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Conscience et Responsabilité : Le sens

Conscience et Responsabilité : Le sens

TATTY

5.0
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Chapitres

Il était exactement 19 heures quand la voiture de Mireille se gara devant sa maison, elle était toute contente de pouvoir enfin voir son mari, elle ne l'avait pas vu depuis 3 mois en raison d'un déplacement dans une ville voisine. Elle était tellement excitée à l'idée de passer encore du temps avec lui seul à seul qu'en sortant de la voiture elle manqua de tomber. Elle ne prit pas la peine de prendre ses bagages, elle prit son sac à main et se dirigea vers la bâtisse que son mari avait acheté 5 ans auparavant lors de leur mariage, ils y avaient fait leur nid et vivaient leur amour. Le cœur battant, elle se dirigeait à grand pas vers la maison qui n'avait pas de lumière, elle se dit intérieurement que son homme n'était pas encore rentré du boulot et qu'elle aurait donc le temps de lui faire une surprise vraiment pimentée à son arrivé comme à leur habitude. 3 mois loin de son mari était pour elle une torture sans pareille, elle avait toujours envie de lui à chaque occasion et ne manquait pas de le lui dire à chaque fois qu'ils faisaient du sex-phone. Après tout elle était mariée quelle honte y'avait-il à se masturber devant son homme ? Aucune ! Elle arriva devant la porte sortit sa clé et l'introduit dans la serrure... - Surpriiiiseeeeee JOYEUX ANNIVERSAIRE! criaient des gens en cœur tandis que les lumières s'allumaient. Mireille se mit à crier lâchant son sac, elle eut la peur de sa vie mais voyant son mari s'approcher d'elle, elle se sentit rassurée, son Anthony toujours aussi beau, avec son sourire angélique il lui faisait toujours de l'effet comme si chaque jour elle le rencontrait pour la première fois, elle était éperdument amoureuse de lui, après Dieu, elle pouvait dire qu'Anthony comblait l'air dans ses poumons.

Chapitre 1 1

Il était exactement 19 heures quand la voiture de Mireille se gara devant sa maison, elle était toute contente de pouvoir enfin voir son mari, elle ne l'avait pas vu depuis 3 mois en raison d'un déplacement dans une ville voisine. Elle était tellement excitée à l'idée de passer encore du temps avec lui seul à seul qu'en sortant de la voiture elle manqua de tomber. Elle ne prit pas la peine de prendre ses bagages, elle prit son sac à main et se dirigea vers la bâtisse que son mari avait acheté 5 ans auparavant lors de leur mariage, ils y avaient fait leur nid et vivaient leur amour. Le cœur battant, elle se dirigeait à grand pas vers la maison qui n'avait pas de lumière, elle se dit intérieurement que son homme n'était pas encore rentré du boulot et qu'elle aurait donc le temps de lui faire une surprise vraiment pimentée à son arrivé comme à leur habitude.

3 mois loin de son mari était pour elle une torture sans pareille, elle avait toujours envie de lui à chaque occasion et ne manquait pas de le lui dire à chaque fois qu'ils faisaient du sex-phone. Après tout elle était mariée quelle honte y'avait-il à se masturber devant son homme ? Aucune ! Elle arriva devant la porte sortit sa clé et l'introduit dans la serrure...

- Surpriiiiseeeeee JOYEUX ANNIVERSAIRE! criaient des gens en cœur tandis que les lumières s'allumaient.

Mireille se mit à crier lâchant son sac, elle eut la peur de sa vie mais voyant son mari s'approcher d'elle, elle se sentit rassurée, son Anthony toujours aussi beau, avec son sourire angélique il lui faisait toujours de l'effet comme si chaque jour elle le rencontrait pour la première fois, elle était éperdument amoureuse de lui, après Dieu, elle pouvait dire qu'Anthony comblait l'air dans ses poumons.

- Bonsoir ma chérie, joyeux anniversaire et bienvenue chez toi. Lui dit-il d'une voix grave et sensuelle.

- Merci mon amour, c'est une sacrée surprise, moi qui pensais te faire une surprise je suis choquée. Merci à vous tous, vous me mettez de la joie dans le cœur dit-elle s'adressant à leurs amis proches, des amis d'enfances parmi lesquels elle reconnut directement son amie Laeticia qui lui fit un clin d'œil complice. Elle était la complice d'Anthony pour cette petite fête.

- Il n'y a pas de quoi pour la femme la plus belle du monde, tu le mérites tu as bien voyagé ?

- Oui bébé, je suis fatigué mais je tiens le coup.

- Finissons cette petite surprise, et je te montrerais à quel point tu m'as manqué.

- J'ai hâte finissons ça et je suis à toi.

Anthony était chef d'une entreprise qui faisaient dans l'import-export, son père l'avait fondé et à la mort de celui-ci, il avait pris les rênes de la mini entreprise et en avait fait une entreprise florissante ; pour le moment il était au stade africain mais voulait une expansion vers l'Europe. Mireille était consultante dans des ONG et du fait de son travail elle était majoritairement absente de son foyer depuis 3 ans elle était sur le terrain.

Maintenant qu'ils étaient seuls dans leur chambre la tension montait et l'air devenait de plus en plus chaud. Mireille avait juste envie de manger son homme tellement il lui avait manqué le désir se lisait aussi dans les yeux de son époux. Elle se déshabilla et se mit sous la douche appliquant ses huiles essentielles sur le corps pour redonner de la douceur à sa peau. Elle sortit de la salle de bain de leur chambre avec sa grande serviette autour de sa grande poitrine, elle était prête à se faire prendre de partout. Anthony était dans le lit, il avait allumé la chaine hi-fi de leur chambre et avait passé un son romantique pendant qu'il leur servait du rosé.

- Approche toi baby je veux qu'aujourd'hui soit comme notre lune de miel tu es tellement belle et tu sens bon j'adore quand tu es si douce dit-il en la reniflant.

Elle s'exécuta sentant le désir refoulé pendant la fête refaire surface et elle se sentait déjà toute mouillée sous sa serviette. Anthony embrassa sa femme avec avidité et il lui aussi il sentait son sexe se gonfler de désir sous son pantalon. Elle l'attira vers le lit entre deux baisers et se mit à lui lécher l'oreille, le torse, les pectoraux s'attardant sur ses tétons, elle voulait prendre son temps. Elle revint sur sa bouche cherchant sa langue et caressant son pantalon, elle défit tranquillement sa ceinture laissant tomber son pantalon, elle prit son sexe dans sa main et se mit à le masturber lentement. Elle se pencha et le mit directement entre ses lèvres pulpeuses et enroula sa langue sur son gland.

- Tu m'as tellement manqué, il n'y a que toi pour me faire ressentir ce type de sensation Mireille je t'aime trop.

Il ne l'a laissa pas continuer et la prit pour lui faire un cunnilingus comme à son accoutumé et sa femme se mit en position et écarta les jambes laissant tomber sa serviette sur le lit et dévoilant ses tétons raidis par le désir. Anthony entreprit d'explorer le corps de sa femme du fond en comble lui arrachant des couinements et des gémissements sourds. Il la lécha comme si sa vie en dépendait et la sentait mouiller de plus en plus. Il mit ses grandes mains sous les fesses de sa femme pour lui soulever le bassin, il se sentait déjà à bout et ne pouvait plus supporter les gémissements de sa femme c'était une torture sans pareil. Il retourna sa femme et la mit à quatre pattes tout en lui pressant les seins. Mireille était pantelante de désir elle voulait juste recevoir son mari au fond de son intimité, elle le suppliait presque avec ses reins de la prendre directement il fit durer le plaisir en la pénétrant de son majeur en lui mordillant les fesses. Au moment elle ne s'y attendait pas il la pénétra avec fougue et se mit à faire des mouvements de va et vient aussi rapide et sec qu'un coup de vent en pleine tempête, ce qui arracha des cris à Mireille elle griffait les draps en criant le nom de son mari, en lui disant combien il compte pour elle, elle atteignit l'orgasme, mais Anthony n'avait pas envie de se libérer et retourna sa femme pour la regarder dans les yeux avant de jouir dans la position du missionnaire. Ils firent l'amour plusieurs fois cette nuit avant de s'endormir au petit matin recroquevillé et emboité comme de parfaites pièces de puzzle.

Ils étaient heureux ce jeune couple et tout leur était ouvert et offert, ils leur manquaient ce quelque chose qui unit les couples jusqu'à la mort et qui fait en sorte que même quand l'amour entre eux deux s'éteint, un autre type d'amour nait pour toujours les rattacher. Ce quelque chose là, Mireille se rendra compte assez tardivement qu'elle en a besoin pour préserver son foyer. Mais ne dit-on pas que : « mieux vaut tard que jamais ? »...

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Quelque part en Afrique… - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de Jésus ! au nom de Jésus ! Francile Samba avait crié le nom de Jésus dans la chambre pendant qu’elle allaitait son bébé qui n’avait à peine qu’un mois, son mari Eric Gafarou s’apprêtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et était sorti avec une pelle en s’exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est où le serpent ? un serpent ici ? je n’ai jamais entendu ça ! - Là ! là ! il est entré par là ! il est passé entre mes jambes chéri je l’ai vu, c’était bel et bien un gros serpent je te jure chéri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais déjà peur au bébé ; il n’y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner… je dois y aller d’accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j’ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n’es pas seule ; Diane est là dans la cuisine nooon ? - Et qu’est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dépose moi chez Zata Touré, tu passeras me prendre après ton travail… - Avec le bébé ? mais tu t’entends parler ? un bébé d’un mois ? - Reste à la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais très bien que je ne peux pas rester chérie, j’ai fait huit mois à l’est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-là, Eric avait déposé sa femme et son bébé d’un mois à peine chez Zata avant d’aller au travail. Francile avait cogné au portail et son amie Zata qui allumait son feu s’était dépêché pour ouvrir ; au même moment, Joséphine Sama la bailleresse de Zata s’apprêtait à exposer ses épices devant la parcelle… … Zata en voyant sa copine à cette heure-là s’était exclamée… - Ekie Francile ! à six heures du matin ? avec un bébé ? il a même combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n’a pas donné ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est là ? - Non ; il a travaillé la nuit et il n’est pas encore rentré; c’est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d’abord si ça n’a pas marché parce que là tu me fais peur ! - Allons à l’intérieur Zata ; ta bailleresse me fait genre… regarde, elle n’a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu’ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vérités ! Joséphine les avait entendu et sans rien dire elle avait continué ses taches … dans la maison de Zata ; Francile avait raconté à sa copine ce qu’elle avait vu chez elle, càd, un serpent qui avait traversé ses jambes… Zata étonnée, s’était exclamée ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c’était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n’est pas bon signe oooh - Tu parles d’un serpent comme signe ? tu penses que… mais tu sais que ce jour là aussi j’avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre… - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut être que c’est juste un… attends ; j’entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-là a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s’ était retrouvée nez à nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman Joséphine … c’est quoi ! tu nous espionnes ? tu m’as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui témoigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n’avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m’a laissé sa part de l’électricité ? parce que c’est pour ça que je suis là - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-même là-bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore crié dans ma maison en lâchant le bébé sur le canapé : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle était sortie de la maison…

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