L'Amour, Cette Douce Prison
eutré, où les conversations se voulaient discrètes. Jean-Luc nous attendait
, un grand sourire aux lèvre
héro
. Une étreinte de Judas. Je suis
sons feints, célébrant mon "courage" avec des toasts. Je mangeais sans sentir le goût des aliments,
s levé et suis sorti sur la petite terrasse à l'arrière
le étaient sorties par une autre porte et se tenaient juste à cô
as ? » disait Sophie. « Froid, distant. J
t plus assurée, teintée
atin, il signera les papiers de Jean-Luc sans même les lire, juste pour nous faire plaisir et retrouver
petit rire cri
peu coupable de lui avoir fait croire que j'avais perdu la bag
e paniquer en bourse. Chaque larme que tu verses, chaque crise que je simule, c'est de l'argent sur le compte de Jean-Luc. Et donc, sur les nôtre
que jamais. Ce n'était pas juste le braquage. C'était tout. Chaque crise,
n pas hors
nt écarquillés de stupeur en me voyant. La pan
butié Sophie. « Depu
blanche. « Assez longtemps pour enten
était ass
enance la première. Elle a
tait. C'est une façon de parler, l'humour noir
ait effrontément, en me
i dit, en regardant Sophie. « C'
le n'avait plus rien à dire. Elle était
ressenti une immense fatigue. Une fatigue si p
ds », j'ai d
t pétrifiées sur la terrasse. Je suis passé devant la table de Jean-L
sienne. Les lumières de la ville me semblaient agre
i j'avais cru, tout ce que j'avais aimé, n'étai
n'avais personne vers q