L'Amour, Cette Douce Prison
aste apaisant après le vacarme de la rue
ait asseoir
épare une tisane. Tu
ention qu'elle me portait chaque jour. Une attention que j'avais toujours prise
nue avec une
is ça. Ça v
ès près. Sa main s'est posée sur mo
e a vibré. D
lait s'afficher. Mais je l'ai sorti quand même, comme un
lère si pure et si intense qu'elle en était presqu
a main, un peu
de sa peau
ent de recul, l'air
Qu'est-ce
Je suis
Je n'arrivais pas à feindre. Mon
t Isabelle. Elle est entrée,
urs », a-t-elle annoncé, le visage empreint d'une sollicitude
sur la table basse et m'a examiné l
petit frère. Tu as
s toujours admiré ma sœur, sa force, sa capacité à prendre soin d
rat
prix de son affectio
bouche bouger, j'entendais des mots de réconfort, mais
suis
z-moi »,
sorti tout
s affichaient la même expression d'incompréhension
hoc », a dit Sophie en se levant à son t
aites mal »
tté dans le sil
de douleur, une douleur si bien jouée que j'aurais pu y croire,
? Après tout ce qu'on fait pour toi
un pas, sa main
ente rejetée. J'étais censé me sentir coupable. J'étais censé m
assé. Je voyais les ficel
donnait l