Sous Contrat avec l'Alpha
un refuge et une prison. La lueur pâle des réverbères filtrant à travers les rideaux entrouverts me donnait une sensation d'isolement profond, comme si j'étais dans un autre monde, loin
pas la protection qui me perturbait, ni le danger qui semblait nous encercler à chaque instant. Non, ce qui me perturbait le plus, c'était ce lien in
se qui faisait frémir les feuilles des arbres. Je me souviens de ces soirées interminables, de la lumière dorée du soleil couchant qui semblait adoucir chaque instant, chaque mot prononcé. Ce souvenir, aussi doux qu'il fût, me laissait un arrière-goût amer, comme si j'étais en train de le perdre à c
i, avec lui, ce n'était plus un choix. C'était une conséquence, une réalité implacable qui m'engloutissait sans que je puisse réellement y échapper.
irs scrutant la pièce. Sa silhouette se découpait dans l'obscurité, imposante et silencieuse. Il ne me disait rien, mais je savais qu'il me regardait, qu'il me vo
ue d'habitude. Un ton presque inquiétant, comme si lu
les battements frénétiques de mon cœ
e. Ses yeux se posèrent sur moi, et je sentis cette étrange chaleur se diffuser à travers mon corps, un mélange de crainte et d'attraction. C'était fou,
t-il enfin, sa voix brisée par une émo
is, mais ça ne change rien. Je suis en
rémissement de ses respirations. « Tu as fait ton choix
e promesse silencieuse, mais aussi un avertissement. Ses mots étaient simpl
rité et perdue, piégée dans un tourbillon d'émotions contradictoires. C'était presque comme si chaque instant que je passais avec lui me rapprochait d'une
mir. Trop de pensées tourbillonnaient dans ma tête, comme des oiseaux pris dans une tempête, incapables de se poser, de se poser de manière stable. La confusion, l
mbre. Un bruit étrange, comme un frôlement, un coup furtif. Je me redressai immédiatement, le cœ
len
et un homme s'avança, ses yeux brillaient d'une lueur que je n'avais jamais vue auparavant. Je le connaissais à peine
intrus. Il s'avança d'un pas déterminé, une ombre menaçante dans son sillage. Le silence s
sur lui, le projetant contre le mur avec une force que je n'aurais jamais cru possible. Le b
ic d'une voix glaciale, son r
la surprise, peina à répo
le vouloir, se mit à trembler. La scène était presque irréelle, comme une scène de film où le dange
dans un piège dont je ne pouvais pas sortir. Un piège ti
re que jamais. Il se dirigea vers le lit, s'arrêtant juste à c
vera. Pas tant q
arvenais pas à expliquer. Pourquoi avais-je l'impression que ce danger,