Sphinx - Le cercle des félins - Tome I: Le cœur a ses raisons
s rompirent toutes suggestions. Les bruits venaient de la ruelle sur ma droite. Il faisait trop sombre pour remarquer quoi que ce soit d'autre. Ricanements et cris se superposèrent immanq
nt de garçons. Ils se rapprochèrent. Un enfant était blotti sur lui-même à terre, au milieu de l'impasse. Impossible de dire si c'était une fillette ou u
anlin
homani
, walang
se levèrent. Ils me dévisagèrent et leurs sourires narquois disparurent. Leurs peaux étaient d'une blancheur aveuglante, même dans cette ru
égarée m
s la cage thoracique. Il en était douloureux. Trois grands gaillards comm
sourdi, avant de s'étonner.
prends-tu ? brailla le troisième
ent de
! hurlai-je méchamment, ignorant mes mains
toi ? poursuivit l
soutenant ains
n des trois garçons, le prenant par surprise. Son nez craqua et la brûlure à ma main n'avait plus lieu d'être. Je hurlai de douleur comme jamais. Le visage déformé par l'atrocité du
m'a détruit le nez
ts me démangeait vivement. Mes dents frémirent. D'excitation. D'impulsion. D'adrénaline. Je n'aurais su dire. Comme si une force voulait émerger de mes entrailles. Des griffes pointues, aiguisées de dix centimètres de long faisaient la prolong
r ce qu'il m'arrivait. Je fis un bon, et je
-je pu faire
lards nous avaient poursuivis jusqu'à la limite de la rue principale. Légèrement essoufflée, je découvris enfin l'enfant terrorisé. C'était une fillette de 10 ans. Je l'avais déjà vu, en compagnie même d'Héraclès. C'était elle,
nerveusement, sans cesser de toiser le
ndit-elle, apeurée, les
ne égratignure. Rien. Elle
ain frétillante dans mes cheveux sombres avant d
ent de m'insulter parce que je suis différente d'eu
e, la prenant dans les bras. Ce sont de
s, dit-elle, en ha
tes s
on
s pou
s. Ils sont différents des autres. Ils me défendraient ma
e 10 ans, elle parl
is leur
is un f
ez pour te remonter le mo
drais pas t
ut, ça me f
Trouville, au coin de la rue principale, à l'autre ex
élo
i a-
ie d'être venu
y a pas
était chaude, supérieure à la moyenne. J'en étais persuadée. Tout
appris à
ait du k
kickboxing. J'avais eu l'impression de rêver, ces grif
s-tu m'ap
înmes au marchand de gla
selles, que puis-j
culentes. Je tendis l'exactitude du prix puis nous marchions toutes les deux, dégustant nos glaces, arborant de magnifiques sourires, dans les rues au milieu des vacanciers, déjà très euphoriques. Le visage de Promé
Je vais rentrer, dit-elle, finis
habit
de se tourner vers moi. Je me ren
pour être sûr que tu
hic fille. Mé
uestion. Des lumières scintillaient dans toute la rue. Une grande porte en bois portant de magnifiques gravures s'élevait devant nous. Ma nouvelle amie ouvrit la porte et me précéda dans une vaste salle. Un somptueux et massif bar en bois trônait dans un coin. Imposant. Des tables en bois avec des fauteuils e
partagé entre deux sentiments. La joie de
ous questionna-t-elle, en
ntervenir Héraclès froidement, mélangé par
'a sauvé
empourprèren
s'inquiéta sinc
n... (Elle fit une pause et me regarda. Je l'encourageai. Elle en
tôt, petite sœur ? souffla Héraclès d'une v
tant aimé me trouver à sa place, là tout contre lui. Cette pensée m
relater. Nous serons toujours céa
devais lui rendre son étreinte ou laisser mes bras ballants. Je décidais de les glisser autour de sa taille. Mon cœur battait si fort qu'Héraclès l'entendait forcément. Tout mon corps frémissait à ce simple contacte, les joues rouges comme
ses émeraudes ne me quittaient pas. Le sol tanguait sous mes pieds, l'odeur de son parfum flottait encore dans l'air, to
u lamper ? d
Je vais rentrer
, grogna Héraclès,
ent, intervint-il, de sa bel
er seule. Ne vo
. Tu as sauvé la vie
'avez sauvé la vie plus d'une fois.
viens, ordonna-t-il, me poussant d
autaine et sans faille. Tous trois avaient prati
uestionna-t-elle, les cheveux vir
frères, Ken
la der
d'un mouvem
t te surprot
m'entendre, au contraire de Charly. C'est compliqué. Nous étions inséparables. Mais je l'ai déçu. J'ai fait u
enre de
faire ta curieuse, la
sont des affaires
le diras
d tu seras assez gra
ls me surprotègent. Je ne su
ls t'arrivent quelqu
st pas u
l'entendre, estima Éros sérieuse
igé comme une statue de marbre. Mes grands-parents guettaient mon arrivée
nerva-t-elle, montrant le bracelet-m
excuses quand le
s Zo
r monsie
sa sœur et son frè
, Éros et moi, je
pondirent-ils
tre petite fille, Mélodie. Elle a été héroïque. E
i Didie, s'enqui
le monde en au
grands-parents. Maintenant, ils me prenaient
mercis
e quoi. J'ai été cont
res étaient exquisém
e me prit par la taille et m'attira à l'intérieur. Kawasaki se frotta à mes jambes, ronronnant
dénudai. Sous la douche, les yeux clos, je repensais à son étreinte, à sa pe
de mon matou sur le haut de la tête
é, mentis-je, s
ma chambre, Kawasaki sauta sur le lit pour s'allonger sur l'un des oreillers moelleux. Je me glissai sous la couette, épuisée, et baillant à me décro
é et de pur bonheur. Je caressais de long en large, son corps bien sculpté et si parfait. Mes lèvres sur les siennes, je l'embrassai avec une fougue dévorante avant d
e de l'
lus pouvoir aimer car m