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Conscience et Responsabilité : Le sens

Conscience et Responsabilité : Le sens

TATTY

5.0
avis
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25
Chapitres

Il Ă©tait exactement 19 heures quand la voiture de Mireille se gara devant sa maison, elle Ă©tait toute contente de pouvoir enfin voir son mari, elle ne l'avait pas vu depuis 3 mois en raison d'un dĂ©placement dans une ville voisine. Elle Ă©tait tellement excitĂ©e Ă  l'idĂ©e de passer encore du temps avec lui seul Ă  seul qu'en sortant de la voiture elle manqua de tomber. Elle ne prit pas la peine de prendre ses bagages, elle prit son sac Ă  main et se dirigea vers la bĂątisse que son mari avait achetĂ© 5 ans auparavant lors de leur mariage, ils y avaient fait leur nid et vivaient leur amour. Le cƓur battant, elle se dirigeait Ă  grand pas vers la maison qui n'avait pas de lumiĂšre, elle se dit intĂ©rieurement que son homme n'Ă©tait pas encore rentrĂ© du boulot et qu'elle aurait donc le temps de lui faire une surprise vraiment pimentĂ©e Ă  son arrivĂ© comme Ă  leur habitude. 3 mois loin de son mari Ă©tait pour elle une torture sans pareille, elle avait toujours envie de lui Ă  chaque occasion et ne manquait pas de le lui dire Ă  chaque fois qu'ils faisaient du sex-phone. AprĂšs tout elle Ă©tait mariĂ©e quelle honte y'avait-il Ă  se masturber devant son homme ? Aucune ! Elle arriva devant la porte sortit sa clĂ© et l'introduit dans la serrure... - Surpriiiiseeeeee JOYEUX ANNIVERSAIRE! criaient des gens en cƓur tandis que les lumiĂšres s'allumaient. Mireille se mit Ă  crier lĂąchant son sac, elle eut la peur de sa vie mais voyant son mari s'approcher d'elle, elle se sentit rassurĂ©e, son Anthony toujours aussi beau, avec son sourire angĂ©lique il lui faisait toujours de l'effet comme si chaque jour elle le rencontrait pour la premiĂšre fois, elle Ă©tait Ă©perdument amoureuse de lui, aprĂšs Dieu, elle pouvait dire qu'Anthony comblait l'air dans ses poumons.

Chapitre 1 1

Il Ă©tait exactement 19 heures quand la voiture de Mireille se gara devant sa maison, elle Ă©tait toute contente de pouvoir enfin voir son mari, elle ne l'avait pas vu depuis 3 mois en raison d'un dĂ©placement dans une ville voisine. Elle Ă©tait tellement excitĂ©e Ă  l'idĂ©e de passer encore du temps avec lui seul Ă  seul qu'en sortant de la voiture elle manqua de tomber. Elle ne prit pas la peine de prendre ses bagages, elle prit son sac Ă  main et se dirigea vers la bĂątisse que son mari avait achetĂ© 5 ans auparavant lors de leur mariage, ils y avaient fait leur nid et vivaient leur amour. Le cƓur battant, elle se dirigeait Ă  grand pas vers la maison qui n'avait pas de lumiĂšre, elle se dit intĂ©rieurement que son homme n'Ă©tait pas encore rentrĂ© du boulot et qu'elle aurait donc le temps de lui faire une surprise vraiment pimentĂ©e Ă  son arrivĂ© comme Ă  leur habitude.

3 mois loin de son mari était pour elle une torture sans pareille, elle avait toujours envie de lui à chaque occasion et ne manquait pas de le lui dire à chaque fois qu'ils faisaient du sex-phone. AprÚs tout elle était mariée quelle honte y'avait-il à se masturber devant son homme ? Aucune ! Elle arriva devant la porte sortit sa clé et l'introduit dans la serrure...

- Surpriiiiseeeeee JOYEUX ANNIVERSAIRE! criaient des gens en cƓur tandis que les lumiùres s'allumaient.

Mireille se mit à crier lùchant son sac, elle eut la peur de sa vie mais voyant son mari s'approcher d'elle, elle se sentit rassurée, son Anthony toujours aussi beau, avec son sourire angélique il lui faisait toujours de l'effet comme si chaque jour elle le rencontrait pour la premiÚre fois, elle était éperdument amoureuse de lui, aprÚs Dieu, elle pouvait dire qu'Anthony comblait l'air dans ses poumons.

- Bonsoir ma chérie, joyeux anniversaire et bienvenue chez toi. Lui dit-il d'une voix grave et sensuelle.

- Merci mon amour, c'est une sacrĂ©e surprise, moi qui pensais te faire une surprise je suis choquĂ©e. Merci Ă  vous tous, vous me mettez de la joie dans le cƓur dit-elle s'adressant Ă  leurs amis proches, des amis d'enfances parmi lesquels elle reconnut directement son amie Laeticia qui lui fit un clin d'Ɠil complice. Elle Ă©tait la complice d'Anthony pour cette petite fĂȘte.

- Il n'y a pas de quoi pour la femme la plus belle du monde, tu le mérites tu as bien voyagé ?

- Oui bébé, je suis fatigué mais je tiens le coup.

- Finissons cette petite surprise, et je te montrerais à quel point tu m'as manqué.

- J'ai hùte finissons ça et je suis à toi.

Anthony Ă©tait chef d'une entreprise qui faisaient dans l'import-export, son pĂšre l'avait fondĂ© et Ă  la mort de celui-ci, il avait pris les rĂȘnes de la mini entreprise et en avait fait une entreprise florissante ; pour le moment il Ă©tait au stade africain mais voulait une expansion vers l'Europe. Mireille Ă©tait consultante dans des ONG et du fait de son travail elle Ă©tait majoritairement absente de son foyer depuis 3 ans elle Ă©tait sur le terrain.

Maintenant qu'ils Ă©taient seuls dans leur chambre la tension montait et l'air devenait de plus en plus chaud. Mireille avait juste envie de manger son homme tellement il lui avait manquĂ© le dĂ©sir se lisait aussi dans les yeux de son Ă©poux. Elle se dĂ©shabilla et se mit sous la douche appliquant ses huiles essentielles sur le corps pour redonner de la douceur Ă  sa peau. Elle sortit de la salle de bain de leur chambre avec sa grande serviette autour de sa grande poitrine, elle Ă©tait prĂȘte Ă  se faire prendre de partout. Anthony Ă©tait dans le lit, il avait allumĂ© la chaine hi-fi de leur chambre et avait passĂ© un son romantique pendant qu'il leur servait du rosĂ©.

- Approche toi baby je veux qu'aujourd'hui soit comme notre lune de miel tu es tellement belle et tu sens bon j'adore quand tu es si douce dit-il en la reniflant.

Elle s'exĂ©cuta sentant le dĂ©sir refoulĂ© pendant la fĂȘte refaire surface et elle se sentait dĂ©jĂ  toute mouillĂ©e sous sa serviette. Anthony embrassa sa femme avec aviditĂ© et il lui aussi il sentait son sexe se gonfler de dĂ©sir sous son pantalon. Elle l'attira vers le lit entre deux baisers et se mit Ă  lui lĂ©cher l'oreille, le torse, les pectoraux s'attardant sur ses tĂ©tons, elle voulait prendre son temps. Elle revint sur sa bouche cherchant sa langue et caressant son pantalon, elle dĂ©fit tranquillement sa ceinture laissant tomber son pantalon, elle prit son sexe dans sa main et se mit Ă  le masturber lentement. Elle se pencha et le mit directement entre ses lĂšvres pulpeuses et enroula sa langue sur son gland.

- Tu m'as tellement manqué, il n'y a que toi pour me faire ressentir ce type de sensation Mireille je t'aime trop.

Il ne l'a laissa pas continuer et la prit pour lui faire un cunnilingus comme Ă  son accoutumĂ© et sa femme se mit en position et Ă©carta les jambes laissant tomber sa serviette sur le lit et dĂ©voilant ses tĂ©tons raidis par le dĂ©sir. Anthony entreprit d'explorer le corps de sa femme du fond en comble lui arrachant des couinements et des gĂ©missements sourds. Il la lĂ©cha comme si sa vie en dĂ©pendait et la sentait mouiller de plus en plus. Il mit ses grandes mains sous les fesses de sa femme pour lui soulever le bassin, il se sentait dĂ©jĂ  Ă  bout et ne pouvait plus supporter les gĂ©missements de sa femme c'Ă©tait une torture sans pareil. Il retourna sa femme et la mit Ă  quatre pattes tout en lui pressant les seins. Mireille Ă©tait pantelante de dĂ©sir elle voulait juste recevoir son mari au fond de son intimitĂ©, elle le suppliait presque avec ses reins de la prendre directement il fit durer le plaisir en la pĂ©nĂ©trant de son majeur en lui mordillant les fesses. Au moment elle ne s'y attendait pas il la pĂ©nĂ©tra avec fougue et se mit Ă  faire des mouvements de va et vient aussi rapide et sec qu'un coup de vent en pleine tempĂȘte, ce qui arracha des cris Ă  Mireille elle griffait les draps en criant le nom de son mari, en lui disant combien il compte pour elle, elle atteignit l'orgasme, mais Anthony n'avait pas envie de se libĂ©rer et retourna sa femme pour la regarder dans les yeux avant de jouir dans la position du missionnaire. Ils firent l'amour plusieurs fois cette nuit avant de s'endormir au petit matin recroquevillĂ© et emboitĂ© comme de parfaites piĂšces de puzzle.

Ils Ă©taient heureux ce jeune couple et tout leur Ă©tait ouvert et offert, ils leur manquaient ce quelque chose qui unit les couples jusqu'Ă  la mort et qui fait en sorte que mĂȘme quand l'amour entre eux deux s'Ă©teint, un autre type d'amour nait pour toujours les rattacher. Ce quelque chose lĂ , Mireille se rendra compte assez tardivement qu'elle en a besoin pour prĂ©server son foyer. Mais ne dit-on pas que : « mieux vaut tard que jamais ? »...

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 - Heeee heeeee heeee cheriiiii cheriiii un serpent ; un serpent ! au nom de JĂ©sus ! au nom de JĂ©sus ! Francile Samba avait criĂ© le nom de JĂ©sus dans la chambre pendant qu’elle allaitait son bĂ©bĂ© qui n’avait Ă  peine qu’un mois, son mari Eric Gafarou s’apprĂȘtait pour son travail et du salon, il avait entendu sa femme crier et Ă©tait sorti avec une pelle en s’exclamant lui aussi : - Quoi ! serpent ??? dans ma maison ? serpent ? il est oĂč le serpent ? un serpent ici ? je n’ai jamais entendu ça ! - LĂ  ! lĂ  ! il est entrĂ© par lĂ  ! il est passĂ© entre mes jambes chĂ©ri je l’ai vu, c’était bel et bien un gros serpent je te jure chĂ©ri ! heeeee haaaa ! - Bon tu vas te calmer mon amour, regarde, tu fais dĂ©jĂ  peur au bĂ©bĂ© ; il n’y a pas de serpent ici ; tu as du halluciner
 je dois y aller d’accord ? - Halluciner tu dis Eric ? j’ai peur oooh ; je ne veux pas rester ici seule ici non non non, - Mais tu n’es pas seule ; Diane est lĂ  dans la cuisine nooon ? - Et qu’est-ce que Diane peut faire dans ce genre de situation ? heha ! pardon dĂ©pose moi chez Zata TourĂ©, tu passeras me prendre aprĂšs ton travail
 - Avec le bĂ©bĂ© ? mais tu t’entends parler ? un bĂ©bĂ© d’un mois ? - Reste Ă  la maison alors si tu ne veux pas que je parte ; moi je ne peux pas rester ici ; pas seule en tout cas ! - Tu sais trĂšs bien que je ne peux pas rester chĂ©rie, j’ai fait huit mois Ă  l’est du pays et je dois faire mon rapport ce matin, mon patron ne me laisse plus tranquille ; Ce matin-lĂ , Eric avait dĂ©posĂ© sa femme et son bĂ©bĂ© d’un mois Ă  peine chez Zata avant d’aller au travail. Francile avait cognĂ© au portail et son amie Zata qui allumait son feu s’était dĂ©pĂȘchĂ© pour ouvrir ; au mĂȘme moment, JosĂ©phine Sama la bailleresse de Zata s’apprĂȘtait Ă  exposer ses Ă©pices devant la parcelle
 
 Zata en voyant sa copine Ă  cette heure-lĂ  s’était exclamĂ©e
 - Ekie Francile ! Ă  six heures du matin ? avec un bĂ©bĂ© ? il a mĂȘme combien des jours ce petit ange ? un mois ? quoi ; ça n’a pas donnĂ© ? - Heeeeh donner quoi ! doucement Zata je vais tout te dire oooh ! ton mari est lĂ  ? - Non ; il a travaillĂ© la nuit et il n’est pas encore rentrĂ©; c’est quoi que tu vas me dire Francile ? dis-moi d’abord si ça n’a pas marchĂ© parce que lĂ  tu me fais peur ! - Allons Ă  l’intĂ©rieur Zata ; ta bailleresse me fait genre
 regarde, elle n’a que des yeux sur moi ! - Cette femme oublie qu’ici moi je ne fais que louer sa maison, je ne suis pas un membre de sa famille stiuuup ! elle aime trop les affaires des gens ; regarde la ! un jour je lui dirais ses quatre vĂ©ritĂ©s ! JosĂ©phine les avait entendu et sans rien dire elle avait continuĂ© ses taches 
 dans la maison de Zata ; Francile avait racontĂ© Ă  sa copine ce qu’elle avait vu chez elle, cĂ d, un serpent qui avait traversĂ© ses jambes
 Zata Ă©tonnĂ©e, s’était exclamĂ©e ; - Non ! noooon Francine ! ne me dis pas ça ! et tu penses que c’était ça le signe ? chez moi une femme enceinte ou celle qui allaite ne peut pas voir un serpent tu sais ? ce n’est pas bon signe oooh - Tu parles d’un serpent comme signe ? tu penses que
 mais tu sais que ce jour lĂ  aussi j’avais entendu des sifflements ? Tu penses que ça peut etre
 - Mais oui ! bon ! ne paniquons pas, peut ĂȘtre que c’est juste un
 attends ; j’entends des pas ; je vais voir si ma bailleresse est devant chez moi, celle-lĂ  a des oreilles longues comme un esprit Zata avait ouvert la porte pour aller voir et s’ Ă©tait retrouvĂ©e nez Ă  nez avec sa bailleresse et avait tressailli - He ! maman JosĂ©phine 
 c’est quoi ! tu nous espionnes ? tu m’as fait peur ; tu fais quoi ici ! - Tu trembles pourquoi ? Tu penses que je peux vous faire quoi ! ce sont vos propres murs qui tĂ©moigneront contre vous moi quoi ! la nature a des oreilles n’avez-vous jamais entendu ça ? ton mari m’a laissĂ© sa part de l’électricitĂ© ? parce que c’est pour ça que je suis lĂ  - Ekie ! et il fallait venir ici ?pardon ; il faut partir, je viendrai moi-mĂȘme lĂ -bas hum ! Pendant que Zata discutait avec sa bailleresse, Francile avait encore criĂ© dans ma maison en lĂąchant le bĂ©bĂ© sur le canapĂ© : - Serpent ! serpent : Zataaaaaa ! Zataaaa ! Elle Ă©tait sortie de la maison


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(( l’épaule ne fuit pas le bras parce qu’il est malade, dit-on ; si les Ă©toiles semblent petites, ce n’est pas la faute des Ă©toiles mais plutĂŽt nos yeux qui ne voient que le bout du nez ; la vie est parsemĂ©e de difficultĂ©s nous devons apprendre Ă  surmonter, car si les oreilles cherchent Ă  dĂ©passer la tĂȘte lĂ , c’est un problĂšme , quelqu’un m’a dit un jour que, la bouche d’un vieillard peut sentir mauvais mais ; elle est pleine de sagesse ; on ne choisit pas nos parents ; on ne choisit pas nos enfants c’est Dieu qui nous les donne ; nous devons aimer ceux que Dieu nous a donnĂ© . NB : dans la vie nous avons toujours le choix. Je vous prĂ©sente Sephora Mwaya Wadile, Fille de monsieur Manu Bantsimba et Aicha Katchale dans TRAUMA)) -------- ------- ------ --------- Quelque part en Ă  l’Equateur, une province de la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo ; vivait tranquillement une famille bien que modeste mais heureuse. Monsieur Manu Bantsimba et Aicha Katchale ; avaient deux filles Sephora et Syntiche. Le couple prĂ©parait le mariage de leur fille Sephora ; une semaine avant le mariage coutumier, une Ă©quipe d’une ONG venue de la capitale marchait dans tout le village pour une sensibilisation sur le MST ; d’ailleurs, une projection d’un film Ă©tait prĂ©vue le mĂȘme jour
 Sephora avec son amie Nina Kodja Ă©taient sur le chemin du marchĂ© et les avaient Ă©couté  - Hum Nina, c’est encore quoi le MST ? le Sida ? - Je sais que quoi Sephora, ils disent qu’il y aura un film ce soir, on va y aller mais Rosaire ne te le permettra pas ; ton type lĂ  est trop jaloux - Jaloux de quoi mĂȘme ? suis-je dĂ©jĂ  sa femme ? stiuuups - Dis-moi Sepho, vous l’avez dĂ©jĂ  fait ? - Fait quoi ! - Tsoutsou tsatsa nooon ? - quoi, l’amour tu veux dire? - Parle moins fort Sephora, les gens vont nous entendre - Avec Rosaire ? pas encore ; tu sais que je ne l’aime pas vraiment einh ? c’est juste parce que ma mĂšre me fait pression, moi mon rĂȘve est d’aller Ă  la capitale me trouver un bon mec friquĂ©, qui sent bon, qui a un gros tĂ©lĂ©phone, qui embrasse comme des blancs ;pas un malheureux villageois comme lui avec des gros pantalons. - Hein ? malheureux villageois ? depuis quand Sephora ? - Nina ! je ne veux pas rester dans ce village ! as-tu dĂ©jĂ  vu les filles de la capitale ? avec les hauts talons, des bon tĂ©lĂ©phone ? des mĂšches
 en tout cas, je ne donnerai pas ma nuditĂ© Ă  ce type jamais ! il ne le mĂ©rite pas, je vais le garder pour mon prince Ă  Kinshasa la Capitaaaaale, perdre ma virginitĂ© avec un Villageois , jamais !

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Parfois la solution aux problĂšmes qui nous pourrissent la vie est juste Ă  cotĂ©; parfois nous sommes nous-mĂȘme la solution mais, comment le savoir si nous n’avons pas de discernement? Apprenons Ă  simplifier la vie ; arrĂȘtons de mĂ©priser les autres; toujours faire attention Ă  ce qui sort de notre bouche car le mal que nous faisons aujourd’hui peut nous porter prĂ©judice demain. Lisons attentivement cette histoire peut ĂȘtre qu’elle pourra sauver une vie 
 pourquoi pas la tienne ? -------------------------------------------- Ce jour-lĂ  ; alors que son mari Ă©tait devant la tĂ©lĂ©, Carine s’était isolĂ©e dans la chambre, avec son test de grossesse Ă  la main
 - « « mais qu’est-ce que je vais pouvoir faire ?je l’avais achetĂ© pour un but mais me voilĂ  entrain d’hĂ©siter, pourvu que ça soit positif, je ne veux surtout pas que Martin me chasse de cette maison, je dirai quoi Ă  ma famille qui n’attend que ma chute? » Elle avait placĂ© le test grossesse comme vous le savez et en retirant elle avait criĂ© : - Cheriiiii !! cheriiiiii vient voir ! vient vient ! Celui-lĂ  s’était prĂ©cipitĂ© dans le couloir et avait poussĂ© la porte de la chambre, curieux de savoir ce qui se passait - Quoi ! quoi ! tu veux me tuer ? - Regarde , Martin regarde c’est positif
 - Ah ouiii ? montre-moi
 explique-moi comment ça se fait ? quand c’est comme ça cela veut dire positif ? - Cela veut dire que je suis enceinte mon amour ; enfin ta mĂšre ta mĂšre va me laisser tranquille - On va aller vĂ©rifier ça. Et c’est depuis combien de temps dĂ©jĂ  - Depuis deux semaines Martin - Deux semaines ? et tu attendais quoi pour me le dire ? - Il fallait que j’en sois sure mon cƓur
 Ils se rĂ©jouissaient dans la chambre et AurĂ©lie s’était arrĂȘtĂ©e au fond du couloir avec sa tasse de thĂ© et les Ă©coutait en disant - « « ils ont quoi encore ces deux-lĂ  ? encore une courte joie stiiiuups» » Quelques minutes aprĂšs, notre couple Ă©tait sortis de leur chambre tout Joyeux et partaient
 - Mais maman vous allez oĂč comme ça ? (avait demandĂ© AurĂšlie) - AurĂšlie fait ce que tu as Ă  faire ton pĂšre et moi avons quelque chose Ă  faire - Hum ! Azui Emmanuel Martin ; il Ă©tait hĂ©ritier d’un noble ; donc il Ă©tait riche ; lui et sa femme Carine Kanangila pour qui il avait d’ailleurs dĂ©pensĂ© une fortune pour la dot, n’avaient pas d’enfant, ils Ă©taient dĂ©jĂ  allĂ©s partout consulter des mĂ©decins mais rien
 Carine avait dĂ©jĂ  eu une fille qu’elle avait eu lorsqu’elle frĂ©quentait encore et qui s’appelait « AurĂ©lie » ; une fille que Emmanuel Marti avait d’ailleurs adoptĂ©e et qui vivait avec eux ; Emmanuel aussi avait une fille nommĂ©e « Tiha Wine ». Tiha, vivait avec sa mĂšre en France, mais revenait quand mĂȘme au pays voir son pĂšre quand elle pouvait
 Cet aprĂšs-midi-lĂ , Carine et son mari Ă©taient montĂ©s tout excitĂ©s dans la voiture et Ă©taient partis ; Aurelie les regardait partir et elle Ă©tait allĂ©e voir Cousso AngĂšle la femme de mĂ©nage qui Ă©tait dans cette famille depuis deux ans ; depuis ces deux longues annĂ©es, elle avait vĂ©cu les hauts et les bas de ce couple puisqu’elle vivait dans cette maison et ne rentrait chez elle que le samedi soir.

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<<SINGA, Corde, Ficelle, ou mĂȘme chaĂźne, je ne sais pas comment vous appelez ça chez vous mais dans le contexte de notre histoire SINGA(lingala) veut dire LIEN>> Ce matin-lĂ  Minata Zongo s’était rĂ©veillĂ©e avec des Ă©pines dans la tĂȘte, puisque une heure avant on les entendait se disputer dans la chambre avec son mari ; elle disait - « « Chrismanu pas mes filles tu es prĂ©venu ! » » ; « jamais ! quel pouvoir ! ces enfants tu les as fait seul ? je vais juste te rafraichir la mĂ©moire, ces enfants je les ai portĂ©s neuf mois dans le ventre » » ; « si BĂ©rĂ©nice Ă©tait sortie prĂ©maturĂ©ment c’était Ă  cause de toi ; tu as dĂ©jĂ  oubliĂ© ? » » ; « « jamais ! jamais ! j’étais ignorante pour Eura mais les autres filles tu devras passer par ma tĂȘte ! » » Lyjie sa deuxiĂšme fille Ă©tait dĂ©jĂ  debout et les Ă©coutait ; elle n’entendait que ce que sa mĂšre disait parce que son pĂšre parlait bas : elle avait sursautĂ© lorsque la porte s’était ouverte et que Chrismanu leur papa, Ă©tait sorti en colĂšre en disant ... - On verra bien qui est l’homme et maitre de cette maison ! toi Minata tu veux t’opposer Ă  moi ? on verra bien !! femme inconsciente ! C’est tout ce qu’elle avait entendu de son pĂšre , celui-ci l’avait vu et lui avait dit : - et toi ! tu Ă©coutes Ă  la porte maintenant ? c’est ce que ta mĂšre t’a appris hein ? toi aussi ton tour viendra ! - Non hein papa
 je viens de me rĂ©veiller ; et je voulais
 Minata suivait son mari et avait trouvĂ© sa fille debout juste Ă  cĂŽtĂ© de leur chambre avec le balai Ă  la main ; et ne l’avait pas ratĂ© : - Toi que fais-tu ici ? il est 4 heures du matin et toi tu fais quoi avec ce ballai. - Maman je vous ai entendu avec papa alors je suis sortie ! - Tu nous as entendu ? qu’as-tu entendu ? Et tu es sortie pourquoi faire? - Maman je sais que ce qui arrive Ă  Eura c’est lui
 - Ferme ta bouche ! je te dis de fermer ta bouche toi la fille-ci ! tu es devenue qui ; l’inspectrice ? - Maman je me fais juste du souci pour toi - Lyjie je ne veux pas t’entendre ! - Hum ! Minata avait suivi son mari malheureusement ce dernier avait dĂ©jĂ  pris son vĂ©lo et Ă©tait parti. « « Minata mĂšre de quatre belle filles Eura , Lyjie July, Clara Lara et BĂ©rĂ©nice la plus jeune ; mariĂ©e Ă  papa Chrismanu avec qui d’ailleurs il y avait sĂ©paration de corps depuis bien longtemps ; Lyjie sa deuxiĂšme fille le savait mais les autres non ... Chrismanu le maitre de la maison et fonctionnaire de l’état, Ă©tait aussi l’un des chefs dans club des papas du village ; tous les jours de minuit Ă  4h30 ils se rĂ©unissaient ; sous un grand Baobab au centre de ce petit village » » Ce jour-lĂ , il Ă©tait 4h30 du matin, Minata en colĂšre avait rĂ©veillĂ© ses enfants mais Eura continuait de dormir, alors Minata avait dĂ©versĂ© sa colĂšre sur elle ; elle avait poussĂ© la porte de sa chambre 


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 On dit toujours de toi que tu es le berceau de l’humanitĂ©, oui
 j’aime l’Afrique, mon Afrique
 pleine de mystĂšre, de pouvoir , de sagesse et des vertus ; nos forĂȘts ont des oreilles et des yeux, nos riviĂšres ont des oreilles et des yeux, nos fleures ont des oreilles et des yeux, nos vallĂ©es ont des oreilles et des yeux, nos montagnes ont des oreilles et des yeux , mĂȘme nos morts ne meurent pas vraiment mon Afrique qui es-tu ? ------------------------ --------- Un bon matin --------- - Hawa ! c’est quoi cet empressement ma coooo ; tu vas oĂč comme ça? hier j’avais entendu du bruit chez toi c’était quoi ? - Je vais au salon de coiffure ma chĂ©rie ; mon pĂšre est arrivĂ© hier oooh ; aprĂšs cinq ans d’absence Huguette tu t’imagines ? on le croyait mĂȘme dĂ©jĂ  mort tellement qu’on n’avait aucune nouvelle de lui ; - Au saloooon ? salon de coiffure ? toi ? depuis quand ? - Depuis que mon pĂšre est arrivĂ© oooh : j’ai changĂ© je ne suis plus n’importe qui Huguette - Ewoooee Hawa ! Donc tu n’iras plus faire des tresses derriĂšre la maison ? il Ă©tait mĂȘme oĂč ton pĂšre. Je suis sure qu’il a fait des enfants lĂ -bas hahaha - On s’en fiche d’oĂč il Ă©tait ni mĂȘme ce qu’il a fait lĂ -bas, tout ce que je sais ce qu’il revenu avec l’argent ma coooo ; ce matin il m’a donnĂ© une jolie somme pour ma coiffure, je peux mĂȘme payer pour toi si tu veux - On ne refuse jamais une offre hein; pour une fois je vais me faire tripoter la tĂȘte avec du shampoing ; haha allons ; et la fĂȘte commence Ă  quelle heure ? - Peu importe l’heure toi et moi , notre fĂȘte vient de commencer
 - Hawa ce n’est pas ta petite sƓur Ornella que je vois lĂ -bas ? elle va oĂč ? - Huguette vient ; laisse cette sƓur en crise lĂ -bas ; comme tu la vois lĂ , elle va Ă  l’église pour remercier Dieu pour le retour de papa heha ! ; c’est papa qui revient du voyage mais c’est elle qui va remercier Dieu pour son retour onong - Mais c’est bien nooon ? ta sƓur est carrĂ©ment ton opposĂ©e hein ; chez vous lĂ  ; elle est la seule Ă  prier toi tu es seulement dans ce que tu sais lĂ  - Eeeh Huguette je t’arrete tout de suite ! dans quoi suis- je ? donc quand je prie je dois t’envoyer un texto ? je prie sept fois par jour je te signale ; - Hawa la femme qui est derriĂšre nous lĂ , elle nous suit ou quoi
 - Comment ça elle nous suit ? elle est belle hein ? - Tsiuuups je te jure que cette femme est aprĂšs nous depuis qu’on a quittĂ© chez toi - On saura ça, toi avec tes idĂ©es Huguette, haha haha ne gĂąte pas mon humeur stp, elle est comme une sirĂšne - Puisque tu connais les sirĂšnes toi Hawa ? hahahaha Nos deux amies Ă©taient arrivĂ©es au salon et avaient pris place, on avait Ă  peine touchĂ© la tĂȘte de Hawa que cette jeune femme aussi avait fait son entrĂ©e, avait saluĂ© tout le monde comme si c’était une habituĂ©e et elle avait pris place juste Ă  cĂŽtĂ© d’elle et les deux Ă©taient face la coiffeuse
 - Pourquoi me regardes-tu comme jeune fille ? (lui avait interrogĂ© la jeune femme) - Non rien ; je ne vous regardais pas vraiment ; je regardais plutĂŽt ma copine qui est derriĂšre moi
 - Alors c’est pour quelle occasion cette transformation ? - Pardon ? - Cette petite touche c’est pour quelle occasion ? tu as une sortie spĂ©ciale ? - Oouiii on cĂ©lĂšbre le retour de mon pĂšre ! - Il Ă©tait mort ? - Ekieeee ! que Dieu nous en garde ! il Ă©tait loin de nous depuis cinq ans et il est revenu donc
 - Cool alors
 et vous ĂȘtes surs qu’il est revenu bien seul ? - Pardon ? - Ouiiii puisque un homme ne peut pas quitter sa famille pour un voyage de cinq ans et revenir seul hein
 - Je ne comprends pas
 - C’est normal que tu ne comprennes pas jeune fille ; La coiffeuse avait fini avec Hawa ; et lorsque celle-ci quittait sa chaise pour partir elle avait entendu la jeune femme lui dire :

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Un beau jour mais trĂšs ensoleillĂ© ; Mira une jeune fille de 14ans s’était enfermĂ©e dans sa chambre malgrĂ© la chaleur, des larmes aux yeux, murmurait
 - Que vais-je devenir ? comment est-ce que je vais le dire Ă  ma mĂšre ? mon pĂšre va me tuer ! mais comment j’ai pu tomber enceinte ? j’avais juste fait une fois
 ça se fait aussi ? une seule fois et le bĂ©bĂ© entre ?non ce n’est pas possible ! je suis sure que c’est une erreur 
 il n’avait mĂȘme pas bien introduit sa chose alors pourquoi mes rĂšgles ne viennent pas depuis deux mois ? Weeeeeyeee je vais l’appeler ! mon Dieu fait que ça ne soit pas cela, je suis encore une enfant, et je voulais juste gouter 
je te demande pardon oooh Dieu !je ne vais plus recommencer Elle avait composĂ© le numĂ©ro du responsable Boris qu’elle abrĂ©geait ( bobo), qui Ă©tait aussi un jeune garçon de 16 ans ; celui-lĂ  n’avait pas tardĂ© Ă  rĂ©pondre
 - Ouiiii bĂ©bĂ©eeee
 tu m’appelles en pleine journĂ©e comme ça ta mĂšre n’est pas lĂ  ? - BĂ©bĂ© ? qui bĂ©bĂ© ! en tout cas, ce qui est sĂ»r ce que, tu vas devoir attendre un peu pour appeler ce vrai bĂ©bĂ© qui grandi dans mon ventre ! - Quoi ??? de quoi tu parles ? tu veux dire quoi exactement par le vrai bĂ©bĂ© dans ton ventre ? - Ecoute Bobo ; depuis deux mois dĂ©jĂ  je n’ai pas vu mes rĂšgles donc je crois que je suis enceinte
 - Et ça veut dire quoi je ne comprends pas


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Romance

4.9

Pour rĂ©aliser le dernier souhait de son grand-pĂšre, Stella s'est mariĂ© en hĂąte avec un homme ordinaire qu'elle n'avait jamais rencontrĂ© auparavant. Cependant, mĂȘme aprĂšs ĂȘtre devenus mari et femme sur le papier, ils menaient chacun leur vie sĂ©parĂ©ment, se croisant Ă  peine. Un an plus tard, Stella est revenue Ă  ville de Seamarsh, espĂ©rant enfin rencontrer son mystĂ©rieux mari. À sa grande surprise, il lui a envoyĂ© un message, demandant inopinĂ©ment le divorce sans mĂȘme l'avoir rencontrĂ©e en personne. Grinçant des dents, Stella a rĂ©pondu : « TrĂšs bien. Divorçons ! » Suite Ă  cela, Stella a fait un geste audacieux et a rejoint le Groupe Prosperity, oĂč elle est devenue une attachĂ©e de presse travaillant directement pour le PDG de la sociĂ©tĂ©, Matthew. Le PDG, beau et Ă©nigmatique, Ă©tait dĂ©jĂ  mariĂ© et rĂ©putĂ© pour sa dĂ©votion inĂ©branlable Ă  sa femme en privĂ©. À l'insu de Stella, son mystĂ©rieux mari Ă©tait en rĂ©alitĂ© son patron, sous une identitĂ© diffĂ©rente ! DĂ©terminĂ©e Ă  se concentrer sur sa carriĂšre, Stella gardait dĂ©libĂ©rĂ©ment ses distances avec le PDG, bien qu'elle ne pĂ»t s'empĂȘcher de remarquer ses tentatives dĂ©libĂ©rĂ©es de se rapprocher d'elle. Avec le temps, son mari insaisissable a changĂ© d'avis. Il a soudain refusĂ© de poursuivre la procĂ©dure de divorce. Quand son identitĂ© alternative serait-elle rĂ©vĂ©lĂ©e ? Au milieu d'un mĂ©lange tumultueux de tromperie et d'amour profond, quel destin les attendait ?

Le mariage Contractuel avec une femme espiĂšgle

Le mariage Contractuel avec une femme espiĂšgle

Romance

5.0

***La mauvaise fille est parfois la bonne. Charlotte Samuels pensait qu'elle serait coincĂ©e Ă  servir des tables chez Marlow jusqu'Ă  ce que toutes ses dettes soient payĂ©es - dans environ dix mille ans. Elle ne s'attendait certainement pas Ă  une demande en mariage de la part de l'arrogant Brandon Maxfield, Ă  qui son pĂšre a fait du chantage pour qu'il fasse d'elle sa femme s'il ne voulait pas que son cousin le moins apprĂ©ciĂ© dirige Maxfield Industries. L'instinct de Charlotte lui dicte de dire NON, mais elle se heurte Ă  plusieurs obstacles : 1.) Son pĂšre Martin Maxfield est cher Ă  son cƓur et sa santĂ© s'est rĂ©cemment dĂ©tĂ©riorĂ©e. 2.) Elle reçoit un million de dollars si elle reste mariĂ©e Ă  Brandon pendant un an. 3.) Elle aimerait bien avoir l'occasion de donner Ă  cet homme sĂ©duisant mais terriblement grossier quelques leçons dont il ne pensait pas avoir besoin de la part d'une "adolescente croqueuse d'or", terme qu'il a utilisĂ© pour l'appeler lors de leur premier rendez-vous - ou plutĂŽt, de leur premiĂšre rĂ©union d'affaires. Qu'est-ce qu'une fille peut bien faire, n'est-ce pas ? Bien sĂ»r, elle est jeune et un peu rude sur les bords, mais il y a quelque chose que son futur mari ne sait pas encore Ă  son sujet : elle n'a rien Ă  voir avec ce Ă  quoi il s'attendait. JetĂ©e dans le monde clinquant oĂč une Mme Maxfield standard s'intĂ©grerait parfaitement et rĂ©gnerait avec une grĂące sociale impeccable, Charlotte devra soit se forcer Ă  entrer dans le moule, soit s'en libĂ©rer, risquant le peu qu'il lui reste pour tout ce qu'elle peut gagner DEUXIÈME 02 TOME DE : Le mariage Contractuel avec la femme intelligente

L'esclave du roi

L'esclave du roi

Romance

4.9

Il Ă©tait une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour oĂč le roi de Mombana est dĂ©cĂ©dĂ© et un nouveau monarque a pris la relĂšve, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir aprĂšs son couronnement, il a alors dĂ©cidĂ© d'attaquer Salem. L'attaque Ă©tait si inattendue que Salem ne s'y est jamais prĂ©parĂ©. Ils ont Ă©tĂ© pris au dĂ©pourvu. Le roi et la reine ont Ă©tĂ© tuĂ©s, le prince hĂ©ritier a Ă©tĂ© rĂ©duit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survĂ©cu Ă  la guerre ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©duits en esclavage, les terres leur ont Ă©tĂ© enlevĂ©es et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage Ă©tait rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, Ă  l'Ăąge de trente ans, a organisĂ© un coup d'État et a Ă©chappĂ© Ă  l'esclavage. Ils se sont cachĂ©s pour rĂ©cupĂ©rer. Ils s'entraĂźnaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrĂ©pide et froid qui Ă©tait motivĂ© par son aspiration de rĂ©cupĂ©rer les terres de ses ancĂȘtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tuĂ© le prince Cone et ont rĂ©cupĂ©rĂ© tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posĂ©s sur la fiĂšre princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la premiĂšre fois. Il marcha jusqu'Ă  la princesse avec la chaĂźne d'esclave qu'il avait portĂ©e pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriĂ©tĂ©. Je te paierai Ă  la pelle, tout ce que toi et ton pĂšre avez fait Ă  moi et Ă  mon peuple », dĂ©clara-t-il sĂšchement. La haine pure, la froideur et la victoire Ă©taient la seule Ă©motion sur son visage.

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