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Le messager de l’Arche

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1808    |    Mis à jour : 15/09/2022

e ces petites tables avec un groupe

it, et alors tu pourras faire un joli d

is elle pouvait toujours courir. Je resterais assis à cette table toute la journée s’il le fallai

sauf l’un ou l’autre chez lesquels j’apercevais une larme récente encore accrochée à leur joue rose.

ns la boîte au milieu de la table, et pour les feuilles tu peux te servir tout seul comme un gr

ourna les talons sans insister et se dirigea vers une autre table. Du coin de l’œil, je l’observais discrètement. Et soudain, elle releva la tête et nos

celle-là ! J’allais lui faire payer cet abandon, lui rendre la vie impossible les jours à venir. Peut-être réussirais-je à la faire changer d

Je levai la tête vers leur direction, me demandant où ils se rendaient. La dame au chignon blanc me fit un signe de la main

s dans tous les coins de la cour, certains ayant déjà investi le bac à sable et le toboggan. Moi je longeais les murs de la bâtisse comme si je craignais de m’égarer dans cet espace in

s. Je me retrouvai aveuglé, dans le noir, dans l’incapacité absolue de faire face tout seul à cette horde de barbares en culottes courtes. Mais au fond ce qui me faisait le plus mal c’était ce terrible sentiment d’impuissance, moi qui voulais toujours tout contrôler, j’en étais réduit à subir lamentablement. Je me mis à pleurer en me recroque

allons relève ton bonnet, tu

haque instant, ne plus me faire surprendre comme aujourd’hui. Ils étaient les plus forts, les plus nombreux, je serais donc le plus malin, le plus rusé. Je n’avais pas eu peur, non, j’étais juste fâché contre

moment de la journée que j’avais préféré. Et de plus, je n’avais pas besoin de partager avec les autres puisqu’ils ava

iberté dans tout ce joli programme, car finalement tout ceci m’était imposé, au rythme scandé par la dame au chignon blanc, accompagnée par une autre dame à l’aspect un peu moins austère et avec beaucoup plus d’embonpoint. D’ailleurs, je ne me s

net de laine, ce qui signifiait la libération, le retour à la maison, les jeux avec mon frère et les bras de ma mère. Cependant, je r

out, Claude, tu

ecouant énergiquement

nquiète pas, tenta-t

leur nounou ou leur grand-mère, et nous on attendait là comme des orphelins inquiets de leur sort.

u long du chemin du retour vers la maison. Elle me regardait de temps en temps, avec une certa

j’accompagnais maman pour les courses, la place non loin de notre immeuble où l’on jouait à en perdre haleine avec Julien sur le toboggan et la balançoire, où l’on se roulait dans le bac à sable, où l’on jouait à cache-cache parmi les haies de troènes, à trappe-trappe sur les bancs de bois, au

ns de ton âge vont à l’école, pour apprendre à lire, écrire et compter », av

e jute que mon père avait remonté de la cave, et me mit à les c

ter, je viens d’en tirer dix du

ssant va falloir en connaître un peu plus, si tu

norer mes arguments, et à les plonger dans l’eau fr

ois jamais, il part tous les matins alors que je dors encore, et le soir

e toisant comme si j’étais un extraterrest

tout ce que tu trouves à la maison, et surtout pour manger et s’habiller. Tu vois bien quand je fais les courses à l’épicerie du coin ou à la boulangerie, q

famille, comment expliquait-elle sa décision d’aller elle aussi travailler et nous laisser Julien et moi e

ester encore un peu avec toi à la maison, comme ça je pourrais t’aider

la laissa sans voix, pour aller jouer

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