Sous Contrat avec l'Alpha
stoires de gloire et de pouvoir, sa voix pleine de fierté. Cette maison, remplie de lumière douce filtrant à travers les rideaux épais, était un sanctuaire. Une maison où les rires de ma mère rés
tait plu
sse avait une histoire. Chaque coup de pinceau, chaque détail peint à la main me renvoyait à un temps où tout semblait
e jetai un coup d'œil rapide à l'écran. Un message de l'un des anciens as
. On a plus de temps
turé. Par lui. Dominic Valenti. Ce nom, murmuré dans les cercles criminels comme une malédiction, était désormais synonyme de mort ou de soumission.
sac. Mes jambes étaient raides, comme si elles refusaient de me
ui m'étouffait. J'avais l'impression que tout était devenu un rêve, un mauvais rêve, dont je ne pouvais pas me réveiller. Mes pensées se perdaient, s'échappant dans un tourbillon de regrets et
nce solennel, son écho lugubre. Je m'approchai du guichet, les mains tremblantes, et demandai à voir le directeur. Il me fixa,
tes semblait murmurer des secrets. Je n'arrivais pas à me débarrasser de l'image de mon père, assis dans son fauteuil en cuir, entouré de ses hommes de
ssaient une inquiétude que je n'avais jamais vue auparavant. Il n'osa mê
s garanties nécessaires. Nous ne pouvons p
comme suspendus à des fils invisibles. "Vous n'êtes pas
ous offrir," dit-il en haussant les é
vers lui. "Vous n'êtes pas en train de me dire que tout ce
ait fini. Les portes étaient fermées. Je ne pouvais rien faire sans l'argent nécessaire, sans l
it comme si tout l'air autour de moi était devenu épais, comme si chaque pas me rapproch
s yeux et vis une silhouette que je connaissais bien. Dominic Valenti. Le
basse, dangereuse, et pourtant il n'y avait aucune
s talons heurtant le trottoir.
eu plus loin. "Il semblerait que tu sois dans une position déli
e, emprisonné, faibles, m'assaillirent. Je n'avais pas le luxe du choix.
as capturé. Pas encore. Mais j'ai ce qu'il faut pour le faire li
pas tout de suite
ariage. Un contrat. Tu épouses quelqu'un qui peut garantir la liber
tendit, le cœur battant dans ma poitrine. «
e. « Parce que tu n'as pas d'autre option, Elena. Et
siper, comme si la réalité pouvait se dissoudre dans l'air. Mais rien ne
nnu jusque-là risquait de dispar
ire, » murmurai-je, bien que
Dominic, et cette fois, il ne le cacha
is pe