Le temps d'un regard
an-M
tou
i ont eu la chance de connaître
ne vrai
e l'amour à partir
d change la vie
s qui n'ont pas
ccasion de la vivre par pro
inonder de joie et vous lais
amb
e croisent un ma
e regardent et n
istoire riche en rebondissements, entourée par l'amitié, la s
en avant l'intelligence des relations hu
pit
depuis lesquels leur communication s'est rompue. E
a disparition d'un billet posé sur la table du salon ? Un désaccord sur la couleur de la ju
l à sa mémoire. Rien ne ressort de cette concentra
lère, elle se lève et
'homme
rrivés là ? Pourtant ils ont essayé de construire un château. Ils ont posé pierre après pierr
Sans se poser de question. En apesanteur. Elle se rappelle se sentir comme dans un ascenseur aux contours invisibles. Une esp
Est-ce définitif ? Pourra-t-elle rattraper ce qui s'e
es moments d'innocence et de joie et réalise qu
s de cet ascenseur ont été sect
Elle se rassied et attend. Leur regard ne se croise plus. Pas de force ni d'envie
fléchit à trouver le mot juste, incapable de qualifier cet instant
a scène rapide dans laquelle son mari récupère le pantalon préparé l
mme elle n'avait eu aucune réponse, elle s'était lancée dans cette aventure seule. Repeindre pour effacer les traces, pour repartir, mais vers où ? Elle s'était
alors qu'elle avait juste envie de lui crier dessus en lui dis
ien n'existait autour d'elle. C'est ainsi qu'elle s'est en
éviter de s'habiller devant elle, comme s'il voulait
resser la parole et pour éviter le poids de cette ambiance.
ordre des choses. Les anciens m
rée. Elle marche dans la rue et lui est assis en terrasse. Il b
nger à 22 h au restaurant « Le Divan ». Ils y ont leur table, à côté de la porte-f
il ne sait même pas associer les couleurs ! » Chacun y allait en fonction de son caractère et de ses passions. Ce commentaire
nsemble. Ils rient beauco
je suis fatigué je vais rentrer. » C'est leur code. Le premier qui le dit arrête la soiré
haque fois. C'est comme un jeu de piste. Ils sortent d'un bar et marchent jusqu'à ce
iale », pense-t-il
eine d'énergie et d'entrain. Elle semble flotter dans l'air. S
-t-il pour se justifier et s'excus
*
fruit de son imagination. Leurs yeux se croisent un instant. Cet instant leur parut être une
cune tasse, aucun pas... rien n'était audible. Le s
sous un porche. Sa cheville lui fait mal. Dans la précipitation, elle s'est tordu le pied, du haut de ses talons aiguilles. Un bon 7 centimètres. Elle se frotte la cheville et sort une crème de son sac. Elle a l'habitude de se blesser les pieds et prévoit tout. Elle patiente quelques secondes puis décide de r
devant une porte en verre qui lui fait office de miroir et en profite pour se regarder. Était-elle assez belle
Pourquoi a-t-elle oublié de prendre avec elle sa pair
*
eu le temps de lui dire bonjour ni de l'inviter à boire un verre. Le temps s'est ar
moulante et ses hauts talons. Il reste plongé dans son regard bleu clair, aussi perdu qu'elle. Il la revoit cou
aurait certainement eu peur. De toute façon, il aurait été incapable de lui