MES SEJOURS SOUS LA MER

ure du

ude, ce qui m'avait réveillée r

s lorsque tout à coup, je fus surprise par quelque chose de très étrange. Il s’agissait d’une silhouette d’homme. C'était bie

à cette heure tarde de la nuit ? Et comment es-tu arrivée

Je me demandais intérieurement et étonnement si ses rires perturberaient pas le

s-moi ! finit-

eur me chato

r où ? lui

ou bien tu n’entends pa

lui demandai où est-ce q

’abord, me ré

ail, mes parents ent

e, je vais gérer ça ; c'e

lle reine tu parles ? l

s ; lève-toi nous allons partir

isiteuse. Une fois en face de sa nuque, moi qui la croyais au départ debout sur ses pi

a ? m'écriai-j

as peur. Allons-y ; je

sons n'étaient pas de ceux d’ordinaires. Une partie de leur composition, soit de la tête j

ait. Ma respiration avait l’air de ce qui allait se bloquer. J’avais envie de fuir mais pour aller où ? Intérieurement, je me demandais si je pourrais revenir so

a tête. Ses cheveux étaient aussi longs qu’un train. Les cheveux étaient tellement longs qu’ils balayaient le sol. A son s

que les adultes du nouveau monde où étais-je venue avec ma copine. L’aspect de

our ! murmura ma compagne

lle ! Bonne arrivée, lui r

i, ma

uoi as-tu

ncement, elle avait

? Et po

avait

! Sois la bienven

dame ! lui

e voyais leur queue balancer de gauche vers la droite. Je savais que ma vie était termin

ent t'appelle-t-on

Octavia, répond

avia. D'accord, bo

ci ma

tête aux pieds avant d

nue ici, veux-tu faire pa

, à cette question, je ne sus quoi lui répondre. Je seco

partie, alors, je te tue su

la le cœur. Et devant cette men

ne me faites aucun

un mal, alors tu as intérêt d’accep

a tête et ma v

de dire. Tu es donc prête à nouer l’

, mad

. A toi de choisir l’appellation qui te convient. Maintenant