Sphinx - Le cercle des félins - Tome I: Le cœur a ses raisons
nt de bienfait. De son pouce, il me caressait la paume de la main. Mon cœur cessa tout mouvement. Mon esprit était en perdition. Le rouge me monta aux joues, pour finir par me brûler. La te
e. Une voix résonna dans ma tête, sans en saisir le se
ur mada
e ce chaudron bouillant,
n apercevant l'état de ma main. Ro
, retenant le cri de douleur
stre ? Mélodie ? bra
ident. Le pot de peinture m'a échappé.
Je ne crois pas
Zonnes, répondit-il, en serrant
ous de l'aider à peindre. Je tenais à vous reme
elle le prit
n'avez point
avec Didie et ses amis
mais
l'a dit, me
me. J'ai u
aurait été dava
même silence, pesant et gênant. Je n'osais toujours pas regarder la main qui me brûlait terriblement, la crainte d'apercevoir les dégâts et la souffrance des flammes rou
assaini, lâcha-t-il
u. D'une rapidité époustouflante, il se saisit du seau, descendit dans
e seau et ran
our tout,
petite Didie, se moqua-
ours de golf. Je restais là, immobile, admirant sa démarche gracie
la sortir et de baisser les yeux sur celle-ci. Mon cœur bondit. Chaque cloque était entourée d'une zone rouge sang. La peau était desséchée. Horrifiée, je cherchai dans l
d'un léger trait de crayon sombre sur les paupières, du fard à joues crémeux, blanc et du brillant à lèvres de teinture grise, les cheveux détachés dissimulant au mieux la cicatrice, j'allai ouvrir à une Valérie, accoutrée
exclama-t-e
Qu
re de te voir comme ça. Mais franchement l
ça mon pour
e, ell
en e
court instant, avant
n y
ons jusqu'au centre-ville, je la regardais du coin de l'œil. Elle n'avait pas intérêt à se pencher, sauf si elle voulait
evant le bar. Tu vas voir, c'es
labl
rincipale. La musique résonnait à tout va dans le jour déclinant. Les garçons nous attendaient déjà devant la devanture. Dès qu'ils nous
ravissante. C'es
, répondit-elle lascivement, en le
re, souf
de Mél, lança Alain, tour
rétorquai-je par
ise de l'acci
me tu
u avais fait un plongeon d
de prendre un
questionna Alain, en
en. Je me suis brûlée
in ? continua Valér
malad
renchérit-elle, voulant
se met à danser
s, donnant une ambiance surréaliste. Valérie s'élança sur la piste, tirant Thomas par la main. Tout son corps se trémoussait et se frottait à son compagnon comme une femelle
igé de rester ave
n, s'écria-t-
châtain clair. Valérie appréciait la proximité du blond, au contraire de moi, qui détestait les gestes trop rapprochés du châtain. Je suffoquais littéralement. Je le repoussais et plus, je me montrai désobligeante, plus il revenait à la charge, m'effleurant les bras, le ventre... et quand sa main se posa sur mes fesses, j'explosai. Je lui attrapai le poignet brutalement et le lui tordis. Il brailla comme une fillette. De ré
it. Valérie l'aidait, agrippée au dos du teneur, elle ne cessait de le frapper aussi fort que possible. Mais ses coups étaient comme des caresses. Il ne broncha même pas. À nouveau, on me prit par-derrière. La vitrine se fracassa sur mon passage. Étalée sur le trottoir, je rouvris les paupières, le nez en sang. Je me relevai le corps endolori. Les gens se battaient comme des chiffonniers. Comme un film de western, je fonçai dans le chaos, essuyant mon nez d'un revers de bras. Divers objets volaient dans tous les sens. À plusieurs reprises, je me baissai pour éviter les projectiles. Valérie se défendait contre un grand blond, non loin du DJ. Alain était toujours coincé avec son châtain cla
int. Compris, gro
rnicha l'homme à
l'agresseur tenait sa main flasqu
assé le poi
mment. L'homme baissa la
clair étaient d'un bleu vert marécageux, épais. Tout son corps tremblait. Je le regardais sans comprendre. Il n'
Laisse tomber.
si limpide, qu'on distinguait à peine ses pupilles. Les cheveux brun clair coiffé
-toi Hé
comme s'il venait de
ette bagarre. Les fli
e côté de la route. Face au bar de nuit. On entendait le bruit de la bagarre
a est
t que moi. Je suis énervé, s
ent et les gyrophares bleus donnaient une autre ambiance, à la soirée. Les policiers sortirent de leurs véhicules armés de matraques et pénétrèrent dans le bar. Je sursautai. Mon téléphone se mit à sonner. Les mains tremblaient tellement que je ne parvenais pas à appuyer
, bordel ? s'énerva
as pour moi. Je
Où
c des
enons te
a peine. Je rent
i s'
les conn
t que tu vas b
its. Je restais immobile, immergée dans ses belles prunel
, je me présen
squ'à sa présence. I
eroux, répondis-je, c
z mademois
ne supportait pas mon corps, trop lourd. J
, s'enquit Hér
pper son inquiétude malgr
Tu as des égratignure
on. Je do
nt te forcer. Laisse-nous
pas vous déra
ntes ! s'ex
lever. Héraclès nous suivait, en retrait. Ér
s-tu dans
is en T
as 18
pin
en vac
rands-parents pou
souvent dan
, pendant les
vons jamais v
ndrais. Vous êtes des personnes qu
ois-
êtes étranges, f
s d'étranges ?
aucune envie d
ais pas, me
vous avez tous
s ? grogn
e soleil, répondit Éros de sa voix do
s comment l
ronda de nouv
troyer ta connaissance. Dans d'aut
faire ta connaissance. J'euh, voulai
a point
m'avoir r
ce, je montai directement dans ma chambre. Mon chat se coucha de tout son long sur la couette, pendant que je me changeai, opta pour mon tee-shirt noir e
ujours la
t de caractères étranges, à leurs noms bizarres, la chaleur corporelle d'Héraclès qui dépassait la limite de l'entende
it sauvé la vie trois
t-ce une coïncidence, qu'il se soit retrouvé au mê
sur lui, sur sa famille, afin de savoir, si je
ieu ou seulement un mortel