Quatre enfants d'Algérie ou Myrka de Béjaïa
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trousses. Elle accrocha son cartable à la corde que sa mère lui avait lancée, articula à peine « à demain » à l'intention de
sur quelques mètres, tourna à droite après la librairie et descendit un autre escalier pour longer ensuite
même, elle décida d'aller se coucher, ses parents échangèrent un regard interrogateur et se contentèrent de lui répondre « Bonsoir, fais de beaux rêves ! ». En fait, ce que voulait la fille
« Les volets de la chambre de mes frères sont bien clos – la porte de leur chambre est fermée à clé – celle de la cuisine donnant sur le balcon l'est aussi – j'ai bien fermé les persiennes de ma chambre même si les portes-fenêtres so
ta sous le menton, et instantanément, Mitsou se mit à ronronner et s'allongea de tout son long auprès de sa maîtresse. Pas comme moi, pensa-t-elle, il a sommeil ! C'est alors que les images se mirent à
on lit. Elle se redressa, et sans hésiter, s'approcha de la fenêtre en prenant bien soin de ne faire aucun bruit. Elle scruta la nuit, intensément. Quelle était la cause de ce mouvement et qu'est-ce qui pouvait bien se déplacer ainsi dans l'air ? Tendue, Myrka essayait de repérer une ombre, une tâche sur le mur qui surplombait la cour in
e pour revenir plus près de la chambre sous les yeux ébahis de l'enfant ! On eût dit que quelqu'un tentait d'ap
e voir ? ch
tu pour te trouver là ? s
s, Myrka, il faut
Ils vont nous entendre,
oute-moi, il faut que
s parents nous entendaient... et puis tu me fais peu
Encore une fois, laisse-moi parler. Si tu veux comprendre, attends-m
s pas si je
e peux aussi diriger un rayon de lune à l'intérieur de ta c
rka accepta sans parvenir à réprimer cet
is-tu pour f
Saïd avant de disparaîtr
ouvait croire ce que ses yeux lui avaient montré ! Reprenant ses esprits, elle se pinça et finit par admettre qu'elle ne dormait pas ! À ce mom