Sphinx - Le cercle des félins - Tome I: Le cœur a ses raisons
dicace à mes
ses rêves, en sa personna
on et en sa libe
à tous les félins
re, Et la liberté représentative de
tella S
nt des êtres
scients de tout ce qui
alter
ol
vais pas eu la motivation de passer mon baccalauréat. Je ne parvenais pas à continuer ma vie, sachant ce que j'avais fait. Je me sentais si vide, comme si on m'avait arraché le cœur. Je ne ressentais plus aucune sensation, même les larmes ne s'écoulaient pas. Comme si j'étais morte de l'intérieur en même temps que
étaient désespérés, désemparés. Ils ne savaient plus quoi faire de moi. À chacune de mes tent
lutôt transformer mon enfer actuel en paradis sur terre. Ils m'envoyèrent deux mois e
t, des baskets et un débardeur sombre. Mes cheveux, d'un noir intense, étaient ramenés en une queue de cheval plutôt rebell
obtention de mon permis. J'étais passionnée par les chats. J'admirais leur agilité, leur force de caractère, leur façon de se dandiner,
. Je ne comprenais pas ce sentiment. Ce n'étaient tout de même pas des adieux. On se reverrait à la fin du mois d'août. Ils n'avaient rien à craindre. Geor
oi pleur
llement nous manquer
n des vacances, assurai-
lus fort que nous, reprit-il,
pas faire de bêtise, intervi
n, je te l
re vide sans toi,
il reste Ken
matin dans le sud et Charly va chez son père
que Charly se remette de la perte de son meilleur ami, que les vacances chez son père lui fassent le plus grand bien. Il en souffrait énormément. Il m'en voulait terriblement. Mes parents me serraient d
in de toi,
age, fit
us les deux tendrem
uiétez pas, t
rès un dernier signe de la main, je leur répondis timidement. Enfin seule, je tamponnai le billet que mes parents avaient pris le temps d'acheter avant mon dé
r les cours, à traîner dans les rues. Je ne voyais plus qu'elle était l'intérêt du lycée. Je n'avais plus qu'un souhait, rester seule dans ma déprime. J'avais rompu tout contact avec mes amis. Plus les mo
r ma musique préférée du moment. Comme à chaque fois que je m'endormais, mon cauchemar apparaissait. Je tombai dans un trou noir, tourbillonnant sans fin, pour atterrir dans la petite Clio blanche d'Arnaud, au volant. Ce soir-là, il faisait nuit noire. Là-haut dans le ciel, il n'y avait pas d'étoiles. La lune était à peine visible. Les phares allumés, il pleuvait à torrents. Les essuie-glace fonctionnaient plein pot. Je me concentrais sur la route. Nous revenions d'un bar de nuit. Arnaud avait insisté pour fêter la réussite de mon permis. Nou