MES SEJOURS SOUS LA MER
ssesse depuis que papa a été alerté de la nouvelle et l'a déscolarisée. N
ux autres sœurs habitaient encore la maison de mon père.
t la sentir auprès de moi parce qu'elle aimait trop se vanter et aimait beaucoup me frapper surtout lorsque je commettais de peti
la que j'aimais beaucoup Charlotte. J'aimais aussi mon grand fr
ttitude que je venais d'avoir à son égard à ma sœur. J'étais tranquille, emmurée dans ma chambre lorsque tout à coup, la po
l'observais. J'attendais
our menacer ta mère
honnêtement, je ne savais ni pa
je te jure que tu vas finir par ramasser un jour te
mâchoires par terre ?
onter tes baliverne
colère de ma sœur s
paroles que tu tra
i, alors continue se
deux baffes successives sur le visage. Ces baffes avaient aussitôt augme
ter la main contre elle et encore moins, lui manquer un centime de respect. Cette fois, je me suis jetée sur elle et l'ai roulée par terre. J'avais couru p
ais bien tabassée et au final, elle avait été conduite à
*
ace de mes cahiers. Je révisais mes c
l'entrée de quelqu'
res sont en cours de route. Ils viennent pour te frapper po
e, j'eus un grand
line ? lui demandai-je, c
itter la maison,
r all
la reine qui m'envoie t'a
vais voir ce qu
te dis, ils s
s-y, Aline ; j
pelle plus Aline.
rer ça. Même s'ils me frappent, je ne mou
, moi je v
tout à
ine di
u'un cogner à ma porte. De l'intérieur, j'imaginais qui il
un d'entre eux, o
illai. Derrière la porte, s'impatientaient mes deux gra
frères, fis-je
répondit sèchement
ait debout Michel
. Je ne réclamai rien. Je retournai sur la pointe de mes chevilles et au lieu
d'hui ? me demanda Samuel après s'être ass
ce que Michel qui me soutenait avait une longue chicotte en main et avait une
e je parle ? reprit Sam
ssé rien, répond
ment que ta sœur avait été év
Avec toute franchise, je
répond
re des simagrées te
Et gare à toi si tu rates un seul. C'est Michel qui te soutient tout le temps e
as encore venue à la moitié. Soudain, je vis Oga, elle-même en personne. Elle me posa une percale blanche sur la tête et lorsque le reste des coups retentissaient dans mes mains, je ne craignais plus aucune
a encore à ton sujet, crois-moi, je vai
laisser aucun, mon frère Michel ne m'
oi faire à ma mère, à ma sœur Nadège et aussi
ue je privais de l'
eur sort. Et, si j'agissais aussi bru
tuation, c'étai
pte dont Samuel en l'occurrence é