MES SEJOURS SOUS LA MER
ma chambre me donnait beaucoup de peines. J'avais la pare
e, il me fallait au moins quinze minutes de marche pour affronter le seuil
ant à la marche routinière qui m'attendait encore, j'e
econnaissais bien. Comment ne pas reconnaître la voix de celle
uis ma chambre avec mon drap
dans la chambre ? Ou ne sai
ête déjà, lui mentis-j
a chambre et me dirigea
ntilateur-brasseur était pointé au plafond. Puisque mon père était bien riche, il avait orné ma chambre de tout. Sur l'armoire, était positionné un gros appareil amplificateur. Ma chambre était peinte de vernis. Le sol était bien carrelé.
rande fille d'une vingtaine d'année. Aussi, en matière de corpulence, j'étais la plus dominante de ma famille. Mes
quatre fois par semaine. Ils venaient parce que je leur donnais tout ce dont ils en avaient besoin. Ils mangeaient excessivement. A la fin du manger, chacun faisait de ma chambre, ce qu'il voulait.
ble pour éviter la mauvaise compagnie. A l'école, j'essayais de rester un peu distant de certaines copines, surtout de celles qui aimaient trop se laisser à la traînée des jeunes garçons. Si je me méfiais de ça, c'est parce que j'avais pris
grande sœur Stella avait donc fait ses adieux aux portes scolaires. Alors, pour ne pas avoir ce mê
rop les bananes. Surtout leurs odeurs, elles m'attiraient beaucoup. Ce faisant, j'adore trop les manger. Même lorsque je vois
de la salle de clas
tu finis ces bananes ava
r qu'elle l'en finisse. Il lui restait encore deux e
prendre toutes les deux
bananes. Alors, laisse-moi les deux et viens prendre de l'argent pour aller en acheter
cœur, ell
et à la sortie, on i
deux pièces de
çai à croquer coûte que coûte. Au bout d
dans ton sac ?
e goût était trop appétissant et beaucoup diff
e goût est trop
la sortie des cours. Sinon voi
rai, lui murmu
mes camarades et moi nous levâmes. Après la salutation à l'adresse de ce dernier, nous nous assîmes. Nous
'on peut aller acheter l
sais pas si celles de ce quartier seront similaires à
argent et en venant le
acco
ous nous séparâmes. Chacune de no
i tu oublies,
auras ce soir, me pro
*
ais que penser à mes bananes qu'allai
ux, ces bananes que j'ai commandées. Je m'étais apprêtée sans même goût
je jetais de clin d'œil à ma montre-bracelet. Le temps filait, pourtant, Aline ne venait pas. La sirène ava
rs de ce soir ? Était-elle venue en ret
rs de français que je devrais suiv
je ne connaissais ni le quartier où habitait ma copine ni la voie qui menait chez elle. Et d'ailleurs, même si j'avais des références de ses coordonnées résidentielles, allais-je lui rendre
goût de ces fameuses bananes que j'avais mangées le
m'acheter de sucette dans la maison d'à-côté. J'avais acheté un jus d'orange juste pour calm
dormie sur mon jus d'orange. Le sommeil, au bout de quelques minutes, m'avait absorb