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Livres de Aventure pour Homme

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MÉNAGE _ À _ TROIS

MÉNAGE _ À _ TROIS

J’avais creusé moi-même ma propre tombe mais aujourd’hui j’en suis sorti grandi même si les cicatrices sont restées, certes j’en suis sorti avec beaucoup de péchés mais je sais que Dieu m’a pardonné et que mes sentiments étaient sincères et pour cela je ne regrette rien !! Être la maîtresse d’un homme marié n’est le rêve de personne et avec ma petite expérience je ne le souhaite à personne, chaque femme aimerait avoir son homme a elle toute seule, chaque femme aimerait rencontrer un amour sincère et avoir un homme aimable a ses côtés afin d’être épanouie dans son foyer et ne partager son époux avec personne…Mais parfois la vie nous impose des choix qui deviennent des options et dont on fini par ne plus s’en passer, plus on s’y plait plus on s’enfonce et bonjour les conséquences… Pour ma petite histoire, j’étais une jeune étudiante super ambitieuse âgé de 22ans seulement lorsque j’ai connu César, bel homme, riche et généreux, il me donnait tout ce que je voulais, il savait me satisfaire a tous les niveaux même côté sexe il assurait car il n’était pas très âgé, il n’avait que 45ans, des fois je priais Dieu qu’il opère un miracle afin que César ne soit qu’à moi mais ce que j’ignorais était que tout comme je priais pour mon intérêt personnel, son épouse également priait de son côté pout la stabilité et le maintien de son foyer quelle voyait l’échapper, car ce dernier était un homme marié avec 3 enfants a l’appuie, 3 petites filles super belles comme leur maman et toutes ressemblaient tellement à leur papa qu’on pouvait pas douter de la paternité (rire),mais qui aujourd’hui sont des femmes réfléchies et qui comprennent mieux la vie, César aimait beaucoup me parler de sa famille, surtout de ses enfants, ce n’était pas facile pour moi d’écouter les éloges qu’il faisait a sa femme a longueur de journée mais j’avais pas de choix car j’avais accepté le statut de deuxième bureau depuis le début et j’avais montré que ça ne me dérangeait pas (première erreur a ne pas commettre avec ces hommes là) mais en dépit de tout c’était un homme large, bon, intègre et honnête, il ne m’avait jamais caché l’existence de sa famille, il brandissait son alliance à tout bout de champ tel un trophée gagné après une rude bataille (lol) mais malgré tout cela n’empêchait pas non plus qu’il prenait soin de moi et couvrait tous mes besoins, ma plus grande erreur avait été le fait pour moi de m’attacher aveuglément, très vite et penser qu’un jour je pouvais occuper le rôle d’épouse, seulement lorsque le pire arriva, je réalisa dès lors ce qu’était le danger dans lequel je m’étais jeté !!!... Mais avant le début de mon histoire j’aimerai que nous apprenons que Dieu a réservé un chacun pour sa chacune peu importe le temps que cela demande, la patience est une vertus mais retenons aussi que forcer le destin ou alors participer a la destruction d’une relation durement construis pour satisfaire ses propres intérêts personnels ne donne pas toujours le résultats que l’on espère au contraire...
Dernier virage

Dernier virage

Prelude <> "Ah mon fils, ne parle pas comme ca a ton pere, c'est quand meme ton pere!! Je comprend ta peine, mais il est ecrit que tu respectera ton pere et ta mere, meme si je ne suis plus en vie, respecte le il reste ton pere apres tout..." Ca fait exactement 1 jours et quelques heures que j'ai rendu l'ame. Je ne fais plus partit de ce monde, ce monde cruel! Ce monde qui a vu mes larmes, surement toute les larmes de mon corps que j'ai verser pour cet homme. Debout en face de lui, entrain de se plaindre a chaude larme c'est mon fils, mon premier et unique fils, Kevin. Seulement age de 19 ans, il a toujours assister aux spectacles qu'offrait son pere a la maison. Il m'a toujours demander "Maman pourquoi tu ne quitte pas cet homme?!" et je lui ai toujours repondu qu'il comprendra un jour ce que c'est qu'etre aveugler par l'amour et ce qu'on appel faire des sacrifices pour son mariage. Il comprendra mieux, mais pas assez parce que l'amour d'une femme pour un homme, n'est pas le meme que l'amour d'un homme pour une femme. Maintenant que je suis morte, je regrette certains actes de ma part. je regrette mon choix, je regrette ne pas avoir ecouter ma grande soeur et je regrette d'etre morte en laissant mon fils avec cet homme. Mon nom c'est Magalie, je suis decedee a l'age de 45 ans seulement. La cause de ma mort vous la saurez a la fin de mon histoire. Par cette histoire je veux denoncer ce que la plus part des femmes dans notre societe gabonaise subissent dans leur foyer a cause du comportement de leurs hommes, je veux eviter que d'autres jeunes filles fassent les memes erreurs au risque de finir comme moi. Mon ame ne reposera pas en paix tant que vous ne tirerez pas une lecon de mon histoire...
DANGEROUS_LOVE

DANGEROUS_LOVE

Les rayons ultraviolets du soleil foudroient le visage assombri de Samuel Koloko qui venait de traverser la grande entrée de l'hôpital. Il regarda la position du soleil à l'horizon par rapport à lui il vit qu'il était seulement 10h. Quel temps massacrant il fait. Dit-il. Samuel descend les quelques marches qui mènent dans la cour de cet hôpital, il presse le pas vers le parking ou est garé sa petite starlette qu'il aime tant et ne veut pas s'en séparer. A son passage il sourit avec une infirmière et s'engouffre dans sa voiture. Il regarde dans le rétroviseur et remarque ses yeux enflés à cause de la nuit blanche qu'il vient de passer à la garde. Il démarre sa voiture et sort de l'enceinte de l'hôpital. C'était récurrent dans son métier en tant que docteur de passer des nuits à l'hôpital, parfois il pouvait faire une sieste, parfois c'est carrément impossible de fermer l'oeil à cause de l'abondance des urgences comme ça été le cas la veille. Samuel est habitué, c'est la routine c'est son métier et il le fait avec tellement d'amour. Du haut de ses 43 ans, Samuel Koloko est l'un des meilleurs docteur de cette petite ville du Sud, il est beaucoup sollicité et fait des merveilles avec ses doigts. Cela va faire 4 ans qu'il a été affecté dans cette petite ville et a déménagé avec sa petite famille. Très vite, il a fait ses preuves et est apprécié de tous. Samuel Koloko roule pendant quelques minutes,sa maison n'est pas éloignée de l'hôpital, en quelques minutes il a garé dans sa cour. Il prend son sac et sort de la voiture. La porte s'ouvre sur sa petite fille Chloé âgée de 2 ans et demi. Elle lui sourit en avançant rapidement vers lui
Leader

Leader

Je m'appelle Fidèle Noah, oui c'est moche je sais. Je ne comprends pas pourquoi mes parents m'ont donné ce prénom vraiment c'est tellement démodé et pas très adapté pour une fille comme moi. Heureusement que j'en ai deux, Carla est mon second prénom c'est celui-ci que j'utilise toujours et partout, ça me ressemble mieux et me reflète. je suis l'aîné de ma famille, J'ai 30 ans, eh oui je suis déjà une grande fille encore célibataire et sans enfants. Vous allez comprendre pourquoi je n'ai pas d'enfants, c'est volontaire. Je suis issue d'une famille modeste, des anciens riches aujourd'hui pauvres parce que je suis pratiquement la seule qui apporte de quoi manger à la maison. Je vis avec ma petite sœur, Lydie qui est encore à l'école et mon père François Noah qui se bat comme il peut pour m'aider dans les charges de la maison. Ce n'est pas toujours facile parce qu'il est tout le temps malade, il est diabétique et hypertensive du coup il est souvent de repos. Nous logeons dans un appartement, une chance que mon oncle nous l'a laissé lorsqu'il est parti en Europe avec sa famille, je ne sais pas ce qu'on aurait fait si nous avions été en location avec la vie chère de la capitale économique, c'est pas évident. Ma mère pffff je n'aime pas parler d'elle elle m'énerve. J'écoute très souvent les gens parler en bien de leur mère, dire qu'elles sont leur dieu et tout, ça me fait de la peine j'aurai tellement voulu que ma mère soit comme les mamans des autres mais dommage, elle s'est préférée à nous. Il y a quelques années mon père a perdu son emploie, un emploi qui nous mettait à l'abri du besoin, je me rappelle encore bien de cette période là nous étions si heureux une famille presque parfaite, mon père prenait bien soin de nous et de sa femme, nous ne manquions de rien. Un soir mon père rentra du travail tout abattu et affichait la mine désespérée, le pire était arrivé, il avait perdu son emploi suite à un sérieux problème que subissait son entreprise ils ont été obligé de limoger des employés et lui en même temps. Le monde s'est écroulé sous nos yeux, mon père n'avait pas un plan B rien du tout et ma mère, femme au foyer comptait aussi sur lui. Le train de vie a commencé à régresser peu à peu le temps pour lui de trouver un autre emploi. On aurait dit que la malchance était de son côté car il ne trouvait rien, rien à faire malgré ses compétences, rien, même pas un sous métier. Cette année-là a été la plus difficile, ma mère n'a pas pu supporter l'extrême galère dans laquelle nous avons plongé, un beau matin on se réveilla qu'elle avait déserté sans laisser de traces ni de mots. J'avais 22 ans, je pouvais déjà m'occuper des miens comme une femme. J'ai donc pris le relais, j'ai essuyé les larmes de mon père, je me suis occupée de lui tel un bébé il avait perdu confiance en lui, perdu l'amour de sa vie et croyait perdre en même temps notre respect. ça n'a pas été le cas. Ma petite sœur et moi lui avions donné tout l'amour que les enfants pouvaient donner à leur papa. Peu à peu, il s'est relevé et enchaîné des petits boulots grâce à ça j'ai pu obtenir ma licence et j'ai arrêté l'école. Il était temps pour moi de prendre mes responsabilités en tant que grande sœur. J'ai commencé à chercher du travail, je faisais aussi n'importe quel genre de travail pourvu que ça m'apporte quelque chose, avec ce que je gagnais et ce que mon père ramenait on pouvait se gérer et continuer à payer les études de Lydie. Jusqu'au jour où mon père chute, c'était un deuxième choc pour nous il avait arrêté de travailler et j'étais la seule à ramener de l'argent, combien ? Pour combien de personnes ? sans compter ses médicaments, ses soins et visites médicales, avec tout ceci on ne pouvait plus gérer le loyer et avions accepté la proposition de son grand frère, notre oncle de vivre chez lui. Nous y sommes jusqu'à ce jour. Vous comprenez que après tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent je n'ai pas eu la tête posée pour penser à faire un enfant même pas par accident, j'ai toujours pris mes précautions, pour moi ma famille passe avant tout et en dépit de ce qu'on vit je ne voudrais pas, il serait irresponsable pour moi de ramener une autre charge et même ma petite sœur je le lui dis tout le temps. C'est une belle petite fille de 20 ans très intelligente elle vient d'entrer en fac et étudie les finances, je sais qu'un jour elle prendra le relais elle deviendra une grande dame. Le départ de notre mère l'a beaucoup affecté, elle pleurait des fois de son absence moi je ne pouvais rien faire je ne savais pas où elle était jusqu'au jour où sa sœur ma tante nous a fait savoir qu'elle vit chez un blanc, eh ah un blanc du n'importe quoi. Ma mère c'est une mauvaise femme je la déteste vous allez pensez que je suis dur tant pis c'est mon ressenti, je ne veux pas la voir ni aujourd'hui ni demain...
LA BELLE FAMILLE

LA BELLE FAMILLE

La circulation est saturée, en plein midi où ça devrait être plus fluide. On peut voir des personnes qui pressent le pas pour rejoindre soit leur domicile, soit leur lieu de travail ou même encore qui vont déjeuner comme le fait Alan PRISO. Le ciel fait grise mine, on peut écouter le grondement torrentiel c'est sans doute ce qui explique cet embouteillage monstrueux des personnes et des véhicules. dit Alan en traversant la route presque sans regarder ni à gauche ni à droite. Il accélère le pas on aurait dit un combattant qui va livrer une dernière bataille pour délivrer son peuple comme on les voit dans les films. Alan, la trentaine d'années avec des cheveux courts et une taille de girafe, traverse une supérette, et arrive à un carrefour il faut qu'il attende que le feu passe au vert pour qu'il traverse. Les quelques secondes qui ont suivi cette attente lui étaient comme une éternité car il recevait déjà quelques gouttes de pluie sur sa peau bien noire. < fait chier > cria-t-il en traversant la route. Sous ses aisselles, il garde bien enfoui sa serviette qui contient ses documents de l'école où il est enseignant. Sa serviette bien à l'abri des gouttelettes de pluies, il longe le couloir qui mène à son restaurant préféré, par chance il arrive vite avant que le ciel ne verse encore plus de ses grosses gouttes d'eau. _ oufff enfin, dit-t-il entre deux soupirs. Il entra dans le restaurant et alla s'asseoir sur une table vide, près de la fenêtre où il est assis, il peut facilement regarder l'extérieur et voir sa copine arriver. Observer les passants fuir la pluie l'amuse, il a eu la chance de l'avoir échappé de justesse. Subitement il sursaute en fouillant ses poches de partout comme s'il cherchait un objet précieux. Il finit par le trouver et son sourire s'illumine. Alan ouvre l'écrin de bijoux ou se trouve cette magnifique bague de fiançailles et se rappelle du jour où il l'avait acheté. Ça devrait faire plus d'un mois jamais il n'a trouvé le bon moment de demander à Déborah la femme avec qui il vit depuis quelques mois de l'épouser. Au départ il s'est dit que c'était trop tôt pour le faire, ensuite est venu s'ajouter à ça les conseils de son meilleur ami Stéphane qui lui a fait douter de lui et même de ses sentiments. Maintenant il est plus que décidé à faire sa demande, il veut se faire connaître de sa famille, de son entourage tout ce qu'elle aime. Depuis plus d'un an il vit un conte de fée avec cette déesse qu'il veut prendre pour moitié. Il veut l'épouser et faire d'elle la mère de ses enfants. Il aurait pu attendre faire sa demande la semaine prochaine le jour de son anniversaire mais non pour lui c'est très loin à force de repousser il finira par ne plus le faire. Ou même il pourrait la perdre.