Un si je savais.
aire pour ne pas rester en arrière. Car, nul ne peut prévoir l'imprévu. Il surpasse la sagesse, l'intelligence et la connaissance humaine.
ation du monde et nul ne pourra y échapper. Étant ainsi, l'espoir devient juste com
qui était le seul à me consoler, les choses ne marchaient,
ta mais je fis vite d'effacer la colère car ma route est longue et il me faudra toutes mes forces. Il y avait un lac qui nou
e me faire rebrousser chemin. J'étais décidé à partir. Oui. À fuir loin de tout ce monde. Partir aussi loin que possible. Très loin jusqu
j'atteignis vers le soir de la journée le lac. Je traînais les pieds, j'étais tou
rque qui voulait démarrer. Sans ri
j'étais confiante. Je n'étais jamais sortie de ma zone de confort et de
ous étions dans la saison la plus fraîche d'une année. Je me recroquevillé en serrant toute ma personne entre mes bras. Une seule idée me venait à l'esprit. Mais je ne pouvais pas l'exprimer car même dans notre maison, on d
le lac et, je quittai mon cher village. C'était ma
disait que : le plus lourd fardeau est d'exist
sans nul doute une marge de différence très large entre leurs enfants et moi. Car j'étais apparemment la seule à marcher pieds nus. Mon père, de son vivant, était trop riche pour m'acheter des chaussures. Ma mère, après avoir fouillé dans ses sacs plastiques qui lui servait de valises, avait retrouvé la seule chaussure de sa jeu
menait vers l'embarquadaire. Je n'avais plus froid. La faim était venue le remplacer. Un orchestre jouait du salsa dans mon ventre et le bruit se faisait entendre dehors. C'est là que, pour la
satisfait ne remarque aucun défaut alors que l'œil haineux remarque le moindre vice. Je voyais tout sauf le piège qu'il y avait dans
-je faire
errir sur ma jambe droite. Je me dépêchai de les essuyer car ce n'était pas la solution
n. J'entendis seulement le chant de la nature. Le cri des grenouilles. Et le bruit que faisaient les femmes qui restaient et qui rangeaient déjà leurs étalage
aule. Je sursautai. Mais très vite, avec un c
ns rien m
t dans cette voix me ra
ise là malgré la
nul part
t un geste que je n'ai jamais mérité selon mes parents. Ce serait donc ma première fois mais, ce soir là, j'eus plus mieux qu'un câlin. Après avoir tendu mes bras en sa dire
té. Je me suis réveillée au milieu de la nuit et c'est en ce moment que mon âme béni le seigneur. Mon bienfaiteur était à
nt tu t
-je avec une voix
Ces choses qui m'arrivent sont des premières fois. Jamais au paravent personne n'a attendu que je me réveille
t t'appe
ngè
le repas à chaud avant d
rien puisqu'à lui tout seul, il surpasse mes deux parents.
illage voisin. Les gens ramenaient d'autres informations qu'on passaient de bouche à oreille mais, pas au
aussi à la maison, je perfectionnait mon niveau. C'était son désir. Et il était content de mes exploits. Rien ne me manquais. Les livres et documents nécessaires pour vite enrichir mon niveau d'études étaient mis à ma disposition au fil des années. On est toujours prêt quand on a du courage et de soutien. Cet homme me voyais comme sa fille et prenait bien soin de moi. Ma croissance physique étonnait plus d'un. Les années sont passées certes, j'étais maintenant
e. La mort me suivait partout où j'allais depuis ce temps. Elle me guêttait chaque matin, tout les midis et certains soirs. La mort emboitait mes pas et attendait le temps opportun pour m'abattre. Du haut de mon innocence, elle calculait le moment. Et, au temps fixé, elle me donna un grand coup. La douleur que je ressentis cette fois ci dépassait
ussi, je n'avais plus une autre solution.
s à nouveau face à une situation ou je devrais prendre une décision. Les données ne sont plus les mêmes cette fois car je n'ai plus douze ans. J'avais la convi
mon chemin vers nul part où coul