Toi partie, je m'oublie

piration, il reprend

mourir ; dites

je vois et ce q

uvais que je suis

isirs, aux tourbi

lier le bas, l

lité du mal e

petit vaille l

mes sont les fil

e larme et sort

s jours à se rem

on rêve, on souffre

st donc cette aube

s la mort. Viens

des cieux. On trem

noué des mill

ses maux honteux,

entend quelqu’

r quelqu’un on se

n d’où tombe à n

avoir quelle est l

deuil, glaçon,

et, d’extase et d’

e frémit de la

devient dans la

t mon cœur, p

regard de la base du micro attaché au pupitre auquel il s’a

er tout du long, massacrant au final un texte écrit à l’avance, surfait et maladroit. Jamais elle ne se serait sentie capable de surmonter une épreuve aussi ardue. Mettre des mots sur son manque, son chagrin, sur ce poids vide et en même temps si lourd qui lui pèse sur le ventre équivaudrait à devoir marcher sur des

’est pas en reste quant au registre de manifestations épidermiques, lorsque certains hoquettent, d’autres ont des réactions inimaginables et improbables comme cette femme au premier ran

droite. Que penserait sa sœur de ce spectacle qui lui est offert ce matin ? Probablement serait-elle touchée, mais peut-être aussi

le moindre fait et geste. La moitié des gens les regardent avec une compassion suintant la pitié. Qu’importe ces témoignages d’affection plus ou moins sincè

eur à l’image d’une poupée de chiffon inanimée inconsciente. Vient-il de sa mère ? De son père ? Ou d’une âme encline à offrir son aide ? Elle ne cherche pas à le savoir, préférant se laisser guider au cercueil. Une fois seule à ses côtés, ell

Elle est désormais en sûreté aux côtés du Seigneur, plus rien ne peut lui arriver, vient

cela, elle reste plantée là, sonnée, ado

EMENT SOURDINGUE QUE JE FANTASME DES PAROLES INSENSÉES ! JE N’AI PAS PU ENTENDRE CE QUE J’AI CRU ENTENDRE ! hurle d’un coup

délivrer Alizée de la stupéfaction dans laquell

devant elle ? Elle vient de perdre son unique sœur, tu comprends ? On aurait pu espérer échapper à ces conneries de culs bénis en choisissant une cérémonie civile, penses-tu ! Vous êtes parto

lle l’attaquée, te

incapable de formuler une réponse audible. Seuls des mots épars sacc