MES SEJOURS SOUS LA MER

traîna en effet sa main gauche jusqu'à mon pubis et m’y arrac

s bras, m'or

Elle m’arracha ensuite quelques-uns de mes cheveux. Pour f

deux jolies grosses mamelles. Elle pressa celle d’à gauche, en recueillit du lait qu’elle laissa entrer dans le gobelet. Elle pressa aussi celle de la droite et, au lieu d’un liquide blanc, ce fut plutô

e suivra toute ta vie. A partir d'aujourd'hui, tu es comblée de ma grâce et de tout pouvoir destructeur. C'est ce que tu diras à la tempête qu'elle exécutera. Si tu lui dis que tu voudrais la voir en personne, elle se transformera en personne. Même si tu recommandes au jour de se lev

était déjà à table en train de croquer de la pâte accompagnée de la sauce, une sauce que je ne saurais à base de quoi elle était

j’avais suivis, je me dirigeai à son

enter à mes copains et c

ci joli que le monde qui m’a

Il ne fait jamais nuit non plu

eurs minutes. Je ne savais même plus ce qu’on app

*

e lever

venue au monde des humains parce que je m’étais tout sim

j’ai balayé ma chambre, rangé mon arriè

aluées comme si on ne s’était pas vues il y avait quelque

e personne ne sût la vraie raison de mes fou-rires. Parmi les séquences lesquelles je m’en souvenais, figurait celle au cours de la

fois dans le monde des humains. Je m'amusais parfois avec mes copines

s et étais aussi dans mon nouveau monde. Puisqu’il fa

rituels où je devrais être libérée. A ce jour, Oga

i tu accomplis bien tes missions à bon escient, crois-moi, je te ferai avaler le plus puissant des pouvoirs et tu

accueillie et de m'avoir accept

-y ! Tu as ma

nts, je me retrouvai à la maison. Sur le lit, je me vis couchée. Douce

*

c’est samedi,

ison, je m'étais mirée. Dans la glace, je savais combien j'étais d

r pour la première fois, ma magie spirituelle parce que je savais qu’avec ma tenue sexy, un imbécile allait tomber dans mon piège. Je voulais effectivement

e grosse caisse s'arrêta et me héla. Je fis semblant de ne rien entendre. Au lieu de continuer son chem

, comment ça va ? me d

telle une guenon. Mes seins, ce jour-là, étaient sans soutien-gorge. M

. Oui, je le voyais baver d’envie. Il ne regardait autre chose que ma poitrine. Eh oui, il avait envie de les dévorer voir la façon dont il les regardait. Je lui

bien, merci,

avec cette bel

super

vous êtes bell

re, je lui répo

elle créature ; vous

h b

joie si vous acceptiez l’hon

juste envie de fa

on service ! Pour l'amour de Dieu, lai

fre. J'acceptai et montai à bord de son véhicule. Dans le véhicule, j'étais devenue un miroir que, à chaque instant, mon compagnon n'hasardait point de s’

abitez

ma maison est non loin

sir si vous me programmiez p

ment que c'est notre première ren

rcément aujourd’hui ! Vous

i mons

r et de m’admirer. C'était en me regardant que su

mes-nous arrivés ? s'