Sous Contrat avec l'Alpha
se de verre et d'acier, où chaque pièce semblait conçue pour me rappeler que je n'étais qu'une invitée, une intrusion dans un monde qui ne
tres laissaient entrer une lumière crue, mais froide. Rien ici ne ressemblait à la chaleur d'un foyer. C'était un espace sans âme, où chaque détail avait été pensé pour détenir son propre
rpentait au centre, comme une colonne vertébrale imposante, menant à un étage inconnu. La grande porte en bois massif, gravée de motifs raffinés, s'était refermée d
ndroit où j'avais l'impression de pouvoir respirer, m'étendre, et être... moi. Les murs de cette maison étaient remplis de rires, les fenêtres s'ouvraient sur un ciel d'azur, et la chaleur de la famille me réchauffait l'âme. Ces so
t de ma faute, après tout. Je n'avais qu'à pas signer ce c
Dominic. Il était là. Derrière moi, comme une
peu plus douce que d'habitude, mais sans chaleur. « C'
forme de... plaisir. Une attraction étrange pour cette froideur. Il m'intriguait d'une manière que je ne pouvais expliquer. Son pouvoir, sa présence, me déstabilis
xant. « Tu n'as pas l'air satisfaite », remarqua-t-il, un léger so
faiblesse que je ne voulais pas révéler. J'avais toujours pensé que
savait exactement où il allait, même s'il n'avait aucune idée de ce que je ressentais. "Tu te feras à tout ça, Elena. Avec
cela ? Qui se croyait-il pour m'imposer de telles règles ? C'était presque insupportable. Mais au fond, je savais qu'il avait raison. Dan
un fragment de son humanité, quelque chose de... réel. Mais il restait là, aussi indifférent qu'un b
n'y a pas de place pour la pitié, Elena. » Il avança encore un pas, et sa
e pouvait s'empêcher d'être attirée par lui, par cette froideur calculée, par cette distance. Chaque geste, chaque mot qu'il prononçait semblait calculé, comme une pièce de puzzle parfai
ardin, un jardin impeccable, presque irréel. Les buissons taillés avec pr
objection. « Il est temps que tu apprennes à comprendre comment fonctionne ce mond
précédent. Était-ce la maison, cette atmosphère oppressante qui pesait sur moi, ou était-ce moi, moi
doux ici, mais il y a une sensation étrange, comme si même ce jardin, si parfait soit-il, était un piège. Pas un coin de nature, mais un es
de trouver un moyen de sortir de cette spirale, mais tout m'échappe. Je s
re, là, juste derrière nous. Mais personne n'est visible. Le souffle coupé, je jette un coup d'œil furtif autour de moi, mais rien. Pou
, se tournant vers moi, une lueur
e de plus ici, dans cette maison, quelque chose que je n'arrivais pas
sentais au fond de moi, mais je n'a