa barbe, noirs comme une nuit sans étoi

s symboles ? Qu’étai

uque, qui raisonna dans tout le dôme. Karo tourna dos à l’amphithéâtre p

une force maitrisée, il fit basculer tout son corps sur le toit. ※Il vient

du colosse enflammé. Une cape était accrochée à son épaule gauche à l’aide d’une fibule, le tout cachant sa tunique. Hilare d’avoir réussi une nouvelle prouesse d’escalade, i

laissait enfin distinguer sa tunique arrivant à mi-cuisse, bordée d’étoffes et de garnitures métalliques spécifiques, complexes, d’un éclat obscur. To

visiteur ? Demanda de la voix la p

ttentive –, Deikh Kalah Oberzheim. Je vo

-il ici ? Pourquoi lui ?※ Oberztaz se leva de sa tribune et descendit fébrilement les marches jusqu’à la sc

as-tu choisi ? Questionna le magi

ses mains sur ses épaules. Aussitôt, deux miliciens armés de lance s’opposèrent à ces salutations, repoussant Kalah en

intentions vous présentez-vous devant le conseil des

primitives, j’ai rarement vu de peuple désarmé auss

les lances pointées

nous sommes en mesu

is, nous ne parlons

ra, soulevant l’admiration de ses vo

son sein. Le Deikh s’approcha de Karo et du No Gata. L’instinct du chef de l’escadron volant le poussait à chercher une arme, m

s pas ce que ce mot signifiait-. Mes intentions n’avaient rien de mauvaises en arrivant sur… Comment vous l’appelez déjà ? Nygönta ? Mais voyez-vous, votre terre abrite des être

erre vient de retrouver la paix. Qui êtes-vo

vous aussi devez le savoir -Regardant cette fois le No Gata, qui inspectait la pierre-. Vous savez tou

s sa tête. Ce qui arrivait à l’extérieur de la muraille était quasiment impossible à endiguer. Mais s’il y avait quelque chose à tenter, il avait déjà pris les devants. Il comptait sur

s’immisça dans ses entrailles. Le No Gata n’avait jamais paru aussi grave dans son ton. Les miliciens entourèrent le Deikh qui n’o

re innocence, aussi une escorte vous ra

votre fin en faisan

sion de vous trouver, dit le Deikh assez fort pour que l’amphithéâtre puis

ant la stupeur générale de

i ? Demanda de nouveau Oberztaz,

ère meurt pour récupérer son rang. Toi ou tes frileux

voqua ce dernier alors que quatre miliciens commençaient à le transporter à l’extérieur de l’amphithéâtre. La cohue générale devenait intense. Tous les ducs et chefs de village souhaitaient p

rapprocha au plus près de son descendant, lui jetan

présence dans l’armée de Kommogüs peut déc

l semblait heureux d’entendre ces mots à so

ous pouvon