L'Amour, Cette Douce Prison
sa voix pleine d'un
juste bouleversé. N'est-ce pas, mon a
e la main. Je l'ai retirée
t à la gorge. Chaque mot, chaque geste de leur part était un men
ux femmes les plus importantes de ma vie. Et je
ce" de Jean-Luc qui coïncidaient toujours avec mes moments de faiblesse. Les "bons conseils" d'Isabelle qui me poussaient toujours à prendre des risques qui
e était une m
ran et un sourire radieux a illuminé son visage. Un sourire si sincère, si spontané, qu'i
e télépho
, mettant l'appel
» sa voix éta
n Dieu, vous allez bien ? J'étais mort
e, vibrante d'une fausse émotio
maintenant », a répondu Sophie
vous laisser comme ça. Je suis au restaurant en bas de chez vous. Desc
applaudi
t exactement ce dont nous avons besoin pour nou
qui n'avait rien à voir avec le soulagement. C'était l'excitati
», j'a
ait sec,
ombé. Les sourir
é Isabelle, l'air d
n. Je ne veux
is la parole. Sa voix avait changé, e
é après un choc pareil. C'est la pire chose à faire. Fais-moi confian
ctif. L'arme ult
tte fois, je ne l'ai pas retirée. Je voulais voir jusqu'où elles iraient. «
J'étais égoïste parce que je refus
nse à la peur que nous avons eue. On a bes
visages, trois voix, me pressant, me m
rat
hétiques. Une voiture. Un appart
seul contre trois personnes qui connaissaient tous mes points faibles, to
eux. Leurs visages éta
un son de dé
acco
ntanément. Les sourires sont reven
! Tu vois, ce
'a pris pa
va. Jean-Luc
damné qui marche vers l'échafaud. Chaque pas était lourd, chaqu