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Quatre enfants d'Algérie ou Myrka de Béjaïa

Quatre enfants d'Algérie ou Myrka de Béjaïa

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1341    |    Mis à jour : 22/12/2021

ie ce

pour qu’ils se souviennent de leurs racines sur une autre r

aimait tant à se souvenir et a

poux et mon pr

n’est que contemplation statique du passé, si elle détourne vers celui-ci

pit

ap C

s parlent, les pe

… pour

mbre et ne te mêle pas des conv

ne durait guère. Une fois de plus, Myrka se demanda pourquoi les « grands », comme ils se désignaient eux-mêmes, pourquoi les adultes ne se rendaient jamais compte que leurs propres discours contenaient

s. Invariablement, elle tendait l’oreille afin de ne pas en perdre un mot. Myrka écoutait, et parfois, posait ces questions auxquelles elle obtenait si rare

s préoccupations pour assouvir la curiosité des enfants. Avaient-ell

cesser le feu… pourparlers de paix… » Cesser le feu ! Tout le monde en parlait mais personne ne le faisait ! La réponse était pourtant là, dans la formule employée ! Naïvem

ent où leur vie avait tout à coup semblé prendre un nouveau tournant. Ils étaient tous les trois en cure, à

la signifiait : il allait devoir rejoindre l’armée et se battre ! En fait, la situation s’aggravait… la guerre était bien là, et pour la toute première fois, elle avait senti sa gorge

face et l’assaillaient de temps à autre, elle se tourna ver

ue Myrka ne percevait plus que très vaguement la voix du journaliste : « Bougie… ce matin… une intense activité aux limites de la ville… » La pupille étroite, au milieu des yeux verts du chat, sembla se dilater. Cette étroite fente noire vertic

lune pâle. Un rayon passait sous l’arche de pierre et elle crut y voir onduler une écharpe sur laquelle était assise une silhouette aux contours arrondis. Portée par la brise, l’écharpe disparut de l’autre côté du cap. Au même moment, elle perç

ix lointaine du journaliste de France inter. Dès que Mits

te mettre au lit ! Un message paren

er dans leur appartement, de ce côté-là. Le balcon était suspendu bien trop haut au-dessus de la cour centrale de la maison. Il était porté par un mur épais derrière lequel se trouvait la chambre de ses frères qui ouvrait sur ce même balcon.

accrochait un cartable dont elle se débarrassait volontiers avant de descendre les dernières marches de la montée Leska. Une fois dans la rue du Vieillard, elle se précipitait dans le couloir de l’immeuble. Ce soir-là, elle se dit que, si elle se sentait

tinguait aussi les contours de la coiffeuse introduite dans son décor, contre son gré. Les trois panneaux du miroir se renvoyaient la lumière qui s’infiltrait dans la pièce et ces lueurs stimulaient souvent l’imagination de la fillette qui dé

C’était sa façon à elle de se protéger… puis elle chercha dans sa mémoire une image agréable qui lui permettrait d’attend

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