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Quatre enfants d'Algérie ou Myrka de Béjaïa

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1964    |    Mis à jour : 22/12/2021

tre 4

lle n’entendit pas la cloche de l’église, pourtant si proche, sonner les douze coups de minuit. Cependant, quelques notes d’une musique qu’el

un rayon de lune vers ton lit, seule la

va-

faut qu’on parle ! Ha

mais elle étouffa le « pourquoi ? » qui lui vint immédiate

suis

fenêtre et monte sur

se bousculaient en elle. Instinctivement, elle s’assit en tailleur derrière son mentor et sentit le tapis s’élever lentement, sans bruit, dans les airs. Ils étaient déjà à l’aplomb de la cour ; elle voyait distinctement les fils d’étendage où séchait le linge de la famille qui vivait au-dessous de la sienne, l’ancien poulailler, le balcon qui bordait la cour sur toute sa largeur et maintenant le sien qui ét

é et tu auras des poignées pour te retenir, dit Saï

n tapis volant ! Et en plus de cela, il pouvait se déformer sur les côtés et à l’arrière, de sorte que Myrka se sentit protégée et eut la sensation d’avoir un dossier contre lequel s’appuyer ! Il n’en fallut pas plus pour la rassurer, lui pla

ez Léna et ensui

de la ville qui défilaient sous ses pieds. Bougie, la nuit ! La lune, encore assez haute dans le ciel, éclairait ici une façade, là un espace de bitume e

u Vieillard. Laissant derrière eux l’escalier que Léna empruntait chaque jour, il obliqua en direc

ntrer ? Est-ce qu’

et se présenter devant la fenêtre de Léna. Une lumière brillait dans

oix basse, les deux

a, ouvre, c

gard dans le jardinet où elle pensait qu’ils devaient se trouver. E

citation, la curiosité et un soupçon de moquerie. Elle anticipait la réa

vous faites ? À quoi

! Viens a

ù d

z Tam

s pa

Saïd l’interrompit et lui fit les mêmes recomma

place derrière eux. Elle se pench

toi ? Tu ne

ka lui expliqua comment elle pouvait se retenir aux franges

araître sur le visage du jeune garçon un large sourire qu

veau l’immeuble de Myrka et la montée Leska qui apparurent. Les clochers de l’église se dressèrent tout à coup au-dessus de la place du marché. Une faible lueur perçait derrière la vitre du commissariat de police. Jamais le bâtiment de l’EDF ne leur avait paru si haut ni la Place de Gueydon si vaste ! Elles frissonnaient à la pensée que Saïd

se rendre à la pêcherie, non loin de la Casbah, se trouvait la « Pharmacie

it parfois pour profiter de la fraîcheur de la nuit. La fillette aimait se réfugier là où la toile s’inclinait sur le sol. Elle avait elle-même installé un rideau pour délimiter u

tes dans ta fameuse cabane ! Tu as même u

pouvons parler tranquillement car les chambres sont situées de l’autre c

savais que nous al

nfantin qu’ils appelaient « tape cinq ». Paume contre paume, doigts tendus, les mains se rencontraient et le c

ne suis pas Arabe, mais Be

rbare humide ! souli

eux n’échappa pas aux f

-être de barbare… ce

utes ses dents, il s

nt quand il pleut,

Kabyle comme toi… Mes ancêtres ont conquis ce pays

ue de Léna qui se tourna alors vers Myrka l’interroge

-mère se souvenait très bien d

is tes a

ci depuis des siècles ! Ils disent aussi qu’elles s’entendaient bien avec les Berbères. Quand mon frère veut taquiner mon père, il insinue

ua Saïd ! La religio

hassé les juifs… Ou encore que nos ancêtres sont arrivés en Algérie par bateau et ont débarqué à Délisse comme les pèler

ors d’où

t rire hein ? Voilà, je suis Sépha

ia Léna en accentuan

sépharabe,

inrent de concert, manifestement amus

e qu’on fait ? Saïd ramena la co

ique-nous pourquoi t

ous avez entendu parler de cet homme qui a été aperçu

de qui i

tats. Mon grand-père dit que c’est un Agawa. Selon une vieille légende, les Igawawen2sont des montagnards qui descende

faire ici ? Que

Arabe ne peut expliquer aujourd’hui

eut-on

sorte de rêverie dont Saïd sortit le premier pour leur poser à nouveau cett

lles, vous voul

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