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Les infidĂšles

Les infidĂšles

MOUHA

5.0
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Chapitres

18 h l'heure qui marque officiellement la fin de ma journée de boulot, je ferme l'ordinateur devant moi, je retire mes lunettes de vue que je jette sur la table avant de me lever de ma chaise et faire quelques exercices d'étirement toute une journée assis devant un ordinateur autant vous dire que j'ai le dos en compote. Une fois les muscles de mon corps détendus je range mes effets que je classe dans mon porte document, je récupÚre ma veste sur le porte manteau et au revoir le bureau je salut quelques collÚgues sur le chemin de la sortie et on se dit à demain, je sors de l'immeuble et je déverrouille ma voiture à distance avant de m'engouffrer à l'intérieur.

Chapitre 1 Prologue

Titre: Les InfidĂšles : une nouvelle aventure

Part I

Prologue

Premiere partie

+++++Franck MASSOUVIE++++

18 h l'heure qui marque officiellement la fin de ma journée de boulot, je ferme l'ordinateur devant moi, je retire mes lunettes de vue que je jette sur la table avant de me lever de ma chaise et faire quelques exercices d'étirement toute une journée assis devant un ordinateur autant vous dire que j'ai le dos en compote. Une fois les muscles de mon corps détendus je range mes effets que je classe dans mon porte document, je récupÚre ma veste sur le porte manteau et au revoir le bureau je salut quelques collÚgues sur le chemin de la sortie et on se dit à demain, je sors de l'immeuble et je déverrouille ma voiture à distance avant de m'engouffrer à l'intérieur.

- je suis lessivé vivement que j'arrive à la maison dis-je complÚtement épuiser par cette journée

Je met le contact et je sors du parking de l'entreprise direction le chez moi je travaille comme expert comptable dans une société de la place au centre ville et j'habite à une heure de mon lieu de travail normalement quand la route est dégagée mais vu comment s'est partie et comme nous sommes en plein heure de pointe je risque de mettre plus longtemps sur la route, je soupir d'exaspération devant la longueur des embouteillages, ce n'est qu'a 20h que j'arrive chez moi, je klaxonne et le gardien vient m'ouvrir le portail et j'entre avec ma voiture que je gare quelques mÚtres plus loin derriÚre celle de ma femme.

- bébé, c'est moi je hurle en passant la porte

Je dépose mon porte-documents au sol et je souris quand je la vois déballer les escaliers toute joyeuse telle une petite fille, j'ouvre grand mes bras, elle plonge à l'intérieur et je la serre fort contre moi.

- tu sens bon bébé dis-je en humant son odeur.

Cette femme a le don de me faire oublier tous mes soucis, et la fatigue du boulot, je me sens tellement bien dans ses bras, il n'y a que dans ses bras que je peux me laisser aller et me permettre d'ĂȘtre vulnĂ©rable de dĂ©poser un peu la casquette d'homme de la famille de pilier et juste ĂȘtre moi quoi.

- Je sors de la douche dit-elle en répondant à mon étreinte.

Cet instant, c'est notre rituel du soir cet instant rien qu'à nous durant lequel on profite juste l'un de l'autre, je la sers fort dans mes bras elle m'a tellement manqué pourtant, on s'est quittés ce matin (rires) on finit par se détacher l'un de l'autre, elle me donne un baiser rapide avant de récupérer mon porte-documents, mais je la retiens pour lui donner un vrai baiser.

Moi (amoureux): je t'aime madame MASSOUVIE

Marie (me souriant tendrement): je t'aime Ă©galement monsieur MASSOUVIE

Elle me prend la main et nous montons à l'étage en se racontant les déboires de nos journées respectives une fois dans la chambre, je me déshabille et je passe sous la douche marie me suit en continuant à me raconter sa journée.

- bébé, tu as vécu tout ça en une seule journée ? Dis-je complÚtement dépasser

- et je ne t'ai mĂȘme pas encore racontĂ© la moitiĂ© chĂ©rie dit elle aprĂšs un fou rire.

Autant vous dire que les journĂ©es de ma femme sont souvent trĂšs longues, j'entre dans la cabine de douche et elle continue Ă  parler assise sur le bidet, j'essaie de suivre, mais en vrai ça va faire dix minutes que j'ai arrĂȘtĂ© d'Ă©couter malgrĂ© toute la bonne volontĂ© mon cerveau ne peut pas enregistrer tant d'informations.

- et puis Éline elle a craquĂ© en nous racontant son histoire elle m'a fait de la peine elle est si douce cette fille elle ne mĂ©rite pas ça

Je sors de la cabine de douche, je vais dans la chambre mettre un truc confortable pour ce soir vu que je ne compte plus bouger, marie me suit dans la chambre en continuant Ă  me raconter sa journĂ©e vraiment les femmes ! Une fois qu'elles sont lancĂ©es les arrĂȘtĂ©s, c'est une autre paire de manche

- oui oui, tu as raison chĂ©rie moi-mĂȘme, je ne l'aime pas dis en boutonnant ma chemise en essayant de suivre tant bien que mal la conversation.

- tu m'Ă©coutais au moins Franck ? Dit elle en me regardant

- bien sûr que oui chérie dis-je en affichant un sourire moqueur

- et qu'est-ce que je disais ? Dit elle en croisant les bras en me regardant

Moi (au pif): qu'il y a une de tes collĂšgues qui t'Ă©nerve ?

Marie (fronçant les sourcils): c'est une question ou une affirmation ?

Moi (essayant de la sonder): heu une affirmation

Marie (faisant la moue): tu n'a rien écouté de ce que je t'ai dit Franck comme d'habitude pourtant, c'est un sujet vraiment important pour moi.

Moi (amusĂ©): tous les sujets sont importants pour toi chĂ©rie mĂȘme les plus banales.

Marie (boudant): ce n'est pas une raison pour ne pas m'Ă©couter.

Moi (la prenant dans mes bras): tu es belle ma femme.

Elle pousse mon visage sur le cÎté quand je veux lui donner un baiser.

Marie (faussement fùchée): je suis sérieuse Franck.

Moi (la regardant avec mon air le plus sérieux): d'accord ce qu'on va faire, c'est que tu vas me raconter tout ça autour du délicieux dßner que je sais que tu as cuisiné et cette fois, je te promets d'essayer de suivre.

Marie (me regardant): d'accord

Un dernier bisou puis nous descendons Marie à la cuisine pour réchauffer le repas de ce soir et moi au salon devant les informations sur la chaßne nationale.

(ping sms)

(ping sms)

(ping sms)

(ping sms)

Je regarde et c'est mon portable personnel qui vivre sous l'assaut des messages, je sais dĂ©jĂ  de qui il s'agit donc je ne prend mĂȘme pas la peine de le regarder et je me concentre de nouveau sur le journal jusqu'Ă  ce que Marie vienne m'appeler pour passer Ă  table

Marie (me regardant): tu viens bébé ?

Moi (éteignant la télé): j'arrive chérie.

Je récupÚre mes portables et je vais la rejoindre dans la salle à manger.

Moi (regardant la table bien garnie en me caressant le ventre): je sens que je vais me régaler.

Je prends place et ma femme me sert comme un roi avant de se servir elle-mĂȘme et de prendre place prĂšs de moi, je m'apprĂȘtais Ă  manger quand...

Marie (ferme): Franck la priĂšre

Moi (déposant les couverts que j'avais déjà en main): oups, désolé, bébé vas-y.

Je ferme les yeux et je joins mes mains entre elles et je laisse à mari le soin de bénir le repas.

Marie (les yeux fermés): merci seigneur pour tes grùces dans nos vies et de nous permettre à mon mari et moi de passer ces instants de qualités

(sonnerie de téléphone)

C'est le mien, j'ouvre un Ɠil et je guette le numĂ©ro qui s'affiche sur l'Ă©cran ensuite, je guette marie qui continue sa priĂšre comme si de rien n'Ă©tait, je referme mes yeux quand la sonnerie se coupe.

Marie: merci pour le repas sur cette table et de nous permettre de manger Ă  notre faim

(sonnerie de téléphone)

Marie (les yeux toujours fermés): que ce repas nourris nos corps

(sonnerie de téléphone)

Je guette de nouveau ma femme et je vois des rides apparaĂźtre sur son front signe que ces sonneries commencent Ă  l'agacer.

Marie (continuant Ă  prier): donne Ă  ceux qui n'en ont pas amen !!

Moi (acquiesçant rapidement): amen

Je m'empresse de récupérer mon portable et de le mettre sur silencieux avant de le reposer et de me concentrer sur mon assiette.

Moi (la regardant avec un grand sourire): bon appétit chéri

Marie (me regardant le visage fermé): merci, c'était qui ?

Moi (la regardant droit dans les yeux): Alain un collĂšgue du bureau

Marie (mangeant): et ton collÚgue ne sait pas que tu es un homme marié et qu'il doit éviter de t'appeler à partir d'une certaine heure ? Sauf en cas d'urgence ?

Moi (mal Ă  l'aise): je le lui dirai demain ou bien, j'ai une meilleure idĂ©e, tu peux le lui dire toi-mĂȘme.

Je prends mon portable et je compose son numéro et je mets sur haut-parleur sous le regard de Marie.

Moi (affichant mon plus beau sourire): bonsoir gars

Alain (hurlant): ouiiiii le boss

Moi (regardant marie): mec, c'est comment avec les appels dans la nuit, tu ne sais pas que je suis un homme marié ? Tu veux me créer les problÚmes avec ma petite ?

IL met un peu de temps avant de comprendre.

Alain (se grattant la tĂȘte): bien sĂ»r que non mon grand juste que j'ai Ă©garĂ© mon disque dur et c'Ă©tait pour te demander si je ne l'ai pas laissĂ© dans ton bureau ce matin.

Moi (faisant semblant de réfléchir): je ne pense pas avoir vu un disque dur de toute la journée.

Alain (gĂȘnĂ©): ah d'accord dans ce cas, je ne te dĂ©range pas plus un bonsoir pour moi Ă  notre femme et encore dĂ©solĂ© pour le dĂ©rangement.

Moi (souriant): sans-faute il n'y a pas de soucis frérot

Click

Moi (rangeant mon portable dans ma poche cette fois): tu vois ? Un vrai idiot, je te le dis

Marie (pas totalement convaincue): hummm

Moi (changeant de sujet): alors tu disais que ton ami a quel problĂšme ?

Marie (retrouvant son sourire): ah oui, enfaĂźte...

Il n'en faut pas plus pour rendre ma femme heureuse et cette fois, je prends vraiment la peine de l'Ă©couter et de participer Ă  la conversation.

Le ventre plein, je m'installe sur le canapé avec un petit digestif pendant que ma femme nettoie la cuisine, une fois finie, elle vient me rejoindre sur le canapé, on se love pendant une bonne heure avant de monter se coucher, mais avant, je vérifie que tout est bien fermé puis je monte la retrouver en chambre.

Moi (la regardant): le pyjama des mauvais jours est de sortie ?

Marie (amusée): oui, c'est mÚre nature qui en a voulu ainsi.

Moi (me mettant également en pyjama): dommage moi qui me voyais déjà te faire crier jusqu'au bout de la nuit (l'imitant) han bébé tue moi, tue moi oh

Marie (me lançant un oreiller mort de rire): va là-bas, je ne dis pas ça.

Moi (la regardant tendrement): j'ai une trÚs bonne mémoire madame et je suis certain de ce que tu dis entre ces quatre murs.

Marie (se couchant): viens plus tĂŽt dormir monsieur la fatigue te fait dire n'importe quoi.

Je la retrouve sur le lit et je la serre contre moi il n'y a que comme ça que je rĂ©ussis Ă  dormir en humant son odeur que je maĂźtrise par cƓur.

Je la retrouve sur le lit et je la serre contre moi il n'y a que comme ça que je rĂ©ussis Ă  dormir en humant son odeur que je maĂźtrise par cƓur. Ce n'est que partie remise madame

Marie (baillant): bonne nuit bébé

Moi (baillant Ă  mon tour): bonne nuit,

Le lendemain au bureau...

Alain (entrant en criant dans mon bureau): un grand !!! Je vous dis.

Moi (amusée): tu es un vrai salop.

Il prend place en face de moi.

Alain (me regardant avec son air sĂ©rieux): comment tu fais ? SĂ©rieux comment tu fais Ɠuvre ton Ă©cole, sort ton livre et je serai ton premier client.

Moi (pouffant de rire): tu es bien fou.

Alain : je vois dĂ©jĂ  le titre d'ici "cent et une maniĂšre d'ĂȘtre infidĂšle sans se faire prendre pour les nuls" je t'assure Franck j'achĂšte le livre sur-le-champs.

Moi (sourire en coin): ne me donne pas ce genre d'idĂ©es, tu pourrais ĂȘtre surpris.

Alain (me regardant): tu m'en dois une, je t'ai sauvé les fesses hier.

Moi (souriant): tu n'as mĂȘme pas idĂ©e mec.

Alain : faut dire à la petite de dehors que la nuit, tu es un homme marié elle veut mettre le sable dans ton gari au début comme ça comment ?

Moi (caressant ma tĂȘte): t'inquiĂštes pas, je vais la calmer.

Alain (hurlant): un grand, je vous dis, mais attention mec ça serait dommage de perdre Marie pour une petite de dehors

moi(le regardant): hummm, maintenant DĂ©gage de mon bureau.

Alain (se levant): je venais juste pour le kongossa, j'ai du boulot Ă  toute.

Moi (le regardant): d'accord

Je me presse de finir la quantitĂ© de travail prĂ©vu pour aujourd'hui avant d'aller mettre les point sur les I avec l'autre Ă©cervelĂ©e, une fois fini je boucle tout et je sors direction chez Christelle, je lui loue un appartement dans le quartier MEEC Ă  YaoundĂ©, c'est Ă  trente minutes de mon lieu de travail donc j'y arrive assez vite , j'enjambe les escaliers deux Ă  deux avant de me retrouver devant son appartement normalement Ă  cette heure elle devrait dĂ©jĂ  ĂȘtre rentrĂ©e des cours, je pousse la porte et elle s'ouvre j'entre dans l'appartement et je la trouve au salon derriĂšre son ordinateur, elle lĂšve le tĂȘte et affiche une mine surprise

Christelle (se levant pour m'accueillir): salut bébé, tu ne m'as pas dit que tu devais passer

Elle me fait un smack avant de repartir s'asseoir Ă  sa place en me laissant planter la debout au milieu de la piĂšce.

Je regarde bien la petite qui veut me donner les mots de tĂȘtes.

Moi (le visage fermé): c'était quoi ces appels et ces messages,hier nuit ?

Christelle (soulevant ses épaules concentrer sur son ordinateur): rien, je voulais juste parler avec toi vu que tu ne répondais pas à mes messages, j'ai basculé avec les appels en espérant avoir plus de chance de ce cÎté, mais visiblement non

Moi (ferme): tu me regardes quand tu me parles Christelle, je ne suis pas ton Ă©gal.

Elle tourne lentement sa tĂȘte vers moi.

Christelle (me regardant): c'est mieux ainsi ? Ou monsieur Ă  d'autres exigences ?

Moi (la menaçant du regard): je répÚte Christelle, tu me parles autrement et tu agis autrement avec moi.

Christelle (me défiant du regard): déjà, je ne t'ai pas mal parlé, c'est toi qui prends la mouche pour un rien donc tu vas te calmer et ensuite, c'était juste des appels et des messages ce n'est pas la fin du monde, si? Je voulais juste écouter ta voix avant de dormir, c'était innocent, je te promets.

Moi (levant les sourcils): pourtant, tu connais les rĂšgles plus d'appels ni messages passĂ©s 18 h, si ton but est de mettre la zizanie dans mon foyer le mieux est qu'on arrĂȘte tout de suite et que chacun continue sa vie et bien sur tu libĂšres mon appartement car je ne compte pas quitter ma femme pour tes fesses que se soit clair dĂšs maintenant

Christelle (me regardant): wow wow wow on va se calmer, c'est bon, j'ai compris je ne le ferai plus c'Ă©tait vraiment innocent, je t'assure

Elle se lÚve et vient se placer ou elle m'a laissé, je n'ai toujours pas bougé de là.

Christelle (me regardant tendrement): je suis désolée d'accord, je ne le referai plus promis.

Moi (la regardant avec ma mine sérieuse): tu n'auras pas de deuxiÚme avertissement Christelle.

Christelle (soupirant): d'accord

Elle me tire par le bras et me fait asseoir avant de prendre place sur mes jambes.

Christelle (jouant avec ma cravate): je te sers quelque chose Ă  boire ?

Moi (desserrant ma cravate): de l'eau s'il te plaĂźt

Christelle (se levant): tout de suite

Elle s'en va et revient quelques minutes plus tard avec de l'eau minérale et un verre le tout soigneusement présenté dans un plateau, elle me sert un grand verre que je bois d'une traite.

Christelle (reprenant sa position): j'ai cuisinĂ© du couscous sauce gombo avec la viande de bƓuf, je te sers ?

Je la bascule sur le cÎté et je me retrouve au-dessus d'elle.

Moi (écartant ses jambes): j'avais d'autres plans de prévu pour toi aujourd'hui.

Christelle (se mordant la lĂšvre): je sens que je vais aimer tes plans.

Je la porte et on va dans la chambre.

Christelle (toute excitée): tu m'as tellement manqué bébé.

Je la dépose délicatement sur le lit.

Moi (Ă©cartant grandement ses jambes): Ă  quel point ?

Christelle (se mordant les lĂšvres): au point d'en perdre la tĂȘte

Moi (la pénétrant avec un doigt): je n'ai rien entendu.

Christelle (se cambrant pour bien sentir mon doigt): hum bébé

Une heure plus tard...

Moi (me rhabillant): il faut que j'y aille.

Christelle (toute nue): déjà ? Je pensais que tu allais rester encore un peu.

Moi (croisant son regard): non, ma femme m'attend.

Elle lĂšve les yeux au ciel.

Christelle : ta femme, encore et toujours ta femme

Moi (fronçant les sourcils) : et ça veut dire quoi ça Christelle ?

Christelle (me regardant avec son air innocent): rien ! Tu ne manges pas avant de partir ?

Moi (arrangeant ma cravate): non mais merci

Christelle (me caressant le dos): d'accord sinon pour l'argent que je t'ai demandé là

Moi (la regardant): je te ferai un dépÎt une fois à la maison.

Christelle (souriant): d'accord merci chéri

Une fois prĂȘt, je vĂ©rifie que tout est OK Ă  travers le miroir placĂ© dans la chambre, marie est trĂšs observatrice et un peu maniaque sur les bords, le moindre petit dĂ©tail de travers elle le remarquera, je sors mon parfum du sac, je m'asperge une grande quantitĂ© histoire de masquer l'odeur de Christelle sur moi et c'est bon.

Christelle (fessant la moue): mĂȘme pas un dernier bisou ?

Je me rapproche d'elle et Ă  la place, je lui donne un baiser langoureux.

Moi (lui souriant): sois sage ma petite.

Christelle (souriant): toujours

Elle attache le drap sous ses aisselles et me raccompagne Ă  la porte.

Christelle (me regardant): fait attention sur la route

Une fois installé dans ma voiture, je regarde l'heure sur la montre à mon poignet

.

Moi (souriant): je suis dans les temps.

Je démarre donc tranquillement pour ma maison retrouvée ma femme ni vue ni connue.

Je pense que c'est le moment de faire les présentations moi c'est franck MASSOUVIE trente cinq ans je suis expert comptable depuis dix ans déjà et je dois avouer que je gagne trÚs bien ma vie, je suis marié à marie KIMBI trente trois ans ma douce et magnifique femme depuis cinq ans mais on n'est ensemble depuis neuf ans déjà elle est commerciale dans une société de la place, entre elle et moi ça à tout de suite été le coup de foudre et ce coup foudre dur depuis neuf magnifiques années maintenant, nous n'avons malheureusement pas encore d'enfants, pourquoi? bah il n'y aucune raison à cela, elle est bien portante et je le suis également rien d'anormal, mais pour des raisons que nous ignorons tous les deux MASSOUVI junior ne veux pas venir on a consulté tous les spécialistes de la fertilité du pays et leur réponse était unanime il n'y a aucun problÚme laissez juste les choses se faire naturellement et depuis.. Bah, on attend, on attend encore et toujours rien, mais comme on dit tant qu'il y a la vie, il y a de l'espoir et pour le moment ma femme me suffit amplement et Christelle ? me diriez-vous, Christelle c'est ma petite (rires) c'est un petit caprice que je m'autorise pour casser la monotonie de ma relation de couple c'est grùce à elle et à toutes les autres avant elle que l'amour entre ma femme est toujours aussi fort, ce n'est pas parce que tu conduis une porche que de temps à temps tu ne vas pas prendre le taxi (rires) Christelle c'est mon taxi c'est elle qui me rappelle que j'ai une porche à la maison

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