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Le temps d'un regard

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1473    |    Mis à jour : 26/05/2022

e son éloignement. Elle voulait sortir et changer d’air et d’ambiance, mais elle n’a pas de force. Ell

rme la

nti ? Ne s’est-elle pas caché la vérité ? A-t-elle laissé fermés ses grands yeux bleus durant toutes ces

a joué dans cette pièce. Celle d

e décadence ? En est

n de se culpabilise

ces ont la

est lui qui a commencé,

honnêtes et regardons la réalité en face. Aurait-il changé tout seul de son côté ? Lorsque deux êtres vivent ensemble, risquent-ils de se lasser, d’être vides l’un de l’autre, à un moment ? E

nt ensemble jusqu’à la mort ! On se m

s âgée qu’elle avait rencontrée dans la salle d’attente du cabinet d’u

angé. Les femmes ne travaillaient pas à votre époque et

s changé, ce sont les

peut-êt

and même mie

oute faite à laquelle elle n’adhère pas. Comme si tous ceux et celles qui la prononcent refusaient de vivre l’i

*

cet enfer ! Je n’en peux plus ! Par

divagues

on, c’est ce

é une image de couple parfait, ind

Maintenant, ça n’a plus

us êtes devenus sombres et dis

nt idéal, mais par moment je n’y arrive plus. J’essaie, mais j’étouffe en

ême espérer sa mort ? Es-tu devenu fou ? Qu’est-ce qu’il s’es

t cherche à chaque situation nouée, une solution à lui apporter. Jusqu’à l’année dernière, e

nt, je le sais, mais plus UN enfant. Je suis adulte, je sais prendre mes décisions seul, alor

n bien ! Pourquoi es

u compte que

He

veau ou quoi ? Et déjà m’as-tu déjà considéré comme un homme ? As-tu remarqué que je suis devenu

Pourquoi m’agresses-tu ?

m’en veux pas, mais tu m’en fai

ncé à sangloter, il l

ère. Il en veut au monde entier et cherche à rég

ion, sa mère a pris son courag

mon fils deve

Ça

urs en

ecomme

r. Je t’ai peut-être trop couvé, trop emballé dans un cocon et cela

as ce que je

réfléchi et je vais changer. C’est encore possible.

le re

i, mon

de m’être

iscussion a détendu Louis. Cela a soulagé s

pour moi, ce n’est pas ton affaire. Je suis ta mè

s aussi que j

ue je te suggérerais. J’ai compris que malgré le fait que je sois ta mère, je n’ai pas une place ni un rang supérieur. Nous sommes tous deux adultes. Nous

réfléchi à tout cela

i, mais je ne cherche plus à savoir. J’ai compris ce que je t’ai fait endurer. Je m’en excuse. J’ai voulu bien faire, dans mon rôle de mère. Mais ce n’est pas un rôle que

le

e servir de béquille. Je te demande de t’asseoir à côté de moi quand tu n’es pas bien. À accepter ma caresse dans tes cheveux

*

à, c’est

passe-t-i

le ton

désolée. R

ue Louis faisait n

Ou

un ticket de carte banc

ses affaires ? Tu sais où

a maison aujourd’hui et j’ai décidé de m

onc ! Quelle gentil

rque je ne suis

, je l’entends. Veu

n je risque de fa

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