Sous Contrat avec l'Alpha
, empli d'une chaleur humide, et l'odeur de la terre mouillée m'a rappelé des jours plus simples, où les soucis semblaient si lointains, presque invisibles. Ce parfum de pluie s
ur ce que je ressentais. La vie semblait tellement plus claire, comme un chemin parfaitement tracé sous mes pieds. Mais maintenant, tou
nes sinueuses et irrégulières, comme les pensées qui m'envahissaient sans cesse. La sensation de l'air frais me cares
du vent semblait agiter quelque chose au fond de moi, me poussant à me rappeler des moments que j'aurais préféré
le silence. Je ne l'avais pas entendu arriver, mais je savais instantanément que c'était Dominic. Il avait ce
blait imposer le respect sans qu'il ait à lever la voix. « Il est
rs frappée comme un coup de vent frais, imprévisible, troublant. C'était un s
houette noire se découpant dans la lumière tamisée de la pièce. Ses yeux noirs semblaient fixer quelque chose que je ne p
d'une voix plus calme que je n
ns sa voix était palpable, et il s'avança d'un pas. « Je t'ai proposé quel
urquoi ce besoin constant de tout contrôler ? Pourquoi chaque mot qu'il
mandai-je, plus pour moi-même que pour lui. « Que tu puisses dir
ace des choses, Elena. Ce n'est pas juste une question de soutien.
à cause de la peur. Non, il y avait une excitation, une curiosité qui me déstabilisait. Po
Je veux que tu sois à mes côtés, pour que nous soyons plus forts ensembl
e savais, au fond de moi, qu'il ne comprenait pas. Il ne comprenait pas la peur qui montait en moi à
llait à chaque instant. Chaque parole qu'il prononçait semblait enfoncer des
», répondis-je, ma voix brisée par
u, presque doux, mais porteur d'une autorité implacable. « Tu n'as pas à en av
ais au fond, je savais qu'il avait raison. J'étais liée à lui d'une manière que
qu'une figure en arrière-plan, un accessoire de plus dans son monde imposant. Mais la manière dont il s'était préparé, l'attention qu'il portait à cha
qui semblait défier la réalité. Les conversations semblaient l'effleurer, et il répondait toujours avec cette assurance tranquille qui me coupait le souffle. À chaque regard, chaque sourire, il se passai
utres se pliaient à ses paroles. Il n'avait pas besoin d'élever la voix. Son magnétisme faisait le reste. C'était dans l'éclat de s
ois, comme s'il savait exactement ce qui se passait en moi. Il n'avait même pas be
e nous nous retrouvâmes à l'écart, loin des oreilles indiscrètes. Sa v
rendre ma lutte plus futile. L'attraction que je ressentais pour l
ais sombrer dans cette tentation, ou si je voulais encore me tenir à l'écart. Mais au fond, je savais que, peu impor